Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 83 J'aime
  • 1 Commentaire

La Vie d'Émilie

Chapitre 4

Divers
Les semaines passent et je parle régulièrement avec David. Enfin, il m’envoie régulièrement des messages pour savoir comment je me porte, comment se passe mon boulot, comment va mon fils… messages auquel je réponds par courtoisie et politesse même si je n’ai aucune envie de converser avec lui.
Il se fait gentil, prévoyant, mais comme ce n’est pas son style, je ne vois pas ce qu’il recherche exactement. Me baiser ? Non, il affirme qu’il ne couche jamais deux fois avec la même femme, sauf s’il y a quelque chose de nouveau. Et outre le plan à trois avec Manon déjà réalisé, il n’y a rien de nouveau que je peux lui donner et que les choses soient claires, je n’ai pas envie de lui donner de nouvelle chose.

Aujourd’hui il m’envoie un message que je trouve très bizarre.
Après ces banalités de comment je vais, il m’invite à prendre un café avec lui.
Je ne vois pas ce qu’il me veut et ça ne me plait pas. Je ne veux pas passer ma journée avec ce type. Mais je suis une femme bien éduquée et je me vois mal refuser sans une vraie excuse.
Prise de cours, je finis par accepter. Le rendez-vous est dans trente minutes…
Je suis déjà habillée et cela m’agace, car je suis séduisante dans ma tenue : une robe rouge collée à ma peau qui moule ma poitrine et mon fessier, mais sans décolleté et qui laisse mes bras nus, des bas noirs. Mes cheveux sont lâchés, mon visage légèrement maquillé.

Je n’ai pas le temps de me changer, mais si j’avais eu un peu plus de temps, je me serais faite moins belle. Mais en réfléchissant bien, avec les fesses que j’ai, je serais toujours attirante.
J’enfile un petit gilet noir à manche longue pour recouvrir mes bras, avec des trous au bout de ces manches afin d’y mettre mes pouces. Les pans de ce gilet ne peuvent pas venir recouvrir mes seins. Une paire de talons rouges qui va avec ma tenue et je suis partie.

J’arrive en vue de la terrasse du café et aux regards des hommes ou femmes que je peux croiser, je plais. J’espère juste que je ne vais pas avoir le droit à une de ses remarques. Quand il me voit venir ver lui, il se lève pour me faire la bise.

— Bonjour, Émilie, comment vas-tu ?

— Bien, et toi ?
— Super, je t’en prie, assied toi.

Je m’installe et je vois à son regard que monsieur me trouve à son goût, mais pour une raison qui m’échappe, je n’ai pas le droit à une remarque déplacée.

— Alors, pourquoi m’inviter ?
— Cela te déplaît ?
— Cela me surprend… On ne sait jamais vraiment parler tous les deux.
— C’est vrai, mais si on y pense, je suis ton parrain. Donc, je me dois de m’intéresser à toi. Chose que je n’ai jamais faite avant.
— Tu te réveilles après m’avoir sautée. Drôle de façon d’attirer ton attention…
— À la base, je ne voulais pas te baiser.
— Je te rappelle que c’est toi qui m’as raccompagné de ta propre initiative, qui m’a embrassée, puis baisée… Je n’ai rien demandé.
— Tu as quand même tenté de mater le matos.
— Sérieux ? Un petit regard et ça t’excite ? Vu le nombre d’hommes qui regardent ma paire de seins ou ma paire de fesses, je me serais fait baiser par la France entière.
— Je pense que tu te donnes une image que tu n’as pas jeune fille.
— Je te demande pardon ?
— Tu as une amante, tu as fait un plan à trois sublime avec moi…
— Et alors ?
— Je me demande juste ce que tu caches d’autre ?
— Je vois. Tu m’as invité pour connaître tous les détails de ma vie sexuelle. Alors, écoute bien… je t’emmerde !
— Pourquoi tant d’agressivité Émilie ? Tu as honte de ce que tu fais dans l’obscurité ?
— Mais tu commences à m’énerver ! Je fais ce que je veux de mon corps. Je n’ai de comptes à rendre à personnes et même si c’était le cas, cette personne n’aurait jamais pu être toi.

Je ne cache pas qui je suis, j’assume mes désirs. Mais je ne vais pas les crier sur tous les toits. Je ne vais pas arriver devant les membres de ma famille en disant que j’ai fait telle chose ce jour-là. Quand je suis la femme que je suis maintenant, je me comporte comme telle, et quand je suis la femme sensuelle ou amoureuse dans un lit, je me comporte de cette manière.
C’est clair pour toi ? Non… Je vais t’expliquer autrement.
Toi, tu as ta bite à la place de ton cerveau. C’est ta bite qui guide ton comportement. Tu te dois de parler cul avec tout le monde, mais les personnes normales ont d’autres choses à penser que le sexe, parler de sexe, regarder le sexe ou je ne sais pas quel autre chose en rapport avec le sexe. Je ne suis pas une de tes poufs qui vont t’exciter en te racontant comment leur dernier amant la fait jouir. Alors, trouve-toi quelqu’un d’autre.

— C’est dommage que tu le prennes de cette manière. Je suis sure qu’on aurait pu avoir plein de choses à se raconter et à faire ensemble.
— D’accord… Je pensais que j’étais périmée pour toi ? Que tu ne chercherais plus à me baiser.
— C’est le cas. Je n’essaie pas de te prendre, je veux juste parler.
— Oui… OK… parler cul… Parler de choses indiscrètes et chaudes qui vont faire monter le monstre… Si je touche, tu penses que je vais trouver quelque chose de dur ? J’ai compris ce que tu veux, ce que tu recherches. Une nana pour te faire bander. Je me trompe ?
— Je ne sais pas… Pourquoi tu penses cela ?
— Arrête de jouer à ce jeu-là… Tu veux apprendre des choses sur ma vie sexuelle. Tu veux que je t’excite. Mais je ne vois pas pourquoi tu recherches cela.
— Et si tu arrêtais de jouer à ce jeu-là toi aussi ?
— Moi ? Arrêter de jouer à ce jeu ? Tu veux dire quoi par là ? Tu retournes la question pour ne pas répondre ?
— Non, je veux juste dire que tu veux trop chipoter. Mais, disons que si tu m’excites avec tes histoires, moi je pourrais t’exciter avec les miennes. Alors, arrêtons de nous prendre la tête avec des questions sans importance.
— C’est là où tu te trompes David. Moi, je n’ai pas besoin de toi pour être excitée.
— Ce n’est pas ce que tu disais quand j’étais en toi. Rigole-t-il.
— Il me semble que je ne disais rien, car j’étais trop occupé à crier… Mais après ça, je suis passé à autre chose. Oui, tu es un sacré bon coup au lit et oui, j’ai eu une superbe jouissance. Mais dès le moment où tu as craché ton sperme, c’était terminé.

Maintenant, je ne pense même pas à ça.
J’ai d’autres moyens pour me faire du bien, pour me sentir chaude. Tu n’es pas le centre du monde. Mais je n’arrive pas à comprendre pourquoi moi. Tu as plein de nanas qui ont fini au bout de ta bite et tu sembles faire une fixette sur moi. Je veux que tu me dises pourquoi moi et pas une autre ?

— La raison est simple… Tu paraissais tellement coincée avant. Tu t’es marié avec ce con qui a fait de la sublime créature que tu es une mal baisée… Et puis vous avez divorcé et la vie a repris son cours.

J’ai vu ton évolution. Petit à petit, ces dernières années, tu étais plus heureuse. On ne se voyait que deux ou trois fois par an, mais c’était flagrant. Tu semblais avoir trouvé le bonheur. Cela te rendait vachement plus sexy. Et voilà que l’on baise ensemble, et que je te saute avec ta confidente sexuelle. Je veux savoir ce qui t’a changé.

— C’est simple, je me suis trouvée. Il n’y a rien d’exceptionnel. Ne compte pas sur moi pour t’exciter avec ma vie. Tu n’auras rien à me donner en échange de toute manière…
— Je t’ai déjà dit que je te raconterais mes histoires…
— Et je t’ai déjà dit que je ne voulais pas les entendre tes histoires.
— Alors, dis-moi ce que tu veux.
— Mais ce n’est pas une question de ce que je veux. Où en fait si… c’est ça. Je veux être tranquille dans ma vie sexuelle, sans toi. Sans te raconter mes histoires de cul pour que tu t’endormes après une bonne branlette.
— Une histoire et je te laisse tranquille.
— (J’ai un rire nerveux), mais tu n’es pas croyable toi ! Tu penses vraiment que je vais tomber dans ton piège ? Croire que c’est toi qui mènes la danse ? Non, ce n’est pas toi qui décides, c’est moi. Et je t’ai dit non.
— Tu es vraiment sure de ce que tu dis Émilie ? Je pourrais te rendre folle. Je pourrais tellement te faire mouiller que tu aurais l’impression d’avoir un torrent dans ta chatte.
— C’est que c’est poétique tout ça… Mais oui mon cher, je suis sure de mes propos.
— Réfléchis bien Émilie… Réfléchie bien…

Sa voix se fait rauque, il est excité le con, ça se voit. Sa main, depuis quelques minutes, est passée sous la table pour se caresser le manche en toute discrétion. Il croit que je ne l’ai pas vu, mais je sais ce que fait ce pervers.

— C’est tout réfléchi. Et tu devrais en faire autant au lieu de t’astiquer comme un vieux cochon sous la table d’une terrasse d’un café.
— Je suis sure que cela t’excite…
— Oh oui, tu as raison… Savoir que tu tripotes ton chibre épais me rend folle de toi.

Je lui dis cela d’une voix sensuelle.

— Grrr.
— Et là, en ce moment, c’est pas un torrent, c’est un fleuve qui dégouline de moi. Lui dis-je ironiquement.
Non, mais sérieusement David, redescend sur terre ! Le sexe avec toi c’était super, on a bien joui, mais c’est fini. Trouve-toi un hobby, tu fais pitié mon pauvre.

— Tu dis cela aujourd’hui, mais tu reviendras me supplier de te défoncer la chatte. Pense à ton avenir Émilie !

— D’accord… Continue de penser que je suis folle de toi en secret. Moi, je m’en fiche. À partir de maintenant, j’arrête de répondre à tes messages. Nous nous verrons qu’a de très rares reprises et cela sera très bien comme ça. Je te conseille de te faire soigner, mais si après tout, tu préfères rester dans cette situation, c’est ton problème… Au revoir David.
— … Salope…

Je me lève et quitte la table. J’entends sa dernière phrase, mais à quoi bon réagir. Je rentre chez moi soulagée. Je vais arrêter de me prendre la tête avec lui, car il est loin d’en valoir la peine. Les cons restent des cons, il n’y a rien à faire… Moi, je veux vivre ma vie avec ceux qui le méritent vraiment.

********************************************************************

Je rentre chez moi et je me dirige dans ma chambre. Sans réfléchir, je me jette sur le lit, comme épuisée par cette journée.
Franchement, cette histoire avec David m’a vraiment fait perdre du temps et de l’énergie. Bon, j’ai quand même bien pris mon pied quand son pieu m’a possédée… C’est déjà ça. J’ai encore ce moment dans la tête et cela m’agace. J’ai envie de passer à autre chose…

— Ah, je sais ! Je vais me masturber, ça va me changer les idées !

Je retire mon petit gilet, remonte tant bien que mal ma robe pour dévoiler mon string que je repousse sur le côté et ma minette toute rose apparait.
Je me redresse bien en replaçant mon oreiller de manière à avoir une bonne vue sur mon abricot. Je prends mes cheveux blonds pour les passer autour de mon cou et les faire reposer sur mon gros sein droit, dans la robe rouge que je porte toujours en haut. Je suis fin prête et écarte les jambes de manière optimale.

Mes yeux se ferment, ma main gauche vient se poser délicatement sur mon sein, non recouvert de ma chevelure blonde, et le malaxe en douceur à travers ma robe et mon soutien-gorge. Mon autre main s’aventure sur mon ventre, le caresse sensuellement puis arrive sur mon sexe. Les bouts de mes doigts viennent jouer avec mes poils blonds puis ils arrivent enfin à destination.

Je commence des mouvements circulaires autour de mes lèvres intimes qui commencent à s’ouvrir doucement. Je lèche mes doigts afin de les humidifier et je retourne faire la même chose. Mon excitation est en train de monter crescendo. Je remonte mes doigts au niveau de mon clitoris qui a bien gonflé depuis le début de mon jeu solitaire.

Je le caresse ou plutôt l’effleure du bout d’un seul doigt puis de l’ongle de ce dernier. Cela a pour effet de me faire frissonner de la tête au pied. Je fais ensuite entrer un puis deux doigts dans mon vagin et je réalise de petits mouvements. Doucement, je commence à me doigter avec plus de rythme. Ma petite chatte commence à mouiller avec plus d’intensité, les petits bruits provenant de ma respiration rapide sont devenus des halètements puis des gémissements. Je sens que mon orgasme commence à s’approcher. Je me tourne sur le côté et lâche mon sein de ma main gauche pour aller, très délicatement, m’enfoncer un doigt dans les fesses. Ce petit détail à son effet, car une dizaine de secondes plus tard, je finis par jouir dans un petit ‘hann’.

Je me relève après avoir retiré mes doigts, je les suçote, puis je réajuste ma tenue.

— Ce n’est pas assez. Il m’en faut plus... J’ai besoin de baiser.

Je prends mon téléphone pour envoyer un message.
À David, pour accepter son offre contre une grosse baise ? Non, sûrement pas !
C’est évidemment à Manon que j’envoie un message.
[SMS,Manon ]> J’ai envie de baiser !< Hi, hi. Qu’est-ce qui t’arrive ?> J’ai parlé avec David. Il m’a soûlé et je me suis fait jouir pour penser à autre chose et il m’en faut plus.< Je termine dans une heure trente. Excite-toi en m’attendant.> Je vais aller au sexe-shop sucer quelques bites. Rejoins-moi quand tu termines.< Ça marche ma puce.

Je prends mes clés de voiture et file dedans pour me conduire dans cet endroit bien particulier, en pensant que ça exciterait sûrement David si je lui racontais...
Diffuse en direct !
Regarder son live