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La vie étudiante de Julie et Méli’

Chapitre 5

Hétéro
Devant une maison, Julie attend qu’on lui ouvre la porte. Elle vient donner des cours de maths à un lycéen en terminal, majeur. Étant très bonne en math et ayant aidé à mainte fois son amie Mélissandre pour certain de ses cours, cette dernière lui a proposé de se faire un peu d’argent en réalisant des cours particuliers.
Une femme blonde dans la cinquantaine lui ouvre et la scanne de la tête au pied. Elle a l’air stricte et à la fois fatiguée. Elle fait rentrer la jeune blonde dans sa maison et commence à lui présenter le profil de son fils. Un vrai nul en math et qui ne veut pas travailler. La mission de Julie sera alors double. Elle lui dit à quel point il se déconcentre. En disant cela, son regard s’appuie sur les courbes de la jeune femme.Cette dernière comprend que sa tenue ne va pas. Outre son jean bleu assez classique, elle porte un t-shirt noir collé au corps. De ce fait, son énorme poitrine est plus que moulée et absolument pas dissimulée. Mais en plus, elle a un large et profond décolleté.  
Julie suit la mère de famille jusqu’au salon où elle pose ses affaires sur la table. La mère appelle son fils, Bastien, pour qu’il assiste à son cours. Le père du garçon arrive avant lui et vient saluer la jolie blonde en lui serrant la main et plongeant son regard dans son profond décolleté. Sans grande discrétion et malgré sa cinquantaine, çà n’étonne pas la jeune femme qui se fait mater par des hommes de tout âge et qui a d’ailleurs déjà couché avec des hommes dans la cinquantaine.Elle remarque surtout le regard noir de sa femme qui a bien remarqué où se porte son regard. Elle se dit que monsieur n’aura pas le droit à une nuit a deux.C’est alors que le fils arrive, en traînant les pieds.  
Elle découvre un jeune homme de dix-huit ans. Blond aux yeux bleus. Vraiment beau-gosse. Mais sa façon de venir comme s’il n’en a rien à foutre lui retire du charme. Mais Julie ne doute pas de son succès avec les filles. Il reste très bel homme. Il lui dit bonjour comme si elle le dérange, ce qui est le cas car il ne veut pas de cours particulier, mais son regard va aussi sur les courbes imposantes de sa poitrine.Tel père, tel fils.
— Bastien, voici Julie qui va t’aider en maths. Je te préviens, tu as intérêt à bien bosser et à avoir de bons résultats pour tes prochains contrôles. Lui dit sévèrement sa mère.— On vous laisse travailler. On a des choses à faire, on sera de retour dans 2 heures, ajoute le père. 
 Les parents quittent la maison et Julie commence son travail de prof particulière. Elle regarde les cours du jeune homme, lui demande ou son ses difficultés, ce qu’il arrive le mieux à faire et inversement. Elle se rend compte qu’elle va avoir du boulot, car en plus d’être clairement nul en math, il ne semble pas avoir envie de faire des efforts pour s’améliorer.Elle tente cependant de faire de son mieux, de lui expliquer de la meilleure des façons les choses qu’il ne comprend pas. Elle commence par des exercices assez simples et les fait dans un premier temps avec lui.Puis, elle le laisse faire seul en l’aidant quand il n’y arrive pas. C’est-à-dire, presque tout le temps. Cela l’agace et elle a l’impression qu’elle a parlé durant une bonne demi-heure pour rien, strictement, pour rien.
— Regarde, on a fait ça juste avant. Tu te rappelles de ce que je t’ai montré ?— Oui… Oui…
— Alors, c’est quoi la réponse ? Réfléchis bien.— 85E.— Pardon ?
Julie le regarde en fronçant les sourcils, ne comprenant pas sa réponse, qui n’a rien à voir avec l’équation qu’il doit résoudre. Elle ne fait même pas le lien dans un premier temps avec sa poitrine, mais en voyant ses yeux ne pas quitter ses gros seins, elle commence à comprendre…
— Ta poitrine, c’est du 85E, n’est-ce pas ?— Heu… Tu me sors ça comme ça ?— J’ai vu juste ?— On n’est pas là pour parler de mes mensurations, mais de tes équations… Un petit silence se met en place, avant que Julie ne le rompe, trop intriguée.
— Mais oui, tu as bien vu juste. Comment t’as pu me sortir ma taille et mon bonnet d’un seul coup et sans erreur ?— Je m’y connais bien en seins. Et les tiens sont incroyables.— C’est gentil, mais t’es vraiment culoté de dire ça à une femme. Tu leur dis ‘bonjour, moi c’est Bastien. Dis donc, tu fais du 90C ?’. C’est assez déplacé et un peu pervers.— Il ne faut pas voir le mal partout. Je mate tes seins depuis tout à l’heure et ça n’a pas l’air de te déranger.— Que tu me mates, je m’en fous. Que tu t’imagines me sauter sur la table, je n’en ai que faire. Mais on doit travailler. Alors, si on peut s’y remettre. Tu es très fort avec les chiffres et les lettres quand il s’agit de soutien-gorge, mais quand c’est pour les équations, il n’y a plus personne.— Désolé, mais je préfère les gros seins aux grosses équations.
Cela déclenche un petit rire à Julie qui lui redonne son équation à résoudre. Elle a quand même une petite pointe d’excitation qui lui passe dans le bas du ventre. Julie regarde ce mec, il est vraiment beau-gosse. Elle repense à sa dernière baise.Elle date de trois semaines avec Dimitri. Trois semaines qu’elle n’a rien fait. Elle qui tourne généralement à quatre baises par semaines a dû changer ses habitudes après que son rugbyman a défoncé sa chatte dans tous les sens du terme. Elle a même dû abandonner, une première dans sa sexualité. Il l’a relancé pour un 2e round ayant tellement aimé le premier. Mais la petite chatte de Julie ne fut pas encore opérationnelle. Ils ont échangé encore quelques SMS avant de perdre le contact.De toute façon, c’était juste pour une partie cul.Tout ça lui fait penser qu’elle est quand même un peu en manque de cul et le gars qui lui sort ses mensurations tranquillement, la fait rire et l’excite à la fois.Son côté salope remonte à la surface et une idée vient de germer.
— Tu sais quoi. Tu as trouvé ma taille de seins et tu sembles beaucoup les aimer. Alors que dirais-tu, si tu arrives à résoudre cette équation, de voir à quoi ils ressemblent sans aucun vêtement ?— C’est une vraie proposition.— Résous cette équation, et tu verras.
Julie voit Bastien lui sourire et se pencher sur son équation. Elle regarde discrètement son entre-jambes et voit quelque chose gonfler sous le tissu. Elle a un petit sourire en coin et se penche un peu plus sur ce que le jeune homme écrit. Il lui montre une fois qu’il a fini.
— Alors ? J’ai gagné…
Elle ne lui répond pas.Du moins, pas par la parole.Avec un petit sourire sur ses lèvres, elle retire son t-shirt noir pour se retrouver en soutif. Les mains passent dans son dos pour dégrafer ce dernier et elle le retire pour se retrouver, comme promis, seins nus devant lui.
 - Vraiment magnifique… Je peux toucher ?— Moi, ça ne me pose pas de problème. Mais il faut le mériter. Fais les deux équations suivantes. Une pour toucher, une pour lécher. Ça te va ?— OK, ça marche !
Il se met à faire les deux autres équations, plus difficiles. Elle le regarde travailler tout en lui lançant de nombreux coups d’œil. Sadique, elle commence à passer ses mains sur ses seins, à se pincer les tétons déjà bien durs depuis quelques minutes.Une fois qu’il termine, il lui montre sa feuille et elle se mord la lèvre en lui faisant un ‘Oui’ de la tête et en ajoutant. 
 - Tu vois, quand tu veux et que tu es motivé, tu n’es pas si nul que ça.
Il attrape ses gros seins avec ses mains et les malaxe allègrement. Il les balance de droite à gauche, les soulève, les soupèse, les presse l’un contre l’autre. Il plonge ensuite sa tête pour lécher ses grosses boules de chair excitante. Sa langue sur le mamelon, sa bouche aspire le téton. Il est aux anges.
Julie réagit bien à son traitement et sent sa culotte devenir complètement trempée. Elle fait tomber sa tête en arrière en caressant le crâne du jeune blond.Elle le stoppe et lui dit.
— Sors-moi ta bite.— (Zip)— Humm, elle est très belle. Fini moi ces exercices et je te bouffe les couilles.
Il bande comme un taureau en chaleur. Seize bons centimètres d’une largeur honorable au garde-à-vous. Il s’imagine probablement quand terminant les exercices il pourra la baiser, mais Julie tient à son petit boulot et va continuer à le mener à la baguette de cette façon-là.  Il est alors obligé de faire un nouvel exercice pour que Julie se baisse pour aller lui lécher les couilles. Elle fait parcourir sa salive sur des testicules pas forcément grosses. Elle les suçote ensuite et les mordille ce qui le fait gémir.
 - Fais-moi cet exercice et le tableau et je suce ta bite jusqu’à la base du gland.— Oh non, toute ma bite.— Non, c’est moi qui décide et je te sucerais le gland si tu le mérites vraiment.
Dégoûté, il fait ce qu’elle lui a demandé. Il fait son équation pour finir par faire le tableau en lien avec cette dernière. Tout ça avec les couilles pleines de salive, une bite en feu et une salope blonde qui le regarde en s’impatientant.Il lâche son stylo, plein d’espoir, quand il a terminé son exercice.
— Pas mal. Dit-elle.
Elle baisse et commence à lécher tout son sexe, des couilles au frein, mais sans jamais mettre ne serait-ce qu’un seul coup de langue sur son gland gonflée à l’extrême. Elle fait glisser sa langue de bas en haut, durant une minute, qui semble bien trop courte pour Bastien.
— Déjà fini. ?— Je te fais la pipe complète, si tu réussis le dernier exercice. Bien plus dur que les autres.— Je ne vais jamais y arriver.— C’est soit tu réussis, soit tu te termines à la main.— T’es vraiment mesquine.— Je dirais plutôt persuasive. Dit-elle avec un petit sourire.
Voilà pauvre Bastien qui commence à galérer pour faire un exercice de math à la con pendant un bon quart d’heure. Julie est excitée comme une folle et elle a dû se retenir de balancer son exercice à l’autre bout de la pièce et pomper son chibre tellement elle en a envie. Mais elle parvient à se retenir et lui il finit son exercice.
— Dis-moi que c’est bon. Gémit-il.— À ce que je vois, tu n’as pas tout bon. Mais quand je vois ce que tu faisais avant mes cours, je ne peux pas t’en vouloir. On continuera ça une autre fois.
Elle quitte sa chaise et se met entre les jambes de Bastien pour gober sa bite et la sucer immédiatement sans ménagement. Elle fait de longs mouvements sur sa queue avec sa bouche et elle le suce comme une assoiffée. De gros ‘slurrp, slurp, blorp’ se font entendre de manière bien audible, sous les grognements du pompé.Il saisit les cheveux blonds de sa suceuse pour accompagner sa pipe. Il est aux anges et fait venir plus vite sa bouche le long de sa bite.
 - Oh oui, suce-moi bien la bite petite salope ! 
Julie le voit complètement en trans et ça l’excite encore plus. Mais elle sent aux palpitations de sa bite qu’il ne tiendra pas pour une pénétration. Et elle se doute que le temps ne joue pas en leur faveur.Elle le sent venir et arrête sa pipe et parvient à se dégager malgré la prise de Bastien.
— T’es sérieuse !? Tu ne vas pas me finir ?— Tu penses que tu as assez travaillé pour ça ?— Je ne sais pas… C’est toi la prof particulière… Mais vide-moi, j’en ai trop envie.— Humm… (Elle prend les feuilles et fait semblant de les regarder).    
— Pour cette fois, ça passe. Mais il faudra faire mieux la prochaine fois.
Elle cale d’un coup le sexe plein de salive entre ses énormes seins et le branle. Il se met à gémir et rapidement il gicle d’un coup sur le haut de sa magistrale paire de seins.   
— Tu vois Bastien, quand tu veux faire des efforts, tu es récompensé. Tous les deux on va faire du bon boulot. Je vais faire de toi un super élève, tu verras…
*****
— NON ! Tu as vraiment fait ça !? Demande Mélissandre, outrée.— Ouais. À la base, je n’avais pas prévu ça. Mais il m’a excité ce jeune con.— Moi, un mec qui me sort mes mensurations tranquillement, je lui fous une baffe et je me casse en courant. Il est barjot ton type.— Peut-être. Mais je ne vais pas m’en plaindre.— Tu as surtout de la chance de ne pas t’être fait griller.— Ses parents sont rentrés pas longtemps après en plus. Sa mère a été plus que surprise quand je lui ai dit que son fiston a fait du bon boulot. Elle m’a demandé comment ça se fait et je lui ai simplement dit qu’il faut juste savoir le motiver.— T’es vraiment pas bien. Heureusement qu’elle n’a pas compris.— J’adore quand je te choque. Rigole Julie.
Une bonne après-midi pour Julie qui a vidé une paire de couilles et gagné son premier salaire de prof particulière…
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