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Ma vie d'objet sexuel

Chapitre 5

Gay
Trois mois s’écoulent durant lesquels Henry me fait cumuler les venues chez lui, les sodomies à la chaine et les fellations goulues. Mon esprit s’est formaté maintenant au fait qu’après un appel, je deviens la pute qui remplace l’homme, qu’une fois dans cette chambre mon corps laisse place à deux orifices à remplir. On me baise sans ménagement, on me prend dans maintes positions toutes aussi avilissantes qu’excitantes, je suce, j’avale, je lèche, je lave de ma langue maintenant plus habile ; on introduit dans mon petit œillet des queues aussi bien que des godes (oui, certains s’en amusent beaucoup), je suis le jouet dont on profite et dont on abuse.
Pourtant j’adore cela, je prends autant de plaisir à satisfaire tous ces hommes qu’à recevoir leurs queues en moi. Mes tabous tombent rapidement d’ailleurs, et la honte comme les questions existentielles ne font plus partie de mon état d’esprit. Dès lors que je suis nu, rien n’est plus important que d’être cette trainée, ce garage à bites, ce réservoir à foutre, et l’on me nomme d’ailleurs systématiquement de cette façon, ce qui me ravit puisque c’est ce que j’ai recherché dès le départ. Henry veille bien sûr à ce que tout se passe bien, et nous échangeons par message régulièrement afin que les choses continuent d’évoluer. Il est d’une exceptionnelle compréhension tout en étant ferme et clair dans ses attentes.
Suite à une nouvelle soirée où j’ai eu le privilège de servir d’exutoire à sept personnes, il me fait rester pour la première fois depuis ma première venue. Je suis donc assis face à lui, toujours nu cela va sans dire, et il m’explique alors :
— Vu comment sont les choses maintenant, je veux qu’elles évoluent. C’est bien agréable de te faire baiser, mais je souhaite vivement accroitre les possibilités avec toi, si tu n’y vois pas d’inconvénient. Comme je te l’ai dit dès le départ, le but est de t’exploiter au maximum de mes envies et des leurs. — Je préfère vous demander d’être vraiment explicite, car même si je suis clairement d’accord pour aller plus loin, autant connaitre les grandes lignes.— Très bien, alors jusqu’à aujourd’hui, tu étais limité à te faire prendre. Maintenant tu vas pouvoir utiliser tes mains et bouger un peu. Ils entreront par trois, voire quatre et pas question que l’un d’entre eux reste à part.— Là, je comprends mieux.— Donc, si quelqu’un te demande de t’empaler sur lui par exemple, tu le feras comme une bonne petite pute obéissante. En plus clair, tu deviens la femelle à tout point de vue sexuel et toute exigence doit être honorée. Toujours pas de soucis je suppose, à voir combien tu sembles aimer la bite, ça va te plaire.— Je vous le confirme et vous en remercie Monsieur.— D’ailleurs qu’aimes tu le plus, j’ai encore du mal à définir cela.— Ce n’est pas tant le fait de sucer que d’avoir une queue dans la bouche en fait. Pour les sodomies, c’est de sentir ces queues en moi. En fait, je pense que j’aime, je ne sais trop comment l’expliquer, avoir un truc étranger dans mon corps.— Je vois, et c’est une très bonne chose. Tu as accepté les pénétrations de ton intimité au-delà de t’offrir à des hommes. Ceci explique que tu te donnes aussi facilement maintenant. Et pour la honte, la gène...?— Il n’y a plus rien rassurez vous, juste de l’excitation accrue par le fait de ne jamais rien voir. Si j’osais, j’aimerais que cela reste comme tel d’ailleurs, si cela ne vous dérange pas bien sur.— Pas le moins du monde. Ce qui compte ce sont tes trous, le reste aucune importance. Sinon, vu que ton cul est très souple, on va commencer à t’élargir un peu plus. Rassure-toi, je vais t’entrainer pour ça, le but étant que tu parviennes à encaisser de plus en plus gros. J’ai quelques amis bien membrés qui vont adorer ton cul.— Je vous fais confiance.
En fait, je ne peux rien répondre d’autre tant je sais que Henry ne cherche juste qu’à satisfaire tout le monde et pas à me mettre en danger. Alors, pourquoi hésiter là où le plaisir va venir tout seul. L’excitation même me trahit en cet instant car une érection se déclenche à imaginer ce que va être mon futur. Henry me le fait remarquer mais me somme de me rhabiller et de partir.
Quelques nouvelles soirées ont lieu après, sans que les choses n’évoluent guère plus. Et un soir, alors que je suis en train de sucer une belle grosse queue, son propriétaire me dit de venir m’empaler sur lui. Il s’allonge sur le lit, je me place au-dessus, et saisissant sa queue la guide vers mon petit trou. J’ai pris cette belle habitude de bien baver pour lubrifier les engins qui me perforent ensuite, et celui-ci s’enfonce presque d’une traite en moi. Il faut dire que je n’ai aucune expérience dans ce domaine et me suis sans doute laissé choir un peu trop rapidement.
Les genoux sur le matelas, j’entame quelques petits mouvements et me sodomise moi-même. Ses mains me repoussent vers l’arrière, je prends appui sur les miennes et lui offre ainsi la vue de ma queue, qui elle, n’est pas en érection du tout. Il commence à la tripoter, me décalotte, joue avec mes bourses mais rien n’y fait, je ne parviens pas à bander d’un centimètre. Au final, ce sont ses mots qui viennent à me rassurer : « C’est bon de voir une pute qui ne bande pas, tu n’es là que pour ton sucer et te faire enculer, j’aime ça. Enfin un objet qui a compris. En plus tu as une petite queue très sympa, j’aime ce genre de jouet ».

Un autre homme entre alors dans la pièce, monte sur le lit debout et sans autre forme de procès me colle sa queue molle dans la bouche. L’autre continue de jouer avec la mienne pendant que je monte et descend sur lui en cadence. À ma grande surprise, mon anus se détend bien plus vite et la sensation est tout autre, le plaisir presque plus intense. De surcroît, je me sens vraiment pute à m’auto baiser et objet à ce qu’on se serve de ma bouche, j’aime ça, et la soirée ne fait pourtant que commencer.
Je suis ensuite placé sur le dos, et les deux hommes changent de place. Celui qui s’enfonce maintenant au fond de ma gorge a saisi mes chevilles et me laisse ainsi le cul bien ouvert pour la grosse queue qui s’y glisse d’une traite, me pilonnant aussi sec. Je n’ai pas entendu d’autres personnes entrer et les nouveautés continuent quand on me met une queue dans chaque main.
Docilement j’entame un lent mouvement pour leur donner la raideur qu’ils attendent sans doute impatiemment. C’est étrange car pour la première fois je masturbe une autre queue que la mienne. Elles sont chaudes, prennent rapidement la taille voulue. La queue qui est dans ma main droite me semble énorme, bien plus que toutes celles qui ont déjà pu visiter mon corps, et ma pensée se fixe d’un coup sur le moment où elle va s’immiscer en moi.
Je n’ai décidément pas le temps de tergiverser car il vient à se placer au-dessus de mon cul que les autres écartent de leur main comme pour m’ouvrir davantage. Mon sucé du moment s’enfonce alors au fond de ma bouche à l’instant même où ma petite porte est forcée par un membre dont j’avais bien estimé la grosseur.
Cela dit, je n’ai pas le loisir de crier tant cet engin phénoménal parvient en quelques coups à me faire grimper aux rideaux. Henry a sans doute vu juste, j’aime avoir le cul bien rempli et cette tige, qui rend presque les autres insignifiantes, me comble de plaisir en cet instant. Elle entre et sort tranquillement de mon petit trou, le distend, le dilate et finit par laisser un trou béant que mon assaillant prend plaisir à ouvrir toujours plus.
Ceux que je branle depuis quelques minutes, me doigtent quand la queue sort de mon cul, ils écartent mon anus et l’autre y replonge directement. Dans ma bouche, l’autre a éjaculé, et en bonne salope, je continue de le sucer, tournant autour de son gland avec le sperme que je n’ai pas encore voulu avaler. Il se régale et me maintient bien la bite enfoncée pour en profiter. J’en viens presque à vouloir qu’il éjacule de nouveau pour en avoir une seconde dose. Sucer avec le jus en bouche est devenu un véritable régal que je ne m’attendais pas à apprécier autant, de même qu’avoir une queue molle n’est pas désagréable non plus.
Ils profitent tous de mon corps, j’adore cette sensation d’être leur objet, et cette autre facette de moi est réellement une chose que je ressens de plus en plus comme une seconde nature trop longtemps ignorée. Je ne regrette pas le temps que j’ai perdu à ne pas franchir ce cap, mais me concentre vraiment sur cet instant, sur ces minutes où des bites bandent pour moi, me pénètrent sans vergogne, me remplissent telle une femelle en chaleur, je savoure chaque giclée de sperme et chaque centimètre de chair chaude et dure qui me défonce.
Ma bouche est maintenant libérée. Mes mains aussi. Ça y est, je vais me faire remplir de jus par tous les orifices. J’écarte mes fesses moi-même et ouvre ma bouche en grand. L’invitation est faite et le sperme arrive à son tour. De longues giclées chaudes et gluantes tapissent peu à peu les parois de ma bouche tandis que je sens de puissants jets faire de même dans mes entrailles. De ce côté-là d’ailleurs, je n’ai encore jamais eu une telle dose, et la quantité de sperme est à la hauteur de la taille de l’engin qui me la donne. Je suis aux anges, j’ai un orgasme anal au même moment et resserre mon anneau sur cette queue qui vient de me donner tant de plaisir.
Je reste les jambes relevées alors que tout le monde sort, la faute à cette quantité de sperme qui est en moi et que je ne pourrai pas garder si je me relève. C’est Henry qui va sceller mon sort. Il doit être là depuis le début et a dû assister à toute la scène puisqu’il me dit : « Je confirme que tu aimes vraiment la bite ma petite salope, et quel cul, c’est impressionnant.
— Merci Monsieur, me risque-je à lui répondre.— Je vais te mettre un beau petit plug pour que tu restes bien rempli. Une fois cela fait, à genoux et pompe salope. »
En guise de petit plug, l’objet en question est en concordance avec la queue reçue juste avant et ma rondelle s’en retrouve de nouveau écartelée à mort. Mais je me place rapidement comme Henry me l’a demandé et entame de caresser d’abord doucement sa queue et ses bourses avant de l’emboucher.
Je joue mon rôle de salope à fond, passant outrageusement ma langue tout autour de son gland qui gonfle, lui offrant la vue de ma bouche gourmande, avide de bite, de sperme, je veux juste lui montrer qui je suis et ce que je veux lui donner. Henry se régale lui aussi et ne tarde pas à me rendre le fruit de mon travail buccal en éjaculant à son tour. Je fais comme avec son collègue et joue avec sa queue et son sperme jusqu’à ce qu’il décide de lui-même de se retirer.
— Fini pour toi ce soir, tu peux rentrer. Garde le plug et la prochaine fois, je veux qu’il soit dans ton cul quand tu te déshabilles. — Bien Monsieur.
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