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Vie étudiante

Chapitre 1

Erotique
Pierre rejoignit Juliette dans sa petite chambre d’étudiante située au milieu de la cité universitaire. C’était la première fois qu’il y pénétrait. Ils avaient l’habitude de faire des révisions ensemble, mais ce lundi férié de juin, la bibliothèque universitaire était fermée et les parents de Pierre recevaient. C’était une chambre de fille bien aménagée, le lit dans un coin avec, en tête, un ours et un chien en peluche sur un couvre-lit rose, un bureau sur tout le pan de mur opposé sous la fenêtre, les livres et cahiers bien rangés, un petit canapé et une table basse. Un coin toilette avec douche complétait cette chambre. Juliette rayonnante, habillée d’un chemisier blanc, d’une jupe bleu marine et des tennis blancs, accueillit Pierre d’un baiser sur la joue.
— Enfin, j’ai l’autorisation de pénétrer dans ton petit cocon.— Oh ! c’est exceptionnel, la première et sûrement la dernière fois, je veux garder mes petits secrets.— Tu as des secrets pour moi ? C’est nouveau.
Juliette fit une moue et un clignement d’œil que Pierre n’arriva pas à traduire. Ils se connaissaient depuis l’enfance. Ils ont habité le même immeuble de quartier et fréquenté les mêmes écoles et collèges. Les parents de Juliette ayant déménagé à plusieurs kilomètres de la ville, ils s’étaient perdus de vue pendant les années de lycée. L’un et l’autre étaient contents de se retrouver à l’université. Ils se considéraient depuis toujours comme cousins cousines, ils étaient insouciants, rieurs, gais, mais si Juliette était ouverte, Pierre était timide. Cette différence de caractère était plus marquée en ce mois de juin où le parlement s’apprêtait à discuter pour le vote de l’abaissement de la majorité à 18 ans. Pierre était anxieux devant ces nouvelles responsabilités alors que Juliette attendait avec impatience cette nouvelle liberté. Les études les réunissaient dans cette université dont ils aimaient l’histoire.
Elle fut construite par les Anglais lors de leur présence en Normandie pendant la guerre de Cent Ans, c’était la première université construite en France. Ils la détruisirent à l’occasion des bombardements après le débarquement des alliés. Ces mêmes Anglais la reconstruirent sur ses ruines, au même emplacement, avec de grands espaces verts et un campus ouvert vers la ville. Un Phoenix symbolise cette renaissance à l’entrée.
— On va se mettre à travailler, nous devons absolument finir les deux chapitres aujourd’hui.— Tu pars toujours motivée et à l’arrivée nous n’avons pas avancé.— Si ! si nous démarrons immédiatement, je ferais un thé dans 2 heures pour couper et repartir de plus belle, dit-elle en souriant.
Pierre s’assit sur un tabouret et Juliette prit place à côté de lui sur une chaise. En s’asseyant, un pan du chemisier découvrit une bretelle de soutien-gorge rouge, de la même couleur que ses lèvres colorées, le contraste entre cette couleur et la peau blanche laiteuse faisait son effet. Pierre trouvait Juliette de plus en plus belle et les sentiments se transformaient en amour platonique.On frappa à la porte. Pierre sentit Juliette se figer, la porte s’ouvrit sur Antoine et Christophe. Pierre connaissait particulièrement Antoine qui était un copain de longue date. Comme avec Juliette, il s’était perdu vue pendant une période et avait renoué leur relation lors de cette année universitaire. Il connaissait la réputation de son ami « Don Juan », tombeur de beaucoup de filles et mères de celles-ci, contrairement à Pierre qui n’avait pas connu encore le plaisir de la chair. Pierre en voyant le visage de Juliette se raidir devant l’entrée de ces deux amis intervint.
— Vous rentrez dans la chambre sans attendre que Juliette ne vous y invite ?— Nous venons vous distraire un petit peu.— Pierre et moi devons étudier aujourd’hui, nous n’avons pas le temps de nous occuper de vous.— Vous travaillez de trop, faites une pause.
En disant cela, Antoine se rapprocha de Juliette et lui fit un baiser dans le cou
— S’il te plaît, ce n’est pas le moment, dit Juliette d’un ton langoureux et sans conviction.
— Mais si, répondit Christophe sur le même ton et en déposant un baiser sur le côté opposé du cou.
Pierre regardait la scène et vit la main d’Antoine descendre vers le sein de sa copine.
— Bon ! écoutez les gars, Juliette vous a dit que nous devions réviser.— Lève les yeux de tes bouquins et joins-toi à nous.
Maintenant, c’était une main de chacun des deux amis qui se dirigeaient sous le chemisier et caressaient le corps de la jeune femme.
— OK, faisons une pause, cela va vous détendre.
La voix et le visage de Juliette étaient méconnaissables, en un instant, l’amie qu’il connaissait depuis sa petite enfance était métamorphosée. Pierre ne savait que faire, il était incapable d’intervenir, il regardait les deux jeunes gens embrasser à pleine bouche Juliette, étendue sur le dossier de la chaise, la tête à la renverse, pendant que les mains couraient sur son torse, la chemise complètement ouverte. Elle connaissait sa faiblesse dès qu’un homme la touchait, elle ne pouvait résister et savait comment cela finissait toujours. Les mains qui passaient sur ses seins que seul le tissu séparait des deux épidermes l’excitaient déjà, les pointes se tendaient, son sexe devenait humide. Pierre baissa la tête dans ses livres quand il vit Juliette prendre en mains les sexes que lui présentaient les deux garçons. En sentant les deux phallus durs frotter ses joues, Juliette les prit en main et l’un après l’autre les dirigea vers sa bouche ouverte.
Elle commença par Christophe, la taille était moyenne, elle passa la langue autour du gland gonflé, referma les lèvres dessus et commença un va-et-vient en même temps que la main fasse pareil avec son copain. Juliette se tourna vers Antoine dont le sexe était plus volumineux, elle le goda, le suça telle une petite fille avec un sucre d’orge, elle l’enfonça au fond de la gorge à en avoir un haut-le-cœur. Pierre releva la tête et vit sa copine entre les deux hommes, pantalons sur les chevilles, le chemisier ouvert, la poitrine gonflée ressortant à moitié du soutien-gorge rouge, le membre en bouche, la salive dégoulinant sur le menton, les mains masculines caressant le haut des cuisses.
— Maintenant, je veux vos deux bites ensemble.
Jamais Pierre n’avait entendu un mot vulgaire sortir de la bouche de JulietteElle avait la bouche déformée par les deux membres qu’Antoine et Christophe ne s’étaient pas fait prier de rentrer dans la gorge de la jeune fille. Elle en avait les larmes aux yeux, mais continuait à branler les verges, les amenant au plus profond qu’elle pouvait.
— Viens sur le lit, nous serons mieux.— Pierre, laisse tes livres, joins-toi à nous.— Regarde-le, on dirait un puceau qui a peur du loup.— Laissez-le tranquille, il étudie.— Nous préférons les travaux pratiques.
D’un bond, les deux compères se retrouvèrent nus, et Juliette était à genoux, cuisses écartées, sur le lit dans la tenue d’Eve en train de les exciter, si c’était utile, en se caressant les seins. C’était la première fois que Pierre voyait une femme nue hormis sur papier glacé. Juliette était belle, des seins ronds, un sexe bien entretenu avec une pyramide à l’envers dessiné par les poils du pubis. Les garçons la regardèrent un moment agiter son corps et jouer avec ses mains. Antoine s’approcha, l’allongea sur le dos et plongea entre les cuisses pour lécher les lèvres chaudes et humides. Christophe présenta son sexe dans la bouche de Juliette. Cette image, malgré le dégout que lui inspirait l’attitude de son amie, commença à échauffer Pierre.
— Elle est chaude comme la braise, amène ton poireau pour le dégorger.
Pierre ne bougea pas.C’est Christophe qui bouscula Antoine pour prendre sa place et pénétrer l’antre humide de Juliette.
— C’est tellement trempé que ça rentre tout seul.
Pierre entendait un bruit de succion au rythme des va-et-vient.
— Attends, je viens avec toi.
Christophe se mit sur le dos et demanda à Juliette de l’enfourcher. Elle s’assit sur le membre tendu, Antoine arriva, la coucha sur le dos, releva ses jambes et la pénétra à son tour.
— Tu as raison, pas besoin de lubrifiant.— Bande de salops, vous me dilatez le vagin, mais j’aime ça.
De sa place, Pierre, complètement tendu, pouvait voir les deux phallus coulisser dans le sexe de sa copine. Antoine après un moment se retira, Christophe retourna Juliette et la prit en levrette pendant que son copain redemandait une fellation.
— Allez, mets-toi sur le dos que l’on t’arrose.
Juliette s’allongea comme on lui commandait, les deux garçons de chaque côté de son visage, jambes écartées, les lèvres ouvertes et trempées. Pierre n’y tenant plus, se présenta nu devant elle et la pénétra d’un coup. La sensation était tellement nouvelle pour lui qu’il lâcha presque immédiatement son jus dans le ventre de sa copine. Au même moment, les garçons giclaient sur le visage de Juliette dans un cri de jouissance.
— Eh bien ! il a fini par se joindre à nous.
Antoine et Christophe se rhabillèrent tout sourire et laissèrent Juliette le visage et la poitrine éclaboussés de leur semence, avec Pierre couché entre elle et le mur ne voulant bouger, tétanisé par ce qu’il avait fait
— Salut les amoureux.
Ils refermèrent la porte derrière eux...
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