— Humm, slurp, humm…— Oh oui Méli’, c’est bon… Assis sur le canapé du salon, Angelo est aux anges. Sa douce et belle petite amie lui fait une pipe avec tendresse et sensualité. Chaque recoin de son sexe érigé dans sa bouche reçoit un traitement des plus agréable.Elle le suce, le lèche, l’aspire, le masse avec sa langue.Tout cela avec une sensualité dingue.Elle le masturbe de temps en temps, mais privilégie le massage de ses testicules accompagné de longs mouvements de sa bouche, pour sucer sa bite et lustrer toute sa tige. Ce qui lui est facile puisqu’elle n’excède pas les douze centimètres et elle peut même prendre ses couilles avec en les poussant dans sa bouche. Elle finit par prendre la main de son chéri pour la mettre sur ses cheveux. Il les caresse tendrement dans un premier temps, puis les prend comme s’il veut lui faire une queue-de-cheval. Il commence alors à dominer cette fellation.Mélissandre se sent tout excitée de suivre les mouvements de son copain qui de son côté, est encore plus excité d’avoir ce pouvoir.Il ne s’en sert pas pour être un goujat et lui baiser vulgairement sa bouche. Il conserve le côté très romantique de la pipe et se fait bien sucer le manche. Il gémit de plus en plus fort pendant que sa chérie caresse sa petite chatte trempée tout en suçant sa bite en y donnant tout son cœur.Elle salive beaucoup sur la bite qui est devenue toute glissante entre ses lèvres.Elle sent les ondulations dans le ventre de son copain.Quelques secondes plus tard lorsqu’elle sent qu’il va éjaculer, elle se maintien contre lui, son nez enfoui dans ses poils pubiens. Le premier jet de sperme va directement dans sa gorge et elle saisit immédiatement ses bourses dans une main. Les giclées suivantes remplissent sa bouche pendant qu’elle tient ses bourses qui sursautent à chaque giclée.Elle relâche ses couilles et sa petite bite glisse hors de sa bouche. Très excitée, elle le regarde avec sa bouche grande ouverte remplie de sperme, elle touille son jus avec sa langue puis elle avale tout comme si elle déguste sa liqueur préférée. — Oh, c’est trop bon et t’as été super coquine.— Je suis contente que ça t’ait plu.— Tu m’as complètement vidé, j’ai envie de dormir dans tes bras maintenant.— T’es trop mignon. Mais tu as un cours ce soir.— Quelle idée de mettre des cours de 18 à 20 heures… Grogne-t-il.— C’est vrai que c’est chiant. Je vais passer ma journée toute seule…— Tu sais quand Julie rentre ?— Non. Elle a beaucoup à faire dans son ‘cours particulier’. Dit-elle en faisant des guillemets avec ses doigts.
*** En parlant de Julie, elle est actuellement en plein cours particulier avec Bastien. Elle fait travailler ce dernier, qui résout des équations mathématiques se trouvant… Au fond de sa chatte. — Han ! Han ! Hannn ! Ahh ! Hannn ! Aaaahhh ! Contre la table, Julie est férocement baisée en levrette. Ses mains y sont posées.Bastien la domine, en tenant sa queue-de-cheval blonde dans sa main, pour la tirer à sa guise. Il n’hésite pas à bien lui mettre sa tête en arrière de temps en temps.Son énorme poitrine se balance au rythme effréné des coups de hanches. Elle valse en avant pour revenir rebondir sur son buste en émettant un joli petit bruit de claquement.Mais il n’y a pas que ça qui claque. Ses couilles contre sa chatte ou encore ses hanches contre son cul. Il y a de quoi faire du bruit !Sa bite réalise de fabuleux va et viens. Bien fort, bien intense, bien profond.Tout ce que Julie adore.Elle gémit de bien belle manière et commence à atteindre le plaisir ultime.Excité de voir les mouvements de ses seins, Bastien passe sa main libre occupée à lui asséner quelques claques bruyantes juste avant, sur sa paire d’obus. Il touche le sein disponible, le caresse, le malaxe. Passe devant pour avoir le mamelon avec son téton tout dur en main.Il voit immédiatement que ça fait réagir la jolie blonde. Il va alors intensifier ses gros coups de pine en torturant ses tétons. Et tout simplement, la faire jouir. — OHHHHH ! OUIIIIIIIIIII ! AAAAAAHHHHHHHHH… Il retire sa queue pour ne pas risquer de jouir avec elle, mais il ne veut pas en rester là. Il la retourne, pose son cul sur la table, soulève ses cuisses et les maintiens bien écartées et c’est elle qui guide sa queue dans sa chatte trempée.Les fesses sur la table, elle se fait baiser en se tenant sur ses mains pour ne pas s’allonger. Elle garde un contact visuel avec son jeune et vigoureux baiseur et surtout sur sa queue qui rentre et sort de sa chatte en chaleur.Quels yeux elle a ! Un vrai regard de salope dans ses yeux gris.Il grogne en la regardant comme ça, à se lécher les lèvres tout en gémissant.Il chope un de ses nichons et le pétrit en posant la paume de sa main directement sur son mamelon, écrasant son téton.Il voit son visage rempli de provocations se déformer avec des grimaces de plaisir.Cela l’excite encore plus. Il se retire de sa petite chatte dégoulinante de jus et c’est elle qui le pousse sur la chaise pour se positionner sur lui et s’empaler sur son sexe dressé.Sa belle prof blonde sautille comme une folle sur son pieu tout raide et tout dur.Il voit ses fabuleux seins rebondir ou valser suivant ses mouvements sur sa bite et écoute avec un plaisir salace ses cris de plaisir. — Ah! Hann! Ouiiii! Putain! Que ta bite est bonne ! Ooohhhh… Le jeune Bastien profite bien des cours que Julie lui donne, surtout pour les exercices pratiques et les merveilleuses sensations que sa chatte offre à sa bite toujours prête a la satisfaire.Les yeux mi-clos, il grogne de plus en plus fort, de plus en plus rapidement, et Julie comprend bien que c’est la fin pour lui. Elle se déhanche encore plus fort, contracte les parois de sa chatte bien fort sur sa queue. Une fois qu’elle sent que sa jouissance est imminente, elle saute en arrière et se retrouve agenouillée devant lui, sa bite dans sa main. — Tu veux gicler comm… blorp ! Elle n’a même pas le temps de finir sa phrase qu’il lui a chopé sa queue-de-cheval pour enfoncer entièrement sa bite dans sa petite bouche. Elle l’a senti glisser dans sa bouche à une vitesse folle, qu’elle en écarquille les yeux et se retrouve avec un pubis contre ses yeux et les poils de son sexe dans ses trous de nez.Et une belle bite avec un gros gland logé dans sa gorge, bien évidemment.La seconde qui suit, six jets de sperme bien gluants sont éjectés de sa queue, direction son estomac. Il lâche l’emprise qu’il a sur ses cheveux et elle remonte sa tête doucement, crachant sa queue de sa bouche, en toussant légèrement. — La prochaine fois, ce sera sur ton visage. Dit-il d’une voix plus calme.— Sûrement pas ! Si tu veux souiller mon visage de salope, il faudra me ramener une très bonne note à ton prochain contrôle. Il sourit et amène sa bite à la bouche de la blonde. Elle sort sa langue et l’enroule tendrement autour du gland de sa queue qui commence à ramollir. A son âge, il ne faut pas grand-chose pour qu’il rebande, mais le cours particulier est terminé. — Bon, on va se rhabiller vite fait, car tes parents vont bientôt être de retour. **** Mélissandre est sur son canapé. Elle est toute seule depuis trente minutes et s’ennuie à mourir. Julie ne va pas rentrer de sitôt, comme son copain.Alors qu’elle est en train de pianoter sur son téléphone tout en regardant la télé, on toque à la porte. Mélissandre est surprise, cela la fait même sursauter. — Julie est déjà de retour ? Mais pourquoi toc-t-elle ? Elle a oublié ses clés ? Elle se lève et va ouvrir la porte à son amie. La surprise s’abat sur la jeune femme. Car, il ne s’agit pas de la sulfureuse blonde qui partage l’appartement avec elle.Non. Devant elle se trouve une femme, la quarantaine passée. Très belle et très élégante, mais surtout très ferme dans l’expression de son visage. Il n’y a pas à dire, cette femme en impose. Une longue chevelure noire lisse valsant sur son dos et ses épaules. Le teint hâlé de sa peau montre qu’elle vient du sud de l’Europe. Elle est habillée d’une jupe noire avec des collants de la même couleur, un chemisier blanc en haut avec une veste noire. Une tenue sexy, mais professionnelle, cette femme doit revenir de son boulot.Mélissandre peut voir de la lingerie bien sexy sortant du décolleté du chemisier blanc. En dessous, une assez grosse poitrine mensurée 95D se trouve joliment mise en valeur. Mélissandre ne sait pas comment réagir. Plusieurs émotions parcourent son esprit. De la colère, de la haine, de la peur, car il ne s’agit pas d’une inconnue, loin de là.Il s’agit de Francesca, la maman de son petit ami Angelo avec qui il ne parle plus du tout depuis plusieurs mois. La raison elle est très simple. Le Jeu pervers de Manuel. Lors de leur terminale, Angelo a participé à un jeu avec son meilleur ami Manuel, un grand séducteur. Il a parié qu’il peut baiser 5 femmes avec des niveaux croissants de difficulté. Et ce fut une réussite pour lui, mais pas pour Angelo. La maman du pauvre Angelo est passée la première avec le niveau un, littéralement le niveau débutant. Son meilleur ami lui a même dit que sa mère est vraiment en manque d’homme et que la baiser a été la chose la plus simple à réaliser. Après ce jeu pervers, tout est parti de travers. Mélissandre a découvert la supercherie, car c’était elle au niveau 4. Son couple avec Manuel etant qu’un pur mensonge servant à polir l’ego de ce connard. Tant de tromperies découvertes et pour clore les perversions de Manuel, Francesca est devenue sa petite pute personnelle. Bien évidemment elle n’aime plus son premier petit-ami, elle le hait, mais voir la salope qui a autant baisé avec lui durant son couple, sans se soucier d’elle, ça lui donne une colère noire.Mais une peur est également présente dans ses sentiments. Elle reste une femme à fort caractère (du moins, avec les femmes) et c’est la mère de son petit-ami actuel. Si elle est là, Mélissandre redoute des problèmes qu’elle peut apporter. — Bonjour Mélissandre. Dit-elle sèchement.— …— Je veux voir mon fils. Elle ne parvient même pas à répondre à son bonjour, puis se reprend. - Il n’est pas là.— Quand rentrera-t-il ?— Cela ne vous regarde pas.— Ne commence pas à jouer à la petite peste avec moi. Et réponds à ma question !— Comment osez-vous me faire la morale et me donner des ordres ? Vous n’êtes qu’une trainée qui baise avec mon ex. Ça ne vous a pas dérangé qu’il soit en couple avec moi pendant qu’il vous baisait ?— Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu es amoureuse de mon fils ou de lui ?— Cela n’a rien à voir. Vous êtes mal placée pour venir me faire la morale alors que vous vous comportez comme une trainée avec Manuel. Et je suis polie. Alors vous n’avez pas à me parler comme ça !— Je vois que la petite intello essaie de sortir les crocs, c’est mignon. Ricane-t-elle.— Vous lui avez fait beaucoup de mal. Il ne veut ni vous voir ni vous parlez. Et cela, je n’y peux rien.— Je reste sa mère quoiqu’il arrive.— Vous êtes la chienne sexuelle de son ancien meilleur ami, quoi qu’il arrive.— C’est là où tu fais erreur, madame je sais tout. Je l’ai viré l’autre con.— Vous avez été sa petite pute et quoiqu’il arrive maintenant ça ne change rien au mal que vous lui avez fait.— Tu joues à la grande fille, mais tu n’es encore qu’une gamine ! Tu n’as rien connu dans ta misérable petite vie. Je compte bien récupérer mon fils, que ça te plaise, ou non.— Et je compte bien passer ma vie à ses côtés et sans vous ! Donc, on a un gros problème, Madame.— Tu ne m’arrêteras pas.— Oh, ce ne sera pas moi qui vous en empêcherai. Vous êtes sa mère, c’est à lui de décider. Je lui dirais que vous êtes passé et que vous souhaitez le voir. Mais ce sera sa décision. Maintenant, au revoir. Mélissandre lui claque sa porte au nez à la grande de l’Italienne, qui doit reculer pour que le bois de la porte ne vienne pas frapper sa volumineuse poitrine. Pendant une heure, Mélissandre a fait les cent pas dans son petit appart d’étudiant. Elle a beaucoup réfléchi. Francesca dit-elle la vérité ? Elle a vraiment viré Manuel ? Ou n’est-ce qu’un mensonge ? Veut-elle réparer ses erreurs ? Elle a été quand même assez agressive pour quelqu’un qui veut recoller les morceaux… Bref, une fois la blonde pulpeuse rentrée à l’appart, elle lui fait un grand résumé de ce qu’il vient de se passer. — Elle n’est vraiment pas bien celle-là !— Tu penses qu’elle est honnête ?— Franchement, je n’en sais rien. L’agressivité que tu m’as décrite est vraiment mauvais signe. Si elle dit vrai par rapport à son fils et la fin de sa liaison sulfureuse avec Manuel, elle semble te considérer comme son ennemie pour reprendre contact avec son fils. Ce qui est sûr, c’est qu’elle ne reconnaît pas ses propres erreurs.— Il va avoir de la peine…— La vie est dure. C’est comme ça. Mais n’ait pas peur de le perdre, il est bien plus mature et intelligent maintenant.— Tu as raison.— Mais tu sais quoi… J’ai une idée. On va savoir si c’est toujours une chienne en chaleur et si elle est encore avec Manu. Je vais demander à Dimitri de la séduire et de la baiser.— T’es sérieuse ?— Ouais. Mais, évite d’en parler à ton chéri d’amour. Comme ça, on verra si elle est toujours aussi salope et soumise, si elle est toujours sa propriété. Et entre nous, s’il peut la mettre K.O comme il m’a fait, ça serait bien mérité ! Les deux jeunes femmes passent leur soirée ensemble avant l’arrivée d’Angelo, de retour de son cours.Une nuit bien étrange dans la tête des tourtereaux.
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