Cet épisode a été écrit en collaboration avec kikou_boy. Merci de votre compréhension et bonne lecture.Ma vie de prof (4)Le lendemain, dès le réveil, je m’aperçois que Laurent est bien réveillé même s’il n’a pas les yeux ouverts. Son sexe est déjà bien droit et bien dur. Ni une ni deux, je me jette littéralement sur cette colonne de chair érigée juste pour moi. Je commence par l’attraper et la masser de haut en bas, dans un va et vient très doux et sensuel. J’approche ensuite ma tête et j’aspire son gland, en l’humidifiant de ma langue et j’entame un ballet lingual avec son gland, le titillant gentiment. Ne voyant toujours aucune réaction de la part de Laurent, je continue et j’enfonce sa queue jusqu’au fond. Je la sens me taper la glotte et j’entoure sa bite de ma langue et au bout de quelques secondes, je fais des va et vient sur cette colonne et, plus j’accélère, plus elle se réchauffe dans ma bouche. Après cinq minutes de fellation, je vois Laurent qui commence à ouvrir ses yeux et, lorsqu’il me voit, je me retire sans m’arrêter de le branler lentement pour le maintenir en forme et je lui dis :«Bonjour chéri, alors, belle matinée n’est-ce pas ?— Oui, on peut dire ça mais je trouve qu’il manque quelque chose…— Ah oui, quoi ?— Ça...»Et à peine avait-il fini sa phrase qu’il me prit la tête et qu’il poussa sa queue au fond de ma gorge jusqu’à atteindre mon œsophage. Ça y est, il me faisait une gorge profonde et j’aimais ça.Je ne pus me retenir de pousser quelques gémissements de plaisir. Ses deux mains derrière ma tête, je ne pouvais faire autrement que d’apprécier ceci et au bout de cinq minutes il gicla directement dans mon estomac. Je ressortis de sous la couette et je fis glisser le sexe de Laurent sur mon clitoris, le faisant tourner pour le lubrifier. J’entendis ensuite la porte s’ouvrir sur Nicolas qui n’en croyait pas ses yeux. Il s’approcha et je l’embrassai et, aussitôt, il me rendit mon baiser en y mettant la langue pour aller chercher la mienne qu’il trouva sans difficulté. Il baissa son bas de pyjama et me montra un sexe bien bandé que je fis descendre devant mon orifice anal et le laissai me pénétrer d’un seul coup, profondément, comme son père l’avait avec ma chatte quelques instants auparavant. Cette sensation de double pénétration me fit un bien époustouflant, ce qui provoqua en moi un puissant râle et je prenais plaisir à cela. Laurent se retira et me demanda de me baisser et, lentement, il me prit par les cheveux et je le suçai. Puis, très rapidement, pendant ce temps, Nicolas prenait son rythme et m’enculait divinement bien et moi, au bord de la jouissance, je contractais les parois de mon intestin, ce qui provoqua également l’éjaculation du jeune homme.Son sexe étant encore un peu dur, je le pris dans ma main et le guidai vers ma chatte déjà bien lubrifiée par la jouissance que je venais d’avoir. Il entra sans problème et commençait à haleter. Quant à moi, je prenais plaisir à me faire enfiler la belle jeune queue de Nicolas dans le vagin et celle de son père dans la bouche. Laurent fut le premier à jouir, suivi de peu par son fils.— OH OUI!!!…… MA CHÉRIE… JE VAIS JOUIR!!! OHHHHHHHHHHHH!!!!!— JOANNA!!!!…. T’ES TROP BONNE!!! TU ME FAIS JOUIR AUSSI!!! OHHHHHHHHHHH!!!!!— ALLEZ-Y, MES AMOURS!!! JOUISSEZ EN MOI!!! REMPLISSEZ-MOI BIEN!!! OH OUI!!! C’EST BON!!! OHHHHHHH!!!!!Après une jouissance si forte, je me laissai tomber sur le lit et je regardai le père et le fils fiers de leur femelle, de la femme qu’ils avaient pour eux deux seulement et jamais je ne les trahirais pour un autre car ils me faisaient jouir et j’aimais sentir leurs deux sexes bien durs en moi se déverser de leur divine mixture masculine.Je regardai ensuite le réveil et vis qu’il était déjà 7h30. Je me dépêchai de me lever, de prendre une douche, de déjeuner sur le pouce et de m’habiller vite fait bien fait pour partir au lycée. Avant de partir, je reçus un baiser de chacun de mes deux amants en me pelotant chacun une fesse. «Tu vas devoir rester comme ça jusqu’à ce soir et, avec mon fils sous le nez pendant deux heures sans pouvoir le toucher, ça va être dur pour une femme assoiffée de sexe comme toi, non ?— Je trouve aussi qu’elle est fortiche. Aller travailler avec la chatte et le cul remplis du sperme de ses amants... Faut être forte!— Je ne pourrais pas le toucher en cours mais, pendant les pauses, je sens qu’il n’aura pas de temps pour se reposer, n’est-ce pas Nico?— Non non, tu as tout à fait raison, je vais te remplir un peu plus à chaque récré et, vu que je finis à 15h et toi à 16h, les toilettes du hall d’entrée ne seront pas fréquentées jusqu’à 18h30 donc, si tu veux, papa, rejoins-nous un quart d’heure après la sonnerie et nous pourrons réaliser l’un de tes fantasmes. N’est-ce pas?»
