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La vie de Miessou

Chapitre 5

SORTIES AU GRAND JOUR (1)

Travesti / Trans
SORTIES AU GRAND JOUR (1)
Cette fois c’était décidé, désormais, j’allais directement sortir directement habillé en femme. Bénéficiant de deux semaines de congé lors de ces vacances de Pâques, et ne travaillant pas les week-end, plusieurs sorties avaient été prévues. Et j’avais pris la décision de passer toutes mes vacances en femme. Le samedi fut consacré au nettoyage, autres tâches ménagères et rangement de mon appartement. Le dimanche matin, c’était repos. Après une grasse matinée, j’avais traîné jusqu’au début de l’après-midi juste couvert de ma petite nuisette en satin noir.
Le premier week-end des vacances, c’était la foire dans ma ville, voilà une bonne occasion d’aller se promener au milieu d’un tas d’autres gens le dimanche en fin d’après-midi. J’avais donc opté pour une tenue très girly, bien que tout à fait convenable.
J’enfilai donc un soutien-gorge blanc on ne peut plus classique, une culotte en coton blanc toute simple, un collant en nylon couleur chair. Comme dessus, je me mis un T-shirt noir et une petite jupe en jeans bleu ciel qui m’arrivait à mi-cuisses. Aux pieds je me passai mes bottes à petit talon, je refermai le zip et plaçai les lacets dans les crochets sur le devant.
Après, je m’attaquai au maquillage, fond de teint sur le visage, un peu de poudre rouge posée au pinceau sur les pommettes, un peu de fard brun foncé sur les paupières, un coup de crayon pour le contour des yeux, un peu de mascara noir pour les cils, crayon et mascara brun foncé pour les sourcils. Un beau rouge à lèvres rouge vif compléta ma tenue. Je posai ma perruque châtain foncé sur la tête et la fixai solidement à mes cheveux au moyen de quelques pinces à cheveux.
Avant de passer à la dernière étape, je me rendis vite aux toilettes pour être tranquille de ce côté-là pendant un petit temps. Ayant baissé mon panty et ma culotte, je m’assis sur les toilettes et fis un gros pipi. Je m’essuyai et avant de remonter mon panty et ma culotte, je posai dans cette dernière une serviette hygiénique.
Il ne me restait plus qu’à vernir mes ongles que j’avais volontairement laissé pousser plus long que d’habitude. Après les avoir taillés, je choisis un vernis rouge vif très proche de mon rouge à lèvres, j’appliquai le vernis et puis je me plaçai dans le fauteuil et regardai la télévision pendant une bonne heure, le temps que le vernis fut complètement sec.
Une fois le vernis complètement durci, je passai un petit blouson noir en jeans, je m’emparai de mon sac à main et je sortis pour me rendre à la foire. Je marchais en rue de la façon la plus naturelle et je croisai quelques garçons qui me regardèrent avec insistance, il y en a même un qui dit « T’as vu la meuf, elle est bonne. » Je faisais bien illusion. Ah, s’ils savaient !
Arrivé à la grande place, je me faufilais dans la foule et fis le tour des attractions. Ma tenue me permettait de me fondre dans la foule comme un anonyme. Je croisai plusieurs personnes que je connaissais, certains de mes condisciples et même certains de mes professeurs. Même de près ils ne me reconnurent pas, ma tenue faisait bien illusion, c’était très excitant et agréable. J’avais même croisé mes voisins du premier étage de mon immeuble avec leurs deux petits garçons sans susciter la moindre réaction.
Pour assouvir mon désir d’exhibition, je passai sur un premier manège LE PALAIS DES HORREURS où il fallait passer sur une passerelle au premier étage. Avec ma jupe assez courte, que j’avais un peu relevée, je pouvais supposer que d’en bas en contre plongée, on devait voir mes dessous.
Le second manège ce fut le GRAND FRISSON, on y était tous attachés dans une nacelle, les jambes pendant dans le vide, ma jupe remontée légèrement du fait que j’étais assis, j’exposais mon entrejambe à chaque fois que j’écartais les jambes. Ici c’est certain, ils devaient avoir vu ce que j’avais sous ma jupe, car en descendant du manège, j’entendis une jeune femme qui disait à l’homme qui l’accompagnait « Tiens, voilà la pute qui montre sa culotte à tout le monde. » Une série de personnes me regardèrent avec des yeux assassins, pendant que d’autres me dévisageaient en se disant sûrement « Je voudrais bien faire des trucs avec elle. »
Point n’était besoin de s’attarder dans ce secteur et je rejoignis un autre coin de la foire. Comme la soirée était déjà bien avancée, je me pris un cornet de croustillons. Ensuite, il était temps de rentrer à mon appartement, car j’avais prévu une autre sortie pour le lendemain.
Le lundi de Pâques étant un jour férié, je ne devais pas travailler ; j’avais donc prévu de sortir et de prendre une journée de repos. Comme le temps était exceptionnellement beau et chaud, j’avais décidé de passer une journée dans la nature et de faire un peu de bronzette.
Dans la ville voisine située à une dizaine de kilomètres, il y avait, un peu en bordure de ville, près du terrain de tennis, juste derrière une ancienne usine textile, un petit endroit discret en pleine nature que j’avais repéré et visité à plusieurs reprises. Il fallait traverser un terrain en friche pour y accéder, puis longer un petit bois et on arrivait à une espèce de clairière où on était caché de la vue de tout le monde.
Au départ de mon appartement, je sortis maquillée coiffée de ma perruque blonde. J’avais mis une jupe en jeans bleu foncé avec un zip sur toute la longueur devant qui m’arrivait sur les genoux et un petit pull noir ; par dessous, je portais une culotte noire et un soutien noir on ne peut plus classique et des collants en nylons noirs. Comme le matin il faisait encore assez frais, j’avais mis des bottes de pluie noire à haute tige à talon de 5 centimètres et le manteau blanc en similicuir.
Pour passer la journée, j’avais tout prévu dans mon sac à dos, d’abord, un grand essuie en éponge sur lequel je pouvais me coucher, ensuite un bikini classique orange à soutien-gorge classique. J’avais également pris de la lecture et de quoi boire et manger pour la journée. Ce fut habillée ainsi avec le sac sur le dos et mon sac à main en bandoulière que je me rendis à la gare. Je demandai un billet aller-retour et je pris le train en direction de K... Arrivé à destination, il me fallait encore marcher une bonne demi-heure pour arriver à la clairière.
Jusque-là, tout s’était déroulé à merveille, personne n’avait pu soupçonner que c’était un travesti qui se baladait. Arrivé à proximité du terrain final, je devais emprunter une petite route asphaltée qui longeait une voie rapide fortement fréquentée. Là je marquai un certain temps d’arrêt pour bien observer l’environnement afin de voir si personne ne flânait dans le coin. Mais seules passaient des voitures sur la voie rapide et peu de conducteurs devaient s’intéresser à ce qui se passait sur la petite route. Je pouvais donc en toute quiétude quitter la route pour me rendre dans la clairière. Pour arriver à ma destination finale, je dus traverser une zone de hautes herbes toutes humides de rosée du matin. J’avais été bien inspiré de mettre des bottes de pluie.
Après un petit quart d’heure de progression lente dans les hautes herbes et sur un terrain pas très plat, j’arrivai à la clairière. Bien dissimulé derrière des buissons, j’étais totalement invisible derrière cette végétation opaque. J’allais pouvoir profiter de toute une journée de repos à pouvoir faire la crêpe. En plein soleil, à 10h30, il commençait déjà à faire assez chaud, j’ai donc retiré mon manteau, mes bottes et mes collants et me suis passé une paire de sandales. J’en profitai que j’étais là pour me vernir les ongles des pieds avec le même vernis que celui des mains. A 11h30, la température avait encore monté, il faisait désormais trop chaud pour rester habillé, je me déshabillai totalement. Cela m’excitait assez excité de me mettre à poil en pleine nature. Je passai mon bikini orange dans lequel je replaçai mes ballons remplis d’eau pour donner à ma poitrine une forme généreuse.
Il fallait absolument éviter le coup de soleil, j’avais donc pris de la crème solaire et me tartina tout le corps avec. Je passais une journée de réel bien-être étendu sur ma serviette, présentant une fois la face, une fois le dos aux rayons du soleil. Vers 17h00, le temps commençait à rafraîchir, il était temps de se recouvrir. J’ôtai mon bikini et remis mes dessous féminins, j’enfilai mes collants et mes bottes, repassai mon pull et ma jupe. Je sentis à ce moment que je devais faire un gros pipi, je me rendis dans un coin de la clairière et après avoir relevé ma jupe, baissé mon collant et ma culotte, et je fis pipi accroupi comme une vraie femme. J’avais malheureusement oublié de prendre avec moi un mouchoir en papier, les dernières gouttes souillèrent donc pour ma culotte. Vers 18h00 j’entrepris le voyage retour après avoir remis mes affaires dans mon sac à dos. Quand je quittai mon petit paradis, il était aussi propre que quand j’étais arrivé.
Arrivé à la gare, je m’aperçus que j’avais mis plus de temps que prévu pour faire la route et mon train venait de partir. Pour prendre le train suivant, je dus donc attendre près d’une heure à la gare dans la salle des pas perdus, au milieu des voyageurs qui allaient et qui venaient. Il était donc déjà bien tard quand j’arrivai chez moi. Juste le temps d’avaler quelque chose, de ranger les affaires de mon sac, de me déshabiller et me démaquiller sans oublier d’enlever le vernis à ongles des doigts, et il était l’heure d’aller se coucher. Me regardant dans le miroir, on voyait que j’avais pris de belles couleurs et surtout on voyait bien la marque de la culotte et du soutien de mon bikini. Le lendemain, je constatai que le bronzage était encore un plus accentué et que la trace du soutien et de la culotte ressortait encore plus.
En plus de mes études, j’avais trouvé un emploi de serveur dans un bar non loin de mon appartement. Le patron recherchait un employé sérieux qui était prêt à travailler en nocturne. Comme c’était un horaire décalé par rapport à mes études, cela me convenait totalement. Je travaillais donc tous les soirs du dimanche au jeudi de 18h à 23h et le vendredi de 18h à 20h ; le samedi c’était le jour de fermeture. Les clients étaient pour la plupart des habitués, en début de soirée, c’étaient majoritairement des gens qui venaient prendre un pot après le boulot. Plus tard dans la nuit, c’étaient des étudiants qui sortaient en bande. Ce travail me permettait de subvenir à mes besoins et à poursuivre mes études de comptabilité. Très rapidement, le patron, ayant appris que je faisais de la comptabilité, me demanda de tenir celle du bar. Je pouvais faire cela chez moi pendant mon temps libre. Avec cette activité rémunérée, j’avais un emploi à temps complet.
Ce n’était pas la richesse, mais ça me permettait de vivre correctement et de m’offrir certains plaisirs, et même à mettre de l’argent de côté.
Après mon week-end de bronzette, j’avais décidé d’aller travailler cette semaine-là en vêtements de femme. Je portais donc une culotte et une brassière comme dessous, un chemisier blanc épais uni qui se fermait côté femme et un jeans femme boot cut. Aux pieds, je portais des mi-bas nylons et des bottes sous le jeans. Pas de maquillage, mais les ongles des pieds avaient gardé leur vernis. Ce fut une semaine assez calme et la suivante aussi, les étudiants étant en vacances, le bar fermait vers 20h quand les derniers clients sortaient. Je me demandais si quelqu’un allait se rendre compte un jour que j’étais habillé en meuf, et ça m’excitait ; j’aurais répondu que tous mes vêtements étaient sales et que j’avais dû puiser dans ceux de ma copine. Durant ces deux semaines, personne n’avait remarqué ma tenue féminine et tout le monde s’était adressé à moi comme d’habitude.
A suivre
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