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Ma vie de prostituée

Chapitre 1

Hétéro
Je suis née en 1924, j’ai 88 ans, bientôt 89 en mai, je vais vous conter ma vie alors que je vais disparaître de cette terre, c’est une histoire vraie, celle de ma vie, peut-être l’ordre chronologique n’est pas respecté, je n’ai plus la mémoire du temps, et comme je n’ai pas fait beaucoup d’études vous pardonnerez les fautes d’orthographe.Mon ami qui a 20 ans de moins que moi, racontes souvent des histoires sur ce site, toutes plus ou moins inventées, qu’il publie comme fantasmes mais souvent vraies. C’est lui qui m’a incité à écrire l’histoire de ma vie.Je suis née en 1924, à Paris avenue du Maine, ma mère était prostituée dans le quartier de Montparnasse, mon père inconnu, peut être un client ou un de ses souteneurs, je ne sais pas.Ma mère tenait que j’ai un peu de connaissances, et elle m’envoya à l’école publique ou à 14 ans je passe mon certificat d’études, le seul diplôme que je n’ai jamais eu, je sais écrire, lire et compter, je n’ai pas lu Stendhal ou Ronsard, mais je connais les chansons de Brassens.Dans notre petit deux pièces, avenue du Maine où je suis née, je faisais mes devoirs alors que ma mère recevait ses clients dans la pièce d’à côté, Toute petite j’ai connu les choses de la vie, et dès mon certificat en poche, il a fallu que je gagne ma vie, maman m’a toujours dit que j’avais un petit capital et qu’avec lui je pouvais m’en sortir dans la vie, je ne compris pas de suite de quoi elle parlait, mais j’ai compris un peu plus tard vers 16 ans, quand elle m’a fait coucher avec un de ses clients qui avait une grosse bite, maman m’a léché la chatte pour que je sois bien mouillée, puis elle a mis la bite de son client dans ma bouche, cela m’écœurait un peu, mais elle m’a obligé à sucer, puis elle m’a fait allonger sur le dos, a pris la bite de son client et l’a présenté devant ma petite chatte, je pleurais, mais maman a demandé à son client de me pénétrer et de faire de moi une femme. Cet inconnu a rentré sa grosse queue entre mes fesses, ça m’a fait très mal, je pleurais toujours, mais ma mère m’obligeât à prendre la grosse bite dans mon cul puis dans ma bouche, l’odeur de celle-ci m’a fait vomir, mais ma mère m’a dit que je vais m’habituer, elle aussi au début elle n’aimait pas sucer.En 1940, donc j’ai perdu mon pucelage, et maman m’a dit que maintenant je devais gagner ma vie, une chance pour moi, nous avions perdu la guerre et les allemands étaient dans Paris, ma mère en profitait bien elle travaillait dans un bordel de l’avenue Edgar Quinet, le plus grand de la rive gauche, elle me fit embaucher comme femme de chambre pour refaire les lits et le ménage après le passage des hommes dans le lit des prostituées, nous étions deux, et le travail ne manquait pas, les pensionnaires étaient à peu près dix et chacune faisait environ cinq passes dans la nuit. Avec ma copine, quand nous avions un peu de temps, nous aimions regarder les ébats par une glace sans tain qui servait pour surveiller les clients et les prostituées, souvent nous nous faisions surprendre par les souteneurs et c’était les punitions, souvent la fessée et quelquefois le fouet, nous savions ce que nous risquions, mais nous aimions bien regarder les hommes faire l’amour, nous nous caressions jusqu’à la jouissance quand nous en avions le temps.Un soir, un allemand qui avait un peu bu, avec la complicité de ma mère, qui n’hésitait pas à lui faire consommer quelques bouteilles de Champagne, alors qu’elle buvait de « Cocktail maison », me demanda ou plus tôt m’ordonna de venir dans leur chambre, comme je ne voulais pas, la maîtresse de maison m’obligeât d’accepter, je n’avais pas d’autre alternative et je me retrouvais dans la chambre avec ma mère et un officier allemand, avec qui je ne voulais pas faire l’amour.Il me demanda seulement de retrousser ma robe, de retirer ma culotte et me caresser pendant qu’il se faisait faire une fellation, je m’installais dans un fauteuil face au lit et fit ce qu’il demandât, mais voyant ma mère se faire baiser, j’ai eu envie moi aussi, mes caresses ont été pour quelques choses, de faire l’amour avec un inconnu, puis j’ai recommencé plusieurs fois, et à chaque fois qu’un client le demandait, je partageais leur lit, jamais je n’ai jouit avec un client, alors qu’avec mes doigts, j’y arrivais facilement. C’est comme cela que je suis devenue comme ma mère une prostituée et je compris enfin ses paroles que mon petit capital se trouvait entre mes cuisses, et qu’avec lui je pouvais gagner ma vie.Je couchais avec plusieurs allemands tous les soirs, à la libération les Allemands sont partis, ma mère comme beaucoup d’autres fut rasée, moi je passais à côté, je n’étais qu’une femme de chambre, ma mère était toute retournée par cette situation, elle n’avait que pris de l’argent, elle détestait même les Allemands, mais c’était les seuls qui avaient du fric. En attendant que ses cheveux repoussent, comme elle ne sortait plus, je gagnais de l’argent à sa place.Je continuais à travailler au bordel, jusqu’à la fermeture en 1945, alors j’ai travaillé dans des clandés, ou nous étions beaucoup plus exploité, mais c’était le seul moyen de gagner sa vie, cela se passait dans des appartements, ou les clients en compagnie de la « maîtresse de maison » nous choisissaient dans le salon, et nous l’emmenions dans une chambre pour nous faire baiser, quelquefois, le client en choisissait deux, et nous faisions l’amour entre femmes devant lui qui se masturbait puis nous baisait l’une après l’autre. Comme punition, parce que je ne faisais pas mon chiffre, je suis allée travailler dans le sud de la France, où ce construisait un barrage, dans une maison « d’abatage », mon souteneur m’obligeait jusqu’à cinquante passes par jour.Pendant la guerre d’Algérie, je me suis engagée pour travailler dans un BMC à Tlemcen, et là c’était vingt à trente militaires par jour, heureusement, je suis allée travailler chez les officiers ou c’était quand même mieux, cinq à six par jour, et c’étaient des habitués, ils venaient tous les soirs, se sont devenus mes amants. La guerre terminée je rentrais à Paris, je retournais travailler dans les clandés. Quand j’ai des petits problèmes de santé, les « maîtresse de maison » pour ne pas dire les maquerelles m’envoient me reposer dans un bar à Beauvais dans l’Oise, où souvent je rencontrais d’autres filles.Souvent, à chaque descente de police, je me retrouvais au poste, mais comme je connaissais bien les flics et que je leur servais d’indic, je ne restais jamais bien longtemps. L’un après l’autre, les clandés ont fermé, je n’ai pas eu d’autre choix que de faire le trottoir, dans les années soixante, je tapinais dans le bas de la rue du Montparnasse vers le boulevard, souvent le soir j’allais dans les bars ou je faisais boire les clients pour finir dans un petit salon, où l’on pouvait baiser, un jour j’étais avec un client qui venait souvent, il tira son coup comme à chaque fois, et au moment de partir, sa femme était installée au bar, il entre à nouveau dans le petit salon et me met au courant de la situation.Je sors du salon et aborde la cliente, en lui demandant pourquoi sa venue dans un bar, et elle me dit que son mari fréquente ce genre d’établissement et ce soir elle a décidé d’en faire autant, je la fait boire un peu, et lui demande si elle veut venir avec moi dans un petit salon, elle me répond que oui à condition qu’il y ai un autre homme avec nous, comme au bar il y avait pas mal d’habitués, j’ai vite trouvé un homme pour la sauter. Pendant qu’elle se faisait baiser, la patronne du bar en profitait pour faire partir son mari.Souvent j’ai revu cette femme qui est devenue une habituée, quelquefois elle venait avec son mari, lui pour baiser avec une autre femme et elle avec un autre homme.Je faisais environ une « fausse couche » par an, si bien que très vite, je ne pouvais plus avoir d’enfants. En 1969, alors que je tapinais rue du Montparnasse, un jeune homme m’accoste, et je l’emmène dans un hôtel en face où j’avais l’habitude d’aller, une fois dans la chambre, et mes honoraires payés, il me demande de me lécher la chatte, c’est rare qu’un client me demande cela, alors j’écarte bien ma chatte pour que mon jeune client puisse bien me lécher. Il s’y prend tellement bien, que je sers mes jambes sur sa tête pour qu’il ne puisse pas se retirer et je le bloque, jusqu’ à ce qu’il me fasse jouir, c’était la première fois que je jouissais avec un client, il vient me voir à peu près une fois par semaine, et à chaque fois je prends mon pied.Puis j’ai changé de lieu, maintenant je tapinais rue Chalgrin, où il y a un petit hôtel qui nous reçoit. Au début, c’était un peu dur, les autres prostituées ne voulaient pas de moi, mais un an après, elles m’ont accepté et je faisais mes passes normalement, de temps en temps, les clients voulaient deux femmes et je faisais participer mes collègues. Mon client habitué venait comme avant toutes les semaines.Puis l’hôtel a été vendu, j’ai acheté un petit appartement (ou plutôt une chambre) pour continuer mon métier, comme mes collègues, mais très vite nous avons été exproprié pour détruire l’immeuble, alors j’ai trouvé un appartement rue Chalgrin à louer ou je recevais mes clients. Cela à durer deux ans environ, mon jeune client venait me voir toutes les semaines, je lui faisais l’amour comme une maîtresse le fait à son amant, j’ai été la première à m’occuper de ses fesses et de son trou du cul, je lui ai fait son premier anulingus, puis à l’aide d’un étui à cigare je l’ai dépucelé du cul, suivi de godes beaucoup plus gros, il aimait que je l’encule et me fournissait en livres porno, que je laissais à la disposition de mes clients, Les autres locataires se sont plains de mes allers et venues, en plus je tapinais au coin du boulevard Raspail et de la rue Brée, donc tous les locataires me connaissaient.J’ai donc trouvé une chambre presqu’au coin de la rue Brée et de la rue Vavin, comme c’était au rez- de-chaussée, j’y suis restée plusieurs années. Puis après, le racolage devenant interdit, je me suis fait engager comme ouvreuse dans le cinéma de avenue du Maine au coin de la rue Froidevaux, je ne gagnais pas beaucoup, puis le cinéma est devenu un cinéma x, je suis restée ouvreuse, mais quand les clients le voulaient bien, arrondissais mes pourboires en faisant une pipe ou l’amour au balcon, puis les films x ne marchèrent plus, et le cinéma ferma. Je passais toutes mes après-midi avec mes collègues, aux terrasses des cafés qui voulaient bien nous recevoir, nous allons dans des hôtels proches. Les cafés ont été vendus, certains sont devenus des restaurants, à l’exception de « La coupole » ou encore maintenant quelques filles passent encore leurs après-midi, avec la complicité des garçons de café.Pendant toutes ces années, mon client venait me voir toutes les semaines, je baisais avec lui et prenais mon pied à chaque fois, un jour il me demanda de lui faire connaître un autre homme, mais je lui ai refusé, il a connu de vrais bites, mais pas avec moi. J’ai économisé toute ma vie et j’ai pu m’acheter un appartement avenue du Maine, près de l’église Saint Pierre de Montrouge et préparer ma « retraite ».J’ai travaillé jusqu’à 65 ans, mon amant, qui a 20 ans de moins vient toujours me voir, il vit seul depuis son divorce, il passe presque toutes ses nuits dans mon lit, j’aime encore qu’il me fasse une petite minette, je jouis toujours dans sa bouche et j’aime qu’il jouisse dans la mienne, il ne me fait plus l’amour, maintenant il est un peu mou, mais nous aimons bien nous serrer l’un contre l’autre.
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