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La Vie d'Émilie

Chapitre 7

Hétéro
Les grandes vacances se sont terminées et nous voici repartis pour une nouvelle année ! Mon fils vient de rentrer en CM1 et quant à moi, j’ai de nouvelles classes au lycée. Je vois mon fils grandir bien plus vite que je le voudrais, moi qui voudrais garder mon petit ange encore quelque année avant d’avoir tous les problèmes de puberté, crise d’adolescent et j’en passe… Bonne nouvelle dans cette histoire, c’est Manon qui a récupéré une classe de CM1 et celle de mon fils. Nous allons donc pouvoir recommencer notre petit jeu dans le dos des autres parents comme nous le faisions lors de son CE1. L’année de notre rencontre.
Les vacances ont été particulièrement bonnes. Un mois avec mon fils où nous sommes partis en Bretagne pendant deux semaines puis quelques jours dans le sud de la France, dans une maison appartenant à la famille de Manon qui nous l’a prêtée pendant que ses parents étaient l’étranger.
La suite fut en compagnie de cette dernière quand mon fils Gaétan est parti finir ses vacances chez son père. Notre programme fut très simple : du sexe, du sexe et encore du sexe. Elle m’a même appris une nouvelle position : le Squat Fuck. Pour la réaliser, il faut chevaucher son partenaire, relever ses jambes tenir ses pieds et bien se tenir droite. La position est très physique, car elle travaille les cuisses et les fesses alors on ne peut pas la tenir sur la durée. Mais cela n’a pas vraiment d’importance, car l’homme ne résiste pas longtemps avec une telle pénétration. Manon m’a fait une démo avec un mec trouvé au hasard dans le sexe-shop et au bout de trois minutes, il giclait dans sa chatte. Vraiment super impressionnant. D’un autre côté, je n’ai pas reçu de nouvelles de David, ce qui est grandement positif dans ma vie.
Bref, que d’aventures! Mais là, finie la détente et bonjour le ménage. Mon fils est sous ma garde cette semaine et il est au sport en ce mercredi après-midi. Occasion idéale pour me mettre au boulot. Habillée d’une simple nuisette blanche, j’attache mes cheveux blonds avec une grosse pince assortie avec mon seul vêtement. Comme cela ma chevelure ne valse plus dans mon dos. Je commence alors mon ménage : aspirateur, poussière sur les meubles… Je suis sur ma lancée et…
Drriinnnng !!!
Par la fenêtre, je regarde qui vient de sonner et j’ai la surprise de voir Bernard… Une visite très étrange, car ça fait des années que je ne l’ai pas vu.Je déclenche l’ouverture du portail et je lui fais signe d’entrer. C’est un homme d’un mètre quatre-vingt-dix habillé d’un jean délavé et d’un simple t-shirt blanc moulant ses larges épaules et ses pectoraux. Il traverse les quelques mètres qui séparent mon portail de ma porte d’entrée. Son crâne chauve brille avec le soleil.
Bernard, c’est le frère de Pierre, mon ex-mari. Oui, il s’agit de mon ex-beau-frère et le voir venir chez moi, c’est assez surprenant. Mais pas que !
Ce monsieur est le ‘raté’ de la famille. Il a douze ans de plus que nous (mon ex-mari et moi-même ayant le même âge), pas religieux, pas de droite, dans les métiers manuels et pas son propre ‘patron’ plein de thunes. Exactement tout ce que ses parents n’aiment pas. Sans oublier son célibat et ses nombreuses conquêtes.
Le fait qu’il ne veuillent pas respecter la religion chrétienne, avoir une ‘meilleure’ vie professionnelle, se marier, avoir des enfants dérange énormément ses parents. Qui sont de vrais cons au passage… De ce fait, leurs relations n’ont jamais été bonnes et on le voyait vraiment que très rarement.
La dernière fois que je l’ai vu, c’était il y a quatre ou cinq ans. Il habite d’ailleurs à Montpellier. Bien loin de chez nous… On ne sait jamais vraiment parler alors venir me voir chez moi me fait drôle. Sans oublier que ce n’est pas le genre d’homme qui m’intéresse pour une discussion.
Je ne le juge pas sur ses opinions religieuses, politiques ou sur son métier. Il fait ce qu’il veut de sa vie du moment que ça lui plait. Mais il n’est pas vraiment du genre littéraire, ou à aimer les discussions philosophiques. Ce qui est mon truc. Ceci peut expliquer le fait qu’on ne s’était jamais vraiment parlé. Bref, il aussi un peu beauf …
— Émilie ! dit-il en me faisant la bise.— Bernard, quelle surprise. Je ne m’attendais pas à te revoir un jour. Entre, je t’en prie.— Merci. Moi aussi, mais je suis de passage pour quelques jours. Je me suis dit que je pourrais passer rendre visite à mon ex-belle-sœur et à mon neveu.— C’est gentil, mais il est au sport.— Ah, le foot j’espère !— Oui…— Ça, c’est bon pour un gars.— Tu m’en diras tant…
Le foot peut être un sport magnifique avec plein d’émotions comme il peut être le créateur de beaufs… Et Bernard, c’est le genre d’homme à boire des bières devant les matchs de Lyon ou Saint-Étienne…
— Tu as bien changé Émilie.— Ah bon, tu n’es pas le premier à m’en faire la remarque.— Ça ne m’étonne pas. Déjà, tu t’habilles plus sexy qu’avant…— OOooohhh, non, ça… , c’est parce que je faisais le ménage. Je ne suis pas comme ça d’habitude…— Oui… dommage… Tu sembles aussi plus radieuse. Le divorce t’a réussi.
Il ne croit pas si bien dire.
— Je vois que tu as gardé une photo de toi en robe de mariée.— Oui, je me trouve très jolie sur cette photo.— Je confirme... tu es superbe.
On se retrouve à parler sur mon canapé. C’est bien la première fois que cela nous arrive. On a une vraie discussion et je découvre que sous ses airs de beauf, il reste un homme intelligent. Même s’il ne représente toujours pas l’intellectuel parfait pour me tenir tête dans mes visions philosophiques.
Tout en discutant, je le détaille avec précision. Il est musclé normalement, mais disons que son corps est bien fait, voir attirant si on oublie la tête. Car si je trouve que les chauves ont une sorte de sexe-appeal, lui, c’est tout l’inverse.
Son nez est crochu, ses petits yeux noirs me scrutent de manière malfaisante… Ce qui m’amène à penser comment il a autant de succès auprès des femmes. En effet, même s’il est célibataire, il n’est pas en manque de sexe. Il couche régulièrement avec des femmes, et même de très jolies femmes si j’en crois les rumeurs.
Mon ex-mari, aux débuts de notre relation, m’a raconté qu’il avait ramené une femme de son âge pour un weekend dans la maison de ses parents qui étaient absents, seul Pierre était présent. La femme dans les trente-cinq ans comme Bernard à l’époque. La jolie créature avec des formes là où il faut, mariée et mère de deux enfants… Elle est venue pour se faire défoncer tous ses trous à bite tout le weekend avant de rentrer chez elle retrouver son cher mari et ses enfants. Donc monsieur sait séduire alors qu’à première vue, son visage pas attirant et sa muflerie ne le laissent pas penser.
Cependant, plus on parle, plus je commence à comprendre. Il sait parler et surtout nous observer… Ses yeux ne manquent pas de détailler ma poitrine libre de soutien-gorge sous ma nuisette (non transparente, mais mini et collée sur mon corps). Et il me parle tout en essayant de me charmer. Sa technique semble bien coordonnée. Bref, il sait y faire.
Il n’hésite pas à venir poser sa main sur mon genou pour, doucement, me le caresser. Ce qui me procure des frissons… Oui, il sait vraiment y faire. Je me dis que je suis divorcée, libre dans ma sexualité et que je pourrais me laisser tenter. Même s’il s’agit du grand frère de mon ex-mari.. J’ai actuellement trente-deux ans, allant sur mes trente-trois dans quelque mois et monsieur en a quarante-quatre. Je n’ai jamais couché avec un homme plus vieux que moi d’une dizaine d’années minimum et je dois bien avouer que l’idée ne me déplait pas vraiment. Alors que je réfléchis à tout ça, il m’achève littéralement avec une allusion vulgaire digne d’un « Beauf » des années 60 et loin d’être glamour…
— Mais, dis-moi, autant de ménage, cela ne te donne pas une petite faim ?— Heu… non…— Car si jamais t’es en manque, je peux te donner un bon casse-croute.
Et boum, il sort sa queue ! Direct le monsieur. Une jolie bite de vingt centimètres avec une bonne grosseur. Moi qui n’ai jamais vraiment aimé les grosses bites…je suis servie !Je la regarde pendant quelques secondes pour remarquer qu’elle me semble bien dure et qu’il y a déjà une grosse goûte de pré sperme qui perle au-dessus de son gland violacé. Sa main jusque-là sur mon genou, vient se poser délicatement sur ma nuque nue, car ma longue chevelure blonde est attachée par une pince, en l’air et retombe sur le début de ma nuque. Il est prêt à ce que je le suce, et moi, comme une salope, je suis prête à le pomper. Mon Dieu… avec ses manières vulgaires à la Cabu, mais pas si naïf, il m’a quand même bien excitée ce con !
Adroitement, je viens me positionner entre ses jambes. Ma main prend son gourdin, mais mes doigts ne peuvent pas se rejoindre. Je récupère la goutte de pré sperme du bout de ma langue tout en prenant soin de ne pas toucher le gland. Cette goutte me donne un goût amer dans ma bouche et ce petit détail qui m’aurait dégoutté il y a quelques années a maintenant pour effet de m’exciter…
Ma langue donne ensuite des petits coups sur le frein, la hampe, sur ses couilles. Puis , bouche grande ouverte, j’avale sa queue tout en agitant très vite ma langue : un coup en haut, un coup en bas, un coup en haut, un coup en bas. Des vas et viens du bout de ma langue que je frappe sur toutes les parties de son sexe jusqu’au moment où je finis mon chemin pour me retrouver le nez à quelque centimètres de ses boules toutes lisses.
Je donne cette fois-ci de grands coups de langue afin de bien lécher toute la surface de son gros membre, avant de les prendre en bouche pour les gober. Je prends mon temps et m’applique au mieux pour bien lustrer ses couilles puis je remonte de le même manière que je suis descendue. De retour au gros gland puant, je commence ma torture. Le bout de ma langue s’agite toujours, mais cette fois-ci, sur l’urètre avant que j’emprisonne le gland entier dans ma bouche pour le téter. Il grogne en me caressant la nuque, en serrant les dents.
Ne serait-il pas en train de se retenir de jouir ? Ce beauf ne savait pas où il mettait les pieds ! Ma main, inactive jusque-là, commence à le branler tout en faisant des vas et viens avec ma bouche afin de le sucer plus farouchement. Des bruits bien audibles sont réalisés par ma bouche, sans vraiment le vouloir, car je commence à saliver pas mal.
Je m’applique toujours autant et apprécie énormément la pipe que je réalise. Un début en douceur, mais intense pour finir sur du sauvage. Mais Bernard résiste pour ne pas me remplir la bouche.
Je le suce depuis au moins cinq minutes et j’ai déjà mal à la mâchoire. J’ouvre enfin les yeux pour voir dans son regard à quel point il est excité. Sans un mot, je me relève et remontant ma nuisette, je me mets à califourchon sur lui. Ma main prend sa queue et la dirige vers un trou de chatte bien humide et sans attendre, je m’empale. Nous sommes deux à gémir de cette pénétration. Je commence à me déhancher sur lui. Il prend mes seins en main et les pétris fermement, ce qui accentue mon excitation. Mais la nuisette l’agace alors il me l’enlève bien vite.Sans même lancer un regard sur mes seins, afin de les détailler, il ouvre sa bouche et il me les bouffe l’un après l’autre !Il mordille mon téton gauche puis gobe au mieux mon sein en forme de poire. Mon 90C un peu mou se fait presque avaler par sa grosse mâchoire. Il embouche bien la moitié de mon sein gauche avant de faire de même avec le droit. Ce type est un cinglé et moi, ça me rend dingue !
La partie de jambes en l’air est bestiale et ça ne m’arrive pas souvent. Je suis en transe et lui aussi, la position se fait de moins en moins confortable. Je décide alors de me m’extraire de sa putain de bite.
— Viens dans ma chambre !
Il se lève et me suit. Une fois arrivés, je me pose à quatre pattes sur le lit et il plonge sa langue dans la chatte, mais pas que ! Il lèche bien de haut en bas, de mes poils à mon cul. Il grogne, crache sur mes trous, me rentre ses doigts. Ce type sait vraiment bien baiser et soutenir un rythme élevé. Mais moi, je ne veux pas perdre plusieurs minutes avec un cuni, Je veux sa queue ! J’ondule du cul avant d’écarter mes fesses pour lui donner envie de me prendre ma chatte qu’il a devant ses yeux en gros plan. Il est hors de question que je lui demande.
  Il se redresse pour me la rentrer d’un coup sec, m’arrachant un ‘AAaahh ‘de plaisir !Il me tient fermement par les hanches et me claque les fesses en me prenant sauvagement. Mes seins bougent violemment sur mon buste, les claques font resserrer les parois de mon vagin, les coups de boutoir me rendent folle. Il ne m’en faut pas plus pour jouir.
— Ahh ! Ahh ! Ouiiii ! Ouiiii ! Ouiiiiiiiii ! Arrrgghhh !
Après cet orgasme, il me fait pivoter sur le côté avec lui, toujours en moi, pour me prendre maintenant en cuillère. Ses bras m’entourent, relève ma jambe et il me caresse un sein. Il me fait tourner la tête vers lui pour m’embrasser. Premier baiser et il est loin d’être chaste. Il m’embrasse à pleine bouche et enfonce au plus loin sa langue. Ce malade parvient même à toucher, volontairement, ma glotte. Il a une langue de serpent et je manque de lui vomir dans la bouche. Lui, il se marre. Il n’a vraiment peur de rien ! Extrême en tout ! On continue à baiser, à gémir, et à s’embrasser.
Il se retire pour se placer entre mes jambes. Je comprends qu’on passe à un missionnaire. Mais pas par le trou traditionnel !Il commence à me préparer et pendant qu’il alèse mon trou du cul avec ses doigts et mon jus de chatte qu’il récolte avec sa langue, j’en profite pour réajuster mes cheveux trempés par la sueur et emmêlés dans ma pince. Je retire cette dernière avant de la remettre, mais cette fois de manière plus simple. Je mets juste mes cheveux dernière mes tempes en arrière tout en laissant le reste libre sur mon dos et non plus en chignon comme avant. Ça à l’air d’exciter Bernard qui ne m’a pas lâché du regard. Il est vrai que j’aime me coiffer avec des gestes sensuels pour bien faire flasher mon amant.
Jugeant mon petit trou à point pour sa bite, il pose son gland sur ma corole dilatée. Il arrive à le rentrer dans mon anus palpitant et il commence à me sodomiser en douceur.Redressée sur mes coudes, je regard mon cul se faire prendre, ainsi que ma chatte encore bien ouverte dont le clito est agacé par mon amant.
— Putain ! il est étroit ton cul !— Grrrreeeehhh !
Retirant sa queue de mon cul, il la plonge dans ma chatte pour bien la tremper dans ma cyprine et il me remet sa grosse bite dans mon petit cul. J’évite de contracter mon anus et sa grosse queue rentre plus facilement dans mon boyau peu habitué à ce calibre. Mon dieu que c’est bon de sentir son engin dans mon derrière, mais ça fait mal aussi ! Il faut souffrir pour être belle, mais aussi pour prendre son pied avec son cul. La douleur s’estompe progressivement, il y va plus franco et je sens une jouissance qui prend de l’ampleur dans corps.
Mes gémissements augmentent tout comme ses grognements. Excité comme un dingue, il me traite de tous les noms, salope.. chienne… pétasse… pute ! Dans ces moments-là, ça ne me déplait pas, bien au contraire. Je suis dans une excitation folle comme une tigresse en chaleur qui se fait monter par son mâle.
Mais mon amant a apparemment des doutes sur ma capacité à prendre une grosse bite dans mon cul. Peut-être se rappelle-t-il que je ne suis pas une de ses petites salopes qu’il tringle, mais bien l’ex-femme de son frère. C’est donc à moi de lancer les hostilités.
— Allez, mon salaud, encule-moi à fond !Plus fort !— Aaahh, oui ! Petite saloooope ! Tu vas voir !
Il plaque bien mes cuisses de chaque côté de ma poitrine et il se lâche en m’enculant comme une bête sauvage. Ses grosses couilles viennent frapper mes fesses et je ne tarde pas à avoir mon second orgasme en tremblant et en crispant mon anus sur sa queue qui me semble encore plus grosse. Il ne doit pas être loin de venir, mais il ne jouit toujours pas. Il tient bien ce salaud !
— Ugggggh !— Putain, qu’est-ce que t’es bonne !— Oh oui mon salaud! Ta queue aussi ! Allez, finis-toi, je veux ton jus.
Je suis crevée, mais je veux vraiment qu’il jouisse. Il ne me reste plus qu’une seule solution. Je le tire vers moi et je le retourne sur son dos et je m’empale sur lui. Je me redresse, mes pieds à plat, pliée en deux, et je commence une chevauchée d’enfer sur sa queue au bord de l’explosion. Cette position est physique et je sens d’affreuses douleurs dans mes cuisses et mes fesses malmenées il y a peu de temps. Au bout de seulement quelque va et viens, sa bite sursaute, se gonfle encore. Il va jouir !Sous un fort et long râle de jouissance, il se lâche enfin. Ma chatte écrasée sur son pubis, il se vide en moi. Qu’est-ce que c’est bon de sentir son utérus se faire remplir par cet épais liquide visqueux et chaud. Exténuée, je m’écroule sur lui, tout en retirant son sexe de mon vagin.
— Putain ! t’es douée ma salope ! — Toi aussi mon salaud !— Tu peux me branler un peu ? J’adore ça après le sexe.— Bien sûr !
Je m’installe bien, ma tête posée sur son torse et je commence à doucement masturber ce gros pénis qui palpite encore.
— Je n’aurais jamais cru que tu baiserais aussi bien. Toi, la mal baisée.— Oh, j’en ai fait du chemin pour arriver à de telles performances. Mais pour toi, j’imagine que c’était une simple formalité.— Pour la baise, oui. Mais la pipe, mon dieu ! Je n’ai jamais autant galéré pour ne pas jouir dans ta bouche !— Je t’aurais bien sucé à l’époque, si je n’avais pas été aussi bête…et toi aussi con… ha… ha. J’ai fait beaucoup de chemin depuis et d’autres expériences...— Je vois ça…— Au fait. Pourquoi tu es de retour ou de passage dans le coin ?— C’est Pierre qui m’a demandé de venir. Ça me faisait chier de revenir, mais au final, je suis content du déplacement. Mais si je suis là, c’est pour rencontrer Marie.— Marie ? C’est qui Marie ?— Ah tu n’es pas au courant ?— Heu, non.— Marie est la nouvelle compagne de Pierre.— Ah !— Tu es jalouse ? Rigole-t-il.— Non, du tout. Ma vie est bien plus belle sans lui. Mais je ne le voyais pas se remettre en couple. Il ne s’était jamais vraiment investi avec moi…— Et toi, tu préfères le célibat.— Disons que je ne suis pas vraiment seule, mais pas vraiment en couple.— Tu es décidément devenue une vraie petite coquine. Rigole-t-il encore, avec moi.

Un quart d’heure plus tard, Bernard est sur le pas de ma porte. Je n’ai pas pris le soin de me rhabiller, alors il laisse une dernière fois son regard parcourir mes seins, mon ventre, mon fessier, ma petite chatte, ce corps qui lui ai donné pendant une bonne heure.
— Ça m’a fait plaisir de te revoir.— Oui, moi aussi !— La prochaine fois que je repasserai dans le coin, je ne manquerai pas de te faire un petit coucou.— Je n’en doute pas !
Sa main vient caresser mon sein droit et ses lèvres embrasser les miennes.
— Bon, j’y vais ma belle salope…
Je referme la porte derrière lui et me balade nue dans ma maison. Je suis toute puante de sueur et de sperme qui coule le long de mes cuisses après un tel exercice. Il va bientôt être l’heure pour moi de récupérer mon fils à son foot alors je me faufile dans la douche en repensant à cette surprenante après-midi.
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