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La vie de Miessou

Chapitre 3

TRAV EN PUBLIC

Travesti / Trans
TRAVESTI EN PUBLIC
J’étais toujours attiré par les vêtements féminins ; j’en portais régulièrement sauf pour aller à l’école. Quand j’étais en extérieur à mon job ou pour faire mes courses ou que je m’occupais des tâches ménagères, je portais la plupart du temps des blouses et des jeans femme, mais qui ressemblaient à ceux des hommes, mais avec des culottes féminines. Ce que j’appréciais tout particulièrement, c’était les salopettes. Au niveau des pantalons, j’en avais de toutes les formes, des très amples aux plus moulants, sans pour autant tomber dans les leggings.
Ce n’était que dans ma chambre installée au grenier où je savais que je ne risquais pas d’être surpris, la marâtre d’Émeline et ses filles ne montant jamais au grenier que je portais des robes et des jupes. Ce que je faisais de plus en plus souvent.
Quelques fois en hiver, il m’arrivait de porter des pantalons nettement fille avec fermeture latérale ou avec fermeture à pont ; j’avais même déjà porté des jeans avec fermeture zippée dans le dos. C’était avec ce genre de tenue passée au-dessus de sous-vêtements féminins comprenant bas, jarretelles et soutien-gorge que je me rendais dans les magasins de vêtements du centre commercial pour déambuler dans les rayons de vêtements aussi bien homme que femme et que je passais en cabine d’essayage pour essayer quelques vêtements homme ou femme. Les magasins que je préférais étaient ceux où les cabines d’essayage étaient fermées par un rideau plutôt que par une porte, le risque plus grand d’être surpris rendant la chose plus excitante. C’était aussi vêtu de la sorte que je rendais à la piscine et que je me changeais en cabine toujours sans verrouiller la porte, ceci rendant la chose plus palpitante.
Certains soirs, la nuit tombée, je m’habillais totalement comme une fille avec soutien rembourré avec des ballons remplis d’eau, bas, jarretelles et culotte, un haut très féminin et des bottes à talons de six centimètres. Je plaçais une jupe, une perruque dans un petit sac à dos. Je me passais ensuite un pantalon très large qui passait très facilement au-dessus des bottes. Avec un sac à main en bandoulière, il ne me restait plus qu’à passer une petite doudoune noire qui m’arrivait à mi-cuisse et voilà j’étais prêt à sortir. Je me rendais alors le long d’une grand-route, sous le pont du chemin de fer où derrière des bosquets, à l’abri des regards, où je n’avais qu’à enlever mon pantalon, me passer la jupe et mettre ma perruque. Complété par une paire de lunettes féminine, j’étais prêt pour pouvoir me balader en fille. C’était excitant de se balader ainsi en rue, de croiser des voitures, de croiser des gens au risque d’être reconnu.
Quand la belle saison arrivait, je sortais de la même façon, sauf que j’étais en short sandales et sans bas et jarretelles. Pour me transformer, je plaçais mes rembourrages dans mon soutien, je remplaçais mon short par une minijupe, et je mettais des sandales femme à talons de trois centimètres.
Pour rentrer à la maison, je faisais la transformation inverse, quoique quelquefois, il m’arrivait de rentrer habillé en fille. Ces fois là, je faisais plusieurs fois le trajet de toute la longueur de la rue pour être bien certain que personne ne se trouvait en rue, surtout pas des voisins et que toute la maisonnée était endormie. Alors je passais le reste de la nuit dans ma cuisine à la cave dans un fauteuil plutôt que de monter à ma chambre au grenier par l’escalier de service dont les craquements auraient pu éveiller des soupçons.
A mes 21 ans, je fus forcé de quitter la maison, et j’avais donc dû trouver un emploi au soir pour pouvoir louer un tout petit appartement minable sous les toits et continuer mes études, afin de pouvoir décrocher un diplôme de comptabilité. L’appartement était constitué de deux pièces, d’un grenier, une petite salle d’eau installée sur le palier ; les fenêtres étaient pratiquement inexistantes, un œil-de-bœuf dans une pièce, une petite fenêtre de toit dans le grenier et une tabatière dans la seconde pièce. Normalement, il n’y avait pas de possibilité de s’y faire domicilier, mais par combinaison et astuce avec le propriétaire, je réussis à m’y faire domicilier. Le bâtiment étant en restauration, je fournis une aide au propriétaire dans les travaux d’aménagement et ainsi le grenier, après quelques travaux d’isolation et de peintures réalisés par mes soins fut transformé en une pièce de séjour.
L’appartement était devenu spacieux et très agréable, sauf à la mauvaise saison, car la seule source de chaleur était un poêle au fioul installé dans la pièce qui me servait de séjour. Mais comme je n’avais pas dû donner de caution, que le loyer était modique et que l’appartement était meublé, je m’y sentais bien. Par la même occasion, j’avais gagné plus de liberté et je pouvais maintenant m’adonner plus facilement au travestissement. Tous les jours, lorsque je rentrais de l’école ou du travail, je changeais de personnage et je me transformais en fille. Ma tenue était à ce moment toujours jupe ou robe ; je gardais les pantalons pour pouvoir sortir en rue en pleine journée. Petit à petit, je commençais à m’enhardir et à aller de plus en plus loin dans les sorties en travesti.
Il m’arrivait parfois, et cela devenait de plus en plus fréquent, de sortir de nuit de mon appartement travesti, avec toujours l’anxiété de rencontrer un des habitants des quatre autres appartements dans les parties communes. La première fois que cela arriva, j’étais en train de descendre les escaliers dans une tenue féminine assez classique quand le couple qui habitait au deuxième étage montait ; je me trouvais sur le palier en arrêt presque tétanisé. Quand ils passèrent devant moi, ils me dirent simplement « Bonsoir Mademoiselle », ce à quoi moi je répondis d’une voix tremblante « Bonsoir ». En fait j’étais passé totalement inaperçu.
Cet épisode me poussa à aller plus loin, comme je n’apparaissais pas comme un objet de curiosité quand je me baladais en rue, comme mes voisins n’avaient eu aucune réaction, je me disais que rien ne s’opposait à essayer de sortir travesti en pleine journée.
La suite : Sortie au grand jour
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