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Ma vie d'objet sexuel

Chapitre 3

Gay
Dès le réveil, je lis un message des plus clairs venant de Henry qui m’annonce arriver dans l’après-midi, sans horaire précis, sans autre information, rien. Un sourire se dessine sur mon visage aussitôt et ma réponse est envoyée dans la seconde. Les évènements s’enchaînent rapidement, mais cela m’importe peu en vérité, car je souhaite vraiment rester dans la dynamique de la veille et savoir ce qu’il souhaite faire de moi. Non pas que je sois pressé de dépasser mes limites une nouvelle fois, mais juste envie de connaître autre chose et m’assurer que je suis bien prêt à être l’objet que je veux être. Les heures qui vont suivre seront cruciales, je le sais bien, et quand Henry entre, je tente de mettre tous les atouts de mon côté.
Je suis déjà nu, la cagoule est posée sur la table basse et je me mets à genoux les mains dans le dos de suite après qu’il se soit mis à son aise. C’est un gros risque en cet instant, j’en suis parfaitement conscient, car il peut aussi bien être satisfait que de mal prendre mes actes. Mais nous sommes lui et moi sur la même longueur d’onde et ses mots sont un soulagement immédiat : « Tu peux mettre ta cagoule, car je suppose que tu sais pourquoi je suis là ?
— Je pense que oui, Monsieur.— Tu en es bien sûr ? Dis-moi ce que tu as donc en tête. Tu n’es pas un soumis, tu as le droit de parler librement. — J’ose croire qu’aujourd’hui vous êtes venu pour me prendre tout simplement et affirmer mon futur rôle d’objet.— Un objet pour l’instant, mais dis-toi bien que ce n’est qu’un début. Comme je te l’ai précisé dans nos premiers échanges, j’ai besoin d’une bonne petite pute.— Oui j’en suis conscient et je suis prêt pour ça. »
Afin de vérifier que mes mots ne sont pas des paroles en l’air, Henry se lève et me colle aussitôt sa queue dans la bouche. Je reste quelques secondes à jouer avec elle, je sais qu’il aime sentir ma langue, mais très vite, je commence à le sucer afin de le rendre dur, le plus dur possible pour qu’enfin il me prenne, pour enfin savoir ce que peut produire l’effet d’une vraie queue qui vous pénètre. Henry semble enclin cette fois à ne pas trop attendre non plus et son sexe grossit rapidement jusqu’à atteindre la forme ultime. Il me fait mettre à quatre pattes sur le canapé, et entreprend de me préparer le petit trou en me doigtant. Je soupire à l’entrée de son majeur, il se montre toujours aussi attentionné et sait me mettre à l’aise. En quelques minutes seulement, je suis relâché et c’est avec trois doigts qu’il me dilate un peu plus.
Son autre main caresse alternativement mes fesses et mes parties intimes, il me décalotte parfois, jouant avec mon gland alors qu’il enfonce ses doigts plus loin. Et puis le moment crucial arrive. Henry se relève, je tremble un peu, mais la hâte de découvrir enfin l’inconnu me rend presque euphorique. Je n’ai même pas les mots à mettre sur les secondes qui me séparent encore de la pénétration tant attendue. Henry prend son temps, fait durer le plaisir, tapote mes fesses avec sa queue tendue, dressée juste pour moi. Je suis flatté, honoré même, mon œillet palpite lui aussi. Le gland gonflé se pose à l’entrée de ma petite grotte encore vierge, il pousse par à-coups, millimètre par millimètre, ouvrant peu à peu le passage. Je me sens m’ouvrir peu à peu, Henry continue ses petites caresses, et j’aime cette expérience, ce tact dont il fait montre. Son gland est maintenant entré presque entièrement, la couronne écarte mon anneau, cela tire, mais ce n’est pas une douleur que je veux voir s’effacer, non, car j’aime ce que je ressens. Je voudrais bouger et m’empaler, mais connaître l’extase dirigée par ce maître du jeu est cent fois plus intense.
D’une dernière petite poussée, d’un coup de reins léger, Henry entre dans mes fondements. Cela m’arrache un petit cri ainsi qu’un soubresaut. Il reste un peu comme cela, sans bouger. Je me sens bien, et aussi étrange que cela me paraisse, j’aime ça. Et puis, toujours avec cette délicatesse qui est la sienne, Henry m’agrippe par les hanches et entreprend de me mettre sa queue toute entière. Si je l’ai eue en bouche, je n’ai pas vraiment mesuré la dimension que cela pouvait avoir ailleurs. La colonne de chair semble plus large, plus longue, et à mesure qu’elle me pénètre, je dois lutter pour me décontracter.
Elle est en moi, ça y est, je suis défloré, et les mouvements de va-et-vient commencent alors. Les premiers sont légèrement empreints d’une petite douleur, qui très vite laisse place à une sensation plus douce. Mon corps s’électrise, je suis agité de petites décharges internes que j’ai bien du mal à contenir. Je serre les dents, je n’ose pas laisser ma voix extérioriser, ce qui est finalement du plaisir. Car oui, je suis un homme qui s’offre à un autre et qui aime cela. Henry me dit alors :
— Voilà, tu es ma pute maintenant, et les putes je les encule. N’aie pas honte de crier, je vais accélérer maintenant. Je suppose que tu n’y vois pas d’inconvénient ?— Non Monsieur, mon cul est à vous.— Ne te fais pas prier, dis-moi ça autrement !— Baisez-moi Monsieur, baisez-moi à fond, je ne demande que ça !
Je suis tout aussi surpris par ce que je viens de dire autant que par ce que je demande. Mais c’est plus fort que moi, toutes les sensations se mélangent et je perds complètement la logique de mon esprit. Je n’ai plus qu’une envie, c’est de me faire prendre enfin comme la pute que je suis. Henry accélère les coups de reins progressivement, sa queue semble avoir gonflé encore et je sens mon anneau écarté comme jamais il ne l’a été. Je ferme la bouche pour étouffer mes gémissements, mais très vite, cela devient impossible. Le rythme est tellement rapide, tout est si intense qu’un premier son s’échappe, puis un autre, mes gémissements prennent du volume. Cette queue qui me semble énorme maintenant me ramone à une cadence infernale, et chose étrange, je n’ai aucune douleur alors que je sens mon anus rester ouvert comme si cela avait toujours été pour lui une habitude. Henry m’avait bien dit que ma souplesse lui plaisait, je pense qu’il ne doit pas être déçu en cet instant.

J’ai maintenant la tête dans un coussin pour ne pas trop attirer l’attention de mes voisins, Henry se démène en moi, et il me prend vraiment sans retenue. C’est un délice, et j’ai de mini-orgasmes qui se succèdent comme lorsque les doigts m’avaient pénétré. La plus grande surprise c’est que j’ai maintenant une érection phénoménale moi aussi, je bande de me faire prendre par un homme, ou je bande du plaisir anal qui est le mien, je n’en sais rien. Tout ce que je sais, c’est que le plaisir d’être pris et celui de m’offrir ainsi s’entremêlent pour une sensation physique des plus intenses qu’il m’ait été donné de connaître.
Je sens les mains de Henry agripper mes fesses de manière plus ferme, il se raidit à son tour, sa queue est gonflée au maximum. Même si c’est de façon très légère, je le sens éjaculer en moi. Tout comme il le fait dans ma bouche, les jets sont puissants, nombreux et telle une femelle en chaleur, je me fais inséminer. Une nouvelle fois, c’est quelque chose d’extraordinaire, je me sens aussi humilié qu’honoré de son présent. Il reste encore quelques instants en moi, puis se retire doucement, laissant mon petit trou béant et rempli de son jus chaud.
— Serre les fesses, je ne veux pas que tu perdes ma semence pour cette première. Tu pourras aller te vider après, mais pour le moment, comme toute bonne petite pute qui se respecte, tu vas nettoyer ma queue. Allez, à genoux et au boulot.
Ses mots sont crus, mais cela m’excite davantage et je m’empresse de le satisfaire. J’embouche son membre et de coups de langue subtilement placés, je lave cette queue souillée de sperme et du jus de mes propres entrailles. Je n’ai même pas pensé un seul instant au goût que cela peut avoir, seul compte la demande, non, l’ordre de Henry. Petit à petit, je sens sa queue perdre de son volume et reprendre une taille habituelle. Je le garde en bouche tant qu’il ne me dit pas de cesser et nous profitons tous deux de cela. Il fait retirer ma cagoule, me demande de m’asseoir (toujours nu cela va sans dire) et finit par dire : « Comment te sens-tu ?
— Je n’arrive pas à dire si je suis content, heureux ou autre chose, mais j’ai pris beaucoup de plaisir. Je dois encore lutter contre un ressenti d’humiliation et de honte, je reste un homme, mais je pense que ça passera avec le temps.— Oui, je te le confirme. En tout cas, sache que tu es très réceptif et vraiment très ouvert, autant d’esprit que physiquement. Pas trop décontenancé par mes paroles ?— Vraiment pas, rassurez-vous, c’est même stimulant. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, j’adore ce mélange d’insulte et d’humiliation qui donnent un tel plaisir. Si je peux me permettre, je suis même prêt à entendre pire.— Ça va venir ne t’inquiète pas pour ça. C’était une première, les suivantes vont être un peu plus salées. Je peux donc t’annoncer que tu es « engagé » dirons-nous. Tu peux encore refuser, ou le faire plus tard, il n’y a pas de contrat, mais j’espère que nous allons pouvoir nous amuser encore longtemps.— Même si je m’aventure dans l’inconnu, ce sera avec plaisir. — Très bien, alors dans ce cas, je t’enverrai un message avec quelques règles fondamentales qui sont applicables aussitôt que tu les auras lues. Ça te va ? — Parfaitement Monsieur, Merci. »
Quand il passe la porte pour repartir, je file aussitôt aux toilettes puis prendre une bonne douche. Je ne me sens pas sale pour autant, au contraire, je ressens plus l’envie d’être à nouveau prêt à servir de nouveau que de laver une souillure. En début de soirée, je reçois le message avec les attentes cette fois bien plus précises. Avec la permission de Henry, je me permets de remettre son texte original :
« Lorsque je viendrai chez toi, il n’y aura que nous, jamais personne d’autre. Je fais de toi ma pute, et même si tu vas servir pour d’autres, c’est uniquement ailleurs, je tiens à préserver ton intimité un minimum. Tu connais déjà les règles, tu es nu à mon arrivée, cagoulé directement et tu exécutes ce pour quoi tu es fait.
Quelques points particuliers pour les jours où tu viens chez moi. Tu dois toujours arriver avant mes invités, être propre cela va sans dire, et rasé intégralement sur les parties intimes. Je te place dans la chambre où quiconque veut te baiser le fait librement, de la manière qui lui plaît et dans la position qu’il souhaite. Tu ne parles pas, ne demandes rien, ne te sers en aucune façon de tes mains, tu es juste là pour soulager mes invités avec tes trous, rien de plus. Rassure-toi, il n’y a aucune pratique nouvelle ou spéciale si nous n’en avons pas discuté toi et moi avant. Par contre la chose est claire, tu vas avoir les trous remplis non-stop et devoir subir les outrages d’autres hommes. Peu m’importe, une pute suce, avale, se fait prendre, remplir et c’est tout.
Nous allons monter progressivement le niveau de tes compétences, et si mes invités passent au départ chacun leur tour, ils vont venir rapidement par deux, puis trois jusqu’à ce cela finisse par un gang-bang. Je vais te former pour ça, mais tu vas devoir assurer au final avec de nombreuses queues à satisfaire. Je ne t’en dis pas plus, je te laisse imaginer, ça fait aussi partie du jeu.
A mesure que le temps passe, ta fente de pute recevra autre chose que des queues, autre chose que du sperme, et on va élargir sa taille pour s’amuser un peu plus. Une bite c’est bien, tu vas vite en vouloir plus crois-moi.
Donc, je t’attends samedi soir prochain, vingt heures chez moi. »
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