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La Vie d'Émilie

Chapitre 5

Lesbienne
Je rentre et je vais voir le gérant qui se trouve au comptoir. Un homme dans la cinquantaine. Il est propre sur lui et ne fait pas du tout vieux pervers.
— Coucou.— Salut Émilie. Tu ne travailles pas aujourd’hui ?— Non, pas aujourd’hui.— Tu es prof dans un lycée, c’est ça ?— Oui, pourquoi ?— Il y a souvent des élèves du lycée voir de la fac, qui sont majeurs, qui viennent ici vers ses horaires. Tu devrais faire attention.— C’est vrai...— A moins que tu ne veuilles coucher avec un de tes élèves. Rigole-t-il.— Je l’ai déjà fait.— Comment ? Me répond-il surpris.— Longue histoire. Je ne savais même pas que c’était un élève, ça c’est fait sur un site de plan cul. Et il était majeur, ne t’inquiète pas.— Je vois...— Mais je préférerais ne pas avoir d’autres histoires comme cela. Du moins, pas avec un garçon. Dis-moi, le gloryhole est libre ?— Il y en a un seul d’ouvert, il n’y a pas beaucoup d’affluence pour cette pratique à cette heure-là. Et il est occupé par une jeune fille d’ailleurs. Tout juste la majorité.— Si ça se trouve, je l’ai dans ma classe. Rigolé-je.— Elle avait réservé l’heure et cela se termine dans une dizaine de minutes. L’heure suivante n’est pas réservée.— Je te la réservé alors.— Parfait, c’est noté.
Je vais à l’entrée du seul gloryhole ouvert en attendant qu’il devienne libre pour moi. Je réfléchis en même temps à ce que m’a dit le gérant. Des élèves viennent souvent ce jour-là vers ses horaires. Nous sommes vendredi vers quinze heures. Et il est vrai que les Terminales de mon lycée ont souvent des trous ces jours-ci et à ces horaires. Je sais donc qu’il faudrait mieux éviter cette tranche horaire à l’avenir. Je suis donc à l’entrée des femmes, c’est-à-dire à l’entrée de la petite pièce où nous devons nous enfermer pour sucer les différents sexes masculins qui se succèdent. L’entrée des hommes se trouve de l’autre côté et ils ne peuvent pas passer par ici pour justement, ne pas casser la magie. En effet, le but est de ne pas savoir qui on suce, et par qui on est sucé. Mais généralement, les hommes font en sorte de savoir. J’entends alors une discussion et je me décale pour voir les hommes au bout du couloir de sortie.
L’un deux à encore son sexe de quatorze centimètres, encore bander plein de salive sortie. Il le range en parlant à son ami. Ils ont entre cinquante-cinq et soixante ans et représentent vraiment les vieux pervers, pas propre sur eux.
— Elle avait un sacré coup de langue la petite !— Ah oui. Pour une gamine de dix-huit, elle suçait super bien. Elle m’a bien vidé.— Une bonne petite salope en devenir.— Ah ah !
Ces porcs me dégoutent. On ne peut pas vivre une sexualité délurée sans être prise pour une salope. Alors que pour eux, c’est limite normal de fait ce genre de chose. Le fait que cette jeune femme vient de sucer et faire jouir ses deux cons me donne un petit frisson de dégoût. Et cette jeune fille, justement, ouvre la porte quelques minutes plus tard. On se retrouve nez à nez.
— Lorine !?— Ma... Madame !
La surprise est aussi grande de mon côté comme du sien. Cette jeune fille, je la connais. Lorine a été mon élève en seconde, première et terminale. Et quelle élève ! Incroyablement intelligente, j’adorais cette fille. Et ça a été une déception de l’avoir vue partir à la fac cette année. En plus de cela, c’est une magnifique jeune femme. Environ un mètre soixante-dix, corps fin mais musclé avec un ventre tonique, jambe fine, cul rebondi et petite poitrine. Elle est très sportive et cela se voit à son corps que pas mal d’hommes rêvent de secouer et que pas mal de femmes veulent lui voler. Son visage est celui d’un ange : un petit nez, de belles lèvres, des yeux azur, des cheveux blonds mi longs et lisses (et qu’elle a attachés en queue-de-cheval sur le côté et qui forment une jolie vague). Elle est habillée d’un jean bleu et d’un petit pull gris. Une goutte de sperme est d’ailleurs encore présente au coin de ses lèvres.
— Il t’en reste un peu ici...Elle récupère cette goutte de son doigt avant de la prendre en bouche, morte de honte.
— Lorine. Tu n’es pas un peu jeune pour faire cela ?Elle commence à sangloter.— Je... s’il vous plaît, n’appelez pas mes parents.— Non, ne t’inquiète pas. Tu es majeure et venue ici de ton plein gré. Je n’ai aucune raison de faire cela. Mais je suis surprise de te trouver là.—... — Toi aussi j’imagine ?— Un peu... On n’imagine pas cela de sa prof littéraire.— C’est sûr, ha ha. Dis-moi, pourquoi ne pas fréquenter des garçons de ton âge. Tu as le temps pour... ce genre de chose.— Je ne sais pas... Les mecs de mon âge ne m’ont pas apporté grand-chose. Et vous, pourquoi vous êtes pas... mariée ?— Je l’ai été. Et ce fut un échec. Ma sexualité avait été bridée. Voilà ce qui explique tout cela.
Elle tourne la tête et je vois bien qu’elle commence à paniquer. Je vois qu’un garçon qui me dit quelque chose est entré. Je pousse Lorine dans la cabine et nous enferme.
— Hey, tu vas bien ? C’est qui ce garçon ?— C’est mon ex. S’il me voit ici, il va me faire passer pour la pire des putes.— Calme-toi... Tout va bien se passer.
Au bout de quelques secondes, je vois une queue d’environ seize centimètres, assez fine, rentrer dans le trou. Lorine semble reconnaître ce pénis. Je viens lui murmurer à l’oreille.
— Ton ex ?Elle me fait oui de la tête.
— Je m’en occupe.
Je me mets à genoux et prends d’entrée cette bite en bouche. Je la masturbe très vite et le pompe avec beaucoup d’intensité. Ce jeune homme grogne puis me gicle à la bouche comme un puceau qui se fait sucer pour la première fois. Je l’entends râler de l’autre côté. Elle aurait pu y aller en douceur cette conne.... Il est vrai qu’à la base, le but est de prendre du plaisir et non pas de faire décharger l’homme en quinze secondes. Mais mon but n’était pas de faire prendre son pied à ce petit merdeux durant trois quarts d’heure.
— Woah... Vous êtes douée. Moi, il m’a fallu plus d’une heure pour deux pénis.— L’expérience mon enfant, l’expérience. Dis-je en souriant avant de rajouter : mais d’après ce que j’ai entendu des hommes qui sont partis quand j’arrivais, tu te débrouilles pas mal aussi.
Lorine est assez gênée de ce que je viens de lui dire. Ou du fait que nous sommes toutes les deux dans un gloryhole ? Ou du fait qu’elle vient de me regarder sucer son ex ? Difficile à savoir. De mon côté, il n’y a aucune gêne. Depuis que je connais Manon, j’ai vraiment beaucoup évolué.
— Je pense que je vais y aller...— Je te conseille de rester encore un peu. Je ne pense pas que ton ex a été satisfait de son éjaculation précoce. Je parie sur le fait qu’il va aller voir ailleurs pour finir sur une bonne note.— Tu as peut-être raison...— Ne reste pas comme ça. Rejoins-moi.
Lorine, après une petite pointe d’hésitation, vient se mettre à genoux à côté de moi, en face du trou.
— La fac, ça se passe comment ?— Oh, plutôt bien.— C’est super ça. Tu as beaucoup de capacité. Tu iras loin.— Merci...— Bon, j’aimerais avoir un peu de précision sur ta présence ici. Je ne te juge pas mais quand on est jeune, c’est assez risqué de faire ça.— Mes anciennes expériences n’ont pas abouti à grand-chose de positif. J’avais envie d’avoir une vie sexuelle qui vaut le coup. Les vieux que j’ai... enfin voilà... ça m’a excité... même si ce sont des porcs...— Je te comprends. Mais je te conseille de ne pas renoncer aux garçons. Prends ton pied mais ne le fais pas pour une revanche envers tes ex.
Alors que je viens de finir ma phrase, un bite rente dans le trou et se place entre nos deux visages, étonnés sur le coup. Parties dans notre discussion, on avait oublié qu’on se trouvait dans un gloryhole. On se regarde intriguées avant de lancer un petit rire. Ce sexe mesure une quinzaine de centimètres, le fourreau est assez fin sans être ridicule mais son gland est de taille un peu supérieure à la normale.
— On dirait un champignon. Rigole doucement Lorine.— Si tu veux, on peut se le partager ?— Heu... Oui, je veux bien.
Cette jeunette commence à m’exciter et je me dis que si j’arrive à la garder jusqu’à l’arrivée de Manon, on pourrait vivre quelque chose d’assez fou. Mais pour cela, il faut qu’elle soit assez ouverte d’esprit. Bref, retour au direct où j’embrasse le sexe qui remue doucement. Lorine en fait de même et nos petites bouches lustrent le fourreau avant que je ne m’aventure plus haut, et avec la langue. Je donne de sacrés coups de langue sur le pénis et la base du gland et Lorine commence à me suivre et à sortir la sienne. Mais lorsque nos deux langues s’effleurent, elle retire la sienne d’un coup comme par réflexe, avant de repartir lécher le bas de sa queue. Je donne des coups de langue sur son gland avant de l’emboucher et de le pomper avec plus d’entrain. Je garde un œil sur Lorine qui semble frustrée de ne pas avoir de vrai rôle dans cette fellation.
Je remarque que notre pénis mystère ne nous a pas donné ses couilles et que mon ancienne élève est cantonnée à de simples léchouilles. J’arrête donc de sucer et tourne la queue vers Lorine pour lui faire comprendre qu’elle peut se régaler. Mais de mon côté, je ne vais pas laisser ce monsieur nous priver de ses bourses très longtemps. Je toque au mur avant de me lancer.
— Excusez-moi, je peux avoir vos testicules s’il vous plaît ?
Il remue son sexe de gauche à droite comme pour me dire non. Non mais il se prend pour qui lui ?
— En fait, ce n’était pas une question. Donne-les-moi... Allez ! Sors tes burnes ! — Vous êtes sexy quand vous haussez le ton. Me dit Lorine.— Merci.
Enfin, il nous sort ses boules. Et encore une fois, nous avons le droit à quelque chose de difforme. La peau qui porte les deux couilles descend d’au moins dix centimètres et on ne peut pas dire que c’est en rapport avec ce qu’elle transporte. En effet, le fond qui compose les boules est tout petit.
— Elle est rigolote. Dit Lorine.— Oui, j’aime bien moi quand ça pendouille.— Moui... C’est pas mal aussi.
Elle sort son téléphone et immortalise le moment. Pour le souvenir me dit-elle par la suite. Je prends le gland et l’embrasse en regardant son objectif et elle me prend en photo avant de me rejoindre pour nous prendre en selfie, nos deux bouches baisant ce gland.
Je pars déguster ses testicules et Lorine commence sa fellation à elle. Après des coups de langue pour titiller le bout du champignon, elle le prend en bouche et le suce. ‘slurp, slurp, slurp, slurp’. Occupée sur ce que je fais, mes yeux sont fermés pour optimiser ma concentration. Au bout d’un moment, je sens des petites gouttes me tomber sur le front. Je me dis alors que le monsieur vient d’éjaculer et ouvre les yeux. Mais non, il s’agit de la salive de mon ancienne élève. Je la regarde faire aller et venir sa petite bouche sur cette queue, de manière très douce et sensuelle. Ses mains sont sagement posées sur ses cuisses, ses yeux fermés. Et elle salive énormément. Je me rappelle alors de la vision que j’avais eue du vieux qui avait une queue raide et dégoulinante de bave. Je remonte ma main pour caresser son dos et elle semble apprécier le geste car elle gémit en continuant son action.
Quatre coups retentissent de la part du sucé et il rince la langue de Lorine qui, après avoir tout reçu, laisse la queue repartir. Elle me regarde en avalant.
— C’était cool...— Je suis ravie que ça t’ait plu. Si tu veux, tu peux rester avec moi. J’ai quelque chose de prévu avec quelqu’un et je suis sûre que ta présence ne la dérangera pas.
Quelques minutes plus tard, nous sommes dans une chambre. Après avoir expliqué la situation, Lorine a eu l’excitation et l’intrigue d’accepter. Elle a retiré ses vêtements pour garder des dessous Calvin Klein qui rend très bien avec son corps.
— Tu t’y connais un peu en porno ? Quand on baise, on en met un en bruit de fond.— Hum, je connais un peu, oui.— Tu veux quelque chose de particulier ?— Hmm... Mia Khalifa, une Orientale à gros seins. C’est la seule chose que je connais vraiment.— Je vais aller voir ça. Bouge pas.
Je déambule dans les allées des films pornos à visionner dans les chambres quand je vois que Manon est arrivée et me rejoint. Comme à son habitude, ma jolie amante est bien attirante dans sa petite robe d’été.
— Coucou ma belle prof. Me dit-elle en m’embrassant.— Coucou, je suis contente que tu sois venue aussi vite.— T’avais l’air d’avoir une sacrée envie ma salope, alors dès que l’heure est arrivée, j’ai balancé les petits à leurs parents et je suis sauté dans ma voiture pour venir ici.— C’est pour ça qu’on est faite pour s’entendre, ha ha !— Ha ha ! Alors, tu cherches un film pour notre baise ?— Oui, tu connais Mia khala quelque chose. Une beurette à gros seins ?— Oui, Mia Khalifa, je vois de qui il s’agit, ça doit être dans l’autre rayon.
Je la suis et elle me tend un DVD avec une fille orientale avec une grosse poitrine en plastique et le nom que m’a donné Lorine. Tiens, il faut que j’informe Manon à propos de ça.
— Mais dis-moi ? Toi qui n’y connais presque rien en X, comment tu m’as sorti cette actrice ? — Et bah justement, il y a des trucs que je dois te dire...— C’est-à-dire ?— Quand j’ai fait mon petit tour dans le gloryhole, j’ai fait une rencontre assez surprenante.— Une grosse bite ?— Non.— Une énorme bite ?— Non.— Une petite bite ?— Non.— Une micro bite ?!— Non, c’est une femme.— Une femme avec une bite ?— Mais non ! Hi hi. Arrête avec t’es bites voyons. Il s’agit de la fille qui était là avant moi. Il s’agit d’une de mes anciennes élèves, petite blonde littéraire, 19 ans et toute mignonne. Un peu moi à son âge. — Et bah, sacrée surprise en effet. Et donc, tu lui as donné un petit cours de coup de langue ?— Non, elle se débrouillait déjà très bien.— Donc, tu l’as vue sucer ?!— Oui, on a partagé le gloryhole pour une bite, et ce fut très agréable.— Ton petit sourire accompagné de ton regard malicieux me fait dire que ça ne s’arrête pas là...— Et tu as bien raison. Elle nous attend dans la chambre. C’est elle qui m’a donné le nom de l’actrice.— Et bah, quand t’es en manque, tu nous fais des merveilles !— Ha ha, faut croire que oui ! Bon, par contre, c’est sa première fois avec des femmes donc on y va mollo.— Pas de problèmes ma puce, tu sais bien que je sais dépucelait les petites blondes littéraires.— Oh que oui, t’es la meilleure pour cela.
On se dirige alors dans la chambre bien habituée à nos ébats. On y rentre et Manon rencontre Lorine, qui nous attendait sagement sur le lit, toujours en sous-vêtements Calvin Klein. Elle est un peu gênée mais on voit distinctement une pointe d’excitation dans ses yeux. Il faut dire qu’elle va vivre sa première expérience lesbienne. Et cela en couchant avec deux femmes, ce qui est excitant et flippant ! Manon se place à genoux en face d’elle.
— Coucou, moi c’est Manon !— Salut... Lorine.— Alors, Émilie m’a dit que ça va être ta première fois avec ses nanas. Stressés ?— Un peu...— C’est normal. Mais ça va bien se passer. Tu la trouves sexy ton ancienne prof ?— Oui, elle est... beaucoup. Répond-elle gêné avant de rajouter : Et vous aussi.— Merci ma belle, mais tutoie-moi, ce sera mieux. Bon, tu verras que dans notre sexualité, je suis la dominatrice et Émilie est la soumise. Ça peut changer mais c’est souvent comme ça. Donc tu pourras expérimenter le fait d’être ma soumise ou le fait de dominer ton ancienne prof. Ou les deux, c’est toi qui vois ma puce. Pour commencer, tu vas nous regarder un peu, pour voir un peu comment ça se passe et après, on te fera intervenir. Ça te va ?— Oui, c’est bien comme ça.— Parfait. Viens-là Émilie !
Je la rejoins et on se met rapidement nue. Et on s’embrasse goulûment, sous le regard excité de notre novice. Manon me dévore ensuite mes grosses poires qui tombent sur mon buste. Elle me pousse ensuite et alors que je me retrouve allongé, elle vient me bouffer la chatte d’une manière franche. Sa langue passe partout et très vite avant d’emprisonner mon clitoris pour lui faire la misère. J’étais trempée depuis bien longtemps alors je jouis devant mon ancienne élève en même pas une minute !
— Alors, t’as trouvée ça comment ? Demande Manon.— Impressionnant. Répond Lorine.— Tu veux tenter ?— Oui. Répond-elle sans une seule seconde d’hésitation.— Viens, on va le faire en 69 et je te guiderais pour faire jouir ta prof à ton tour. Mais avant, mets-toi plus à l’aise.
C’est alors que Lorine commence à retirer les deux vêtements qui lui restaient. Elle se retrouve toute nue et nous contemplons ce petit corps bien tonique et sportif.
— Tu as de jolis petits nichons. Dit Manon.— Merci.
Lorine vient se placer sur moi, me mettant sa petite minette toute rasée sous mon nez. Autant vous dire que je n’ai qu’une envie ! Plonger ma langue dedans ! Une fois bien installée, je commence à la lécher. Des petits gémissements ‘ouh...’ se font entendre de sa part. Manon commence à lui montrer comment me lécher à son tour. Deux langues se retrouvent sur mon abricot. Il n’est pas difficile de savoir laquelle est experte et laquelle n’y connaît rien. Et la petite novice passe après chaque coup de langue de Manon, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle apprend vite ! J’avais déjà pu le constater à l’époque où j’étais sa prof. Cette faculté d’apprendre et d’être une très bonne élève vaut aussi pour le sexe apparemment ! Donc en plus de sucer une bite comme une reine, elle va savoir bouffer une chatte comme une princesse ! Cette fille sera un sacré bon coup !
Bref, Manon ne met pas longtemps pour retirer sa langue et la laisser seule au charbon, et je pense qu’elle doit bien être satisfaite. Car on est bien toutes les deux en train de se bouffer la moule en se faisant jouir en quasi simultanéité.
On se défait et je viens tendrement l’embrasser. Elle commence à être plus à l’aise et je vois dans ses yeux qu’elle prend beaucoup de plaisir à cette partie de sexe.
— Alors Lorine. Tu veux tester quoi ? Être ma soumise ou être sa maîtresse ? — Je dirais, être sa maîtresse.— J’en étais sûre. C’est super excitant comme scénario !— C’est ce que j’espérais en plus.— Alors mets-toi à quatre pattes !
Je m’exécute et attendant qu’elles soient prêtent pour la suite.
— Tu l’aimes son boule ? — Oui, il est magnifique.— Je ne vais pas te contredire, ah ah ! Bon, tu veux la baiser avec combien de centimètres ?— Heu, je ne sais pas...— J’ai toutes les tailles de gode-ceintures. De tout petit à très très gros. Pour l’info, Émilie préfère les petites bites mais moi je préfère la baiser avec des grosses ! Alors tu prends quoi ?— Heu... dit-elle en me regardant alors que j’avais tourné la tête vers elle.— Prends ce que tu veux. Lui dis-je.— Alors gros.— 20 ou 25.— (elle me regarde de nouveau)— Ce que tu veux. Lui dis-je une nouvelle fois.— Alors, 25.— J’aime cette petite. Rigole Manon.
25 centimètres, ce modèle me fait un peu mal parfois, il est très gros. Mais bon, je suis mouillé d’une façon vraiment incroyable. Je suis littéralement en train de couler au point de me dessécher. Donc ça devrait passer. Mais au moins, elle n’a pas choisi le ‘très très gros’. Je connais ces modèles pour les utiliser sur Manon, c’est du 30 à 40 centimètres. Je ne sais pas où elle a trouvé ces trucs, mais ils sont monstrueux et jamais je ne pourrais les encaisser.
Bref, je suis en position levrette, bien entendu, et Lorine vient se placer derrière moi avec Manon. L’objet bien accroché à la place de sa petite chatte, elle est prête pour baiser une femme pour la première fois ! Manon est de côté et elle l’aide à la rentrer en moi. Un gros ‘Ah’ se fait entendre de ma bouche. Puis, j’entends que Manon vient derrière ma baiseuse pour bien l’aider avec les mouvements.
— Bon, mets tes mains sur ses fesses ou ses hanches. Je vais accompagner tes mouvements avec mon bassin et tu auras juste à suivre et à prendre le rythme.— OK.
Les va-et-vient commencent, elle y va fort d’entrée et Lorine semble perdue au début, mais elle reprend vite contenance. Elle me prend bien les hanches puis me malaxe les fesses. J’entends que Manon embrasse sa peau, puis sa bouche. Les mouvements s’accélèrent encore et je commence à bien gémir ‘Han ! Han ! Han ! Han !’.
— Tu l’entends couiner ? — Oui !— Elle aime ça la salope ! Maintenant :‘CLAP’ !— HAA !— A toi !— ‘clap’— Han !— Plus fort !— CLAP !— AHHH !— Oui, continue !
Manon et Lorine me mettent alors des claques sur les fesses, à tour de rôle. Je sens mon gros cul chauffer bien vite. Puis, je sens uniquement les fessées de Lorine, alors que celles de Manon, je les entends mais je ne les sens pas sur mes fesses. Baisé à fond et proche d’un nouvel orgasme, j’ai du mal à réfléchir. Mais je finis par comprendre ce qu’il se passe car après chaque claque de Manon, j’entends Lorine gémir avant qu’elle ne me mette sa fessée. Manon se fait alors un malin plaisir à lui claquer son sublime petit boule pendant qu’elle claque le mien.
— Maintenant, tire-lui les cheveux !— Comment ?— Tu les enroules dans ta main et tu tires. Tu verras, c’est facile.
Je prends mes cheveux qui longeaient mon cou pour les balancer sur mon dos. Elle enroule donc ma longue chevelure blonde et lisse autour de sa petite main et me les tire assez gentiment. Mais Manon vient les tirer bien plus fort pour lui montrer comment bien me soumettre ! Et là, c’est reparti pour de gros coups de bite en plastique dans ma chatte pour me faire jouir.
— Han ! Han ! Han ! Hannnn ! Ouiiiiiii ! Hannnnn !
Les va-et-vient s’arrêtent, à l’initiative de Manon. Elle fouille dans son sac et nous sort un collier pour chien avec une laisse. La garce, elle va y aller jusqu’au bout ! Elle me l’attache autour du cou puis donne le bout de la laisse à Lorine.
— Tu veux la baiser comme une chienne ? — Oui... répond-elle excitée.— Alors dis-le.— Je veux baiser mon ancienne prof comme une chienne ! Dit-elle à bout de souffle.— Alors fais-le !
Lorine recommence ses coups de boutoir, sans l’aide de Manon et tire sur la laisse. Je me fais alors bien défoncer par mon ancienne élève qui gémit fort. Cela doit follement l’exciter. Mais l’intensité ne durera pas longtemps. Après tout ce qu’il vient de se passer, elle est bien fatiguée mais surtout, je pense qu’elle est trop chaude et qu’elle a besoin de jouir elle aussi !
Elle finit par se retirer, et souffle un grand coup. Je me retourne alors qu’elle a toujours la laisse dans les mains et je la vois avec le teint rouge et les cheveux tous mouillés de sueur. Elle est à peu près dans le même état que moi alors que c’est moi la baisée et elle la baiseuse. La domination, c’est du sport ! Je viens tendrement l’embrasser.
— Tu t’es admirablement bien débrouillée. — Merci.
Je commence à lui lécher ses beaux petits seins et elle couine érotiquement. Je me régale puis je remonte pour mettre mes grosses poires dans la bouche et elle me les tète doucement. Je passe ma main sur son sexe et je le sens brûlant.
— Tu veux que je te baise un peu ? — Oui... Mais avec une autre taille. Celui-là, il me fait un peu peur pour moi.— Pas de soucis. 15 centimètres sa te va ?— Oui.
Manon me passe le gode-ceinture et Lorine s’allonge pour un missionnaire. Je viens alors doucement la pénétrer. Tout se passe très vite car elle est vraiment à bout alors cela ne servirait à rien de la faire languir davantage. Dès les premiers va-et-vient, j’entends sa chatte faire ‘floc, floc’ et sa bouche faire ‘han... Hannn... Hannn...’ les yeux fermés. Je me place mieux sur elle pour continuer de lui faire l’amour. C’est-à-dire que je me penche au-dessus d’elle, avec mes bras tendus à côté de sa tête. Elle sent mes cheveux blonds caresser son visage et elle rouvre ses yeux bleus. Elle pose une main sur mon bras, pour se tenir, et elle passe l’autre dans mes cheveux pour les faire valser entre ses doigts. Mes gros seins remuent en cercle sur mon buste et cela l’impressionne car elle ne les quitte pas des yeux. Elle relève ensuite son regard et je peux voir dans ses yeux océan, une magnifique lueur. Celle que voit Manon à chaque fois qu’elle me baise comme cela.
Je décide alors de la finir comme me finis Manon.
— Vas-y, jouis ma puce, jouis.
Sa tête remue légèrement, ses yeux se ferment, mi-clos, et elle finit par être transportée par son orgasme, le souffle coupé. Qu’elle est belle quand elle jouit, trop craquante ! Je la laisse reprendre ses esprits et quand elle revient à elle, je l’embrasse doucement. Je me retire de son entre et elle se relève nous faire face, avec une petite gêne et une grosse satisfaction sexuelle.
— On va te laisser rentrer chez toi maintenant. Si tu veux revenir t’amuser avec nous, n’hésite surtout pas. Lui dis-je.
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