Je roule les fenêtres ouvertes pour me rafraîchir et essayer de me calmer, mais c’est l’effet inverse. Je sens ma jupe onduler au souffle du courant d’air et le vent venir jouer entre mes lèvres nues maintenant que le vigile m’a délestée de ma jolie culotte ... Je n’ai pas beaucoup de route pour rentrer chez moi, mais il y a une portion à 90 durant laquelle ma jupe vole toujours plus. Je n’y prête pas grande attention, je profite de cet air frais qui vient me caresser entre les cuisses. Le bruit sourd d’un klaxon à ma droite me fait sursauter ! Il s’agit d’un poids lourd que j’étais en train de doubler. Le conducteur me regarde avec un air lubrique... En fait non, il ne me regarde pas, il regarde ma jupe ! Ou plus précisément, il regarde ce qu’elle dévoile grâce au vent. Je devrais être outrée, mais au contraire ça m’excite terriblement. Je suis une véritable nympho ma parole ! Le chauffeur se passe la langue sur les lèvres de la manière la plus graveleuse qu’on puisse imaginer. Ça me dégoûte un peu, mais malgré moi je sens quand même mon intimité s’humidifier et se réchauffer. Je me reconcentre sur la route et je finis mon dépassement. J’ai terriblement chaud. Je savais déjà que j’aimais être regardée et désirée, mais je suis en train de me découvrir un réel goût pour l’exhibition pure et simple de mon intimité ! J’aimais être désirée comme une femme, mais pour ce chauffeur j’étais moins que ça, il m’a regardée comme une belle pièce de viande dans une vitrine et ça m’a fait mouiller comme une folle. Mon lourdaud me fait des appels des phares et met son clignotant sur la droite alors qu’il n’y a rien sur la droite, rien que des petites aires d’arrêt qui servent en cas d’urgence. J’ai comme un flash quand je comprends ce qu’il veut, ce pervers veut que je m’arrête sur le côté ! Il a très certainement envie que je le rejoigne dans sa cabine pour me baiser comme une pute ! Non, mais pour qui il me prend celui-là ?Puis je repense à la fellation forcée avec Charles la nuit dernière, puis mon exhibition dans le supermarché et à la sodomie avec le vigile et finalement ce camionneur m’a très bien cernée, dans les dernières 24h, je me suis vraiment comportée en chienne... et j’ai aimé ça. Pendant un court instant, je laisse mon imagination divaguer et faire un film mental de ce qui se passerait si, comme il me le demande subtilement avec ses appels de phare dans son 3 tonnes, je m’arrêtais au bord de la route avec lui : Une fois qu’on serait tous les deux arrêtés, je l’observerais un instant dans mon rétroviseur. Il aurait sans doute un sourire lubrique et me ferait un petit signe du doigt, extrêmement dégradant, pour me signifier de le rejoindre. La petite bourgeoise en mal de sexe que je suis et se découvrant un penchant pour l’humiliation ne pourrait qu’obéir à cette injonction. Je sortirais donc de ma voiture avec la boule au ventre et la vulve en fusion. Une voiture passant à vive allure sur la route créerait un appel d’air qui soulèverait ma jupe courte. Le sourire carnassier du conducteur s’élargirait quand il découvrirait que je n’ai pas de culotte et je rougirais de honte et d’excitation.Arrivé au niveau de cabine, il m’ouvrirait la porte côté passager et en montant je découvrirais dans un premier temps l’odeur de renfermé et de transpiration qui règne dans la cabine puis son sexe déjà sorti et encore un peu mou. Sans dire un mot, il me désignerait son petit sexe qu’il caresse doucement avec trois doigts puis il passerait une main derrière ma tête et appliquerait une légère pression, comme si le message n’était pas assez clair. Moi, esclave de mon excitation, les sens brouillés par ma nouvelle dépendance à l’humiliation, je me pencherais pour pendre ces quelques centimètres de chair dans ma bouche. Le goût de sueur et de reste d’urine serait écœurant, mais le contexte dégradant me ferait mouiller comme une folle. Entre mes lèvres, je pourrais sentir son sexe se durcir et gagner légèrement en taille. Très rapidement, je sentirais son corps se tendre et il appuierait fort sur ma tête. Ses poils pubiens très fournis gêneraient ma respiration, mais la pression sur ma tête n’aurait aucun effet, son pénis n’étant pas assez grand pour atteindre le fond de ma bouche. Il éjaculerait quelques gouttes de sperme âpre qui se diluerait vite dans ma salive, rendant inutile une tentative de crachat pour se débarrasser du goût. Enfin il me dirait de dégager, assaisonnant son injonction d’une insulte quelconque et me gratifiant d’une claque sur les fesses quand je me pencherais vers la portière pour sortir. Toujours plus d’humiliation qui ferait bouillir tout mon appareil reproducteur et pas la moindre caresse pour me soulager. Je reprends mes esprits. Non, définitivement ce serait la pire baise de ma vie, pourrait-on seulement appeler ça une baise ? Je sais que je ne fais que fabuler dans ma tête, mais j’ai réussi à me convaincre que ce serait une mauvaise idée de m’arrêter avec ce routier. J’appuie sur l’accélérateur et m’éloigne du camion, faisant comprendre à son conducteur que ce n’est pas aujourd’hui qu’il se videra dans une petite bourgeoise exhibitionniste.
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J’arrive devant mon ennuyeuse maison et je décharge mes courses de la voiture. J’essaie de ne pas trop m’attarder, car mon débardeur est toujours taché, je ne porte toujours rien sous ma jupe et j’ai même sans doute encore un reste séché de sperme dans les cheveux, ce serait très embêtant qu’un voisin que je connaisse me surprenne ainsi. Une fois à l’abri des regards et les courses rangées, je retourne prendre une douche. Cette journée de luxure n’est pas bonne pour ma consommation d’eau. Je mets mon débardeur taché de sperme et ma jupe qui a absorbé en partie ma mouille dans le panier de linge sale et me glisse sous la douche. L’eau me fait un bien fou, j’ai l’impression de me laver de mes péchés, de redevenir la bourgeoise respectable et ennuyeuse que j’étais avant que Charles utilise ma bouche pour se masturber.
En sortant de la douche, je crains également de garder une odeur de fluide reproducteur dans l’haleine et je décide donc de me brosser les dents, passer du fil dentaire et faire un bain de bouche, tout pour que mon propre corps puisse oublier ma débauche. Dans le miroir de la salle de bain, j’observe mon corps qui bouge au rythme des mouvements de ma brosse à dents. Mes seins s’agitent de gauche à droite, mon ventre musclé ne bouge pas contrairement aux muscles de mes fesses qui bougent légèrement, au même rythme que ma poitrine. J’adore mon corps, c’est un peu prétentieux de dire ça peut-être, mais je l’entretiens depuis que je suis très jeune et ça se voit, j’ai le tour de taille de taille et de fesse que j’ai toujours cherché à avoir et à maintenir et j’ai aussi la chance d’avoir une belle poitrine bien ronde, volumineuse sans excès et qui, grâce à ma pratique du sport, tient bien hauteur. Les hommes sont des animaux constamment en rut, mais je comprends que mon corps les excite. Après ma séance de lavage de dents et de body positive, je m’attaque à la lessive pour ne pas laisser mes vêtements souillés à la vue de mon beau-fils. Je vide le gros de la machine précédente et je m’en vais la suspendre. Je ne me rhabille pas, Charles n’est pas là et j’ai envie d’être à l’aise, comme de profiter de mon propre corps et de laisser respirer ma peau lavée de ma luxure.Le soleil me chauffe la peau à travers la baie vitrée et je profite de ce moment en chatonnant pendant que je réalise ma tâche ménagère. Ma vie ennuyeuse ne l’est plus tant que ça depuis que je me vautre dans le sperme et même si je reste très frustrée de mes expériences sans orgasme, je profite de l’instant. Après avoir suspendu mon linge, je retourne à la machine et fais tourner le tambour pour m’assurer que je n’ai rien oublié dedans et en l’occurrence il reste bien une chaussette au fond. J’essaie de la décrocher sans succès. Je ne comprends pas comment elle a pu se coincer comme ça. Je tire dessus, mais toujours rien ne se passe. Je décide de rentrer la tête et les épaules dans la machine pour mieux voir où et comment elle s’est coincée. L’impensable se produit quand, après avoir échoué à sortir la chaussette, j’essaie de m’extraire de la machine et que je reste ... coincée !! Vous pensiez que c’était impossible ? Moi aussi ! Que ça n’arrivait que dans les mauvais films pornographiques ? Moi aussi ! Mais forcée de constater que je suis complètement entravée dans la machine, l’arrière-train nu et tendu à l’extérieur de la façon la plus obscène et ridicule que vous puissiez imaginer. Je n’arrive pas à croire à ce qui m’arrive, je force autant que je peux pour m’extraire, mais je n’y arrive pas ... Je force tant que je finis par m’épuiser, je suis à bout de souffle, endolorie par ma position, au bord de la crise de nerfs. Le stress et l’effort pour m’extraire ont raison de moi et je finis par m’endormir comme ça. Je suis réveillé par des pas derrière moi. Ma première pensée est que c’est Charles et qu’il va voir ma vulve et mon anus tendus à l’extérieur de la machine. Cette pensée me panique puis je me dis que ce petit fils de pute (ou beau-fils de pute ?) s’est déjà vidé dans ma bouche, et m’a regardée me masturber, on a passé le cap de la pudeur lui et moi. Je dois lui demander de l’aide. — Charles ? Charles c’est toi ? Tu peux m’aider s’il te plaît ? Je suis coincée ! Pas de réponse... — Charles putain aide-moi ! Toujours pas de réponse. Je l’entends fouiller dans le panier de linge sale, sortir quelque chose et le humer. Putain c’est peut-être ma jupe souillée de mouille qu’il renifle comme ça ! Cette pensée me panique et malheureusement le naturel revient au galop : La honte de le savoir en train de renifler mes fluides intimes, la honte de ma position, nue, coincée, à quatre pattes le cul offert, tout ça me fait bouillir d’excitation. Ma situation de soumise offerte, de cul sans visage, de déversoir à foutre, me fait mouiller comme une folle et je sens les lèvres de mon vagin palpiter. — AAaaaah ! Je lâche un gémissement obscène, chevrotant et suraigu. Une grande claque vient de s’abattre sur mes fesses et la sensation était si inattendue et si exquise que je crois même qu’un petit jet de mouille a jailli de ma chatte. Putain, Charles renifle mes secrétions intimes et en plus il me claque les fesses, il est incontrôlable ce gamin ! J’entends bouger derrière moi et je sens son visage se plaquer entre mes fesses. Ce salaud sort sa langue et goûte ma vulve. Je suis en colère, choquée par son culot, mais mon corps réagit au quart de tour, depuis le temps qu’un homme ne m’a pas donné d’orgasme, je me mets à espérer que je vais enfin y avoir droit. Sa langue vise juste, il décalotte mon clitoris, le lèche, le suce, le pince entre ses lèvres, il lèche mes lèvres et écarte mes chairs en introduisant sa langue. La partie raisonnable de mon être voudrait qu’il s’arrête, voudrait que je ne trompe pas son père mon mari, mais celle-ci ne fait que s’effacer de plus en plus face à la femme en chaleur qui veut jouir à tout prix. — Non, Charles ! Il ne faut pa-AAAAaaaah Ah oui ah oui ah ouiiiiiiii ! Alors que dans un dernier effort, je voulais l’arrêter, le point de non-retour a été franchi, le petit palier au-delà duquel l’orgasme est inéluctable. A partir de là je cesse de faire semblant d’avoir du contrôle, je lâche définitivement prise. Mon corps est parcouru de spasmes, mes halètements resonnent dans le tambour qui me tient prisonnière. Une nouvelle claque s’abat sur mon postérieur, déclenchant la même réaction que la première. Inutile d’avoir de la retenue, je viens de jouir sur le visage de mon beau-fils et apparemment il ne compte pas s’arrêter là. Je ne compte plus lutter, l’orgasme qui vient de me foudroyer m’a complètement déboussolée, j’ai perdu la notion du temps et surtout celle de la décence. Quand je sens Charles frotter sa verge dure et chaude contre ma vulve, je me mets automatiquement à remuer l’arrière-train. Je ne pense plus au fait que ce soit mon beau-fils, je veux une bite au fond de moi et c’est tout. Quand son gland passe mes lèvres, je ressens comme une décharge électrique. Si je n’étais pas maintenue par la machine à laver, je me serais effondrée par terre. Mais ce n’est rien face à la sensation de sa bite qu’il finit d’enfoncer d’un coup sec et rapide. J’ai l’impression que tout mon bas-ventre atteint les mille degrés, j’ai le souffle coupé et j’ai comme un flash de lumière dans les yeux. Soit je suis complètement malade d’aimer à ce point la bite soit c’est Charles qui a une bite magique. Je n’ai pas le temps de me poser la question qu’il commence à me pilonner. Il me détruit de l’intérieur, à ce stade mes propres cris dans la machine à laver m’assourdissent, l’avant de mon corps est soutenu par la machine et Charles me tient les hanches pour porter ma croupe. J’ai dépassé le stade de la chienne, je ne suis plus qu’une poupée sexuelle subissant les assauts d’un homme qui en vaut cent, j’ai littéralement le sentiment de me faire piétiner par un régiment d’infanterie. Je crie si fort que mes oreilles bourdonnent et je finis par me casser la voix. Charles se calme une seconde, crache sur mon anus et reprend son pilonnage tout en enfonçant un pouce dans mon cul. Je ne sais pas comment il arrive à me soutenir tout en me doigtant le cul, mais il le fait. C’est trop pour mon corps, ma respiration se coupe, mon cœur manque un battement, tous mes muscles se contractent. Je sens la semence brûlante de Charles se déverser en moi et les contractions de sa verge contre les parois de mon vagin. Je me mets à convulser et me sens partir. Jamais je n’ai connu un orgasme aussi puissant, la frustration, la soumission, l’humiliation, le tabou de se faire labourer comme une pute par son beau-fils, tous ces ingrédients réunis m’ont fait passer dans une autre dimension. Ce n’est plus un orgasme que je suis en train de vivre, mais un voyage spatio-temporel. Ce que je ressens est trop puissant pour que mon cerveau le supporte et je perds connaissance. A mon réveil, je suis allongée nue dans mon lit. Je me demande si j’ai rêvé, mais la substance blanche qui colle entre mes cuisses m’indique que non. Je suppose que Charles a réussi à me décoincer et m’a portée jusqu’à mon lit. C’est mignon, même si ça n’efface pas ce qu’il m’a fait juste avant. De toute façon, je ne l’ai pas vu directement, il pourra toujours nier. Je n’ai plus qu’à oublier cette histoire.
Durant les dernières 24 heures, j’ai découvert une part horriblement perverse de ma personnalité, j’ai renoncé à ma dignité, mais j’ai connu l’orgasme le plus incroyable jamais vécu, très largement au-dessus de ce que je pouvais imaginer. Ce récit s’arrête ici, mais pour moi une nouvelle histoire commence, car je ne compte pas renoncer à la bite magique de Charles ni aux histoires folles avec des inconnus, même si ça devait coûter plus cher à ma dignité, si c’est au prix de l’avilissement que peux goûter à nouveau à sa verge alors ainsi soit-il.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.