Au lendemain de notre relation à trois, nous convînmes avec Laurent et Nicolas que nous nous retrouverions dans les toilettes des hommes à la fin des cours de l’après-midi. Je partis pour le lycée une dizaine de minutes avant Nicolas afin d’éviter les soupçons. Ce matin-là, la classe de Nicolas avait une interrogation. Je devais donc arriver un peu à l’avance pour que les élèves puissent commencer à l’heure. Lorsque la sonnerie retentit, les élèves entrèrent dans la salle de classe et je leur distribuai leurs interrogations en leur annonçant qu’ils avaient toute l’heure de cours, soit quarante-cinq minutes. Je retournai ensuite à mon bureau et observai les élèves afin de surveiller une éventuelle tentative de tricherie. Le cours se déroula sans incident. À la fin de l’heure, les élèves me rendirent leurs copies. Cependant, lorsque Nicolas me rendit la sienne, je remarquai qu’elle était accompagnée d’un petit billet. « Tu auras une belle surprise ce soir, Joanna.» Surprise par ce mot, je le cherchai du regard afin d’obtenir une éventuelle explication mais j’eus tout juste le temps de l’apercevoir sortant de la salle de classe en compagnie de deux autres garçons avec lesquels il était en grande conversation. Ce qui me troublait au plus haut point au vu du caractère solitaire que je lui connaissais. Lorsque tous les élèves furent sortis, je quittai la salle à mon tour et allai donner mes cours dans les autres classes que j’avais pour la journée, l’esprit embrumé par la curiosité qu’avait fait naître en moi le petit billet de Nicolas. Le reste de la journée se passa comme à l’accoutumée. Après avoir mangé à la cafétéria du lycée durant la pause de midi en compagnie de deux de mes collègues, je retournai dans ma salle de classe dispenser ma leçon à ma dernière classe de la journée. À 15h, la sonnerie retentit et les élèves quittèrent la salle en me disant «Au revoir, Madame» tandis que je leur rendais leur salutation. Lorsque tout le monde fut parti, devant attendre une heure et demie avant mon rendez-vous avec Laurent et Nicolas, je décidai de consulter mes messages sur mon portable. C’est alors que je vis que Laurent m’avait envoyé un message. « Lorsque tu rentreras dans les toilettes, mets-toi nue et attends-nous à genoux au milieu de la pièce. Fais-moi confiance, il ne t’arrivera rien d’inhabituel.» Intriguée par ce message, je demandai à Laurent ce qu’il comptait faire de notre rendez-vous. La réponse ne tarda pas à arriver. «Surprise, ma chérie.» Ne souhaitant pas tenter de le convaincre, je ne répondis pas à ce message et jouai à des jeux sur mon portable afin de passer le temps. L’heure approchant, j’interrompis ma partie et descendis vers les toilettes. Comme me l’avait demandé Laurent, je me mis nue et m’agenouillai au sol, en face de la porte.
Tout à coup, j’entendis des pas dans le couloir et des voix parler avec animation. La porte des toilettes s’ouvrit et Laurent et son fils apparurent dans l’embrasure. Nicolas s’avança vers moi et me chuchota à l’oreille: « Nous t’avons amené quelques bites en plus, Joanna. Tout se passera bien.» Mon élève alla rejoindre son père. Laurent cria «Entrez» à la cantonade et quatre hommes entrèrent dans la pièce. Parmi ces quatre hommes se trouvaient les deux garçons avec qui Nicolas avait discuté ce matin, Ali et Zhou, un Tunisien et un Vietnamien qui étaient en cours avec lui. Je ne connaissais pas les deux autres hommes mais pensai qu’il devait s’agir de collègues de travail de Laurent. Il s’agissait de deux Noirs très grands et très musclés. Mon copain fit les présentations. « Je te présente Christian et Robert. Ils sont originaires du Cameroun et travaillent avec moi. Ils ne te feront aucun mal. Comme tout le monde ici présent. Prête?» Je hochai la tête avec un large sourire car j’avais l’intuition que cette surprise allait me plaire. Je m’allongeai ensuite sur le sol tandis que les six hommes retiraient leurs vêtements, me dévoilant leurs attributs turgescents. Ils se mirent ensuite en cercle autour de moi et Ali s’agenouilla face à moi. Il me prit par les hanches et enfonça en moi son sexe épais sous les regards excités des cinq autres qui se masturbaient en profitant du spectacle. Ali fit encore quelques va et vient dans ma chatte avant de crier «Oh oui, Madame! C’est trop bon!!!!» et d’éjaculer abondamment sur mon ventre. Zhou lui succéda ensuite. Le jeune Vietnamien s’enfonça d’un seul coup puissant en moi et entama une puissante de série de va et vient mal assurés. Après quelques minutes, Zhou se retira de moi et éjacula sur mes seins. Laurent me retourna et me mit à quatre pattes. Les deux Noirs s’approchèrent de moi. Christian approcha son gland de mon anus tandis que Robert me donnait son sexe à sucer. À peine eus-je mis le sexe de Robert en bouche et commencé des allers-retours que Christian s’enfonça d’un seul coup dans mon anus, me faisant gémir de plaisir. Au bout de quelques minutes, je sentis la bite de Christian palpiter dans mon anus et un liquide chaud me remplir le cul. Robert ne tarda pas à jouir dans ma bouche en me lançant des paroles salaces. « Oh oui, Joanna!!!! Tu es trop bonne!!! Oh oui!!! Tiens! Prends-ça!!!» Sept giclées de sperme me remplirent la bouche. Lorsque Robert se fut retiré, je lui montrai son sperme dans ma bouche et déglutis bruyamment en avalant sa semence. Je me retournai ensuite vers Nicolas et Laurent pour les inviter à venir me baiser à leur tour mais, contre toute attente, Laurent demanda aux quatre hommes: «Alors, ça vous a plu?» Les intéressés hochèrent la tête en souriant et se rhabillèrent sans mot dire. Lorsqu’il eurent quitté les toilettes, Laurent me posa la même question qu’aux autres. « Oui mais pourquoi n’avez-vous pas participé tous les deux?» lui demandai-je « On voulait jouer les voyeurs, ma chérie. Et on peut dire que ça nous a plu. La prochaine fois, nous assouvirons l’un de tes fantasmes. Il faudra juste me dire lequel. » me répondit-il. C’est alors que je vis deux flaques blanchâtres sur le sol. Laurent et Nicolas avaient joui de me voir baiser avec d’autres hommes. En voyant cela, j’avais appris quelque chose de nouveau sur mon élève et son père: ils étaient candaulistes! Voilà qui me donnait des idées...
