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la vie sexuel d'un jeune manipulateur

Chapitre 6

Hétéro
Chapitre 6 : La nuit dans la maison (partie 1)
J’étais vautré sur le canapé en face de l’écran géant, regardant un film à l’intérêt discutable. Antoine était assis dans un fauteuil, absorbé par les scènes d’actions et Sophie croquait sur son petit carnet de dessin, enfoncée dans un confortable sofa. Je me revoyais 2 heures auparavant, dans les toilettes du cinéma avec Lise. Je crois que je ne l’avais jamais autant fait jouir. Il faut dire que mon esprit s’était focalisé sur Sophie et non sur elle. Alors que je l’avais prise j’avais imaginé Sophie, les cuisses enroulées autour de ma taille, haletant de plaisir. J’avais tenu Lise dans mes bras et Sophie dans mon esprit. J’avais rembarré Lise après le cinéma pour me dépêcher de retourner voir Sophie. Sophie, elle occupait toutes mes pensées, comme un but vers lequel je ne cessai de m’approcher sans jamais pouvoir vraiment l’atteindre. Et elle était là, en face de moi, les jambes croisées, recouverte d’un léger pantalon en fine toile, le buste habillé d’un large chemisier en coton. Ses cheveux blonds était attachés en chignon haut, comme si elle c’était réveillée avec cette coiffure tant elle semblait négligée et naturelle. Je la voyais porter son crayon à papier à la bouche et serrer ses lèvres autour, me faisant m’imaginer autre chose sous sa langue. Ce soir je passais à l’action.Depuis le jour où je l’avais aidé à nettoyer sa maison, je n’avais passé aucun moment uniquement en sa compagnie. Ce soir, j’allais changer ça. J’avais tout prévu. Sophie m’avait prévenu qu’elle comptait préparer une salade de crudités ainsi que des côtes d’agneau au barbecue. Je la savais végétarienne. J’avais bâti mon plan dessus. J’avais acheté la veille une côte d’agneau chez le charcutier et l’avait laissé sortie toute la nuit. Ce matin, en me levant je m’étais empressé de la mettre dehors, en plein soleil. Ayant passé tout l’après-midi chez Antoine et une partie avec Lise, j’avais hâte de vérifier dans quel état ce morceau de viande était. Mon plan était simple encore une fois. J’allais insister pour préparer les côtes et remplacer la part d’Antoine par le morceau avarié. Il ne tarderait pas à tomber malade et je pourrai ainsi passer une soirée complète avec Sophie sans même qu’Antoine ne trouve ça étrange.Je rentrais donc rapidement chez moi, prenais la pièce de viande avariée, la rangeais dans mon sac et retournais rapidement chez la mère d’Antoine. J’avais hâte de mettre mon plan en application. Lorsque j’arrivais dans la maison, Antoine jouait à la Xbox sur l’écran géant tandis que sa mère semblait s’être enfermée dans son bureau pour dessiner et passer des coups de téléphone importants. Depuis plusieurs jours j’avais obtenu l’autorisation de la maîtresse de maison pour entrer directement dans la maison sans sonner, privilège dont je ne cessais d’user et abuser. Je m’asseyais donc à côté d’Antoine pour le défier à Need For A Speed. Je participais au jeux sans y apporter beaucoup d’intérêt, je ne cessais de lancer des coups d’œil à la porte du bureau de Sophie pour l’espionner. -Mylène non ! La nouvelle collection ne peut pas avoir de retard ! Il m’a fallu… Oui ! … rupture de stock de cachemire ?! Comment c’est possible ça ?! … Non… Non mais… tu le sais bien Mylène ! On ne peut pas le faire sans lui ! … mais… oui ! Bisous Mylène.De toute évidence la vie professionnelle de Sophie n’allait pas non plus. Des problèmes pour la nouvelle collection, les textiles, les dates de défilés, la présence de différentes personnes, rien n’allait plus sur le Red Carpet de la fashion week pour Sophie. Tout son monde semblait bancale et sur le point de s’effondrer. Moi en revanche j’étais une valeur sure, une lueur montante dans son existence, j’étais là au bon moment, au bon endroit. J’avais toutes les chances de mon côté pour réussir mon coup ce soir. Après plusieurs courses, Sophie sortie enfin de son bureau, l’air fatigué, la mine désespérée. Elle vint s’assoir à nos côtés de nous, dans un fauteuil en tissus large, profond et confortable. Elle monta ses jambes sur le coussin et s’installa confortablement en se massant les tempes. De mon côté je ne pouvais m’empêcher de l’observer, l’épier, ce qui eut pour conséquence ma défaite sur ce dernier circuit et la joie infantile d’Antoine. -qui gagne ? demanda Sophie sans vraiment s’intéresser au jeu.-Moi ! répondit Antoine avec un immense sourire. Guillaume vient de perdre cette partie, ce qui fait que je mène avec un 5 à 3. Mec je suis en train de te tuer, me fit-il en me donnant un léger coup de poing dans l’épaule. Je me décidais alors, pour ne pas attirer l’attention de Sophie et Antoine de me comporter comme n’importe quel jeune de 17 ans invité chez un de ces amis :-Tu vas voir bolosse, je vais me mettre une remontée dans la vue, tu vas pas comprendre ta douleur !Voilà la phrase que j’ai donc prononcée avant de me lancer avec toute ma motivation dans le jeu de course.
Le repas arriva enfin après plusieurs circuits, j’avais réussi à mener au dernier tournoi, ma fierté masculine était flattée. Nous passâmes donc à table. J’étais confiant, mon plan ne pouvait que marcher. Sophie nous servit la salade de crudité pendant qu’Antoine et moi discutions de nos victoires respectives. Arriva enfin l’heure de préparer les côtes d’agneau au barbecue. Tout ce jouait là. -Non non, laissez Sophie, je vais m’en occuper.-Non Guillaume, ce n’est rien, c’est gentil merci.-Arrêtez ! Je passe mes journées chez vous, je peux quand même aider à préparer le repas.Je savais que je marquais un point avec cet argument. Premièrement cela me permettait de préparer le plat et pouvoir rendre malade Antoine, et deuxièmement je m’affirmais à nouveau comme garçon bien éduqué et polit. Sophie me dévisagea longuement, comme si elle se doutait de quelque chose puis enfin me donna son accord.
-Tu sais comment marche le barbecue ?-Oui oui, ne vous en faîtes pas.Je m’éloignais donc de la pièce en prenant discrètement mon sac. Je quittais la salle à manger donnant sur le jardin par de grandes baies vitrées ouvertes pour l’avancer vers le barbecue à gaz auprès duquel trônaient les deux côtes d’agneaux fraîchement décongelées. Je jetais rapidement l’une des deux pour la remplacer par mon morceau avarié. Je mettais les deux pièces de viandes à cuire et les amenais ensuite à table.Antoine dévora la sienne tandis que moi je la savourais, observant les expressions d’Antoine. De toute évidence mon plan avait réussi puisqu’il ne se rendit pas compte de la fraicheur discutable de son morceau. Une fois le repas finit, nous débarrassâmes la table et allèrent nous poser devant la télé pour regarder un film. Ne voulant laisser la moindre chose au hasard, j’insistais pour regarder un film d’horreur. Saw 3… au hasard… le seul interdit au moins de 18 ans, de l’hémoglobine, des tripailles, de la bidoche, de la violence et des hurlements écœurants ; en bref, de l’art. Exactement ce qu’il lui fallait pour réveiller son malaise. Au bout d’une heure de film et d’une bonne cinquantaine de litres de sang versés, Antoine se mit à devenir blafard, et à tourner de l’œil. Il ne survécut pas à l’opération ouverte du crâne du Jigsaw et courut vers les toilettes. Tout fier de moi j’allais voir Sophie dans sa chambre, en train de lire un livre, pour la prévenir que sa progéniture se vidait de ses tripes dans les WC du rez de chaussée. Elle posa son livre, et sortit de son lit pour aller voir Antoine. Elle ne portait qu’un petit short de jogging jaune et un débardeur blanc, ses cheveux blonds lui tombant négligemment sur les épaules.Arrivée en bas, elle rentra dans les toilettes tandis que j’allais m’assoir sur le canapé pour regarder la fin de ce grand film. Elle resta aux côtés d’Antoine pendant au moins 45 min avant de ressortir derrière lui. Je les suivais alors pendant qu’ils gravissaient les escaliers pour ramener Antoine dans sa chambre. -Je ne vois vraiment pas ce qui t’as mis dans cet état… se demanda-t-elle en l’aidant à s’allonger dans son lit alors que je les observais, adossé contre le cadre de la porte.-Tu sais mec, ça arrive même aux meilleurs, ça ira mieux demain, lui dis-je avec un sourire « compatissant ». La chambre était sombre et la seule lampe allumée n’était pas dirigée dans ma direction et heureusement sinon Antoine aurait sans doute pu voir mon air satisfait tant j’avais du mal à le camoufler. Lorsque Sophie sortit enfin de la chambre de son fils, elle me regarda et me dit d’un air dépité :-J’étais crevée mais ça m’a réveillé.Nous descendîmes alors l’escalier en discutant de la possible manière dont Antoine aurait pu tomber malade. Elle finit enfin par opter pour les frissons répétés d’Antoine quand nous étions à table.
Il était 23h45 lorsque nous nous assîmes devant la télévision pour discuter. Enfin j’obtenais ce dont je rêvais depuis tant de temps. Nous discutâmes de tout et de rien. De son travail, son couple, sa famille et même de son fils. Je découvris enfin que toutes mes suppositions étaient justes. Elle se sentait délaissée par son mari et dénigrée par son fils qui semblait ne pas se rendre compte de la manière dont elle essayait de s’impliquer dans sa vie. A son travail, la bonne humeur et le travail bien fait n’était pas non plus au rendez-vous. La nouvelle collection de vêtements qu’elle avait dessiné n’était pas prête, certains textiles n’étaient plus disponibles en assez grande quantité, Gérard, un des organisateurs du défilé, venant de la laisser tomber pour aller travailler chez un plus grand styliste… En bref, elle avait l’air dévasté et moi ça m’arrangeait, j’allais mieux pouvoir la faire craquer, oublier tous ses interdits.Lorsqu’elle eut finit de me raconter tous ses problèmes et était sur le point de fondre en larme et je décidais donc de prendre les choses en main. -Bon Sophie, vous avez besoin d’un petit remontant j’ai l’impression. Où est votre vodka ? J’ai remarqué que vous aviez beaucoup de jus de fruit dans votre réfrigérateur, je vais vous faire un petit cocktail qui va vous remettre bien, faîte-moi confiance.Elle m’indiqua un placard dans la cuisine. Je m’empressais de prendre un verre et de tout préparer. Je finissais ma préparation en y ajoutant deux glaçons et apportais près du canapé nos deux verres, ainsi que la bouteille de vodka que je déposais aux pieds du canapé supposant qu’elle pourrait me venir en aide au cas où elle tienne assez bien l’alcool. Evidemment j’avais quand même bien dosé son verre en vodka pour m’assurer qu’elle se laisse aller.Je lui tendis un verre.-Qu’est-ce que c’est ?-alors, c’est un fond de vodka mélangé dans un premier temps avec du jus de framboise bien frais et ensuite dilué au jus de pomme. Bu bien frais c’est une tuerie. Lorsque je saisis mon verre, ma main traîna sur son genoux sans même qu’elle ne le note. -Hum. C’est excellent ! m’avoua-t-elle après avoir pris une gorgée du mélange.Elle reposa son verre sur la table basse, se rassit et posa sa main sur la mienne.-Alors, dis-moi, tu as une copine non ?-Oui, mais… c’est compliqué…-Ahhh… fit-elle avec un sourire en reprenant son verre, c’est toujours compliqué avec les filles.-Pas toujours, il y en a certaines qui sont plus simples à cerner.-Ah bon ? Lesquelles ? demanda-t-elle avec un sourire malicieux. En quoi sont-elles plus simples à cerner ?La discussion continua ainsi durant un moment pendant que son verre diminuait autant que son humeur s’améliorait.-Il n’y en a plus ? demanda-t-elle sans vraiment y croire en montrant son verre.-non désolé, lui répondis-je, mais j’ai ça si vous voulez.En joignant la parole au geste je me penchais derrière le canapé en mettant mes fesses musculeuses en exposition devant ses yeux que je supposais grands ouverts. Et je n’avais pas tort, lorsque je nous servis un shot de vodka elle considéra longuement mes bras.-Et tu fais du sport non ?-oui, fis-je sur un ton faussement modeste, un peu de rugby, rien de plus…Généralement, lorsque je disais aux filles que je faisais du rugby, leurs yeux se perdaient dans les miens et je savais que j’avais gagné la partie. Et ce fut le cas pour Sophie. En me fixant des yeux elle compta jusqu’à trois et nous bûmes de concert nos shots respectifs. La discussion reprit son cours. Elle avait ses jambes d’étendues sur les miennes tandis que moi je lui caressais du pouce les cuisses. L’alcool commençait à lui monter à la tête, je la voyais se prendre les pieds dans ses phrases, rires pour peu de choses. Je ne dirais pas que j’étais sobre mais tenant bien l’alcool j’étais beaucoup plus maître de mon corps qu’elle, ce qui me plaisait beaucoup. La savoir à ma merci m’excitait énormément. Si elle faisait attention j’étais certain qu’elle aurait pu sentir mon début d’érection pointant sous son mollet. Je savourais la situation, j’avais une femme mûre, magnifique, mère d’un ami allongée sur moi, à la limite d’être torchée, me dévorant du regard. -Et toi ? Ta famille ?Cette question sonna comme le début des hostilités pour moi. J’attaquais.-Vous savez, repris-je, ça va pas mal. Mes parents ne sont pas souvent là et ma sœur n’habite plus chez nous, alors la famille… Je n’en ai pas vraiment… Donc quand je vous vois, avec Antoine qui semble ne pas se rendre compte de tout ce que vous faîtes pour lui, avec votre mari qui n’est jamais là et qui ne vous regarde pas, je vous comprends. Sophie avait perdu son sourire, elle commençait à craquer. -Vous savez, vous aussi vous avez le droit d’être heureuse, continuais-je comme si de rien n’étais en rapprochant encore plus mon visage du sien. Parce que ne me mentez pas, vous n’êtes-pas heureuse. Antoine ne vous regarde pas, tout comme votre mari, vous êtes invisibles à leurs yeux, vous faîtes partie des meubles. Rien chez vous ne semble leur rappeler que sans vous ils ne seraient rien. Vous êtes pourtant si belle, si désirable que c’en est incompréhensible que vous n’ayez encore trouvé personne d’autre… Un garçon jeune par exemple…Son regard était planté dans le mien, des larmes coulaient lentement le long de ses douces joues mais elle buvait mes paroles, elle commençait à comprendre ce que je voulais et ce qu’elle voulait. Elle glissait mollement sur le canapé dans ma direction, ses cuisses s’écartant doucement tandis que mon visage se rapprochait inexorablement du sien et que ma main commençait à remonter le long de sa fine cuisse. -Un garçon que vous connaissez, un garçon en qui vous avez confiance, un garçon qui vous fera revivre ce que vous ne cessez de fantasmer depuis de longues années….Mes lèvres étaient à quelques centimètres des siennes et nos yeux étaient toujours liés entre eux. Je me décidais enfin à l’achever.-Laisse-toi aller…Sophie ferma alors les yeux et nos lèvres se touchèrent enfin. Sa peau était douce et chaude à l’image de ses lèvres pulpeuses qui m’avait tant fait rêver, nos langues se rencontrèrent enfin, notre étreinte ce fit plus passionnée tout comme nos baisers. Ses bras vinrent me serrer alors que ses cuisses s’enroulaient autour de ma taille, sa généreuse poitrine collée contre mon torse. Elle commençait à se faire plus sauvage, me décoiffant de ses mains et faisant remonter mon T-Shirt de ses cuisses.
A suivre…
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