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Ma vie de couple

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Je tiens à apporter une précision au lecteur de cette histoire, d’abord merci de votre attention et je vous souhaite du plaisir à la lire. Cette histoire est catégorisée dans vraie car basée sur mon incroyable vie sexuelle actuelle. Les prénoms ont été changés. Nous cherchons une fille pour réaliser le fantasme décrit dans cette histoire et partons en Egypte en 2016… (Ch2)

Il fait beau chaud et les nuits sont simplement incroyables. Cette chaleur pourtant ne nous arrête pas… Dès que l’occasion nous permet de nous retrouver dans un coin de l’établissement, un simple câlin, parfois une sodomie brutale… Notre vie sexuelle est telle que je l’ai toujours rêvé, Aurélie, cette fille est simplement incroyable, elle est vraiment jolie, fraîche, drôle et surtout… Un cul rond comme je les aime, de la chair qui ondule et roule sous mes coups de reins. Ma vie sexuelle est incroyable, intense, variée, imaginative et je suis dingue de son corps, de son goût… Nos jeux nous poussent toujours vers plus d’ouverture, de découvertes, nos explorons les possibilités de nos corps et agrémentons de tout ce que nous trouvons, jouets, légumes, lingeries… Elle sait que j’ai un faible pour le flashy, le fluo, les aspects “pute”, elle a fait naître ce côté dominant qui dormait caché en moi et elle embrasse le sien, dominée par plaisir, soumise à la douleur, à la recherche perpétuelle des limites de son corps qu’elle me pousse sans cesse à transgresser, à violer et exploser, et c’est avec un plaisir violent que je lui remplit ses désirs comme ses orifices si désirables…
Après quelques mois pourtant, le jeu va s’orienter vers une tournure nouvelle…
Je me surprends à chaque fois à mater le moindre fait et geste de sa part, elle est ma voisine de bureau, et malgré notre vie intime aussi satisfaisante qu’intense, j’ai toujours un oeil qui traine au cas où j’aurais la chance de voir son string dépasser ou sa poitrine pendre dans son soutien-gorge en dentelle et de m’imaginer quasi instantanément les embrasser… C’est alors qu’un de nos collègues entre -comme d’habitude- de manière fracassante dans le bureau, avec grand renfort de rires forcés, m’arrachant à ma rêverie contemplative de ce string qui dépasse dans son dos.
— Alors vous faites quoi vendredi en 15 ? Nous lance-t-il— Genre, je ne sais même pas ce que je fais demain, alors dans 15 jours ! réponds Aurélie.
J’ai toujours adoré ce trait de caractère acéré d’Aurélie, elle dégaine des réponses souvent plus vite que moi à ma grande jalousie qui culture ce trait depuis tant d’années. Alors je m’affale sur ma chaise et assiste à leur joute verbale. David n’est pas en reste, latin, il débite, mais la répartie est souvent cinglante alors il se réfugie dans les blagues pour faire écran de fumée, c’est simplement jouissif comme du théâtre d’impro, et pourtant c’est presque une représentation quotidienne.
Finalement, après lui avoir arraché les mots de la bouche, on apprend que notre établissement organise un grand barbecue d’extérieur et que même les anciens sont conviés, la magie de Facebook, on ne disparait plus vraiment jamais de nulle part. Aurélie comme moi sont motivés par l’aspect bouffe sympa et surtout savoir que l’alcool va encore bien couler à flots… Et je suis sûr que l’on trouvera moyen de s’amuser aussi de notre côté… D’ailleurs rien qu’a y penser, mon sexe se réveille et je la regarde dans les yeux… Visiblement le courant passe et je lis dans son regard qu’on à eu la même idée, elle me sourit et lève les yeux au ciel comme pour m’indiquer les pièces du dessus… Sans réponse je me jette sur le planning et ai vite fait de trouver une pièce idéale pour notre prochaine demi-heure.
Sans même attendre la réponse, elle lance à nos deux collègues :
— J’ai un truc à faire dans un autre bâtiment, mais comme vous vous en foutez…— Moi pas, un coup de main ? Je lui réponds— Si tu veux, me faut des bras et pas de cerveau, tu as la tête de l’emploi donc…— Va te faire voir !
Je fais mine de prendre deux câbles et la suit. Un de nos deux collègues qui sait que nous entretenons une relation me regarde avec un petit sourire en coin, il n’est pas idiot, surtout quand je reviens en sueur et Aurélie toute rouge qui arrive 2 minutes derrière moi…
La porte du monte-charge ne s’est pas encore refermée que je lui plaque je visage sur une paroi et lui empoignant les cheveux… Un petit cri lui glisse hors des lèvres, elle a déjà fermé les yeux. Je me glisse derrière elle et lui caresse ses fesses avec un désir total, j’empoigne de toute ma force sa chair au travers de son jean et enclenche le bon étage… Quelques secondes et nous nous retrouvons dans la pièce que je verrouille derrière moi… Elle est là devant moi droite, les bras le long du corps. Comme elle ne dit rien, j’en conclus qu’elle souhaite que je la maîtrise et me serve d’elle comme bon me semble, que je me fasse plaisir avec son corps, et c’est ce plaisir-là, d’être utilisée qui la fera jouir… Encore plus si elle l’impression que j’abuse d’elle, de son corps, comme un enfant qui casse sont jouet tellement il joue fort avec. Je me rapproche d’elle lui passe une main derrière la nuque, tendrement, et l’embrasse avec passion. Mais je change rapidement de manière pour créer la surprise, j’adore ça. Avec force je lui plaque le visage sur un bureau et la maintiens dans cette position, limite à l’étrangler. Elle a déjà le visage rouge et ses yeux roulent dans tous les sens, ces cils papillonnent du choc avec le bureau.
— Tu sais pourquoi j’ai pris cette pièce ?-… N… Non. Arrive-t-elle à articuler avec ma main plaquée sur la gorge— Dans la pièce d’a côté on à notre responsable avec les pontes de notre établissement en réunion. Ils boivent leur café et parlent de trucs si importants dont nous n’avons rien à foutre. Mais tu imagines bien que tu ne dois pas les interrompre avec tes cris…— Nan, mais tu es complètement c… sa phrase s’éteint dans sa bouche alors que ma main qui lui tenait la gorge la relâchée pour la gifler. Elle me regarde les yeux rouges de larmes, c’est un moment difficile, car je sais qu’elle à mal, que je l’ai surprise et que j’ai peur d’aller trop loin. Mais quelque part au fond de moi une voix me souffle “Elle a aimé cette salope, en fait elle en veut encore !”. Je finis par écouter cette voix et la suivre, car je sais qu’encore une fois ce sera incroyable pour moi de vivre ma sexualité sans freins et que jamais elle ne me jugera pour ça…
— Vires tes pompes, ton pantalon et ta culotte maintenant et surtout fais moi rêver en te foutant à poil.
Elle s’exécute lentement pour faire le moins de bruit possible et je la regarde avec envie. Elle me tourne le dos et cambre ses reins pour faire glisser son jeans sur ses cuisses, libérant ses fesses rondes et blanches qui me font tant fantasmer. Enfin elle se tourne vers moi, son string commence à glisser à son tour, la salive monte dans ma bouche quand le petit fil est légèrement retenu par ses lèvres trempées de miel… Je le ramasse et le porte à mon visage, ce parfum, il n’y à pas d’autre mot, il me rend dingue.
— Allonges-toi sur le dos sur le bureau, et remonte un maximum tes genoux vers ton visage. Enfin avec tes mains je veux que tu écartes ton cul.
Aurélie aime les directives, suivre des ordres simples et j’avoue que c’est un plaisir quand elle s’exécute pour moi. Ca ne rate pas, à chaque fois un déluge d’idées s’abat dans mon crâne. Tous mes plaisirs se bousculent pour passer en premier, un cunni, une pipe, lui lécher le cul, l’enculer, boire son miel, jouir sur son visage… Aucune limite, tout arrive en même temps et il est vraiment incroyablement dur de me raisonner et de ne pas faire brouillon, n’oublions pas que c’est un jeu, sexuel certes, mais un jeu, et je ne veux pas la décevoir ! Même si j’en retire un plaisir absolument sans limites, son plaisir est une priorité pour moi et son orgasme, ses orgasmes à chaque fois une récompense pour moi, encore plus si je peux me délecter de son miel…
Elle est là sur le bureau et elle attend… Je vais commencer par un plaisir perso, égoïste certes, mais j’ai toujours fantasmé sur le cul des filles, il est normal que là aille ma préférence… Je me mets à genoux, près de ses fesses qu’elle maintient ouvertes pour moi. Sa chatte brille déjà et un petit filet de miel s’échappe et glisse sur son périnée, je me rapproche un peu plus et lui embrasse son petit trou du cul pour finir avec ma bouche dessus, à laper comme un petit chiot son orifice, faire glisser ma langue dessus pour explorer ses petits plis délicieux. Mon sexe explose simplement dans mon jean et la douleur de la compression devient insupportable. D’une main je fais sauter les boutons de mon jean, détache ma ceinture et libère mon sexe qui n’en pouvait plus d’être enfermé. Je lape encore quelques fois glissant sur ses lèvres à la recherche de miel et fini sur son clito dur comme de la pierre. Je me relève, la regarde dans les yeux en essayant d’avoir un regard froid, détaché et dominateur, et sans la quitter des yeux je lui glisse sa culotte dans la bouche pose ma main dessus :
— Tu vas en avoir besoin, mords si tu as besoin de crier.
Dans sa tête c’est simple, un seul mot se dessine -sodomie- et Aurélie sait que je vais y aller comme une brute, juste pour le jeu de l’entendre encaisser mes coups de reins et devoir se retenir de crier. D’encaisser en silence en prenant du plaisir au travers de cette douleur si violente de mon sexe qui lui déchire le creux de son ventre…
Toujours ma main plaquée sur sa bouche, sans la quitter des yeux j’empoigne mon sexe et frotte mon gland sur ses lèvres si douces et trempées pour glisser une poignée de centimètres plus bas, dans ce petit renfoncement de ses fesses. Elle est tellement contractée que je me régale de devoir forcer ce petit muscle. Alors je pousse, pousse encore plus fort. Devant mon poids et la dureté de mon sexe il lâche soudainement lui arrachant un cri de douleur qu’elle essaye d’étrangler, mais sans grand succès, je gagne toujours, centimètre après centimètre. La peau de mon gland est tellement tendue que la douleur pour moi est aussi à la limite du supportable, mais je pousse encore. Sa tête s’incline rapidement de gauche à droite et ses yeux sont plissés de douleurs, elle respire vite et sans régularité. Je sais que dans sa tête elle essaye de se persuader que le plus dur est fait, que je suis dedans, et que la douleur va s’estomper, mais c’est aussi le moment que je préfère, quand je lis ce sentiment sur son visage et que seulement la moitié de mon sexe est rentré. Je lui laisse souvent un petit moment de répit pour qu’elle commence à croire à son propre petit mensonge avant de recommencer à y aller. Ce moment-là dure une seconde tout au plus et je ne dois pas le louper. L’expression de son visage quand ses yeux s’ouvrent en grand sur moi, qu’ils me crient -arrête j’en peux plus !- et que pourtant inexorablement je continue à m’enfoncer au fond de son ventre… En général elle s’effondre de douleur et je ralentis, car enfin je vais pouvoir y aller, faire des vas et vient dans ce cul totalement distendu, et regarder la peau de son petit trou blanchit par la l’élargissement et mon sexe qui glisse dedans et un spectacle simplement parfait, excitant au plus haut point, ce qui renforce mon érection et donc sa douleur. En clair un cercle vicieux parfait.
La sensation autour de mon sexe, la pression exercée par ses muscles, la chaleur, la moiteur sa chatte qui dégouline on vite fait de me pousser à l’orgasme. Je me retiens au maximum et lime encore par pur plaisir. Je sais qu’il y aura une prochaine fois, mais ce n’est pas immédiat, alors c’est forcément trop loin. Aurélie à déjà eu un orgasme et son corps est encore prit de petits soubresauts, mais cela ne m’a pas fait arrêter une seconde, le mien approche, massif. Penser que mon sperme va lui couler dans les intestins pour quelques heures est une pensée qui me plaît. Je lui empoigne encore plus fermement les cuisses et mon bas ventre frappe sa chatte de plus belle, je ne retiens plus mes coups et elle à compris que je vais jouir, j’ai du mal à maintenir le rythme et mon corps me lâche sous l’effort, un muscle après l’autre, le plaisir est tellement intense quand je suis sur le point de jouir, mon sexe enfle et un jet viens se répandre en elle, épais. Je me retire enfin doucement.
Elle à des larmes qui ont coulées sur ses joues et le l’embrasse en essayant de retrouver mon souffle. Mais je suis à la peine.
— Et dire que je ne devais pas faire de bruit ! Par contre toi je pense que la moitié de la boite t’a entendu jouir ! On ferait mieux de pas trop trainer pour le coup !— Ouaip, ma faute, mais ça valais la peine. Et le plus drôle est de se dire que ceux qui ont entendu vont se demander un moment qui à pu jouir dans le bureau d’a coté !— Tu es vraiment un malade Yannick.— Oui et tu aimes ça !
On rassemble vite nos affaires et filons de ce bureau vitesse éclair…
Et ça ne loupe pas encore une fois, nos têtes rouges et la transpiration nous ont vite démasqués auprès de notre collègue qui se marre dans son coin… S’il savait vraiment !
Les jours passent et celui du barbecue est enfin arrivé, tout le monde est là ou presque et les anciennes têtes prennent des nouvelles de la boite à la recherche des derniers ragots en date. Comme imaginé, l’alcool coule à flots, l’heure tourne et les inhibitions se lèvent… J’ai terriblement envie d’Aurélie et je m’éloigne du groupe pour aller vider mes bières près d’un arbre. Difficile d’uriner avec les idées pas très claires et une demi-érection… Alors que mon jet se termine, je sens la main d’Aurélie saisir mon sexe qui se raffermit immédiatement, une décharge me traverse le corps alors qu’elle s’agenouille devant moi pour avaler les dernières gouttes qui sortent de mon sexe. On a toujours voulu jouer aux douches dorées, mais on à jamais vraiment franchit le pas, toujours à attendre que l’autre se lance, et la elle a pris l’initiative, elle aspire goulûment en me regardant dans les yeux…
— La prochaine fois, je serai là au début pour que tu te laisses aller sur moi…
Elle se redresse sans attendre ma réponse et m’embrasse à peine bouche puis s’appuie contre un arbre relevant sa jupe blanche et d’une main écartant ses fesses
— Et si on profitait un peu de ce joli morceau pour me faire du bien aussi ?— C’est si gentiment demandé…
Et je la prends en levrette, son sexe est trempé, magnifique, son vagin est aussi doux qu’accueillant, je la sens se contracter autour de moi pour me donner encore plus de plaisir. Les gouttes de miel perlent sur ses cuisses, un vrai délice. L’alcool aidant j’ai un orgasme rapidement, bien avant elle et me retirant elle glisse ses doigts sur son sexe et porte tous les fluides à sa bouche, les léchant avec un plaisir évident. C’est clairement une facette qui me fait craquer, elle sait ce qui me fait fantasmer et surtout comment me faire fondre le cerveau de l’intérieur. Elle affiche un immense sourire en finissant de se lécher les doigts.
— Allez suis moi faut que je te présente quelqu’un ! Et elle m’entraine par la main à rejoindre le groupe.— Tu te souviens de Jennifer ?
Bien évidemment que je me rappelle de Jennifer, même si je ne l’ai vu que quelques jours, elle quittait l’entreprise quand je suis arrivé, elle m’a marqué, un physique à mon goût, ses lunettes en Bakélite noires, ses quelques kilos en trop lui donnant des formes incroyables… Et sans aucun doute Aurélie sait que je m’en rappelle -vu qu’on en a déjà parlé-. Mais le plus surprenant, ce n’est pas de revoir Jennifer, mais sa position, affalée dans un pouf en tissus, à moitié comateuse, ivre morte en somme.
Aurélie s’assied à côté d’elle et sans gène lui remonte sa jupe le long de ses cuisses… Bas résille… Mon Dieu… Mon sexe se réveille immédiatement et Aurélie se met à rire de plus belle, elle sait pertinemment comment me faire réagir au quart de tour ! Trop bien même. On fini par s’assoir à côté finir une bière, Jennifer ne semble pas réagir à notre présence. Mes yeux passent de l’une à l’autre et des pensées très sexuelles se déversent dans ma tête. Un plan à trois, depuis le temps que l’on y pense et que nous recherchons une partenaire… Faire l’éducation lesbienne d’Aurélie et de mon côté réaliser une liste incroyable de désirs inassouvis. Finalement, et encore une fois Aurélie prend l’initiative et me tire de ma rêverie.
— On la ramène à l’hôtel avec nous ?— Quoi ?— Tu m’as très bien comprise. Allez prends la sous l’épaule la voiture est pas loin et dans son état… On ne va pas la laisser seule ici ! Imagine qu’elle tombe sur un couple de pervers… Et Aurélie éclate de rire…
Je suis mal à l’aise et excité, j’imagine qu’au final je dormirai dans le fauteuil, mais bon au moins Aurélie dormira avec cela devrait fournir assez de charbon pour faire tourner l’usine à fantasmes à plein régime pour le reste de la nuit, et nous motiver encore plus à trouver une troisième partenaire de jeu.
Le gardien de l’hôtel nous regarde bizarrement avec notre paquet sous le bras, elle pèse une tonne tellement elle se laisse aller. Normalement c’est contre les règles de l’hôtel, mais vu l’état, il est bon samaritain et nous laisse notre carte plastique pour accéder à la chambre. Je la laisse tomber sur le lit épuisé et m’allonge à côté, tenté comme le diable…
— Je sais je vais te faire chier, mais tu ne veux pas aller chercher nos affaires dans la voiture ?— Oh shiiiiiiit— … Sorry !
Je renfile mes baskets et descends péniblement vers la voiture garée à quelques rues, la tête pleine à craquer d’images obscènes, de corps qui s’emmêlent, se lèchent, se pénètrent… Je me secoue la tête, l’alcool ne m’aide pas vraiment à avoir les idées claires et à trouver une solution pour profiter de la solution. Quel échec. Encore suant, je retourne enfin à la chambre ou toutes les lumières sous coupées sauf celle de la table de chevet… Et la c’est le choc, je laisse glisser le sac le long des jambes, la bouche grande ouverte, ébahi.
Aurélie est appuyée sur la tête de lit, les jambes un peu pliées vers elle, Jennifer, nue est a quatre pattes, m’offrant pleine vue sur ses fesses, grosses rondes et blanches. La tête enfouie entre les cuisses d’Aurélie qui se laisse dévorer.
— …— Ça fait plaisir que tu ne saches pas quoi dire. Assieds-toi dans le fauteuil et profite de la vue, tu peux te toucher si tu le souhaites, mais pas de photos petit malin !
Je défais en une fraction de seconde mon pantalon, mon sexe palpite au bas de mon ventre.
— Jen, regarde son sexe !
Jennifer retourne son visage vers moi, il brille dans la faible lumière du miel d’Aurélie qui s’est étalé sur ses lèvres, son nez et ses joues… Elle me fait un petit sourire en coin et retourne dévorer le sexe d’Aurélie qui n’attend que ça… Aurélie enchaine orgasme sur orgasme et Jennifer n’arrête jamais de la manger, c’est à peine croyable… Elle a pris la liberté de changer un peu de position pour que ses fesses soient bien en face de mon visage. Je m’astique comme un fou. C’est simplement surréaliste cette situation, je sens l’odeur de la sueur, une odeur forte et l’excitation qui explose dans mon corps.
Entre deux orgasmes, Aurélie me lance alors.
— Si tu veux, tu peux te rapprocher, sentir ses fesses, je sais que tu en crèves d’envie, mais pas touche. Peut-être plus tard si tu es sage.
Je m’approche alors de ce cul qui emplit mon champ de vision tellement j’en suis proche, son trou du cul est sombre, très plissé, sa chatte elle est gonflée de désir, couverte de jus qui lui coulent sur les cuisses… J’ai tellement envie de la lécher que j’en oublie de me masturber, de toute façon je n’ai pas vraiment besoin de ça pour maintenir mon érection… Jennifer reste en place, mais Aurélie se relève enfin, et son visage apparait près du mien…
— Ça fait quelques semaines que l’on se voit, on n’avait pas perdu contact sur Facebook, et on s’est plutôt bien rapprochée. On s’amuse bien et j’ai réussi à la convaincre que tu puisses observer ça… Tiens regarde…
Et Aurélie sors la langue de sa bouche, la tend en pointe et la fait glisser, effleure à peine son clitoris, fait remonter le long de son sexe, pile entre les deux lèvres et viens faire un joli cercle autour de son trou du cul. Elle l’a fait en me regardant. Si ce n’est pas une forme de talent, je ne sais pas ce que cela peut-être d’autre. Enfin son visage s’avance encore plus du sexe de Jennifer et elle la lèche de plus en plus fort. Je vais faire un arrêt cardiaque. C’est trop intense à regarder, Aurélie sait qu’un de mes fantasmes ultimes est de la voir manger le trou du cul d’une autre fille. Visiblement ce n’est pas un oubli et c’est avec un plaisir apparent qu’elle fait courir sa langue dans la raie des fesses de Jen, s’attardant délicieusement sur son petit trou, elle rit un peu de me voir éclater comme ça devant elle, impuissant.
— Rapproche ton sexe de ma bouche que je puisse profiter de vous deux
En une fraction de seconde je suis à genoux derrière Jennifer, et Aurélie passe d’un sexe à l’autre profitant de nos goûts. Je ne sais pas comment je me retiens de jouir tellement le spectacle est excitant. Aurélie empoigne alors mon sexe fermement et le rapproche du sexe de Jennifer et frotte mon gland sur ses fesses, juste pour ramasser le miel qui coule à flots. Pour la première fois, Jennifer se manifeste.
— Aurélie, on avait dit non…— Fermes là, tu sais que tu en as envie, depuis le temps que je te renvoie les photos de sa bite et que tu te touches en les regardant… Tu vas me faire chier maintenant… Laisse-toi faire et profite !
Je ne dis rien, je ne veux rien gâcher, ne pas faire d’erreur et que tout s’arrête par ma faute, alors j’en profite, je remplit mon cerveau d’un maximum d’images que je m’interdis d’oublier. Aurélie se relève du lit et fouille dans son sac, d’où elle sort son plug en métal qui j’aime tant.
— Enfonce-lui dans le cul. Me lance-t-elle en me tendant son jouet.
Je l’attrape et pose la pointe sur le petit trou de Jennifer qui ondule de plaisir et d’envie. Je pousse doucement et ses fesses s’ouvrent sans difficulté, avalant le jouet en un instant.
— Tu vois Yannick, je suis sûr qu’elle va te plaire. En tout cas moi c’est évident !
Aurélie vient se mettre derrière moi, attrape mon sexe et le dirige à l’entrée du sexe de Jennifer. Je sens l’entrée de son vagin qui vient glisser sur mon gland, énorme de désir. Elle me pousse enfin sur les fesses pour que je glisse à l’intérieur d’elle. Jennifer se cambre encore plus pour accueillir mon sexe. Je commence à aller et venir et je suis au paradis… Aurélie vient poser sa joue sur les fesses de Jennifer tout en se caressant comme si sa vie en dépendait, ses fesses ondulent toutes seules de désir aussi. Je pose une main sur les fesses de Jennifer pour sentir son cul lourd et blanc laiteux et bien sûr l’écarter que je puisse profiter du spectacle du plug planté dans son cul et de mon sexe qui coulisse sans résistance en elle, sortant à chaque fois recouvert de grumeaux de miel, brillant. Mon autre main s’est enroulée autour du cou d’Aurélie que je serre un peu pour lui couper la respiration, comme elle aime. Après quelques va-et-vient Aurélie se met à ouvrir sa bouche en grand et fait glisser sa langue sur ses lèvres roses. Je ne peux que lui faire ce plaisir, et le mien -encore un fantasme à rayer de ma liste- et de sortir mon sexe du sexe de Jennifer pour venir le glisser dans la bouche d’Aurélie qui l’avale au plus profond de sa gorge, à s’en étouffer. Je fais alors des aller-retour, du sexe à la bouche plusieurs fois, augmentant encore d’un cran mon excitation qui à atteints des niveaux que je n’avais encore jamais pu imaginer jusque là. Aurélie sans changer de position vient retirer le plug de Jennifer pendant que je continue de la limer, je vois son sphincter essayer de retenir cette masse et observe son anus se dilater autour, il ressort tellement Aurélie tire dessus, lentement, mais avec force… Enfin en un instant il est libéré, brûlant et Aurélie l’enfonce dans sa bouche pour le nettoyer. Elle le recrache enfin et me lance :
— Tu ne vas pas laisser un trou du cul ouvert comme ça sans t’en occuper ce serait du gâchis…
Je retire alors mon sexe de celui de Jennifer et vient le poser à l’entrée de ses fesses, le trou se referme, lentement, c’est sublime… Un gros paquet de salive craché par Aurélie vient couler entre ses fesses et vient se glisser à l’intérieur de ce trou béant, avalé par le ventre de Jennifer qui donne des coups de reins pour m’inviter en elle. Elle pousse de l’intérieur pour rester ouverte et me faciliter l’entrée dans ses fesses, je suis comme aspiré, avalé par ce cul immense. Elle s’est clairement préparée à ça et remplie de lubrifiant. Je ne rencontre presque pas de résistance et glisse tout au fond, mon ventre vient buter contre son cul qui ondule sous le choc de la pénétration. Je me mets alors à donner des coups de reins violents et profonds. Jennifer a enfoui sa tête dans un oreiller pour hurler sa douleur, de ce sexe qui lui déchire l’intestin et qui lui donne un plaisir si total… Je vais enfin jouir, je sens une décharge monter entre mes cuisses, violente, énorme. Aurélie qui me connait parfaitement à rapproché encore plus son visage de mon sexe et n’hésite pas à tendre la langue pour lui donner des petits coups quand il ressort… La langue tendue, je l’entends doucement rire la bouche grande ouverte… Et un instant après mon sexe se libère de l’étreinte violente des fesses de Jennifer, laissant un anus complètement rouge et dilaté. Des gouttes de sueur constellent nos corps et le souffle coupé j’éjacule. Un trait blanc compact vient s’étaler de la langue d’Aurélie à sa joue, un deuxième vient atterrir sur le bord de l’anus de Jennifer qui s’est effondrée de douleur et un troisième sur ses fesses blanches…
Complètement essoufflé, le sexe encore douloureux et raide j’essaye de reprendre mes esprits, avec peine, Aurélie se sert de mon gland comme d’une cuillère et pousse mon sperme à l’intérieur de cet anus qui ne se renferme pas, lapant au passage aussi sa part… Nous nous effondrons alors les 3 sur le lit, dans les bras les uns les autres, cherchant notre souffle et endoloris. Finalement , sombrons les trois dans un sommeil profond…
— … Yannick… Yaaaannick…
Je me réveille avec peine et papillonne des yeux pour reprendre mes esprits, avec peine…
— Réveille-toi et ouvre les yeux !— Yannick…— Yanniiiick.
Deux voix… DEUX voix ! Je n’ai par rêvé !
Je me redresse d’un bon, les deux filles sont a quatre pattes l’une à côté de l’autre, chacune tiens la fesse de l’autre pour lui ouvrir la raie, elles s’embrassent avec envie, me lancent des regards sans équivalences, rient… La journée va être vraiment spéciale…
Et voilà, ces deux culs qui ondulent, offerts devant moi… Mon sexe lui est bien réveillé et tendu au possible, tant d’ouvertures dans ces corps, tant de possibilités offertes ! J’émerge de mon côté doucement, persuadé d’être tombé directement au paradis. Je ne suis pas sûr de vouloir sortir de mon rêve simplement incroyable…
— Allez tu attends quoi ? Une carte d’invitation ? — Oui Yann, montre-nous ce que tu vaux au réveil…
Aurélie et Jennifer s’empoignent les fesses de plus belles, elles s’embrassent avec passion, leurs langues frottant l’une sur l’autre, des filets de salive s’étirent entre leurs bouches. Je me rapproche doucement de ces deux superbes paires de fesses, elles sont à croquer. Et je croque, ou plutôt lèche ces 4 trous totalement offerts à ma gourmandise, passant ma langue de l’un à l’autre, d’une fille à l’autre. Je suis complètement ivre de leurs goûts, de leurs odeurs, le visage couvert de miel… J’en profite autant que je peux, je me régale totalement, avant de pouvoir mourir dans la prochaine demi-heure, il me reste encore une chose à faire… Je crache au mieux sur leurs deux petits trous et enfonce deux doigts dans Aurélie en lui arrachant un petit cri et également de Jenn, qui soupire et ronronne de plaisir… Je fais aller et venir mes doigts en elle pour les préparer. Elles rient de bon coeur et n’arrêtent jamais de s’embrasser… Le miel coule sur leurs cuisses et leurs lèvres, gonflées par le désir… Aurélie me regarde dans les yeux et me lance :
— Vas-y c’est Noël un peu avant l’heure cette année…— Oh oui Yannick, fais-toi plaisir comme tu le veux, tant que tu nous fais un peu mal. Et elles se mettent à pouffer les deux, aussi brûlantes que complices…
Vagin, anus, et par qui commencer… À tout seigneur. Je me dois d’honorer Aurélie, je me mets alors à glisser dans son sexe totalement trempé et lime sans attendre, violemment, plus fort que je peux pour bien enduire mon sexe de ses jus. Le sexe brillant, recouvert de miel, je me décale de quelques centimètres pour le présenter à l’entrée des fesses de Jennifer, qui sautille presque sur place d’impatience, elle va être servie avec son cul tellement pulpeux… Comme la veille, elle pousse sur son trou pour l’ouvrir et m’accueillir plus rapidement, elle enchaîne des contractions forte et relâchement et je suis aspiré dans son corps, encore, encore plus profond… Elle a enfoncé sa tête dans un oreiller pour étouffer ses cris de plaisir et Aurélie elle, se tord le cou pour me voir la défoncer et me faire comprendre qu’elle aussi est impatiente de se voir honorer, impatience qu’elle me signifie par trois de ses doigts qui lui explorent le cul… Dans un bruit d’aspiration, je me retire de Jennifer pour aller sodomiser à son tour Aurélie, mon sexe est tellement lubrifié par la sodomie de Jennifer que je m’enfonce librement dans Aurélie, ses doigts ont aussi bien préparé le terrain pour mon sexe. C’est à chaque fois un plaisir intense de l’enculer… Son corps, ses orifices ont été dessinés pour mon sexe, je ressens chaque repli, chaque petite contraction de douleur et cette chaleur intense de son intestin qui impriment une pression incroyable sur ma verge… Les minutes qui suivent je m’oblige avec un plaisir insoutenable à explorer chacun de ces 4 orifices qui s’offrent à moi. Je sais qu’elles n’en retireront pas un immense plaisir étant laissée de côté régulièrement, mais elles ont décidé de m’offrir cette position incroyable que tout homme normalement constitué rêve de réaliser un jour. Je me retire enfin une dernière fois des fesses de Jennifer et attrapes aurélie par la main pour la redresser et la retourne sur le dos…
— Jennifer, retourne-toi aussi, ont va continuer encore un peu, mais je veux voir vos visages, et surtout caressez-vous !
Elles s’exécutent les deux à mes ordres sans rien dire… Deux chiennes juste pour moi… Le pied ! Je retourne dans les fesses d’Aurélie, son anus est tellement détendu par ces pénétrations à répétition que rien n’arrête mon sexe… Je retourne vers les fesses de Jennifer qui commence à crier, son orgasme monte littéralement, son ventre se contracte, son visage est devenu rouge, Aurélie lui donne un coup de main en sollicitant son clitoris d’un mouvement expert, ses lèvres sont grandes ouvertes et je vois l’entrée de son vagin être pris de contraction toujours plus rapprochées l’une de l’autre… Aurélie se relève et vient poser ses fesses sur le visage de Jennifer, elle l’écrase, comme pour l’étouffer puis commence à imprimer des mouvements de va-et-vient viens sur sont visage, comme pour s’essuyer sur sa bouche… Jennifer réagit instantanément à ce surplus de stimulation et éclate dans un orgasme ravageur, des quantités incroyables de miel sont éjectées de son sexe, son anus m’a fait prisonnier d’une pression et contraction incroyable. Elle hurle et convulse presque coincée sous le corps d’Aurélie et empalée bien profond sur mon sexe. Ces quelques secondes me semblent durer une éternité tant son orgasme est intense et violent. Elle finit par s’écrouler dans un dernier soubresaut. Son anus se relaxe complètement comme le reste de son corps et il me reste Aurélie qui à le droit à son orgasme, qui le mérite plus que n’importe qui d’autre. Je la relève et viens l’appuyer contre le mur de la chambre. Elle se penche du mieux quelle peut en avant et cambre ses reins… Ses lèvres sont délicieusement brillantes de miel et je la prends, du plus sauvagement que mon corps m’y autorise, lui tirant les cheveux en arrière… Je la traite de pute, de salope, la gifle et l’étrangle… Elle a fermé les yeux pour profiter de ce moment intense que lui offre, ce moment où son corps est soumis au mien, où ils sont simplement liés et uniques, à la recherche commune de notre jouissance…
— Jenn vient m’aider si tu as repris tes esprits…— Je sais exactement quoi faire, j’arrive.
Pantelante de son orgasme elle vient se mettre à genoux devant Aurélie, et de sa fine langue rose commence à lui stimuler le clitoris. À chacun de me coups de reins son visage vient s’écraser sur le sexe d’Aurélie violemment, mais cela ne l’arrête pas. Aurélie jouit. On dirait quelle à oublié jusqu’à respirer, mais cela n’arrête pas Jennifer et moi, de limer, de la frapper, de la lécher.
— Pisses. Je souffle dans l’oreille d’Aurélie.— No… Non je… On avait dit toi d’abord. Arrive-t-elle à articuler avec peine.— Pisse-lui dessus. Ton maître de l’ordonne !
Dans un son proche d’un Oooooh, elle se laisse enfin aller, un jet clair se met à couler lentement sur ses cuisses et la montée en pression et mes coups de sexe font que son urine vient à gicler partout. Jennifer, aux premières loges tends la langue pour recueillir ce jet doré et lape comme une petite chatte. Aurélie qui l’observe la tête penchée en avant éclate à son tour dans un orgasme violent. Elle se met presque à pleurer tellement le fonctionnement de son corps, ses réactions lui échappent, elle tombe à genoux, prise de soubresauts elle se laisse emporter par la sensation électrique qui lui balaie le corps… Tellement de fantasmes réalisés en si peu de temps. Je reste debout, une main appuyée sur le mur à la recherche de mon équilibre… Mais mon sexe est toujours dressé, insatisfait, je ne compte plus le nombre de fois ou je me suis retenu de jouir pour faire durer ce moment, j’ai le souffle chaotique, transpire à grosses perles qui coulent dans mon dos et sur mes tempes. Aurélie parvient avec l’aide de Jennifer à se redresser sur ses genoux, et les voilà enfin, les deux l’une contre l’autre à se tenir la taille à tendre leurs deux langues, la bouche grande ouverte et me fixant dans dans les yeux. Je crois que je n’ai pas besoin d’un dessin pour le final. Elles se frottent la pointe de leur langue essayant de toucher mon sexe que j’astique violemment au-dessus de leurs visages. Jennifer enfouie alors son visage entre mes cuisses pour me stimuler les bourses de sa langue, Aurélie elle entreprend de me nettoyer le sexe consciencieusement, et enfin cette sensation ou mes cuisses me lâchent, ou je perds toute forme de coordination musculaire, le dos balayé par un frisson, je tire les cheveux de Jennifer pour lui replacer le visage contre celui d’Aurélie et éclate dans la seconde qui suit, un immense premier fil de sperme vient s’étaler de la langue de Jennifer jusqu’au nez d’Aurélie, puis un deuxième et un troisième, maculant leurs visages, leurs bouches de sperme, je suis épuisé, vidé devant la force de cet orgasme, Aurélie et Jennifer alors s’embrassent passionnément sous mes yeux, échangeant mon sperme et leur salive en grand fils obscènes…
Nous regagnons avec peine, le lit, trempé de sueurs, et nous étalons les trois dans les bras les uns les autres. Nous passons l’heure qui reste à rire et plaisanter. À nous remémorer ce qui nous à plus et comment cet instant restera à jamais dans nos têtes comme un sommet fantasmatique, et que comme tout sommet, il sera amené à être dépassé un jour.
Nous raccompagnons Jennifer chez elle et Aurélie la prend dans ses bras, la serre contre elle…
— Il fallait que je sente encore sa grosse poitrine contre moi, je n’ai pas pu m’en empêcher…— Il m’avait semblé aussi coquine !
Les jours s’écoulent et se ressemblent, et tant mieux, notre activité sexuelle s’est encore renforcée de petits jeux, riche de ces souvenirs qui nous brûlent encore l’esprit…
Puis les mois passent…
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