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Vie secrète d'un couple : apprentissage de la soumission

Chapitre 1

Mon mari, dominateur ?

SM / Fétichisme
J’avais voulu me plonger dans les moindres recoins de celui avec qui je partageais ma vie, qui aurait pu m’en blâmer ? Malheureusement ce que j’avais découvert me choquerait je pense assez longtemps, je ne savais pas comment je pourrai faire pour soit l’oublier assez pour agir normalement, soit lui en parler et régler ce "problème". Mais je crois que vous ne comprenez rien, pardon. Je récapitule.
Je m’appelle Emma, et après une relation de cinq ans avec celui que je considérais alors comme l’homme de ma vie, nous nous étions finalement mariés. J’étais donc une jeune mariée de 25 ans, unie pour le meilleur et pour le pire à un de ses seuls amants depuis maintenant presque un an. J’avais rencontré mon mari à la fac, il était devenu un brillant avocat : encore plus charismatique et grande gueule que la première fois que je l’avais vu, un des premiers jours de cours.
Grand, brun, svelte, des yeux sombres et pénétrants : j’avais senti son regard parcourir tout mon corps. J’avais ensuite appris qu’il était déjà en troisième année, mais qu’il ne rechignait pas à côtoyer des filles plus jeunes comme j’allais m’en apercevoir. Nous avions finalement été présentés par un ami commun, je ne sais plus réellement comment mais j’étais ensorcelée par ce jeune homme après la première bière que nous avions prise ensemble.
Il était drôle, sarcastique mais me susurrait des compliments à l’oreille par moments.Il m’avait tout de suite excitée je l’avoue. Il m’avait vite ramenée chez lui, où la soirée avait bien sûr pris le tour attendu et j’avais véritablement découvert le plaisir pour la première fois.
Je n’étais pas vierge mais j’avais surtout eu des expériences assez décevantes, avec - je ne le soupçonnais pas vraiment à l’époque bien sûr - mon futur mari j’avais eu mes premiers orgasmes et j’avais découvert une certaine facette de ma personnalité.Avec lui, je m’étais sentie libre de me "lâcher" sexuellement, je me sentais sexy en lui donnant du plaisir et prenant certaines attitudes que j’avais vues dans des pornos. J’aimais me cambrer quand il se positionnait derrière moi, même rien que dans notre cuisine, et frotter mon cul contre son entrejambe, qui grossissait alors rapidement. J’aimais sentir sa queue, d’ailleurs très belle, à la fois longue et large - il aimait se vanter de ses origines sud-américaines -, contre mon bassin, se presser entre mes fesses ou appuyer contre mon clitoris.
Il n’en fallait pas beaucoup plus pour qu’il finisse par me prendre contre un de nos plans de travail, je savais exciter mon homme - ou du moins j’aimais le croire. J’avais toujours plus ou moins compris qu’il avait eu pas mal d’expériences sexuelles, mais je n’avais en fait jamais réellement posé la question. J’avais sûrement peur de la réponse et je préférais me concentrer sur l’amélioration de mes propres performances, que d’ailleurs mon mari semblait apprécier.
Nous avions depuis nos années passées ensemble testé pas mal de pratiques, enfin pour moi la plupart étaient nouvelles et j’avais en général apprécié. Nous avions dernièrement parlé de bondage, mais déjà la sodomie me semblait encore assez osée - nous l’avions introduite dans nos pratiques depuis maintenant deux ans mais j’appréciais assez peu cette intrusion dans mon fondement, je ne saurais expliquer pourquoi. Diego, oui c’est mon mari, avait semblé déçu, me disant qu’il avait toujours pensé que j’étais "plus chaude que ça".
Je sentais comme un reproche, car si j’aimais le sexe et pouvais me faire pénétrer plusieurs fois par jour sans fatiguer, j’étais en fait assez conservatrice. J’aimais bien sûr la levrette, mais même me faire tirer les cheveux paraissait parfois un peu violent, je n’aimais pas vraiment les fessées. En fait, j’avais besoin d’une certaine once de douceur dans les gestes de mon partenaire, même si j’appréciais un peu de passion. J’avais l’impression encore une fois de tout de même satisfaire Diego, même si parfois je le sentais un peu absent, les yeux dans le vide mais je mettais ça sur le compte d’un travail quelque peu stressant. Cependant, un matin (il y a environ dix jours), il partit vraiment tôt, me disant qu’il avait énormément de travail encore une fois. Je lui avais demandé d’un air coquin s’il pouvait tout de même un peu de plaisir avant de partir (j’aimais le provoquer un peu et je ne disais jamais non à un "petit coup rapide").
Il m’avait alors presque regardé avec amusement, sinon un dédain dissimulé, et avait rit avant de partir.
— Pas aujourd’hui mon cœur, vraiment je n’ai pas la tête à ça...
C’était assez rare pour être souligné et j’avoue que cela avait aiguisé ma curiosité, mais j’avais ensuite oublié, prise moi aussi par mes activités.Je travaillais, quelques jours par semaine dans une sorte de café-galerie d’art dans notre quartier. Oui, nous habitions en plein Paris grâce au salaire conséquent de mon brillant orateur. J’avais également pris quelque temps pour décorer notre appartement, j’avais en fait presque tout choisi mais Diego m’avait donné "carte blanche" et avait semblé satisfait de mes choix. Cependant, à l’heure où je vous parle, je trouvais mon mari plus qu’étrange et je commençais à avoir des doutes.
Oui, ce genre de doutes. C’est pourquoi, ce matin-là, un des premiers jours d’avril, j’attendais impatiemment que mon mari parte au travail, afin de commencer des investigations qui me semblaient nécessaires. J’en avais parlé à mes trois meilleures amies, que je connaissais depuis le lycée, et le verdict était sans appel : je devais collecter des preuves de son infidélité (oui, nous avions toutes pensé à la même chose). Ainsi, après avoir entendu la porte d’entrée se fermer, je me levais presque en bondissant du lit conjugal, toujours en débardeur de nuit et culotte en dentelle noire. Je ne savais même pas où chercher, car jusqu’à présent je lui avais toujours fait confiance. J’essayais de me rappeler des films et séries que j’avais vu à ce sujet, mais après réflexion je n’avais pas envie de tout retourner dans un accès de folie destructrice.
Je commençais par son armoire - oui nous avions des armoires séparées, il m’avait toujours dit que c’était plus pratique, je me rappelais alors ces paroles presque en frissonnant. Caleçons, chaussettes, cravates, chemises... Rien de bien original ou inquiétant. Mais en regardant presque par hasard derrière ses chaussures, je vis une boîte en carton assez ordinaire. "Oh non... pensais-je directement. Mais je devais me calmer, je ne savais même pas ce que j’allais trouver dans cette boîte. En effet, en l’ouvrant mes craintes se dissipèrent devant une cravache en cuir, cela devait être pour les leçons d’équitation que mon mari prenait parfois.
Oui, il avait grandi en Argentine et là-bas sa famille avait toujours possédé des chevaux. Il avait gardé le plaisir de monter, et il disait que cela lui permettait de faire de l’exercice. Je remis le couvercle de cette boîte en place et continuais mes recherches. Je remarquais en me détournant de l’armoire qu’il avait oublié son ordinateur sur le bureau. Je n’avais encore jamais " fouillé" dedans. J’avais l’impression d’être une vulgaire voleuse, pas la femme aimante que j’avais juré d’être lors de notre mariage. Mais je m’inquiétais trop, je ne comprenais pas pourquoi cet homme que j’aimais semblait se détacher de moi. J’ouvrais l’ordinateur, parcourant des dossiers aux noms d’affaires et clients divers. En vérité, je savais mon mari intelligent et s’il se livrait des activités répréhensibles je doutais trouver quelque chose de flagrant à portée de main.
Cependant, un dossier finit par retenir mon attention. Il s’appelait "soirées", je me demandais si c’était les photos qu’on prenait souvent de nous deux lorsque nous étions ivres - ce qui arrivait assez souvent entre les soirées de son cabinet, de la galerie et de nos amis respectifs - ou les rares fois où j’avais accepté de la beuh avec lui. J’ouvrais la première photo et j’eus le souffle coupé. C’était une femme, attachée par un enchevêtrement complexe de cordes, qui semblaient à la fois lui broyer la peau mais lui procurer un certain plaisir puisqu’elle souriait d’un air langoureux à celui qui tenait l’objectif. Elle se tenait dans une position plus qu’équivoque, agenouillée, jambes écartées et bras attachés dans le dos : elle semblait offerte et dans l’attente de plaisirs certains.Mon mari avait pris cette photo ? Mais à quelle occasion ? Je parcourais le reste des photos ; un peu plus d’une centaine en fait.
Depuis combien de temps cela durait-il ? D’autres femmes attachées grâce à des techniques de bondage (oui je m’étais renseignée depuis que Diego l’avait mentionné), certaines dans des positions assez acrobatiques et leur chatte très exposée. Il y avait également certaines femmes dont le visage était recouvert de ce qui semblait être des cagoules de cuir, certaines leur cachaient les yeux mais pas la bouche ; sur une des photos on voyait une jeune femme la tête recouverte d’une cagoule de cuir noir, corset de cuir noir également et un collier avec une laisse, comme une chienne. Elle se tenait à quatre pattes, cambrée pour montrer qu’elle n’avait pas de bas, même si elle portait des porte-jarretelles noirs eux aussi. Je dois avouer que ces photos ne me laissaient pas indifférente mais j’étais également énervée et dégoûtée. Il y avait plus d’une dizaine de jeunes femmes et femmes plus âgées que moi, mais toujours très belles et elles n’avaient pas spécialement de ressemblances physiques avec moi - je ne sais même pas si cela me rassurait ou me vexait.
Mais cela était un nombre conséquent et je ne pouvais passer là-dessus. Est-ce qu’il m’aimait finalement ? Ou trouvait-il cela douloureux de ne pouvoir réaliser tous ses fantasmes avec sa femme, celle qui aurait dû vouloir le combler plus que tout ? Je n’avais bien sûr pas encore la confirmation que ces photos étaient de lui, mais même s’il les avait juste prises sur un quelconque site ou ce genre de choses, je devais avoir une conversation avec lui à ce propos. Puis, à la fin de la liste de photos, je remarquais finalement un fichier mp4.
— Un film de ses ébats et petits fantasmes dominateurs... Super...
Car oui, apparemment mon mari était un dominateur, je ne pouvais pas le nier. Mes amies avaient toujours plaisanté sur à quel point il devait aimer tout contrôler au lit, même si elles reconnaissaient que c’était très excitant. Cependant, désormais l’idée de domination prenait un sens nouveau : je savais qu’il voulait m’asservir sexuellement ? Me faire porter du cuir et des laisses ? Je ne comprenais plus et ne le reconnaissais pas. Je devais trouver le courage de regarder ce film... Allez Emma... me disais-je. Plusieurs minutes s’écoulèrent avec moi presque abasourdie devant l’écran, je décidais d’aller fumer une cigarette pour me calmer.
Sur le balcon, face à la cour intérieure de notre immeuble, je vis Diego - quoi ?! C’est une blague putain - rentrer bien plus tôt que prévu. Il devait avoir oublié quelque chose, très bien j’allais pouvoir le confronter... Je finissais ma cigarette, je commençais à être un peu anxieuse. J’entendis la clé tourner dans la serrure. Je jetais mon mégot et me dirigeais vers le salon, où il se trouvait.
— Tu rentres tôt finalement, dis-je d’un ton qui se voulait attendri.
Il se dirigea vers moi, m’enlaça et m’embrassa langoureusement.
— J’avais trop hâte de te voir bébé... dit-il, m’embrassant à présent dans le cou.
Je décidais de couper court à ces démonstrations d’affection, qui après mes découvertes le faisaient paraître vraiment coupable. Je le repoussais légèrement.
— Diego, j’ai utilisé ton ordi pour chercher un truc ce matin, viens voir ce que j’ai trouvé... dis-je d’un ton innocent.
Il semblait totalement confiant et me sourit, me suivant dans notre chambre. Devant l’ordinateur, je bougeais simplement la souris pour faire apparaître ce que j’avais trouvé. Il sembla un peu étonné, mais pas honteux ou même en colère comme j’aurais pu m’y attendre devant cette preuve compromettante.
— Qu’est-ce que c’est que ça ? dis-je d’un ton maintenant volontairement froid, sinon déçu.— Bébé, je peux t’expliquer. Laisse-moi au moins te montrer, OK ?— Me montrer ? Mais Diego, tu délires...
Il me coupa la parole "Je suis sûr que tu serais excitée. Essaie d’entrer dans mon univers." Après un silence, il reprit : "J’ai toujours été attiré par les pratiques de domination, tu sais que je suis un homme qui aime commander."
— J’avais remarqué... dis-je un peu sèchement à mon goût. Apparemment tu t’es détourné de moi car je ne te laisse pas m’attacher comme une chienne, c’est ça ?— Je sais que ça a l’air étrange vu de l’extérieur, mais je respecte profondément toutes ces femmes. Elles m’ont fait suffisamment confiance pour me laisser pratiquer cela avec elles.— Je te promets que depuis nos fiançailles je n’ai pas eu de soumise régulière... sa voix était presque implorante.— Je me suis rendu à quelques soirées, j’avoue. Mais je pourrais te former à être ma soumise...
La façon dont il prononça "soumise" me fit sentir une sensation de chaud en bas des reins. Que m’arrivait-il ?
— S’il te plaît, Emma. Regarde ce film et après tu me pourras me dire de tout arrêter, mais si en fait cela t’excite, on commence ton apprentissage.— Commencer mon apprentissage ? Mais cela ne m’excitera pas, je suis surtout jalouse de ces femmes qui ont ton attention plus que moi...— Allons bébé, comme je te l’ai dit ce sont des actes d’amour. Tu ne me fais pas assez confiance pour ne pas te blesser mais juste te montrer des voies de plaisir inexplorées ? On commencera doucement...
C’est vrai que j’avais une sensation étrange au creux du bas-ventre depuis la découverte de la première photo. Mais je ne l’avouerais jamais.
— Je suis sûr que si je mets ma main dans ta culotte là maintenant, mes doigts seront plein de mouille, reprit-il en chuchotant presque.
Non, pas du tout, répliquais-je. Très bien, allons regarder ton stupide film, puisque tu tiens tant à montrer à tout le monde ce que tu fais à ces pauvres filles." Il rit, se dirigeant avec moi vers le salon.
— Je te promets que celle-ci, et les autres, étaient consentantes.
Il me sourit d’un air insolent. Nous nous assîmes côte à côte sur le canapé, face à notre télé écran plat et il connecta son ordinateur à ce dernier. Encore une fois, je me trouvais face à la jeune femme à quatre pattes vêtue de cuir noir et portant une laisse. On voyait que celui qui tenait la laisse tenait en fait la caméra, la laisse semblait assez longue. La fille le fixait, sa cagoule laissait voir de grands yeux bleus. Elle portait également un baillon-boule, on entendait la voix de mon mari lui intimer de se caresser, ce qu’elle fit et on pouvait déjà l’entendre un peu gémir.
Cela me provoquait une certaine chaleur encore une fois dans le bas-ventre. La voix de Diego lui dit ensuite d’arrêter, la fille semblait déçue. Il lui dit qu’il allait chercher un autre jouet. On le vit changer de pièce et choisir un gode assez gros - ce n’était pas chez nous, heureusement me dis-je, mais il semblait bien connaître les lieux - parmi ceux présents dans le tiroir d’une commode. Il revint finalement devant sa partenaire et lui ordonna de se placer dos à lui et de lui "offrir son cul". Elle se tourna alors, présenta son cul, tenant ses propres fesses assez écartées : on vit l’homme commencer à lui enfoncer le gode dans l’anus. Il la pénétra assez rapidement, "oui elle était très excitée..." rajouta Diego. Je n’avais pas remarqué qu’il avait également posé une main sur ma cuisse droite, remontant vers ma culotte, j’avais été trop fascinée par ce que je voyais. Les va-et-vient du gode faisaient gémir la fille, elle bougeait tout de même en rythme, tenant toujours ses fesses écartées.
Ma respiration s’accélérait malgré moi et mon mari le remarqua malheureusement tout de suite.
— Alors, tu aimes bien ? dit-il presque innocemment.— Hé bien, c’est intéressant...
J’avais peur d’en dire trop.
— Montre-moi ta culotte.
Il avait avancé son autre main vers mon vagin, sa main droite pressant le haut de ma cuisse pour me retenir sur le canapé. Il écarta d’un doigt ma culotte trempée, me pénétra avec deux autres doigts et je gémis presque sans le vouloir.
— Tu es trempée...
Il sourit d’un air gourmand, me regardant comme quelque chose qu’il avait hâte de déguster. Il me força à me retourner, à genoux sur le canapé avec lui toujours à côté derrière : il maintenait mes hanches cambrées, pressant sa bite déjà dure contre mon cul.
— Non... je lui gémis.
Il avait enlevé en effet ma culotte et me léchait l’anus, tout en descendant parfois vers mon vagin et mon clitoris. C’était délicieux, mais il s’attardait sur ma rosette et j’avais un peu peur. Il avait ajouté ses doigts pour titiller mon clitoris, je gémissais de plus en plus. Mais soudain, il s’arrêta net. Je ne comprenais plus rien, j’étais déjà trop excitée pour réfléchir.
— Mais...— Mais quoi mon cœur ? C’est moi qui décide quand tu jouis, et tu as été vilaine de fouiller dans mon ordi.
Il me caressait le dos en parlant, je compris qu’il était sérieux à propos de mon "apprentissage".
— Maître, s’il vous plaît... dis-je d’un ton suppliant. Oh mon Dieu, cela m’excitait vraiment, j’en avais des frissons.
Tu as vite compris, suis-moi dans la chambre, soumise." dit-il en me serrant le cou par derrière, pas méchamment mais assez fermement pour me faire sentir son pouvoir.
— Oui, Maître.
Je me levais, déjà trempée mais prêtre à recevoir encore plus de jouissance et satisfaire mon mari...
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