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La vie de Miessou

Chapitre 7

SORTIES AU GRAND JOUR (2)

Travesti / Trans
SORTIES AU GRAND JOUR (2) ; une cliente spéciale découverte
Grâce à mon travail, j’avais parfois des pourboires et j’avais économisé ainsi une certaine somme d’argent pour m’offrir quelques folies. J’avais vraiment envie d’une belle guêpière de bonne qualité avec des jarretelles et une petite culotte tanga assortie. J’avais déjà fait le tour de plusieurs magasins, mais jusque-là, je n’avais jamais rien trouvé de vraiment transcendant.
J’avais donc décidé de pousser la porte d’une véritable boutique de lingerie dans une ville proche de mon domicile. Quand je rentrai dans la boutique, il n’y avait qu’une vendeuse et je semblais être la seule cliente. Naturellement, je m’y suis rendu habillé en femme. J’expliquai à la vendeuse ce que je désirais, une tenue assez sexy, mais pas vulgaire. Elle me montra plusieurs modèles et finalement, je jetai mon dévolu sur une guêpière bleue et noire avec de la dentelle que je choisis dans la bonne taille que j’avais fini par connaître par cœur.
La vendeuse me proposa de passer au salon d’essayage à l’arrière du magasin. Celui-ci était caché à l’abri des regards et on y accédait par un couloir en S. Il était composé d’un grand salon avec des miroirs sur trois côtés qui permettaient aux clientes de se voir sous tous les angles et de trois cabines d’essayage qui se fermaient par un rideau.
La vendeuse me dit :
— Pour la culotte, vous n’avez qu’à la passer sur la vôtre.
Je me déshabillai complètement, sauf ma culotte, dans la cabine et passai la guêpière et le tanga. Je replaçai les ballons remplis d’eau dans les bonnets pour admirer le résultat, quand soudain la vendeuse ouvrit le rideau et dit :
— Ca va Mad... Sapristi qu’est-ce que c’est que ça ? Je vous trouvais déjà chelou, mais là...
Elle voyait les ballons qui remplissaient les bonnets de la guêpière et baissant les yeux, elle découvrit ce qui se cachait dans ma culotte ; mon petit sexe était déjà à moitié en érection. J’étais honteux d’être vu ainsi, mais au lieu d’en faire un drame, la vendeuse ne dramatisa pas la situation.
— On a déjà vu de tout, des trans, des mecs qui portent des dessous sexy sous leur costume, des travestis avec des fausses poitrines ou avec des bas dans le soutien. Mais ça, des ballons pour remplacer les nichons, c’est la première fois.
J’étais découvert, la honte pour moi. Comme l’aurait fait une vraie femme, j’avais posé une main sur mon sexe et de l’autre j’essayais de cacher mes faux nichons. La vendeuse me prit les bras en disant :
— Ne sois pas timide, je ne suis pas outrée. Et je vois que ton sexe fait des siennes, ça ne va pas pour essayer des vêtements. Il faut que je te calme.
Joignant le geste à la parole, elle baissa les culottes et je me retrouvai sexe à l’air face à elle.

— Mais il est tout petit ! s’exclama-t-elle.
Elle le prit entre ses doigts et après s’être accroupie, elle l’enfourna dans la bouche et me suça jusqu‘au moment où j’éjaculai dans sa bouche. Elle avala tout mon sperme et après avoir bien léché ma petite bite, elle l’essuya avec un mouchoir en papier. Elle remit mon petit sexe redevenu flasque dans ma culotte, remit le tanga en place et en me présentant des bas noirs qu’elle avait amenés, elle me dit :
— Ceci complète bien votre tenue, je vais vous aider à les enfiler.
Joignant le geste à la parole, elle me gaina délicatement les jambes et attacha les bas aux quatre jarretelles de la guêpière. Elle me proposa de sortir ainsi de la cabine et de venir m’admirer dans le salon face aux grands miroirs. Me regardant dans les glaces, je me voyais de face, de profil et de dos. Cette vision me plaisait beaucoup et je me trouvais hyper-séduisant ainsi.
Après cet essayage, je demandai s’il était possible de garder cette tenue sur moi. La vendeuse répondit qu’il n’y avait pas de problème. Directement elle me retira le tanga, détacha les jarretelles et m’ôta ma culotte. Comme elle m’avait déjà pratiquement vu à poil, cela ne me gêna pas. Elle me remit le tanga, passa les jarretelles sous le tanga et rattacha les bas aux jarretelles. Elle m’expliqua ensuite les principes de port des jarretelles.
— Vous savez, en temps ordinaire, c’est-à-dire en journée au travail, pour faire des courses, il est préférable de mettre les jarretelles sous la culotte, c’est plus pratique pour aller aux toilettes sauf si vous voulez à chaque fois les défaire et remettre. Si c’est pour séduire un homme et vous effeuiller, c’est plus joli de mettre les jarretelles par dessus, maintenant, si c’est pour tirer un coup en vitesse, vous pouvez laisser la culotte au-dessus. Avec un string, il est cependant possible de baiser simplement en écartant celui-ci.
Après m’être rhabillé et ayant mis mes sous-vêtements dans un sac, je passai en caisse et après avoir payé, la vendeuse me donna un dernier conseil.
— Vous devriez aussi vous trouver des prothèses de poitrine en silicone, enfin vous faites comme vous voulez, mais ce serait plus beau que ces horribles ballons. Voilà Madame, je vous souhaite une bonne fin de journée et si vous avez encore besoin de nos services, c’est avec plaisir que nous vous conseillerons.
Ce conseil de la vendeuse n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd et j’allais donc me mettre en quête de ces faux seins en silicone. Je devais néanmoins aussi tenir compte de mon budget et donc il fallait voir quel était le montant d’un tel investissement.
Cette sortie fut une nouveauté pour moi, c’était la première fois que j’étais exposé travesti devant une femme et aussi la première fois qu’une femme m’a sucé ma petite queue. C’était une espèce de pré-dépucelage.
Voilà que l’été approchait et pour un travesti, porter une perruque par les fortes chaleurs c’était loin d’être agréable. Quand je restais à l’intérieur de l’appartement, je pouvais éventuellement me passer de perruque, mais pour sortir travesti, il me fallait une tête de femme. Depuis un certain temps, j’avais donc laissé poussé mes cheveux et j’estimais qu’en ce début du mois de mai, ils étaient longs assez pour pouvoir en faire une coupe avec une mise en forme neutre ou androgyne, c’est-à-dire, une coupe de cheveux qui convenait aussi bien à un homme qu’à une femme.
C’est ainsi que j’avais pris rendez-vous dans un petit salon de coiffure le dernier samedi des vacances en fin de journée. Je partis habillé en femme en fin d’après-midi en prenant le bus. Devant marcher dans ma ville et risquant de croiser quelqu’un que je connaissais en rue ou dans le bus, je portais des lunettes et ma perruque noire, sûr qu’ainsi je ne pouvais pas être découvert. Comme il faisait assez beau, j’avais mis ma petite chemise-veste en jeans bleu ciel et une jupe olive foncée, légèrement évasée, fermée par des pressions devant et qui m’arrivait juste au-dessous du genou. Au dessous, j’avais mis un soutien et une culotte noire avec des bas autofixants. Aux pieds, je portais une de mes nouvelles paires de bottes brun fauve.
Le trajet en bus se passa très bien, personne ne remarqua rien, mais cela n’avait rien d’exceptionnel, j’y étais habitué. De l’arrêt de bus au salon de coiffure, il y avait encore environ 20 minutes de marche. Quand j’y arrivais, la coiffeuse était occupée à terminer le brushing d’une cliente. Je m’assis donc dans un fauteuil et je feuilletai une revue pour patienter. Un quart d’heure se passa et la coiffeuse avait fini, la dame se leva, paya et prit un nouveau rendez-vous pour la semaine suivante. C’était à mon tour.
Je m’installai dans le fauteuil pour laver mes cheveux, j’enlevai ma perruque et expliquai à la coiffeuse ce que je voulais, une coiffure androgyne. Elle ne parut pas du tout surprise et elle me dit que quand j’avais appelé pour prendre rendez-vous et que j’avais expliqué ce que je voulais, elle avait tout de suite su que je n’étais pas une femme. Elle-même était un peu particulière, âgée d’une bonne trentaine d’années, sans être grande, elle avait une carrure athlétique, elle avait les cheveux de couleur gris argent avec une grande mèche qui lui tombait sur le front. Elle était vêtue d’un débardeur moulant qui mettait sa belle poitrine en valeur et d’un pantalon en jeans gris hyper-moulant et au pied elle portait de grosses rangers militaires. Elle avait des tatouages sur les bras, un autre en forme une fleur sur le haut de la poitrine et un piercing à sa narine droite d’où partait une petite chaîne qui rejoignait un autre piercing au lobe de l’oreille.
Le fait de me savoir ainsi découvert m’avait mis assez mal à l’aise, mais elle me mit tout de suite en confiance en me rassurant. Elle me dit :
— Tu sais chéri, j’en vois des gens et des très différents. Dans ma clientèle j’ai de tout, j’ai des punks, des gothiques, j’ai des trans hommes comme femmes, alors ne t’inquiète pas.
Elle me lava donc les cheveux, puis je passai au fauteuil où elle coupa mes cheveux, assez courts, mais pas trop et à la fin, on pouvait aussi bien me prendre pour un homme que pour une femme. Juste après que j’eusse payé, elle m’attira près du fauteuil où elle lavait les cheveux, me plaqua contre le mur et d’un geste vif ouvrit ma jupe en disant :
— Montre un peu ce que tu caches là dessous !
J’étais surpris et avant que j’eusse pu faire quoi que ce soit, elle avait baissé ma culotte et je me retrouvais sexe à l’air devant elle. Elle fut surprise quand elle vit la taille de mon sexe minuscule.
— Eh bien mon petit, ta copine n’est pas gâtée, à moins que c’est un copain !
Je dus lui avouer que j’avais toujours été complexé de mon petit sexe et que je n’avais jamais eu de copines et que je n’avais même jamais vu en vrai le sexe d’une femme. Tout ce que j’avais vu c’était sur écran dans le porno.
— Je comprends mieux maintenant pourquoi tu te travestis ! Tu rêves d’une femme et comme tu ne peux pas en avoir, tu fais cette femme toi-même. Attends, je vais te faire un petit cadeau.
En moins de temps qu’il faut pour le dire, elle avait baissé son pantalon et son string et s’était assise dans le fauteuil. Elle écarta les cuisses et me laissa voir son sexe magnifique avec juste un ticket de métro comme poils pubiens. Elle écarta ses grandes lèvres avec ses doigts et je vis ses petites lèvres toutes roses, elle les écarta aussi pour me montrer l’entrée de sa grotte d’amour et pour finir souleva le capuchon de son clitoris qu’elle se mit à caresser.
— Touche-moi, dit-elle.

Prenant ma main, elle la guida vers son sexe, je lui caressai les lèvres, lui titillai le clitoris, introduisis deux doigts dans son vagin. C’était chaud, doux et humide. Sous mes caresses elle se tortillait dans le fauteuil jusqu’au moment où elle se raidit en criant :
— Ahhhhhh !
Elle avait atteint l’orgasme. Son sexe ruisselait et face à ce spectacle le mien s’était mis au garde-à-vous. Elle se leva, prit mon petit sexe entre ses doigts et le caressa, ce qui me procura un grand plaisir. Sentant que j’allais venir, elle arrêta ses caresses, s’accroupit devant moi et avala littéralement mon petit kiki. Celui-ci durcit encore plus et finit par expulser son jus dans la bouche de ma coiffeuse en me faisant pousser un grand cri qui marquait ma jouissance. C’était comme une extase. Il me fallut quelques instants pour reprendre mes esprits.
Étant redescendue sur terre, elle était à nouveau assise dans le fauteuil pantalon baissé jusqu’aux chevilles et cuisses écartées. Elle me regardait d’un air langoureux et me dit :
— Je suis toute mouillée, tu ne veux pas me lécher ?
Je m’agenouillai devant elle et commençai à lui lécher les lèvres, lui sucer le clitoris et lui pénétrer le vagin avec la langue. Elle devait en avoir une furieuse envie, car de ses deux mains, elle appuyait ma tête contre son sexe ruisselant. Cette odeur était enivrante et son sexe avait un goût délicieux. Au bout de quelques minutes à ce train-là, elle se contracta à nouveau en poussant un soupir :
— Ohhhhh, ouiiiiii !
Après une courte pause, elle reprit ses esprits et me dit :
— Ça fait du bien hein ! Quand tu reviendras la prochaine fois, je te ferai une coupe gratis.
Ma chevelure était en bataille et après s’être rhabillée, ma gentille coiffeuse me remit ma chevelure en place avant de sortir en rue. J’étais très satisfait de ma nouvelle tête à la sortie du salon de coiffure.
Ce fut une journée mémorable, car c’était la première fois que je touchais le sexe d’une femme.
Je ne pouvais me résoudre à rentrer tout de suite et je passai la fin de la soirée à flâner en rue et à faire du lèche-vitrines. Quand je décidai d’enfin rentrer, l’heure était déjà bien avancée et le dernier bus était déjà parti depuis longtemps. Je pris donc le train pour rentrer. A cette heure, il n’y avait plus grand monde en rue et je pouvais être sûr d’avoir très peu de monde dans le train, sachant aussi que tous ceux qui descendaient au terminus avaient l’habitude de se placer dans les premières voitures. C’était donc dans une des dernières voitures que je m’installai avec ma nouvelle tête. A l’arrivée, la masse des voyageurs était déjà sortie de la gare quand j’arrivais à la sortie, j’étais donc serein. Encore un peu de marche pour arriver jusque chez moi et je pouvais enfin me reposer de cette escapade.
Désormais, j’avais une belle tête féminine blonde, mais le problème était comment allais-je faire pour sortir dans ma ville ? Des gens m’y connaissaient et me voir une fois en homme, puis une autre fois en femme allait forcément interpeller les gens.
A suivre ...
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