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La Vie d'Émilie

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
Quelques heures après avoir baisé avec David, j’ai appelé Manon qui semble tout excitée par la situation.
— Alors, tu as couché avec lui ?— Oui.— C’est vrai ???— Bah oui, je viens de te le dire.— Raconte ! c’était comment ?— Et bien… ça me fait chier de l’admettre, mais il fait super bien l’amour. Tu m’aurais vue pendant l’orgasme… Je n’ai jamais autant crié de plaisir.— La légende n’est donc pas infondée. Et sa queue, elle est vraiment comme tes parents la décrivent.— Oui, et très difficile à sucer, mais bref, ce n’est pas ça le sujet.— Tu as raison. Tu lui as parlé de ce qui te traquasse ?— Oui, il veut bien me dire tout ce qui s’est passé avec mes parents. On s’est mis d’accord pour ne rien leur dire sur notre relation sexuelle. Je ne veux pas qu’ils apprennent ce que moi j’ai appris et que je n’aurais pas du savoir !— C’est super ça, tu vas pouvoir connaitre le pourquoi du comment qui fait tant travailler ta petite cervelle. Je veux tout savoir au fur et à mesure qu’il te racontera son histoire avec tes parents ! Avec tous les détails.— Comme d’habitude chérie.
C’était il y a une semaine. J’ai depuis réfléchi à la situation, à savoir quand lui demander de venir me parler de tout ça. Je ne voulais pas paraitre si désespérée en l’appelant dès le lendemain même si j’ai vraiment envie de tirer tout ceci au clair et le plus vite possible. Donc, je lui demande de venir aujourd’hui. Pour ne pas le ‘chauffer’, je me suis habillé simplement d’un jean et d’un t-shirt avec un gilet et mes cheveux en chignon. Je suis en mode détente et non élégante comme la dernière fois.
Lorsqu’il arrive, je lui offre un café et c’est dans ma cuisine que nous commençons notre discussion, la discussion.
— C’est quelque chose de difficile à comprendre. Il aimait me voir baiser sa chère et tendre épouse, mais ça lui faisait du mal. L’excitation mélangée à la jalousie. Une sensation étrange, j’imagine. Vers la fin, cela lui faisait vraiment trop mal de voir sa femme jouir comme une folle sur ma queue… alors, nous avons arrêté.— Donc, vous ne faites plus rien ensemble.— Rien de chez rien.— Depuis quand ?— Longtemps, vraiment très longtemps même. Tu devais avoir cinq ou six ans. On avait commencé dans notre jeunesse. Peu de temps après leurs premières fois. Cela a duré une douzaine d’années.
— Qui a voulu commencer ?— Ta mère.— Et pourquoi ? À part le fait que mon père était sûrement nul au lit.— Non, ton père n’est pas si mauvais que tu peux l’imaginer. C’est ta mère qui avait besoin de plus tu vois. Ce côté humiliation, c’était dans son trip et c’est comme ça qu’elle jouissait le plus et uniquement que dans son lit conjugal, devant son mari. Pour elle cela n’avait rien de réel, juste du fantasme. Malgré son investissement dans la religion, au lit, ta mère était une sacrée salope, tu peux me croire. Mais dans la vie de tous les jours, c’était une femme tout à fait normale.— Donc, ça leur plaisait de créer une situation où mon père n’arrivait pas à la faire jouir et t’appeler à la rescousse…— Émilie... ne la juge pas trop vite, chacun ses fantasmes.— Et c’était le tien aussi de rentrer dans cette humiliation scénarisée ?— Non, du tout… J’aime baiser, mais je ne remettais jamais ma bite deux fois au même endroit. Sauf s’il y a des nouveautés qui me poussent à le refaire. Baiser ta mère, c’était cool la première fois. Les autres fois, c’était pour leur faire plaisir. Moi, ça ne me faisait pas grand-chose, j’ai d’ailleurs manqué pas mal de bons coups pour eux.— Je vois. Tu t’es dévoué comme un super héros.— Je sens que tu me prends de haut Émilie. Mais je peux te comprendre .— Revenons à mes parents. Ma mère, cela lui faisait quoique mon père souffre en la regardant se faire baiser comme une salope ?— Comme je te l’ai dit, il aimait ça tous les deux ! Elle n’aimait pas le voir souffrir, mais aimait le voir aussi prendre son pied en se branlant comme un fou, ses yeux braqués sur sa femme qui gueulait de plaisir sous mes coups de bite. Quand il n’a plus aimé du tout cette situation, qu’il n’y avait plus d’excitation, mais que la jalousie était toujours présente, c’est ta mère qui a demandé qu’on arrête tout.
Depuis, ils ont une sexualité que tu qualifierais de plus conventionnelle.
— Je vois… J’avoue que ça me rassure, mais tu restes quand même un sacré salaud pour moi. Et pour couronner le tout, tu n’as pas hésité à tringler la fille de ton meilleur ami.— Chacun à ses opinions et vois ça à sa manière...
J’ai tout raconté à Manon ce que j’ai pu apprendre sur cette histoire. Je ne vais pas juger leurs sexualités. Oui, je ne comprends pas comment on peut prendre du plaisir en se faisant humilier, mais je suis très mal placée pour porter un jugement alors que je vais régulièrement sucer des bites surprises sortant d’un mur dans un sexe-shop accompagné de ma meilleure amie/confidente/amante. Ce qui peut en choquer plus d’un, donc je n’ai pas mon mot à dire sur les préférences sexuelles de mes parents
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Un mois est passé depuis ce jour. Mes parents organisent un grand repas familial. Une des traditions de ma famille où l’on peut revoir des membres éloignés. Comme par hasard, ma mère me demande de faire les courses. Comme par hasard, c’est David qui doit m’accompagner. Je suis ravi et nous partons avec ma voiture (que j’ai achetée après une jolie levrette sur le capot avec le vendeur, bon souvenir).
Alors que je marche avec mon cadi, il me mate sans vergogne. Je dois avouer que je suis, comme d’habitude assez sexy. Légèrement maquillée, ma chevelure blonde en queue-de-cheval avec une mèche sur mon œil gauche, une jolie petite robe d’été qui met super bien en valeur mon fessier que Manon appelle ‘mon mastodonte’. Pas très subtil, mais vue le gabarit, elle n’a pas tout à fait tort. Et ce n’est pas David qui dira le contraire, car il ne le quitte pas des yeux !
— Arrête de loucher sur mon cul ! Tu n’y auras plus jamais droit alors passes à autre chose.— Qui t’a dit que j’en ai encore envie. Je le regarde, car il est beau. Mais tu es périmé pour moi. Je ne vais pas te baiser une nouvelle fois, cela n’aurait rien d’excitant.— Espèce d’enfoiré...
Je m’éloigne de ce connard avec le cadi, prenant quelques mètres d’avance. Non pas que je veux qu’il me drague pour coucher avec moi. Mais entendre ces propos, ça ne me fait pas plaisir. Je tourne dans les rayons, et une femme me saute au cou pour me faire un furtif baiser sur mes lèvres. C’est Manon.
— Mais ? Que fais-tu là ?— Tu m’as dit que tu devais faire les courses avec lui, alors je voulais voir qui est ce monsieur. Où est-il ?— Il arrive...
David me rejoint et il a la surprise de voir en ma compagnie, une charmante jeune femme.
— David, je te présente Manon, mon amie la plus proche.— Oh, enchantée, Manon.— De même monsieur !
Je lui laisse le cadi et pars devant avec Manon. Nous marchons main dans la main alors j’imagine qu’il commence à comprendre la vraie nature de notre relation. À moins qu’il n’ait pas remarqué ce détail, car trop occupé à mater nos postérieurs. Manon est super attirante aujourd’hui avec son petit haut qui laisse son nombril nu, un minishort en jean qui moule ses fesses et laisse ses belles jambes nues. Ses cheveux châtains lâchés lui arrivant désormais aux épaules (quand nous nous sommes connues, elle les portait en carré) avec toujours sa frange. Bref, un vrai canon.
On fait nos courses, et je vois bien que ma chère Manon est attirée par David et ce dernier ne semble pas insensible à son charme. Mais c’est quand il nous voit ensemble qu’il semble le plus excité. Manon me susurre à l’oreille.
— J’aimerais bien faire un petit plan à trois…— Tu es sérieuse ? Je n’ai pas envie de me retrouver encore avec lui…— Tu es sûr ? Ça ne te t’excite pas de nous imaginer en train de le sucer…— … pfff, c’est bien pour te faire plaisir que je le ferais.
On paye et on va déposer les courses dans la voiture. Je ramène le cadi et les laisse seuls. En les regardant de loin, je peux voir qu’elle le drague ouvertement. Elle ne sera jamais rassasiée de sexe celle-là ! Quand je reviens, elle me regarde avec ce regard qui pétille… Elle veut que ce soit moi qui demande, quelle peste !
— Bon… Il nous reste encore du temps avant d’aller rejoindre ma mère pour le repas… Cela te dirait de passer chez moi… Avec Manon.— J’ai du mal à comprendre l’intérêt de cette petite pause dans notre journée. Dit-il alors qu’il a très bien compris.— Tu verras… Allez, en route.
Il est hors de question que je le supplie, ça, non ! Je prends le volant et les deux ‘invités’ se placent derrière. Je vous laisse imaginer le temps qu’il faut pour que Manon finisse seins nus pour se faire lécher les pointes… À peine deux minutes. Je roule avec ma chatte qui s’humidifie de plus en plus en regardant de temps à autre dans le rétroviseur pour voir ce qu’il se passe derrière. Cette salope a sorti sa bite pour la branler.
Nous arrivons chez moi et dès qu’on entre dans la maison, elle me saute dessus pour m’embrasser goulument. On se dirige dans ma chambre avec David qui se branle en nous suivant. Quand j’atterris sur le lit, ma robe n’est plus qu’un bout de tissu enroulé autour de ma taille, mon soutif vole et mes seins sont mangés par Manon. Puis, c’est au tour d’autre chose d’être mangé…
Elle embouche sa grosse bite avec une facilité déconcertante. Je l’observe en lui léchant les bourses. Comme moi, elle attache ses cheveux châtains en queue-de-cheval, puis se met à le pomper plus sérieusement. Elle arrive à en prendre la moitié. Je suis vraiment impressionnée et j’ai l’impression qu’elle va encore faire mieux en le suçant. Elle avale presque entièrement sa grosse bite et la recrache en prenant une grande inspiration.
— Manon ! Comment tu arrives à en prendre autant ?— C’est la technique ma belle, je t’apprendrais.. »
Sans perdre une seconde, elle plonge dans ses couilles et je me mets à sucer son gland. Le niveau de fellation n’est pas le même… Il nous arrête et nous demande de lui montrer nos talents.Manon me regarde malicieusement. C’est donc à moi de commencer. Ma confidente et amante s’allonge avec les jambes écartées et je me positionne à quatre pattes devant son vagin que je commence à lécher. David prend mes fesses afin de les malaxer fermement puis je sens le bout de sa bite qui frotte mon cul et ma chatte avant de s’enfoncer en moi. Très vite, il me lime et très vite, je crie comme la dernière fois. Il laboure mon vagin distendu par son énorme sexe et Manon adore ça…
« - Hannn ! Ahhhh ! Ahhh ! Hannn ! Ahhhh ! Ahhh ! Ahhh !
— Tu avais raison, il te fait crier fort le con !— Ahhhhh ! Hannn ! Ahhhh ! Hannn !— C’est trop excitant !
Je jouis bruyamment et il se retire.Je n’ai pas pu beaucoup lécher le sexe de Manon durant la pénétration. Je roule sur le côté pour finir près d’elle. Avec son doigt, elle lui fait signe de venir la baiser. Il enfonce d’un seul coup sa bite gluante par mon jus de chatte et la besogne bien plus fort que moi. Ce salaud a bien cerné Manon et son amour pour la baise bestiale. Il lui donne de gros coups de bite et elle crie son bonheur. Grognements, cris, gémissements, toute sa panoplie est sortie quand elle atteint l’orgasme. Moi, je lui lèche les seins et mordille ses tétons tous durs. Elle m’empêche de continuer en tirant sur ma queue-de-cheval. Elle me pousse pour que je descende plus bas. C’est quelque chose que l’on fait souvent lors de nos plans à trois. Je me retrouve à quelques centimètres de son vagin que se fait toujours limer avec rage.
— Quand tu sens que ça vient, tu envoies ton foutre dans sa bouche... dit-elle.
Il lui fait un clin d’œil et continuer de la prendre de cette manière avant de se retirer. J’emprisonne son gland entre mes lèvres et des giclées de sperme chaud remplissent ma bouche comme il se doit. Une fois que j’ai tout le contenu de ses couilles bien au chaud dans ma bouche, je vais embrasser Manon. On s’échange son sperme dont une partie coule le long de notre cou pour finir sa course sur nos seins. David regarde en rigolant. Manon récupère son soutif et le jette sur David qui le rattrape en vol.
— Pour ta collection mon cochon.
Nous sommes sur la route pour rejoindre la maison de mes parents. Manon est partie de son côté et David est à côté de moi, sur la place du mort.
— Je n’aurais jamais cru que tu serais aussi salope.— T’es gentil, mais tes remarques à la con ,tu les gardes pour toi !— Oh, mais je disais ça comme un compliment.— T’es toujours gentil, mais tes compliments tu les gardes pour toi !— Tu as l’air en colère Émilie… C’est parce que tu as cédé à ton désir de coucher encore avec moi ?— Mon désir ? J’ai juste voulu faire plaisir à mon amante la plus précieuse. Cela aurait été une autre personne, il n’y aura jamais eu ce plan à trois.
Je n’ai aucune envie de coucher avec toi. Et je vais te dire une bonne chose :
— Ce n’est pas mon cul qui est périmé, mais ta vieille bite !
Il rigole et nous terminons le trajet en silence.
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