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Vie professionnelle

Chapitre 2

Hétéro
Cela fait 6 mois maintenant que je suis à ce nouveau poste de directeur d’agence pour un grand groupe français de conseil.J’ai été recruté par la direction pour reprendre ce petit monde en main et redresser l’activité dans un contexte assez particulier de crise interne.J’ai introduit alors la rigueur, l’ambition et la motivation dans l’équipe en même temps qu’une certaine convivialité et l’amélioration des résultats, couplée à celle de l’ambiance, a été significative.Je garde pour ma part une certaine distance avec mes collaborateurs tout en participant à la bonne ambiance, en mettant en valeur et en avant les points positifs et les personnes.Je suis un peu plus proche de mon assistante, Charlotte, peut-être parce que nos bureaux sont mitoyens avec une porte communicante toujours ouverte, ce qui est pratique pour travailler ensemble. C’est une jeune fille qui, malgré son attitude un peu dilettante, est finalement très motivée du moment qu’on lui fait confiance et qu’on lui donne de quoi faire, apprendre. J’apprécie beaucoup de l’avoir car malgré son jeune âge elle se débrouille très bien et quand elle n’arrive pas à faire ce que je lui demande, n’hésite pas à me le dire à temps.
On a eu deux fois déjà l’occasion de passer un début de soirée tous les deux à l’agence pour boucler un compte de résultats mensuels un peu délicats et nous avons pu travailler ensemble avec un diner livré par un traiteur pour l’occasion. Diners en tout bien tout honneur bien sûr mais qui a été l’occasion de se connaitre un peu mieux sous des aspects moins professionnels. J’ai appris qu’elle avait prévu d’emménager sous peu chez son copain dans un appart neuf. Ça l’angoissait un peu, et d’autres choses de sa vie perso. Moi aussi je me suis un peu dévoilé considérant la réciprocité normale. La seconde fois je l’ai un peu plus observé qu’à l’accoutumée. C’est un joli brin de fille, châtain clair avec de petits yeux rieurs et un sourire très expressif. Assez classique dans ses vêtements, du moins au travail.Aucune ambiguïté entre nous cependant.
Une fin d’après-midi en rentrant de déplacement, j’ouvre un mail m’expliquant qu’elle n’arrive pas à faire exactement ce que je lui ai demandé et si je pouvais l’aider quand je serai disponible. Je passe la tête et Charlotte n’est pas à son bureau. Je retourne à mes occupations et quelques minutes plus tard, je la vois revenir et s’installer. Elle ne m’a pas vu semble-t-il. Je décide de finir mes nouveaux mails puis d’aller la voir ensuite. Mes mails étant finis d’être lus je me lève et je passe la tête dans son bureau. La porte est placée à côté d’elle, derrière son bureau. Je ne m’approche pas particulièrement en silence mais elle ne m’a semble-t-il entendu qu’au dernier moment et elle sursaute assez violemment en changeant rapidement de page à l’écran. Elle me parait très nerveuse et je remarque assez rapidement que ses joues sont toutes roses et son regard troublé. Je reste 5 secondes, à la fois pour la jauger et aussi pour qu’elle se remette. Puis on commence à travailler sur ce que je lui ai demandé. Je lui explique exactement et elle s’applique à comprendre, poser des questions puis une fois que je suis sûr qu’elle a bien compris je la laisse faire en finissant par plaisanter que je corrigerai la copie demain en fin d’après-midi.
La journée suivante se déroule sans rien de particulier. Quand je passe, Charlotte est toute concentrée à la préparation de ce dossier et je l’en félicite. Elle me répond en plaisantant qu’elle veut avoir une bonne note et ainsi éviter tout problème. Je suis légèrement interloqué par la fin de sa phrase j’avoue mais ne rebondit pas dessus.
La fin de journée venant elle m’appelle pour me dire qu’elle a fini. Je me rends auprès d’elle pour revoir cela ensemble. Elle doit être certainement peu concentrée aujourd’hui car il y a pas mal d’erreurs d’inattention et importantes. Je lui fais part de mon mécontentement et elle me dit qu’elle fera tout pour que ce soit bouclé avant la fermeture de l’agence. Elle me dit cela en regardant ses chaussures, assez embêtée. Je lui dis d’aller prendre un café avant de s’y mettre et la voilà qui part. Je m’aperçois avoir oublié de lui demander des informations et un document et comme je pars en rendez-vous dans 2 min, je n’ai pas le temps de l’attendre. Je cherche dans son pc et tombe en changeant d’écran sur un site web que je connaissais bien d’histoires érotiques. Le récit affiché est une petite histoire de soumission comme on peut en trouver tant sur le web. Je n’ai pas le temps, donc je cherche et trouve enfin mes informations. Je garde ce que j’ai vu pour moi et je pars.En revenant à 19 heures, l’agence est fermée mais la lumière à l’intérieur me fait dire que Charlotte a dû rester.Je la trouve en train de finaliser et elle est très concentrée sur son écran. En me voyant, elle m’accueille avec le sourire en m’annonçant que tout doit être bon.Je prends un siège et vérifie à côté d’elle et effectivement tout est parfait, comme je le lui avais demandé. Tout souriante, elle me demande quelle est sa note et je lui dis qu’elle mérite une excellente note en ajoutant qu’elle avait cependant été déconcentrée avant de s’y mettre sérieusement. Elle rosit légèrement. Je continue en disant que la note aurait été vraiment mauvaise si elle avait continué comme ce matin, certainement assortie, en plaisantant toujours, d’une légère punition. Je la vois regarder encore ses chaussures comme une petite fille et rosir davantage. Je ne sais pas si elle jouait la comédie ou non et j’avoue ne pas savoir sur quel pied danser car pour moi la limite est claire et passe d’être franchie. Elle susurre que ses erreurs mériteraient pourtant quelque chose et je reprends en riant et en lui proposant une fessée. Elle murmure un presque inaudible « oui… »Je comprends son petit jeu, son texte, peut-être même ses sursauts parfois. J’ai deux possibilités : y jouer également ou tout arrêter.

Elle s’approche de moi lentement, le regard toujours baissé sur ses chaussures. Le temps semble se dilater autour de nous. Mon tempérament très joueur ne peut que m’inciter à poursuivre et je me tourne sur mon fauteuil vers elle.Comme dans une sorte d’automatisme, elle se penche au-dessus de moi pour se positionner sur mes genoux, m’offrant ainsi son postérieur à mon regard et à mes mains. Sa jupe me laisse entrevoir la lisière de ses bas. Elle se cambre davantage en prenant appui sur le fauteuil et sur mes genoux pour creuser encore davantage sa chute de rein.Je pose ma main sur son genou et la remonte lentement, appréciant le crissement de ma peau sur ses bas couleur chair, profitant de ce moment si délicieux où la jolie novice s’offre à de nouveaux plaisirs, ose sortir un peu de ses habitudes, des sentiers battus pour découvrir de nouvelles sensations, de nouvelles expériences.Je retrousse lentement la jupe de Charlotte jusqu’à sa taille, et ses jolies fesses, encore innocentes et bien mises en valeur par un shorty en dentelle bleu m’apparaissent alors. Ce très joli derrière ainsi exposé et offert dans l’ambiance particulière d’un bureau et d’une situation incongrue mais ô combien jouissive, me donne soudain l’envie de le fesser de manière retentissante. Comme pour marquer véritablement ce début, cette première, tel le 1er coup de gong ! Incertain et hésitant sur le force a appliqué pour marquer le coup tout en restant dans le ludique, tout comme sur le rythme. Je n’avais encore jamais administré, prodiguer ainsi une fessée. Dans le feu de l’action d’une levrette endiablée oui, mais là, c’était bien différent… Fesser une femme, tout en étant novices tout deux sur ce sujet a quelque chose d’intimidant de prime abord.Pris dans l’action, la force et le rythme m’emportent dans une sorte de danse, d’un genre nouveau qui laisse bien loin de l’esprit tout calcul pour tout simplement se laisser porter, emporter telle une musique, ou la respiration d’un être vivant.J’étais à la fois en harmonie avec moi-même, mon corps, mais bien sûr Charlotte ! Je n’ai pas apprécié je pense à sa juste valeur son ressenti lorsque la première fessée s’abattit sur elle. Pas fait attention si elle s’était mordue la lèvre, si son visage s’était crispé ou ouvert sous le coup de la surprise et de la force de la fessée originelle.Je pense qu’elle eut mal au premier coup. La douleur fut certainement physique, mais psychologique et morale aussi. Ses fesses se contractèrent sous l’effet de la fessée reçue, instinctivement. Immédiatement je m’aperçus d’un oubli de ma part ! Je lui avais laissé son shorty. Je passe mes mains de part et d’autre et elle comprend en soulevant son bassin pour faciliter la manœuvre.Avant d’avoir pu penser à quoi que ce soit, ma main s’abat de nouveau sur ce joli fessier offert. Un petit cri semble mourir étouffé entre ses lèvres. C’est alors que l’instant arriva… celui où tout le corps de la fessée résonne des ondes de chocs et plaisir tout en se tendant totalement vers la main qui, bientôt, va s’enlever. Sentir son corps, son esprit, ses pensées et son désir se tendre, se projeter sur la paume de ma main, cela semble tordre véritablement la réalité pour faire que cela s’accomplisse.Ce qui fut le cas bien sûr. Et alors, une fois cette fessée prodiguée, tout le corps de Charlotte semble reconnaitre cette main, quelque part salvatrice, et ensuite s’apaiser. En attendant la suite…
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