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Ma vie d'objet sexuel

Chapitre 2

Gay
A peine Henri est-il parti que mon cerveau se met en pleine effervescence. Mille et une questions me passent par la tête. Suis-je normal à me comporter ainsi face à un homme, est-ce normal ou contre nature d’avoir le désir d’être possédé par quelqu’un du même sexe ? Mais si chacune de ces questions peut trouver une réponse négative, je sais aussi que je peux trouver de quoi dire oui. Rien n’est anormal, c’est juste ma réaction face à la découverte de la vie sous une autre forme.
Je prends alors mon ordinateur, ouvre ma messagerie et sans perdre de temps, écris à Henri mes impressions sur notre rencontre et celles qui prédominent sur la suivante. Il parait être homme à respecter une certaine adaptation, mais je me doute qu’aux vues de ses attentes, il me faut aussi répondre sans trop tarder afin de ne pas perdre une chance de le satisfaire. Je me livre alors sans réserve, sans retenue en lui expliquant mes envies, mon ressenti, et sans plus me demander si cela est normal ou pas, je lui exprime le genre de « séances » et d’actes que je suis prêt à faire avec et surtout pour lui. J’essaye d’être le moins maladroit possible, relativement imaginatif et surtout assez clair dans mes propos sans être vulgaire pour autant. Henri me répond en début de soirée, ce qui me conforte dans ma décision d’avoir écrit rapidement. Nullement choqué par mes propos, il espère juste que cela aboutira concrètement à une relation intéressante et sur le long terme.
La semaine me semble interminable, je m’efforce de me concentrer sur mon boulot, mais le soir venu, je ne sais comment réagir à la future visite d’Henri. J’aimerais qu’il frappe à la porte soudainement, même si je sais qu’il prévoit toujours ses visites et n’improvise que lors des séances. La nuit du vendredi, je ne parviens pas à dormir correctement, et le fait de ne pas avoir reçu d’autres messages me torture l’esprit. Le doute et l’excitation se mêlent au réveil, l’inquiétude me gagne. Va-t-il frapper à la porte ? Vais-je réussir à passer un autre cap ? C’est à devenir fou. Et puis la sonnerie retentit enfin comme une libération, le « dring » salvateur. Henri entre en me saluant, s’assied comme la première fois et me demande de confirmer si je souhaite poursuivre mon « éducation ». C’est d’une façon beaucoup moins hésitante que je réponds cette fois, et lui de me commander simplement de me mettre nu et au travail.
Tout en me déshabillant, je regarde mon invité sortir de l’une des poches de sa veste une cagoule noire, me faire signe d’avancer et de m’agenouiller devant lui, mains dans le dos. Il m’enfile alors ladite cagoule sur la tête. La sensation première est très étrange, car je passe de la clarté du jour à l’obscurité la plus profonde. J’ai déjà vu ce genre de choses, mais la porter est très différent. J’ai juste la bouche libre par le fait qu’un trou le permet. Je reste ainsi quelques secondes, angoissé par le fait de ne rien savoir de ce qui peut se tramer autour de moi, de ce qui peut m’arriver, et paradoxalement, excité pour ces mêmes raisons. Je sais pourtant ce qu’il va arriver, mais je reste partagé entre mon devoir de faire ce pour quoi je me suis lancé dans tout ça, et le doute d’y parvenir.
Henri met fin à toute tergiversation quand en posant sa main sur ma tête, me dit toujours avec ce calme olympien de lui montrer maintenant ce que je sais faire avec cette belle petite bouche, de ne pas me presser, de préférer bien faire et surtout, découvrir comme savourer.
Il appuie alors sur ma tête pour m’approcher de lui, et l’instant d’après, son sexe passe entre mes lèvres, s’y insinuant lentement et entièrement. Son membre est chaud, la sensation est étrange, mais ce n’est pas aussi désagréable que je le pensais. Maintenant sa main sur moi, me forçant à garder son sexe en bouche, il me conseille de jouer avec ma langue, car il adore se faire sucer et encore plus qu’on le fasse bander de cette manière.
Car oui, Henri ne bande pas encore, c’est à moi qu’il appartient d’obtenir ce résultat. Je m’active donc à faire tourner ma langue autour de son gland. Il est doux, chaud, et même si j’ai un peu honte encore en cet instant de faire cela, mon excitation monte crescendo à mesure que sa queue grossit. Mais on voit clairement toute l’expérience qui est la sienne à faire durer les choses, il parvient à contrôler la montée, ou alors est-ce moi qui ne suis pas doué. Je reste en tout cas de longues minutes comme ça, juste à téter cette queue qui finit par ravir mon palais et me faire oublier petit à petit qui je suis pour constater CE que je suis.
Continuant d’être guidé par ses paroles fermes, je viens me placer docilement à ses côtés tout en prenant appui sur mes bras, et en gardant son sexe en bouche. De sa main droite, Henri maintient enfoncée ma tête sur sa queue, et de l’autre, il descend lentement le long de mon dos. Lorsqu’il arrive sur mes fesses, j’en viens à attendre que ses doigts entrent en action. Bien que ma déviance sexuelle soit là, je n’ai pour autant jamais osé me doigter moi-même, ou juste mettre un quelconque objet dans mon œillet. L’impatience me gagne, Henri le sait. Il a écarté mes fesses de son index et son annulaire, et son majeur effleure ma rosette lentement, la frôle, provocant des frémissements en moi que je n’imaginais même pas ressentir un jour, et encore moins avec un homme. Il retire sa main quelques secondes qui semblent durer une éternité, et c’est lorsqu’il la repose que je comprends simplement qu’il a enduit son majeur de salive.
Son doigt pénètre en moi, non, la première phalange en fait, pourquoi en mettre plus d’ailleurs, le plaisir est déjà là. De mon côté, je ne suis pas en reste et tente avec ma langue de lui rendre au mieux ce plaisir qu’il me procure. Les frissons s’intensifient quand il entame un premier va-et-vient, mes poils se hérissent, ma langue tourne plus vite, son sexe gonfle dans le même temps. Je ne suis plus moi-même, la honte disparaît doucement.
Henri, avec toute l’expérience qui est la sienne à n’en point douter relâche la pression sur ma tête, comme me donnant la permission de pouvoir enfin faire la première fellation de ma vie. Il guide mes premiers mouvements, se délectant de la propre lenteur qu’il souhaite me voir exécuter. Mes lèvres enserrent sa queue qui durcit de plus en plus, ce qui m’excite tout autant. Ma langue fait de son mieux pour flatter chaque partie de la colonne de chair. Le doigt de Henri, même s’il n’a pas accéléré, entre de plus en plus loin, et à l’instant où l’entièreté de ce majeur est en moi, la queue que j’ai dans la bouche atteint ce gonflement et cette raideur que j’ai fierté à avoir obtenue de mes premiers pas maladroits. Dans un élan commun, j’accélère en même temps que le majeur de Henri dans mon petit trou. J’adore ça, et j’éprouve un plaisir sans précédent, nouveau, intense, presque magique.
Je ne comprends pas comment je suis arrivé à cela, mais aucune importance, je réalise simplement comme une évidence que j’aime ça et que je dois simplement profiter de ce qui arrive.
La queue de Henri n’est ni trop longue, ni trop large, elle remplit ma bouche au plus de ce que je peux engloutir. Il me bloque d’ailleurs au moment où je l’ai toute entière, son gland arrivant presque en contact avec le fond le ma gorge, et l’instant suivant, son annulaire rejoint le majeur. Il me flatte sur ma souplesse, et prévoit de grandes choses à faire avec moi par la suite.
Je suis flatté par ces mots, et électrisé quand il entame de me pénétrer plus ardemment. Mon anus se dilate, je le sens, il palpite, il réclame encore, plus vite, plus loin. Je suce tant et plus avec une ardeur et un vice que je n’imaginais pas avoir. J’entends Henri respirer plus fort, je suis content de moi, et cela m’encourage à m’appliquer davantage. Il n’est pas en reste et ses doigts me pénètrent en mesure avec mes sucions, il me dilate, écarte doucement cet anneau qui n’attendait que ça.
Je remarque que malgré son âge, Henri tient une raideur qui ne faiblit pas une seconde, reste gonflée malgré tout ce que je peux entreprendre avec elle. Ses mots me reviennent alors en mémoire quand il me disait aimer se faire sucer. C’est une évidence, il aime, il en profite et en abuse. Mais comment l’en blâmer puisque de l’autre côté, même si c’est la première fois, j’ai un ressenti identique.
Soudain, je ressens des picotements légers entre mes fesses. Mais cela n’a rien de désagréable, bien au contraire, et cela provoque même l’érection de ma queue à laquelle, aussi surprenant soit-il, rien n’était arrivé pour le moment, pas la moindre pensée, pas la moindre attention. Henri accélère ses mouvements et il me mène vers une chose alors inconnue, une de plus, un orgasme anal intense. C’est monté, monté jusqu’à me faire contracter l’anus sans pouvoir le laisser se resserrer. Henri maintient ses doigts en moi tout en continuant de bouger pour maintenir cet état qui est le mien. Ce n’est qu’au bout de quelques instants, quand je relâche enfin mon corps, que Henri se retire, faisant disparaître l’orgasme. La raideur de sa queue n’en a pas diminué pour autant. Il me demande alors de me remettre à genoux, et de continue à le sucer.
Bougeant doucement afin de garder son membre entre mes lèvres comme il l’a exigé auparavant, je me replace entre ses jambes, remets mes mains dans le dos et reprends son membre en bouche. Il prend alors ma tête à deux mains, et imprime lui-même le rythme qu’il désire. Je ne suis plus qu’un trou dans lequel il prend son pied, je suis déjà en partie réduit à ce rôle d’objet que je souhaite être. Henri ne ralentit pas, j’en prends plein la bouche et être ainsi baisé est tout ce que j’attends.
Au bout de quelques minutes, même si je ne suis pas en mesure de quantifier le temps qui passe, Henri semble enfin arriver au terme du plaisir qui est le sien, ou simplement décide-t-il d’en finir, je n’ai pas à en juger. Une chose est sûre, je dois faire un choix rapidement, car il va lâcher sa semence, et soit je vais devoir avaler, soit perdre la face et l’hypothèse d’une suite. En guise de choix, c’est Henri qui va le dicter sans me demander mon avis. Pour en avoir parlé avec lui, je me doute bien qu’il attend de moi d’aller jusqu’au bout. Il se lève alors, et tout en bloquant ma tête, entame de nouveau un va-et-vient dans ma bouche. Dans les secondes qui suivent, son sperme chaud jaillit au fond de ma gorge par grandes saccades. J’essaie tant bien que mal d’avaler rapidement, mais comme Henri continue de bouger, ce n’est en rien facile, d’autant qu’il continue d’éjaculer plusieurs fois. Quand sa queue a perdu toute sa raideur, elle est toujours dans ma bouche.
Je joue alors avec ma langue, le jus que Henri vient de m’offrir pour la première fois et sa queue. Sans doute trop pris par l’action et l’excitation, je ne peux dire si j’aime le goût ou pas, je sais juste que dans tous les cas, si je dois continuer, je vais devoir m’y faire.
Je reste là à genoux, toujours les mains dans le dos, non tel un soumis, mais tel l’objet qui ne fait rien tant qu’on ne le lui demande pas, tant qu’on ne s’en sert pas. J’entends Henri se rhabiller et quitter mon appartement sans mot dire. Nullement surpris, c’est même de cette façon que j’imaginais les évènements.
J’attends quelques secondes et puis ma vie reprend alors son cours normal, alors qu’au fond de moi, rien n’est déjà plus pareil.
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