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Ma vie d'étudiante

Chapitre 7

Hétéro
Après ma journée de cours, et également après cette nuit particulière, je suis rentrée chez moi. Je suis restée tranquille un moment, le temps de dîner. Vers 21h, quelqu’un frappa à ma porte, c’était Margot et Julie. Elles venaient discuter avec moi, s’emmerdant chez elles car elles étaient seules, et sans avoir de soirée. Margot avait amené des DVD pour regarder ainsi que du pop-corn. C’est au cours du deuxième film, Mulholland Drive que la soirée bascula. On était allongées sur mon lit pour regarder la télé.
C’est au cours de la scène entre les deux actrices que Margot se retourna vers moi et me demanda cash si j’avais déjà couché avec une fille. Je répondis que oui j’avais déjà couché avec une fille, Emilie ma meilleure amie. Elle me demanda si j’avais bien aimé, je répondis que oui. A partir de là, plus personne ne regardait le film, mais et on parlait de cul. Julie nous avoua qu’elle avait couchée avec une de ses coéquipières et que les vestiaires du hand pouvaient être chauds dans l’équipe première même si la plupart des filles étaient hétéro.
Au bout d’un moment, Julie nous quitta avec l’excuse qu’elle avait un match le lendemain soir à l’extérieur et qu’elle partait tôt le lendemain matin. Je me retrouvais donc avec Margot. A peine Julie partie, Margot m’embrassa, et qu’est ce qu’elle embrassait bien ! Je me laissais faire et bientôt, Margot m’entraîna dans un cercle de volupté dans lequel je me suis jetée avec plaisir. Elle m’enleva mon bas de pyjama et se mit à me lécher la chatte. Je crois que c’était le meilleur cunni qu’on m’avait fait jusqu’ à présent. D’une main, elle me titillait le clito et de l’autre, elle me caressait les seins. Elle déboutonna mon haut de pyjama et remonta sa tête vers la mienne en m’embrassant. Elle m’embrassa les seins puis reviens mon visage.
Ce fut à mon tour de la déshabiller et de lui faire un cunni. Je m’amusais avec son corps, de ses jambes au cou en passant par ses seins, son ventre, son sexe et ses fesses. J’excitais son mont de Vénus avec ma langue. Je me régalais de sa mouille. Je remontais ma langue sur ses seins, jouant avec ses petits tétons bien durcis sous l’excitation de notre ébat. Je continuais à remonter pour nous embrasser, mêlant nos langues dans nos bouches. Je décidais de me mettre en position de 69 me plaçant au-dessus d’elle. Je lui présentai ma chatte devant sa bouche et je sentis aussitôt sa langue venir au contact de mon sexe bien humide. Sa chatte était pour elle aussi bien humide. Elle finit par jouir sous le traitement que je lui réservais. Après, elle se réoccupa de moi jusqu’à se que je jouisse à mon tour.
Elle finit par se coucher à coté de moi et me prit dans ses bras. Elle me fit un bisou sur la joue et me dit qu’elle avait aimé le faire avec moi. Elle me dit qu’elle trouva ça agréable de le faire avec une fille, qu’au moins dans ce cas là elle n’était pas un garage à bites comme avec les hommes. Je lui dis que même si j’avais peu d’expérience en la matière de relations sexuelles avec les filles, j’ai trouvé ça agréable de la faire avec elle. Et là, Margot sans avertissement me demanda si je souhaitait de temps à autres le refaire. J’acceptais bien volontiers cette offre. J’aimais particulièrement être avec cette fille, sa fraîcheur, sa spontanéité me plaisant énormément et être avec elle au lit m’ouvrait une dimension au sexe que je ne pensais pas ouvrir mais avec elle, j’ose. C’est ainsi que nous nous endormirent mêlées l’une à l’autre.
Je me réveillais en premier le lendemain matin et c’est avec des caresses que je réveillais Margot. On a décidé de faire les magasins toute la journée, une journée shopping entre filles. En revenant, je croisais Christophe qui me dit qu’il avait besoin de mes services lundi sans autres explications mais je savais quels services je devais rendre. J’acceptais sans autres choix, c’était le deal pour l’appart. Le dimanche se passa très cool, me réservant pour le lendemain. Comme Margot elle aussi avait un match ce dimanche, je suis restée chez moi à travailler et à mater la télévision.

Lundi soir, après mes cours, je suis rentrée chez moi me préparer pour ce nouveau rendez-vous avec un client de Christophe. J’ai mis une jupe noire fendue sur le coté et un chemisier blanc par-dessus lequel j’enfilais un cardigan noir. J’ai mis des dessus sexy noirs et des bas noirs. Christophe me donna rendez-vous à son bureau et avait commandé un taxi pour moi. Le taxi m’emmena directement aux bureaux de la société de Christophe. Je suis montée à son bureau où sa secrétaire me dit qu’il était avec un client mais qu’elle allait le prévenir de mon arrivée. Elle me fit signe d’entrer dans le bureau où j’allais faire la connaissance de mon nouveau client. Et quelle ne fut pas ma surprise en le découvrant !
Il s’agissait de Paul mon parrain, le meilleur ami de mon père. Lui par contre, il ne fut pas surpris de me voir comme si il savait que ce serait moi qui viendrais lui tenir compagnie. Paul était le compagnon de virée de mon père depuis leur plus jeune âge. Ils ont tout partagés, les galères, les succès, leurs grandes étapes de leurs vies, y compris dans le domaine professionnel car ils étaient associés. J’étais tellement surprise que je ne sus pas quoi dire. En plus, je voyais que Christophe devait savoir que l’on se connaissait, il me dit : « ne soit pas gênée, Quand j’ai montré ta photo à Paul, il m’a dit qu’il te connaissait bien, mais que cela n’était pas grave qu’il serait ravi de ta compagnie pour cette nuit. N’est ce pas Paul ? ». « Oui bien sûr, je suis sûr que l’on va bien … s’amuser ». « Euh… oui » répondis-je mais réellement j’étais gênée et un peu choquée de l’attitude des 2 hommes. Paul s’absenta pour aller aux toilettes.
Christophe me prit à part et me dit que Paul était un client et bientôt futur associé de sa société et qu’il avait confiance en moi pour le satisfaire. Je lui ai dit que c’était tout de même mon parrain, que je le connaissais depuis toujours, qu’il était un genre de confident pour moi, que c’était toujours vers lui que je me tournais quand j’avais des questions. Il me répondit sèchement qu’il savait, mais que c’était pas non plus un membre de ma famille. Il ajouta que si je n’étais pas contente, je n’avais qu’à démissionner et me trouver un autre boulot et un autre appart. Je lui répondis que non que ça irait mais que j’aimerais à l’avenir être disons moins surprise par ses clients. Il me répondit que pour ça c’est lui qui choisissait et qu’il n’aimait pas être remis en question et que l’on verra ça plus tard. Bon, il n’avait pas franchement été aimable et j’ai préféré ne pas répliquer, je ne le voyais pas si connard que ça...
Il ajouta dans un demi-sourire qu’il n’y pas non plus m’offrir à mon père qu’il avait comme client et que d’ailleurs celui-ci était très content de Julie. Là je dois avouer que j’étais sur le cul, Christophe connaissait mon père. Voyant ma surprise, il ajouta qu’il était le principal client de mon père et forcément futur associé de mon père et qu’il savait parfaitement qui j’étais quand il m’a "pris sous son aile". Il finit même par dire que lui, Paul et mon père était compagnons de sorties « cul » quand ils étaient tous les 3 ensembles réunis pour affaires. Ca, ça ne m’étonne pas, je connais trop bien le goût de mon père pour les filles, ça lui a coûté son mariage et c’est la raison de mon froid avec lui et de la conséquence de ne pas avoir de soutien financier de sa part mais ceci est une autre histoire. Mais là, je dois avouer que j’en suis restée bouche bée.
Paul rentra dans le bureau et la discussion en resta là. Christophe nous dit qu’il nous abandonnait pour le reste de la soirée mais que nos frais seraient pris en charge comme d’habitude nous dit-il. Un taxi nous attendait devant l’immeuble et il nous amena à l’hôtel de Paul dans le centre de Paris. Paul demanda à la réception d’amener à dîner dans sa chambre. Il me fit entrer dans sa chambre et me je me suis assise sur un des fauteuils de la pièce. Il a sorti des verres d’un meuble et m’a demandée ce que je voulais boire. J’ai pris du jus d’orange tandis que lui a pris un verre de whisky. On commença à discuter le temps que le garçon d’étage ne vienne apporter le repas, un carpaccio de bœuf avec des petits légumes, suivi d’une mousse au chocolat.
Après le repas, Paul sortit une bouteille de champagne et 2 flûtes à champagnes qu’il remplit de ce fameux alcool. Une fois mon verre rempli, je me tournais vers la fenêtre pour regarder la vue. Paul vint se mettre derrière moi, se plaquant dans mon dos. Une de ses mains se posa sur ma hanche droite et remonta sous ma jupe tandis que son autre main se posa sur mon sein gauche qu’il se mit à malaxer. Il m’embrassa dans le cou et murmura dans mon oreille que j’étais très appétissante tout comme Tiphaine, ma sœur et Kate, ma mère. Il commença à glisser ses doigts sous mon string et entreprit à visiter mon intimité. Avec son autre main, il avait détacha quelques boutons de mon chemisier et me caressa le sein droit en glissant ses doigts sous mon soutif. Je lui demandais, suite à sa remarque sur ma sœur et ma mère, s’il avait couché avec elles. Il me répondit que oui, il avait couché régulièrement avec ma mère jusqu’à son divorce avec mon père et notre départ aux États-Unis, qu’il allait régulièrement en boite échangiste avec mes parents quand on passait nos vacances ensemble dans sa villa dans le sud. Pour ma sœur, il me répondit qu’il couchait régulièrement avec.
Tiph était mon aînée de 5 ans, et selon beaucoup de personnes je lui ressemble beaucoup, même yeux, même visage, même cheveux blond, même taille mais elle était mieux gâtée pour ce qui concernait sa poitrine qu’elle avait plus grosse que moi.Paul me raconta qu’il l’avait dépucelée quand elle avait 16 ans et que depuis ils se voyaient régulièrement pour baiser et ce, malgré le fait qu’elle est un copain. Décidément, c’était la soirée des découvertes. Il rajouta que ma sœur était une sacrée cochonne sous ses airs de jeune fille sérieuse. Selon lui, et là j’en croyais pas mes oreilles, ma sœur n’hésitait pas à aller dans les boites chaudes de Paris et partouzait régulièrement dans les quartiers chics. Et pour conclure, il finit en riant par dire que ma famille devait avoir un gène du sexe assez développé. Le gène du sexe bin tu vas bientôt voir ça !
Il commença à me déshabiller en enlevant mon chemisier, puis ma jupe et je me retrouvais en lingerie. Je vis que je faisais de l’effet sur lui à la vue de la bosse qui déformait son pantalon. Je lui défis sa ceinture et son pantalon puis libéra son sexe de son caleçon, un sexe sans poil, rasé. Il était aussi gros que celui de Christophe peut-être moins long mais tout aussi gros de diamètre. Je me mis à le branler avant de m’agenouiller pour commencer à le sucer.
J’ai léché son sexe avant de l’avaler. Je me suis mise à faire des va-et-vient mais juste sur son gland. Lui me prit la tête et commença à imprimer la cadence me forçant à le prendre un peu plus en bouche. Il cessa tout mouvement me repoussant même, en fait pour aller se mettre sur lit, sur lequel il s’assit au bord et me fit signe de continuer. Je me remis donc à genoux devant lui et recommença à le sucer. Il me caressait la poitrine en glissant ses doigts sous mon soutif. Moi, de mon coté, je jouais avec son gland dans ma bouche et malaxais gentiment ses bourses qui m’avaient l’air bien pleines. Il finit par me décrocher mon soutif et l’envoya à travers la chambre. Je voyais dans ses yeux un regard de satisfaction et il m’encouragea tout en me caressant le visage avec sa main. Il continua à jouer avec mes seins, tandis que moi, je reprenais mes va-et-vient sur son sexe prêt à exploser. Effectivement, il se retira de ma bouche et me fit comprendre qu’il souhaitait jouir sur mon visage. Il se branla au dessus de mon visage puis éjacula formant plusieurs traînées de sperme sur mon visage, que j’essayais d’attraper dans ma bouche.
Visiblement heureux de lui, il se coucha sur son dos sur le lit et me demanda de le rejoindre. Je me couchais donc à coté de lui et il commença à prendre possession de mon corps. Il m’embrassa malgré mon visage plein de son sperme puis laissa glisser sa bouche sur mon cou et finit par s’attaquer à mes seins. Il embrassait mes seins puis les téta, les lécha, les suça. Il se mit à jouer avec mes tétons, il les mordilla, puis les tritura avec ses doigts, me les pinça puis recommença à les sucer et jouer avec en se servant de sa langue, vraiment que du bonheur pour moi tellement il faisait ça bien. Je sais pas si le fait que je le connaisse depuis toujours mais j’étais excitée comme jamais et j’étais prête à faire tout ce qu’il me demanderai.
Bientôt, ses mains descendirent et s’attaquèrent à mon string qui finit par rejoindre bien vite mon soutif de l’autre coté de ma chambre. Paul me lécha le bas ventre puis glissa vers mon sexe. Il me lécha le sexe tout en y laissant traîner ses doigts qui excitèrent mon petit bouton qui n’avait pas besoin de ça. Paul glissa sa tête entre mes cuisses et il me fit un cunni qui était tout simplement fabuleux. En même temps, il glissa ses doigts autour de mon étoile qui ne demandait que ça. Il y finit par glisser un puis deux doigts qui ont eut pour effet de bien me préparer mon petit trou pour un amusement ultérieur... C’est d’ailleurs sous ce traitement que je me laissais glisser vers l’orgasme qui éclata en moi au bout de quelques minutes, orgasme qui me fit pousser un cri de plaisir au milieu des gémissements dus à Paul.
Paul, sans temps mort, pris un préservatif et me demanda de lui enfiler, ce qu’évidemment je fis. Paul s’allongea sur le lit et je me mis au dessus de lui. Je m’amusais à l’exciter en passant son bout de sexe sur mon sexe puis jusqu’à mon anus. Visiblement, cela lui plaisait et il en profitait pour caresser mes jambes et mes cuisses en douceur. Je fléchis légèrement les jambes et il s’enfonça en moi. Je commençai à osciller avec mon bassin pour de léger va-et-vient en moi. Puis, au bout de quelques allers-retours, Paul commença à faire des mouvements de bassin et mena dès lors la cadence. Il accéléra et me mit, dès lors des grands coups de bassin. Il me fit changer de position, me mettant sur le dos au bord du lit, les jambes en autour en angle droit, et lui se mettant debout. Positionnés ainsi, cela permettait à Paul de me mettre de gros coups de bassin me ramonant assez violemment.
Il me tenait les jambes qu’il attirait vers lui, ce qui lui permettait d’accentuer la violence de la baise. Cette position me faisait cambrer et à chaque fois qu’il m’attirait vers lui. Il se retira de moi à nouveau pour encore me faire changer de position et il me retourna sur le ventre, me souleva le corps et s’enfonça en moi. Je me tenais sur mes bras et c’est comme ça, en brouette, que Paul recommença à me baiser. Rapidement, il finit par me faire replier les jambes pour me prendre en levrette. Il se mit sur le lit et commença ses mouvements de bassin. Il me tirait les cheveux d’une main et posait son autre main à hauteur de mes reins pour me faire cambrer. Ses coups de bassins étaient lents mais s’enfonçaient profondément en moi. Je sentais un deuxième orgasme montait en moi et mes gémissements se faisaient de plus en plus fort.
C’est à ce moment là qu’il décida de venir titiller mon étoile, qui du fait de la position extrêmement cambrée dans laquelle j’étais, devait être très facilement à portée de ses doigts. Il lâcha mes cheveux mais maintint sa main sur mon bas du dos. Avec sa main libre, il commença à flatter mon étoile tout en me donnant quelques claques qui m’excitèrent plus qu’autres choses. Il finit par glisser un doigt dans mon petit trou qui s’ouvrit rapidement pour permettre à Paul d’y glisser un second doigt. C’est comme cela que mon deuxième orgasme de la soirée arriva, orgasme suivi de celui de Paul qui jouit en moi.
Il me dit de rester dans cette position et lui se mit face à moi penché au dessus de moi en maintenant toujours ses doigts dans mon anus qui était totalement dilaté sous leur effet. Paul, de sa main libre, m’attrapa par les cheveux et me demanda de lui nettoyer la bite. J’enlevais donc la capote et j’ai léché sa bite pleine de sperme afin de la lui rende propre. Il revint se mettre derrière moi, enfila une capote et entreprit de monter à l’assaut de mon derrière qu’il trouvait « charmant et fort appétissant » ! Je sentis son sexe se poser sur mon petit trou que Paul avait bien entendu lubrifié avec ma mouille et de sa salive.
Il posa ses mains sur mes hanches et poussa pour s’introduire en moi. Il força un peu l’entrée m’arrachant des larmes de douleur mais réussit à s’introduire sans trop de difficultés. Il commença doucement à faire ses va-et-vient d’abord en ne bougeant que son bassin puis il me fit faire des mouvements de bassins en m’attirant à lui donnant plus de puissance à sa pénétration ce qui eut pour effet de me faire gémir sous ses coups de bite. Il accéléra de plus en plus nous amenant à une cadence assez élevée.
Pendant qu’il me sodomisait, je me mis à me masturber et à exciter mon petit bouton. Mais malheureusement pour moi, je dus arrêter car la puissance des va-et-vient de Paul m’obligeait à me remettre bien à 4 pattes et même là j’avais du mal à garder mes appuis. En outre, il me pris encore par les cheveux et en profita pour me mettre quelques claques sur les fesses. Après plusieurs minutes de ce traitement, Paul finit par jouir dans mon cul dans un râle bestial.
Il s’effondra à mes cotés tandis que je restais le cul en l’air pour me remettre. J’avais vraiment mal aux fesses du fait de la violence de sa sodomie et de ses claques et j’étais sous le choc de cette bestialité, Paul m’avait littéralement défoncée comme la dernière des salopes, chose que je n’aurais jamais imaginée venant de lui que j’imaginais doux et gentil. J’avais les cheveux qui me cachaient le visage et Paul passa sa main sur mon visage pour les enlever. Je lui souris et il me dit que j’étais vraiment très belle et que j’étais une "petite chatte" très sympa à baiser. Je vins me blottir à ses cotés. Des larmes me sont venues aux yeux et Paul s’en aperçu. Il me demanda pourquoi je pleurais. Je lui répondis que j’éprouvais un drôle de sentiment mêlé de honte et de bonheur. J’avais honte de me montrer sous un jour différent à mon parrain, un homme que je connais depuis toute petite, honte de m’être comportée comme une chienne avec lui, comme une nymphomane avide de sexe. Mais dans le même temps, j’étais heureuse d’être avec lui, d’avoir fait l’amour avec lui. Il me rassura en me disant que je n’avais pas avoir honte car c’était normal et même que je devais être fière car j’étais vraiment douée au lit et qu’il avait pris beaucoup de plaisir avec moi. Il me dit qu’il ressentait une petite fierté à avoir couché avec moi car j’étais très appréciée et convoitée par des amis à mon père. Je fis mine de ne pas comprendre et Paul me dit de ne pas faire ma naïve, que j’étais tellement jolie et pleine de charme que j’attirais les hommes depuis un petit moment, en fait depuis mon retour en France mais que mon père me veillait farouchement pour empêcher toute approche de ses amis. Ce qu’il me disait m’énerver encore plus après mon père.

Enfin bon, je dois avouer que j’étais quand même étonnée par ce que m’avait dit Paul sur les amis de mon père, quelle bande de vautours quand même ! Après cette révélation, Paul et moi avons continué à parler de sexe et puis de pleins d’autres trucs avant de s’endormir. Le lendemain matin, nous nous quittâmes mais Paul me promit de se revoir bientôt. Moi, je repassai chez moi pour me préparer à ma journée de cours.
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