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La vie de Miessou

Chapitre 4

PREMIERES SORTIEs EN PUBLIC

Travesti / Trans
ETAPES DE LA SORTIE EN TRAVESTI.
Pour aller plus loin, il me fallait sauter le pas. Un jour de novembre, voulant sortir en journée en fille, j’avais décidé de tester mon travestissement dans une ville assez éloignée. Je m’étais donc habillé avec des dessous ordinaires culotte et soutien-gorge, un collant tricot bordeaux, un body à col roulé noir et une salopette-short de fille en jeans bleu ciel. J’avais passé par dessus un pantalon en jeans qui avait à peu près la même couleur, et j’avais mis mes bottes brunes à talons de quatre centimètres sous mon pantalon. J’avais emporté un sac à dos dans lequel étaient placés ma trousse de maquillage, du démaquillant, ma perruque châtain, un sac à main avec tout ce qu’il pouvait contenir de féminin ; comme veste, j’avais opté pour une doudoune noire qui arrivait à mi-cuisses qui se fermait du côté fille, mais qui était assez passe-partout. J’avais également emporté deux ballons remplis d’eau qui devaient remplir mon soutien-gorge.
Je m’étais passé ma doudoune noire de femme très sobre et je me suis rendu à la gare pour prendre le train pour mon escapade.
A l’avant-dernier arrêt, je me levai de ma place comme si je devais descendre du train et je me dirigeai vers les toilettes où j’opérai ma transformation. J’avais un certain nombre d’actions à accomplir sur une durée d’un quart d’heure : retirer mes bottes, enlever le jeans, renfiler mes bottes, baisser ma salopette-short, ouvrir mon body, mettre les ballons d’eau dans mon soutien, rabaisser et fermer mon body, remettre ma salopette-short, me maquiller et me passer la perruque. Ce fut juste et à l’arrivée, ce fut en femme que je descendis du train avec un sac à main en bandoulière et mon sac à dos sur l’épaule. Ce dernier étant plutôt encombrant, je décidai de le laisser à la consigne de la gare. Déambulant dans la gare, personne ne prêta attention à moi ; en fait j’apparaissais comme une voyageuse tout à fait ordinaire.
Je passai ma journée à arpenter les boutiques, en particulier les rayons femme des magasins de vêtements. Le personnel des magasins était très cordial avec moi et me disait « Si vous avez besoin d’un conseil madame, n’hésitez pas. » Y passant totalement pour une femme, je pus à loisir regarder et toucher ces vêtements féminins sans devoir prendre de précautions particulières pour me dissimuler comme je devais le faire quand j’étais habillé en homme. Je pouvais prendre plusieurs pièces de vêtements et aller les essayer en cabine, et sortir de celle-ci pour m’admirer dans une glace au vu et au su de tous. Les femmes ne faisaient guère attention, mais j’ai quand même pu voir quelques maris qui me regardaient discrètement avec un petit air malicieux pendant que leur femme était en cabine. Le summum du plaisir était de pouvoir se promener dans les rayons de lingerie sans être pris pour un vicieux ou un pervers.
Au déjeuner, je me rendis dans un fast-food et j’en profitai pour me rendre aux toilettes ; là je faillis me trahir en avançant naturellement vers celles des hommes, mais je me repris et ce fut chez les femmes que je pus soulager ma vessie. L’après-midi, se passa à encore faire du shopping et finalement, j’achetai quelques pièces de vêtements : une robe en coton, style army, boutonnée sur le devant, une jupe en jeans bleu foncé zippée sur le devant de haut en bas et une petite veste-chemisier en jeans bleu ciel.
C’est avec ces paquets que je retournai à la gare pour prendre le train du retour. Après avoir récupéré mon sac à dos, j’y plaçai mes achats et pris le train pour rentrer. Comme à l’aller, pas de soucis, tout le monde devait me considérer comme une fille et je restai habillé ainsi jusqu’à l’arrivée du train au terminus. Là le wagon était vide et le train restait à quai cinquante minutes, ce qui me laissait bien le temps pour reprendre mon apparence masculine afin de rentrer chez moi.
Cette première sortie, somme toute assez sage et assez réussie, m’avait donné confiance en moi et avait permis d’étoffer un peu ma garde-robe. Je n’allais pas en rester là.
Quelques semaines plus tard, j’avais décidé d’aller faire un tour au centre commercial d’une ville voisine. Partant assez tôt quand il ne faisait pas encore très clair, je m’étais habillée, maquillée légèrement, vernis les ongles avant de partir. J’avais décidé de mettre mes bottes à talons carrés de six centimètres sous mon pantalon et les bonnets du soutien-gorge déjà remplis par les ballons, le sac à main sous le manteau, comme ça je n’avais plus qu’à enlever mon pantalon, passer ma jupe et poser ma perruque sur la tête dans les toilettes publiques de la gare pour sortir en femme.
J’accomplis ce que j’avais prévu ; et après être passé aux toilettes, je me rendis au guichet acheter mon billet. Après avoir mis mon sac à dos avec mon pantalon à la consigne et me rendis sur le quai pour prendre le train. Dans les escaliers et en montant dans le train, certaines personnes eurent certainement la possibilité de voir sous ma jupe pouvant admirer mes dessous, culotte noire en dentelle, les jarretelles et mes bas. Ce fut une découverte excitante pour moi de pouvoir être vue par dessous en public. Ce jour-là, je me baladai dans le centre commercial et je prenais un malin plaisir à me balader à proximité du puits de lumière, ce qui devait, en toute logique, permettre aux quidams du niveau inférieur d’avoir une vision en contre-plongée de mes dessous.
Ce jour-là, je fis plusieurs magasins où je fis semblant d’être intéressé par des objets qui se trouvaient en bas de rayon. Ce qui fit qu’en me baissant, on apercevait le haut de mes bas et mes jarretelles et peut-être aussi mes fesses ; ou alors, je m’accroupissais en écartant les jambes pour regarder ce qui se trouvait en bas de rayon et c’était tout le haut de mes cuisses et mon entrejambe que l’on pouvait voir. Evidemment, certains ne durent pas se priver de profiter du spectacle. Dans une grande boutique de chaussures, j’essayai quelques paires de bottes, là aussi, à chaque essayage, ma jupe se relevait un peu dévoilant mon intimité. Il y eut même un jeune homme dans le magasin qui me suivit pour m’épier et je voyais bien qu’il se cachait pour m’observer. C’est avec un malin plaisir que je parcourrais les rayons et que j’essayais des bottes, relevant ma jupe toujours un peu plus que nécessaire.
La meilleure vision qu’il put avoir, fut quand je me décidai à essayer des cuissardes qui remontaient jusqu’à mi-cuisse ; là j’avais complètement relevé ma jupe à ras de la touffe lui dévoilant toute ma lingerie de mon entrejambe. En sortant du magasin, je me rendis compte que je lui avais fait un effet bœuf, car au vu de la bosse qui déformait son pantalon, il devait bander comme un cerf en rut.
Je me rendis ensuite dans un autre magasin de chaussures, j’avais repéré à la vitrine une jolie paire de bottes brun foncé lacées sur le devant à talon de deux centimètres en taille 41. La vendeuse me proposa de les essayer et de les ajuster à la taille de mes mollets. Je dus donc m’asseoir sur un tabouret et la jeune vendeuse s’accroupit devant moi pour me les enfiler, une fois la tirette fermée, elle commença à resserrer les lacets. De ce fait, elle avait certainement une vue sur mes dessous, c’était très excitant pour moi, elle ne semblait pas plus interloquée que ça. Je me demandais seulement si elle était capable de deviner ce qui se cachait dans ma culotte. Je supposai que rien n’avait transparu, car, après m’avoir déchaussé et rechaussé de mes bottes, elle m’amena à la caisse, et après avoir encaissé, elle me salua d’un « Au revoir mademoiselle et bonne fin de journée ». En me faisant un petit clin d’œil.

Je ne savais pas si elle avait vu ce qui se cachait réellement sous ma jupe, mais en tout cas, cela ne semblait pas l’avoir choquée.
C’était avec mon paquet que je repris le train et que je rentrai de manière tout à fait naturelle. A l’arrivée, je récupérai mon sac à dos à la consigne et je me rendis aux toilettes pour retirer ma perruque et échanger ma jupe contre mon pantalon. Le jour commençait déjà à baisser quand je quittai la gare pour rentrer chez moi. Comme il faisait déjà assez sombre, personne n’avait remarqué mon maquillage et mes bottes à talons hauts et j’étais donc rentré chez moi tout à fait normalement.
Je constatais donc que personne ne remarquait mon travestissement et que de ce fait, j’avais très peu de risque d’être reconnu. Néanmoins, j’avais toujours une certaine appréhension à sortir de chez moi, habillé en fille. Je décidai donc de sortir dans ma ville, habillé en fille, mais toujours en changeant d’apparence dans un lieu extérieur à mon domicile.
Cette fois c’était décidé, j’allais sortir dans ma ville, habillé en fille. Pour me changer, j’avais trouvé la solution, il fallait juste que je passe à la piscine. Voilà j’allais sortir de chez moi avec mon sac de sport dans lequel j’avais placé mes vêtements féminins, les accessoires et tout le nécessaire de maquillage. J’avais passé mes nouvelles bottes sous mon pantalon, enfilé ma doudoune et ainsi équipé, j’étais prêt à partir pour la piscine. A l’arrivée, la première partie du programme était déshabillage, puis une petite heure de natation et sortie de l’eau.
Pour la deuxième partie du programme, je me rendis aux cabines, je commençai par me sécher, puis je passai mes sous-vêtements. J’avais ce jour-là opté pour un ensemble blanc composé d’un soutien, un serre-taille à six jarretelles, une culotte en nylon blanche et des bas blancs. Puis je sortis ma trousse et procédai au maquillage ; un peu de fard à paupières, souligner le contour de mes yeux au crayon, me mettre du fond de teint et me passer un discret rouge à lèvres. Cela prit un certain temps et mes cheveux avaient déjà bien séché, je terminai donc par la mise en place de ma perruque avant de passer mes vêtements, mon chemisier en jeans, mon cardigan et une jupe droite beige qui descendait à mi-mollet et complètement boutonnée sur le devant. Il me fallut replacer mon sac avec mes vêtements dans un casier dont je gardai la clé. Enfiler sa doudoune et voilà, je sortais en fille dans ma ville pour la première fois.
Je me dirigeai vers le centre commercial situé non loin de la piscine pour faire le tour des boutiques de vêtements.
Au centre commercial, je flânais dans plusieurs boutiques, je regardais les vêtements proposés mais ne trouvais rien à mon goût et malgré plusieurs essayages, je repartis bredouille. J’avais croisé durant cette escapade plusieurs personnes que je connaissais de vue. Je me demandai si elles allaient me remarquer, mais même en les croisant de près plusieurs fois, elles ne remarquèrent rien. Moi-même je ne me reconnaissais pas quand je me voyais dans un miroir. La perruque, le maquillage, la jupe et les lunettes faisaient bien illusion. J’étais vu comme une femme.
Poursuivant sur ma lancée, je me rendis au fast-food pour manger un petit quelque chose, là aussi je croisai des jeunes que je connaissais de vue, mais aucun ne put soupçonner qui se cachait sous ma tenue.
Une fois ma collation avalée et après être passé aux toilettes pour dames (pas d’hésitation cette fois-ci), je décidai de me rendre dans le centre-ville pour continuer mon shopping. Je fis plusieurs magasins qui vendaient un peu de tout où je pus acheter quelques produits de maquillage, divers rouge à lèvres de couleur très prononcée et divers vernis à ongles. Je me rendis aussi dans une boutique de parfum où je m’offris un petit flacon d’eau de toilette aux senteurs très féminines. Dans un autre magasin, je m’achetai des produits d’hygiène féminine, un flacon de crème lavante pour les parties intimes et une boîte de tampons avec applicateur. Au moment de passer en caisse, un de mes condisciples de classe se trouvait juste derrière moi, je craignais de me faire démasquer, mais en fait il n’avait rien remarqué et après avoir payé le plus naturellement du monde, je sortis tout à fait normalement.
Et pour terminer cette journée en ville, je passai dans une boutique de lingerie, où je pus tout à loisir examiner, toucher des dessous féminins tous plus affriolants les uns que les autres. Finalement après une heure de déambulation dans les rayons, j’avais choisi un petit ensemble guêpière blanc avec tanga assorti.
L’heure était déjà bien avancée, et il me fallait encore retourner à la piscine pour récupérer mes affaires, il y en avait bien pour un bon quarante-cinq minutes de marche. En arrivant à la piscine, je présentai mon abonnement au préposé. Je rejoignis immédiatement la rangée de cabines qui se trouvaient juste face aux casiers. Je dus attendre un peu que le couloir fut libre, je sortis en vitesse récupérer mon sac dans le casier et je rejoignis ma cabine. Là j’ôtai ma perruque, me démaquillai, ôtai ma jupe pour passer mon pantalon et remis mes bottes sous celui-ci. J’avais retrouvé mon apparence d’homme. Ce fut ainsi que je rentrai à mon domicile.
Cette excitante journée, riche en émotions, s’étant agréablement passée, je renouvelai plusieurs fois l’expérience et prenant de plus d’assurance, je décidai d’encore d’aller encore un peu plus loin.
Cette fois-là, j’avais décidé de me rendre à la piscine à son heure d’ouverture et de me baigner en fille. Pour ce faire, j’avais essayé les deux maillots une pièce tout à fait classique pas trop échancrés que j’avais : un bleu foncé et un bleu ciel. Le problème c’était que même avec le bleu foncé qui serrait plus, mes parties génitales étaient trop visibles et aller ainsi était impossible. Finalement j’avais trouvé la solution en tirant mon sexe et mes testicules vers l’arrière et en recouvrant le tout avec du large sparadrap. Seul un petit bout de mon sexe restait libre afin de pouvoir uriner. Je passai donc le maillot bleu foncé et m’habillai, chemisier, gilet, pantalon, socquettes et boots crème à talon de quatre centimètres, passé ma doudoune et me voilà parti avec mon sac de sport qui contenait tout le nécessaire pour ma transformation.
Arrivé à la piscine, je me rendis aux cabines du fond, les plus proches des casiers, mais aussi les plus larges et je me déshabillai ; une fois nu, un rapide maquillage fond de teint, fard à paupières et un peu de mascara. Il était inutile d’en faire trop, tout allait quand même être à recommencer après. Je me passai un bonnet de bain de fille rétro avec des fleurs en plastique sur la tête, je sortis, mis mes affaires dans un casier et je filai sous la douche. Plusieurs personnes, hommes comme femmes étaient déjà occupées de se doucher et je passai tout à fait inaperçu au milieu d’eux. Même si je n’avais pas de forme au niveau de la poitrine, personne ne fit vraiment attention à moi. Ils devaient supposer que je devais être une de ces jeunes femmes qui n’avaient pas développé de poitrine.
Après la douche, j’eus besoin d’aller aux toilettes, direction les W-C des femmes, j’abaissai mon maillot et vidai ma vessie en étant abaissé au-dessus de la cuvette sans m’asseoir sur celle-ci, comme les femmes aux toilettes publiques. J’essuyai la petite goutte qui restait accrochée à mon sexe, remis mon maillot et sortis me laver les mains. Aux lavabos, je croisai, dans la plus complète indifférence, une femme qui se lavait aussi les mains.
Ayant nagé pendant près d’une heure au milieu de plein d’autres personnes qui ne remarquèrent rien, il commençait à y avoir assez bien de monde, je décidai donc de sortir de l’eau. Après un passage à la douche pour se laver, je repartis aux cabines après avoir récupéré mon sac. J’enlevai mon maillot et mon bonnet et je me séchai avec une grande serviette rose. Ceci fait, je commençai par passer des dessous vintages composés d’un serre-taille bordeaux à huit jarretelles, d’une culotte et d’un soutien assortis et je mis en place mes ballons remplis d’eau. Je me passai des bas couleur chair que j’attachai aux jarretelles. Je me plaçai ensuite une perruque blonde sur la tête, avant de me passer mes vêtements. Pour accompagner mon chemisier et mon gilet, j’avais opté cette fois-ci pour une jupe droite boutonnée sur le devant qui descendait juste au-dessus du genou.
Une fois mes boots aux pieds et mes affaires rangées dans mon sac, je sortis de la cabine et me rendis aux lavabos où des miroirs permettaient de se maquiller. J’y effectuai un maquillage complet et ainsi prêt, je sortis de la piscine. Comme j’avais une certaine soif, je me rendis à la cafétéria où je commandai une limonade. Là aussi, je passais pour une jeune femme tout à fait ordinaire. Après avoir bu mon verre, je me rendis aux toilettes. Celles-ci se trouvaient au sous-sol de la piscine, et dans les couloirs, je croisai un certain nombre de personnes qui simplement me gratifièrent d’un « Bonjour ». Aux toilettes, je relevai ma jupe, abaissai ma culotte et je m’abaissai à nouveau au-dessus de la cuvette, car je n’avais pas encore ôté le sparadrap qui cachait mon sexe. Après cet exercice d’équilibriste, je sortis du complexe sportif et décidai de faire un petit tour en ville.
J’avais ce jour-là résolu de me trouver quelques tenues sexy pour la nuit. J’étais donc rentré dans une grande surface qui vendait des vêtements. J’avais parcouru les rayons des vêtements de nuit, en regardant avec attention tout ce qui était présenté comme robes de nuit et j’avais repéré plusieurs petites robes de nuit avec des bretelles spaghetti. J’en avais pris plusieurs et je passai aux cabines d’essayage. La préposée aux cabines me dit en arrivant, « Bonjour Madame, si la taille ne vous convient pas, je puis aller vous en chercher d’autres. N’hésitez pas. » Finalement, je jetai mon dévolu sur une petite robe de nuit rose qui m’arrivait à mi-cuisse et qui était assez sexy, quoique tout à fait classique.
Après être sorti du magasin, je passai devant un magasin qui vendait de la lingerie. En vitrine, il y avait une petite nuisette en satin que je trouvais particulièrement belle. Je ne pus pas résister, rentré dans le magasin, et je me rendis aussitôt vers le rayon des tenues de nuit. J’avais essayé plusieurs modèles avant de finalement choisir une petite nuisette en satin noire avec de la dentelle. C’était une tenue hyper-sexy.
En sortant, de ce magasin, je décidai de faire un tour dans une grande enseigne qui vendait des chaussures. Je n’avais pas prévu quoi que ce soit, mais finalement, je flashai sur une paire de bottes noires à semelle en élastomère à talon légèrement surélevé et à lacets qui se mettaient dans des crochets sur la face avant et zip latéral. Pour les mettre, il fallait les enfiler et puis mettre les lacets dans les crochets. Ma jupe remontait pendant l’essayage des chaussures et plusieurs clientes purent ainsi avoir une vision bien nette de mes dessous. Je surpris le regard désapprobateur de plusieurs d’entre elles qui devaient me considérer comme une salope. Le regard des hommes par contre était plus lubrique ; l’un d’entre eux se fit même rappeler à l’ordre par sa femme qui lui dit : « Qu’est-ce que t’as à regarder cette pute ». A ce moment, je réalisai qu’en plus d’aimer me travestir, je prenais un réel plaisir à me montrer en public et même à montrer mes dessous.
Ce qui m’excitait surtout, c’était de me demander si les gens se rendaient compte de ce qu’il y avait réellement sous mes vêtements, ou alors s’ils avaient l’impression d’avoir affaire à une femme. Après avoir réglé mes achats, en sortant du magasin, j’entendis une cliente qui disait à la caissière « Vous avez vu ? Pour qui elle se prend celle-là ? C’est pas possible des filles comme ça ! »
Étant déjà bien chargée avec mon sac de sport et mes achats, je rentrai alors directement à mon appartement dans mes vêtements féminins. On était déjà le début de l’après-midi quand je fus arrivé chez moi. Au moment de mettre la clé dans la serrure, la porte s’ouvrit et je me retrouvai en face du couple locataire du troisième étage accompagné de leurs deux filles. Le plus naturellement du monde, je m’écartai pour les laisser passer et ils me gratifièrent d’un « Merci. Bonne après-midi mademoiselle ».
Pour moi, c’était clair désormais, toutes mes expériences le prouvaient, je pouvais sans problème passer pour une jeune femme et désormais, je ne devais plus craindre de sortir habillé de façon féminine.
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