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la vie sexuel d'un jeune manipulateur

Chapitre 11

Hétéro
Chapitre 11 : la fin de Sophie et du récit
Lorsque j’eu passé le pas de la porte du numéro 12 je compris immédiatement que la première partie de mon plan avait fonctionnée. Il régnait dans la maison une ambiance lourde, comme si un orage allait éclater en plein cœur du salon. La vie dans la maison se reflétait dans la météo. Durant tous ces jours où Sophie avait vécu ce flirt avec moi le soleil avait toujours été au rendez-vous mais à présent que mon piège se refermait sur elle, elle devait sentir qu’elle s’apprêtait à vivre un enfer. Antoine m’accueillit dans le salon après avoir lâcher sa Xbox. -Ca va gros ? demandais-je.-ouais, vite fait, ma mère est en train de phaser, c’est badant…Heureusement qu’Antoine se retourna pour se vautrer sur le canapé face à la télé parce que je ne réussi pas à camoufler mon petit sourire narquois de supériorité.-Elle a quoi ?-Je sais pas, elle s’est enfermé dans son bureau…En réalité je savais très bien ce qu’il se passait dans la tête de Sophie. Le matin même, j’avais attendu qu’Antoine et son père partent au tennis et que Sophie aille acheter une baguette pour rentrer illégalement chez eux. Je n’eux aucun mal à pénétrer dans la demeure ; ils cachaient une clef dans le pot de fleurs sous la fenêtre du salon. Une fois à l’intérieure de la bâtisse je me glissais jusque dans le bureau de Sophie pour disposer en une ligne parfaite les différentes photos prises la veille. Je trouvais cette idée de ligne parfaite des plus sadiques. Elles ne devaient pas être balancées en vrac sur le bureau, elles devaient être rangées, triées en fonction du moment de l’acte immortalisé entre Richard, le mari de Sophie, et sa pute de brunasse. J’avais réalisé une immense ligne où chaque photo était séparée des autres par une distance à chaque fois égale. Cette perfection traduisait le désir de faire souffrir la personne qui les verrait et, de toute évidence, ce fut le cas. Je pris une manette et entamait une partie de GTA V. J’étais tellement content de moi que je réussis à attirer tous les flics de la ville tant je jouissais de faire le mal ! Du coin de l’œil j’entrevis Sophie ouvrir la porte de son bureau, le visage livide, les yeux bouffis par les larmes qui avaient dues couler de rage sur ses belles joues. Elle monta discrètement à l’étage sans même qu’Antoine, trop absorbé par le jeu, comme toujours, ne le remarqua. Quelques secondes plus tard, je prétextais d’aller aux toilettes pour monter l’escalier et retrouver Sophie à l’étage. Je rerentrais donc, une fois l’escalier passé, dans mon rôle de gentil adolescent sage et pur qui ne voit le mal nul part. Je commençais à défaire ma ceinture pour aller aux toilettes, quand Sophie, intriguée par le bruit sortit d’une pièce. -oups ! Désolé ! fis-je en refermant rapidement ma braguette et rebouclant ma ceinture, sur un ton imitant très bien l’étonnement-Ce n’est rien, je ne t’avais pas entendu monter…-Vous… vous allez bien ?-oui oui, ça va, merci…Je la prit par le bras d’un geste lent et plantais à nouveau mon regard dans le sien. -Vous êtes sûre ?Mes yeux hypnotisant, mon regard pénétrant eurent raison d’elle. Elle s’effondra littéralement en larme. Quelque chose en elle sembla se briser à ce moment, c’était la goute d’eau qui faisait déborder le vase. Ce qu’elle ne savait pas encore, c’était que cette goute d’eau allait être suivie de bien d’autres…-Je ne sais pas ce qu’il m’arrive ! tout allait bien dans ma vie et là plus rien ne va ! lâcha-t-elle entre deux sanglots, elle se laissa glisser contre la porte menant au petit débarras d’où elle m’avait foutu dehors pour notre première rencontre. -Tout part en couille, je vais sans doute me faire virer, mon mariage est un échec et Antoine n’en a rien à foutre de moi !Je dus avouer que malgré mes penchants sadiques et destructeurs j’eus un léger relent de pitié pour elle. Je la pris dans mes bras et l’aida à se relever. Antoine surgit alors de l’escalier, sa manette à la main.-Vous faîtes quoi ?-Je l’aidais à se relever c’est tout… -Ah… tu viens, qu’on finisse la partie ? Antoine, de part son je-n’en-ai-rien-à-foutre-de-toi à l’égard de Sophie l’acheva lui-même, je le vis dans le regard de Sophie.
Je me décidais donc d’autant pourrir la vie d’Antoine que de Sophie. Ce petit connard ne respectait même pas sa mère. La famille entière devait être dissoute. Entre le père qui ne considérait pas sa famille, le fils qui exploitait sa mère, et cette salope qui m’avait empêché de la plaquer. Les derniers mots d’Antoine me firent l’effet d’une injection d’adrénaline, je n’aurais à présent plus aucune pitié.Sophie rentra dans la salle de bain tandis que je redescendais dans le salon derrière Antoine. -Putain je vais me faire iech ce soir, il y a personne chez moi… comme d’hab d’un autre côté… déclarai-je en feintant le désintéressement total. Bien évidemment ma phrase était chargée de sous entendus et Antoine me proposa immédiatement de rester dormir chez lui.-Je vais bader si je reste seul avec ma mère une minute de plus… La fin de la soirée fut calme, on ne revit plus Sophie, elle ne descendit même pas pour manger lorsqu’Antoine lui proposa. Nous nous faisions des pates quand une discussion des plus intéressante fit son apparition. -Pfou ! J’ai passé une journée de merde, je te raconte même pas le bail ! lâcha-t-il en même temps que les pates dans l’eau bouillante (je tiens à faire remarqué que j’ai réussi à placer un zeugma ici et je n’en suis pas peu fier :p ). -Pourquoi ?-Elle me saoule… Elle est toujours à la maison à dessiner, dès que je fais quelque chose elle m’engueule… D’après toi, pourquoi je t’ai autant invité ? Enfin, je veux dire, c’est pas méchant ce que je dis, c’est juste que j’ai rien en commun avec elle. Pour elle la vie ça se résume à dessiner, manger, dormir. -Ouais t’inquiète gros, je comprends… moi c’est clair que c’est l’inverse, jamais personne chez moi, que ce soit d’un côté ou de l’autre… Mais bon, là mon père va déménager et j’irai vivre avec lui l’année pro… Mais je pense que ça changera rien… Il rentrera le soir, et encore, si j’ai de la chance, pour manger puis il sortira… des fois je le vois pas d’une semaine, j’ai aucune nouvelles de lui il pourrait être mort que j’en saurais rien … Un silence s’installa durant lequel on n’entendit plus que le bruit du remoud de l’eau bouillonnant dans la casserole. -Au fait, repris-je en sortais mon regard dedans le vide, ta mère… Je me fais peut-être des films mais elle me tournait pas un peu autour ces derniers temps ? -Quoi ?! Tu délires mec là ! Ma mère ? Te draguer ?! T’es baisé dans ta tête toi ou bien ?! fit-il en riant. Elle est trop aveugle pour se rendre compte que papa en a plus rien à faire d’elle et elle a pas assez de couilles pour aller voir ailleurs…A sa dernière phrase je compris que je venais de semer en lui le doute. Je savais que cette nuit, avant de dormir, il repenserait à ce que je lui aurais dit et il revisionnerait tous les moments que nous avons passé ensemble. Antoine était certes un gosse pourri gâté mais il n’était sans doute pas con. Il en viendrait vite à la conclusion que je venais de lui balancer à la gueule. Puis petit à petit il comprendrait que je jouais également le même jeu que Sophie, que même face à lui nous ne nous gênions pas pour flirter. Il n’y croira pas au départ, puisqu’après tout, je suis son meilleur ami. Je ne venais que pour le voir lui, pas pour le voir elle. Le coup fatal lui sera porté lorsqu’il découvrira de ses propres yeux la vérité, que je baise sa salope de mère et que si je suis ami avec lui c’est uniquement pour la tringler sans me faire chier à être discret ! Il comprendra alors qu’il n’a aucun meilleur ami, et que sa mère a d’abord pensé à sa chatte avant de penser à son fils. Le faible lien unissant Antoine à sa mère sera alors tout bonnement rompu. Antoine sera détruit, n’aura plus personne vers qui se tourner, Sophie aura tout perdu, j’aurai tout gagné. Ainsi va la vie…
Les pates furent rapidement prêtes, la sauce également. Nous nous vautrâmes sur le canapé, prêts à débuter une soirée des plus viriles : pates, alcool, match de foot. Antoine dégaina la bouteille de vodka de sous un meuble et nous servit un bon verre lorsque les pates furent englouties. A la fin du match Antoine était complètement pété et je devais reconnaitre que je n’étais pas forcement en pleine possession de mes moyens. Heureusement pour moi, ce que j’avais prévu pour le reste de la soirée correspondait parfaitement avec ce que mon instinct et mes couilles me dictaient. Antoine sombra dans le sommeil deux heures après le match, sur le même canapé que celui sur lequel j’avais déboîté sa mère. Je remarquais d’ailleurs une légère tâche sur le tissu au niveau de son visage, tâche due à la mouille la salope vivant ici.
Je montais rapidement et silencieusement l’escalier menant au premier étage. Evidemment, comme je m’en étais douté, Sophie ne dormait pas. De la lumière filtrait de sous la porte de sa chambre. J’ouvrais lentement la porte sans faire de bruit. Sophie était recroquevillée en boule dans son lit, beaucoup trop grand pour elle seule. Elle me regarde pousser la porte sans prononcer un mot.-Je venais voir comment vous alliez…-C’est gentil…-Vous n’arrivez pas à dormir ?Elle fit un léger mouvement de tête pour répondre par la négative. -Je ne suis pas fatigué non plus… Je peux rentrer ?Elle se releva dans son lit, et me fit de la place sous la couette. Je me glissais dessous sans trop la regarder, préférant soigner mon expression de jeune homme désolé pour elle.-Tu as passé une bonne soirée ? me demanda-t-elle après s’être éclairci la voix.-Oui, c’était sympa, le PSG a ruiné l’OM ! c’était lamentable…Je me tournais vers elle, me mettais sur le côté et m’appuyais sur mon bras tout en restant allongé, de manière à prendre la pose la plus romantique possible. Je plantais à nouveau mon regard dans le sien, et pour la seconde fois dans la journée, elle s’y perdit. -Vous êtes belle même après avoir pleuré… murmurais-je d’une voix grave et sensuelle.Elle renifla légèrement avant de me remercier avec un léger sourire. Elle ne dit rien de plus, je ne dis rien plus. Je sentais que ce silence devait perdurer. Ce silence allait me l’offrir. Et effectivement, après de longues secondes passées à s’admirer les yeux, je la vis approcher lentement son visage du mien. Je fis de même et nos lèvres se rencontrèrent. Je reçu comme un choc électrique au contact de sa peau de pêche. Nous nous embrassâmes ainsi pendant de longues et lentes secondes. Avant de nous séparer à nouveau. -Vous êtes magnifique… déclarai-je sans avoir à feinter.-Arrête de dire des bêtises… fit-elle en m’embrassant à nouveau, passant sa main dans mes cheveux. Je me fis rouler par-dessus elle pour reprendre le contrôle de la situation. Mais je sentais que cette fois ci je ne pourrais pas donner libre court à mes vicieuses pulsions sexuelles. Cette fois ci je ne devais pas la baiser, je devais lui faire l’amour à cette chienne. Lui faire l’amour comme personne ne le lui avait encore jamais fait, je devais écouter ses désirs et son plaisir. -Je vous aime, lâchais-je dans un soupir entre deux baisers.-Moi aussi, me répondit-elle en m’entourant la taille de ses jambes.
Je pouvais sentir ses petits pieds s’entrecroiser dans le creux de mes reins sous la couette tandis que ses mains s’égaraient derrière ma nuque, ébouriffant mes cheveux, caressant mes muscles dorsaux. Je pouvais également sentir son doux et léger parfum aux effluves de lilas et autres bois exotiques qui se mariait à merveille avec son odeur naturelle. De bout de mes lèvres je l’embrassais partout dans le cou, humidifiant chaque centimètre carré de sa divine peau hâlée. Toujours calculateur, je laissais une trace de mon passage sur sa sublime gorge sous la forme d’un suçon bien visible, la salope aurait du mal à le dissimuler et cette pensée me fit gauler encore plus. Ses doigts fins et manucurés glissaient le long de mes bras avant d’effleurer mes flans me donnant de doux frissons.
Je tirais sur la fermeture éclair de son sweat pour découvrir sa parfaite poitrine au rebondi bien marqué. Je voyais ses mamelons roses fermes et sensibles pointer d’excitation sous mes indécentes caresses. Je pris l’un deux en bouche pour le suçoter, le mordiller. Rapidement elle me fit comprendre que cette initiative était des plus heureuses. Son rythme respiratoire s’accélérait, son visage se couvrait de sueur, ses pupilles gonflaient. La salope avait vraiment besoin de se faire passer dessus.
Je continuais donc mon voyage sur son anatomie pour lui hotter son pantalon de survêtement ainsi que ses sous vêtements. Sa chatte, comme chaque fois, était trempée. Cette femme mouillait plus que n’importe quelle autre chatte que j’avais eu le privilège de sauter. Sa cyprine luisait la lumière de sa lampe de chevais. Apparemment mon regard brilla d’excitation en voyant tant de mouille puisque quand je relevais les yeux pour lui jeter un regard, elle afficha un sourire complice et gourmand. Mes doigts glissèrent d’eux même dans sa chaude fente. Ils y furent immédiatement engloutis. Elle émit un long soupir de soulagement, comme si elle n’avait attendu que ça depuis des heures. Ma langue se joignit rapidement à mes doigts pour profiter de ce délice gustatif. La Sophie ondulait de bonheur, me plaquant le visage entre ses cuisses, me murmurant de continuer ainsi. J’avais presque du mal à respirer tant elle m’appuyait la tête contre sa fente dégoulinante.
Au bout de longues minutes à subir ce traitement elle me susurra de la lui mettre. Etant raide comme un porc, je ne me fis pas prier. Sans capote sans précaution ni lubrifiant je lui enfilais ma bite dans la chatte, lui tirant un cri de jouissance incontrôlable. Je n’eu pas à faire beaucoup d’effort, elle s’empalait d’elle-même sur ma queue, ondulant son bassin pour la faire rentrer au plus profond de son sexe. Ses mains se baladaient entre sa chatte et mes couilles, me flattant les bourses tandis que je faisais mes assauts plus agressifs que jamais, la faisant gémir de bonheur de moins en moins silencieusement. J’entendais le claquement produit par mes boules frappant sa chatte mêlé à sa respiration saccadée et cette symphonie sexuelle me rendait fou. Je bandais à en avoir mal à la teub. Je sentais ma tige rentrer et sortir de cette délicieuse crevasse de chair, moulée par ses parois vaginales et ce va et vient régulier et violent me faisait perdre la raison. Nous jouissâmes après avoir longuement fait l’amour dans toutes les positions imaginables.
Le lendemain matin je me levais vers 10 heures. Sophie était déjà debout. Je me rhabillais rapidement et descendais au rez-de-chaussée pour petit déjeuner. Antoine était toujours vautré sur le canapé, ronflant allègrement, les bras et les jambes pendant aux extrémités du divan. Sophie quant à elle mangeait ses biscottes à la terrasse, prenant un bain de soleil par la même occasion. Encore une fois elle avait revêtu un chapeau aux bords larges et d’énormes lunettes mouches, lui donnant un vague air de Grace Kelly. Je descendais les quelques marches qui menaient à la terrasse et tentais le tout pour le tout en l’enlaçant par derrière, faisant glisser mes mains le long de ses bras dénudés. Elle se retourna rapidement et baissa ses lunettes.-pas maintenant, imagine qu’Antoine se réveille ?-et alors ? Je n’ai pas envie qu’on se cache… fis en l’embrassant dans le cou. -Non Guillaume, vraiment, je ne veux pas qu’Antoine l’apprenne. -Alors un seul baiser, un seul et je ne tenterai rien…Elle afficha un léger sourire et se laissa embrasser. J’appréciais encore plus ce baiser puisque je savais à quel point elle le regretterait plus tard. Ce baiser était l’un des derniers que je lui donnerai.
Je m’assis en face d’elle, prit un morceau de pain et commença à entamer de la confiture dessus en plongeant mon regard dans le sien. Je sentais que, malgré ses lunettes, elle me regardait fixement, tentant de sonder mon esprit. -Qu’est-ce qu’il y a ? demandais-je avec un léger rictus satisfait.-Rien, je te regarde c’est tout.-Ahhh…-Et je me dis que tu es vraiment très beau…Elle baissa ses lunettes et me déshabilla du regard. Mon pantalon se gonfla légèrement sous ces yeux inquisiteurs et ma main vient machinalement se placer entre mes jambes pour masser cette bosse de chair.
Antoine apparut soudain de la porte fenêtre menant à la terrasse, il avait littéralement la tête dans le cul, le regard perdu dans le vide, la peau pâle de celui qui a passé une mauvaise nuit et qui a trop d’alcool dans le sang. -salut tout le monde…Je virais ma main de mon entre-jambe mais je cru apercevoir qu’Antoine remarqua le léger mouvement de tête de sa mère pour cacher le fait qu’elle me relukait la seconde précédente. -bien dormi ? demanda-t-elle mine de rien.-Bof… Le canapé a une odeur bizarre… faudra le laver.Sophie plongea sa tête dans sa tasse de café pour éviter de rougir, tandis que je croquais dans ma tartine d’un air conquérant, tout fonctionnait parfaitement. Antoine s’assit en face de moi, posa un bol sur la table, y versa une grande quantité de Chocapic avant de les noyer dans le lait. -je t’ai pas entendu partir Guigui, tu as dormi où ? Sophie eut soudain l’air paniqué, ne sachant pas ce que je dirai.-oh, euh… j’ai dormi dans ta chambre, tu prenais toute la place sur le canapé alors je suis monté quand tu t’es effondré.-et toi maman, ça va mieux ?-un peu oui, lança-t-elle en dissimulant habillement son sourire. J’ai… J’ai relativisé…-Il t’est arrivé quoi en fait ?-Rien de bien important, vraiment rien, ajouta-t-elle en voyant qu’antoine voulait en savoir plus. Elle se leva, emporta sa tasse avec elle en nous souhaitant une bonne matinée.
-mec, je crois que t’avais raison, elle te matait pas quand je suis arrivé ? -Je sais pas, je te regardais toi, t’avais l’air tellement claqué que j’avais peur que tu te gaufres dans les escaliers, lançais-je avec un petit sourire moqueur. -Ta gueule toi…-attends, je crois que j’entends mon téléphone sonner, je vais répondre et je redescends…
Oui bon, je sais, mon excuse est pourri, mais c’est presque le but j’ai envie de dire. A ce moment là je n’avais plus qu’une envie, c’était qu’Antoine découvre tout, mais ce crétin semblait avoir du mal à recouper les informations !
Je montais rapidement les escaliers, et trouvais Sophie dans la salle de bain, prête à se doucher, une simple serviette autour du buste. La voyant ainsi je m’approchais d’elle, la retournais rapidement vers moi et l’embrassais fougueusement.-J’ai tellement envie de toi, lâchais-je entre deux baisers, ma main courant derrière son cou tandis que l’autre malaxait ses généreuses fesses. -Non, Antoine est juste en bas, il va trouver ça suspect que je sois ici et que tu partes immédiatement après mon départ…-T’inquiète pas, fis-je les yeux plantés dans les siens, engageant ainsi une joute visuelle que je savais gagnante pour moi. J’ai une excuse, il ne se doute de rien, mais il faut être rapide.Ma main détacha la serviette qui la recouvrait et elle se retrouva entièrement nue face à moi, son regard perdu dans le mien. -Fais ce que tu veux de moi, lança-t-elle dans un soupir de plaisir et d’abandon. Je la poussais contre le lavabo, défis mon pantalon et baissais mon boxer pour en extraire mes couilles et ma bite tendue. Je m’enfonçais alors ainsi dans sa chatte humide sans le moindre travail préalable. Elle sursauta légèrement lorsque ma tige la fendit sans ménagement mais rapidement son corps se détendit, laissant libre court à mes pulsions. Sophie gémissait de bonheur, s’accrochant à mes épaules et mon dos tandis que ma main gauche relevait sa jambe droite de manière à pouvoir la ramoner plus violemment. Sa fente ainsi exposée se faisait culbuter sans la moindre pitié, mes couilles venant frapper son anus dans un bruit sonore de clapotis. La femme couinant, ses seins ballotant au rythme effréné de mes va et viens. Jamais je ne l’avais tringlé ainsi. Je me défoulais dans sa chatte, lui branlant sans doute les lèvres tant ma cadence était élevée. Je fus obligé de plaquer ma main contre sa bouche pour ne pas qu’elle hurle, ses yeux roulant dans ses orbites. Au bout de quelques minutes je lâchais le jus, me retenant de râler de plaisir. Je sentais mes couilles se déverser dans son sexe. Ma queue débanda lentement et s’extirpa d’elle-même de la fente de dégoulinante de sperme de Sophie. La pauvre femme ne tenait presque plus debout, ses jambes flageolaient. Feintant un quelconque sentiment pour elle je pris plusieurs feuilles de papier toilette et lui essuya le sexe d’un geste qui se voulait tendre tout en l’embrassant délicatement.
Je redescendais, rangeant délibérément mon portable dans ma poche devant Antoine qui savourait ses Chocapic. Il semblait me regarder autrement que d’habitude, comme si, ENFIN, il commençait à comprendre que quelque chose se déroulait juste sous son nez.
La journée se déroula sans encombre. Antoine me proposa de rester manger à midi, ce que sa mère accepta avec grand plaisir. Pourtant Antoine fit preuve de moins de bonne humeur qu’à l’habituel. Je vis bien que ses yeux ne cessaient d’espionner sa mère qui ne perdait pas la moindre occasion pour poser sa main sur mon épaule ou ma taille. D’ailleurs il ne me proposa pas de rester pour le dîner contrairement aux autres jours. Heureusement Sophie était là pour faciliter l’exécution de mon plan, elle chercha à trouver toutes les excuses possibles pour que je reste chez eux malgré qu’Antoine fit preuve d’une certaine réticence à me voir encore traîner chez lui pour la soirée.
Nous dînâmes donc ensemble. Antoine avait sans doute fini par comprendre ce que sa mère projetait en moi car durant tout le repas il ne prononça pas le moindre mot. Sophie quant-à elle me dévorait du regard et riait aux éclats à la moindre plaisanterie que je faisais. De mon côté je fis exprès de ne pas prêter la moindre attention à Antoine qui mangeait ses carottes râpées dans son coin, le regard oscillant entre son assiette et sa mère qui s’était de plus en plus rapprochée de moi au fil du repas.
C’est alors que nous finissions de débarrasser que l’élément qui manquait à ce tableau fit son apparition. Richard, le père d’Antoine et marie de Sophie par la même occasion entra dans la maison en lançant un « Bonsoir les Bourmils » à la cantonade. Il ôta sa veste, défit ses chaussures et vint s’assoir comme nous dans le canapé et les fauteuils autour de la télévision. Par chance, il ne s’assit pas à côté de sa femme, me laissant le champ libre pour prendre cette divine place. C’était la première fois que je passais du temps avec Richard et, à vrai dire, il ne me déçu pas. Son caractère collait à merveille avec le train de vie qu’il menait. Beau baratineur, la première personne du singulier revenait souvent dans son phrasé qui se voulait alambiqué pour paraître plus respectable qu’il ne l’était. Son discours, copieusement chiant au demeurant, portait sur la place d’internet dans l’apprentissage de nos jours. Chacune de ses phrases était structurée de la même manière : introduction, affabulation, conclusion. Et de toute évidence il était toujours comme ça à voir l’état d’ennuie profond dans lequel Sophie était plongée. Antoine, lui, semblait nous espionner avec Sophie.
Tandis que Richard crachait sa prose à dormir debout, je décidais de véritablement entamer les choses sérieuses. Je fis lentement glisser ma main sur la cuisse de Sophie. Celle-ci sursauta en tenta de la dégager. Ce petit jeu de refus/insistance attira l’attention d’Antoine. De mon côté, j’affichais un léger sourire vicieux à Sophie qui paniquait sans savoir comment réagir. Antoine se leva lentement et monta rapidement les escaliers sans dire un mot.-Ben alors Toinou ? ça ne va pas ? s’enquit son père d’une manière on ne peut plus fausse.-ça va, ça va papa, fit Antoine en disparaissant dans l’escalier.Je déposais alors mon portable sur la table basse, face à Richard, en me levant.-Je vais aller voir ce qu’il a… Je m’échappais de la pièce, laissant Sophie seule avec Richard qui reprit son interminable monologue.
Antoine était dans sa chambre, assis sur son lit, le visage dans ses mains. Lorsque j’ouvris la porte il releva la tête d’un geste brusque. Il ne dit pas un mot et me dévisagea avec une expression de colère. De mon côté je feintais un air d’incompréhension, puis, ne tenant plus, je laissais mon visage se fendre d’un sourire goguenard victorieux.-quoi ? fis-je sur un ton qui ne collait pas avec mon expression.-tu… tu te fous de ma gueule ?!-à vrai dire… ouais. Un peu. Attends, t’as vraiment cru que je passais autant de temps chez toi pour jouer à la Play et bronzer au bord de ta piscine ?! Eh, Toinou, faut grandir ! -pourquoi tu venais alors ?!-ben… tu vois… pour… -pour ?-tu veux que je te le dise salement ? Pour déglinguer la chatte de ta pute de mère !Cette phrase eut l’effet d’une bombe sur Antoine. Je vis ses yeux se perdre tandis que j’éructais de plaisir. Je vins m’assoir à ses côtés comme un grand frère l’aurait fait.-Tu vois, le jour de la fin du bac, quand j’ai proposé que tu fasses une fête de lycée… c’était déjà de la manipulation. J’avais envie de baiser, tu proposais une fête, j’ai réuni les 2 opportunités. Et quand j’ai vu ta daronne je dois reconnaitre que j’ai plus eu qu’une seule envie : la tringler. Et là, tu vois, tu m’as beaucoup aidé, plus que je ne l’aurai espérer – je t’empreinte ça.Je pris son portable pour m’envoyer un mail.-Par chance t’avais pas vraiment de bons potos alors bon quand j’ai feinté de me rapprocher de toi, tu as sauté sur l’occasion et moi sur ta mère. Tu peux même pas imaginer à quel point elle est chaude, fis-je en me mordant le poing à l’évocation de ce souvenir. Tiens, regarde. Je lui exhibais son portable sur lequel la photo que j’avais prise lors de ma première bourre avec Sophie, était affichée.Antoine ne bougeait plus, ne parlait plus, ne respirait plus, il était dans un véritable état catatonique. -Bon je te laisse mon ami, je retourne voir ta mère.
J’abandonnais Antoine, effondré sur son lit pour redescendre voir Sophie et Richard.
Il n’y avait plus aucun bruit dans le salon, Richard s’était tu. De toute évidence j’avais réussi… Et oui, la veille je m’étais envoyé la photo de sophie la chatte à l’air, ma queue plantée dans sa fente, sur ma boite mail. Avec le portable d’Antoine je me l’étais à nouveau renvoyé, la faisant par conséquent s’afficher sur mon écran d’accueil de portable, portable qui se trouvait en face de Richard au moment où le mail avait été reçu. Par réflexe les yeux de richard avaient sans doute été attirés par l’écran de mon téléphone lorsqu’il s’était illuminé, révélant ainsi sa femme, nue, l’entre-jambe gluant de mouille.Lorsque j’arrivais dans le salon, Richard me regardait avec un air d’incompréhension total.-pourquoi tu as ça sur ton portable ?! me lança-t-il en me montrant l’écran de mon téléphone.-Parce que je baise votre salope de femme. -PARDON ?!-Je baise votre salope de femme tout comme vous baisez votre brunasse au bureau – et oui c’est moi qui ai pris ces photos Sophie. Vous n’êtes qu’une famille de petite frappe incapable de vous aimer, chacun de vous vit sa vie dans son coin sans se préoccuper des autres. Vous, en passant votre temps au bureau à sauter différentes femmes qui vous font vous sentir jeune et puissant, toi, fis-je à l’adresse de Sophie, qui passe ton temps à te plaindre plutôt qu’à chercher à aller mieux, Antoine qui ne s’inquiète que de lui et à une mentalité de connard influençable. Sophie pleurait des larmes de crocodiles, Richard, levé, était abasourdit, les bras pendant le long de son corps. -Alors, oui, je me suis beaucoup amusé à venir foutre la merde chez vous, secouer votre petite cage dorée de connards de privilégiés. Parce que vous savez, tout le monde n’a pas cette chance, vivre dans une sublime maison avec une famille. Moi je vis dans un appart miteux avec une mère qui claque tout ce qu’elle a en alcool alors que mon père n’en a rien à foutre comme vous Richard.
Je repris mon portable des mains de Richard.
-Et maintenant que je me suis bien éclaté je m’en vais, fis-je en prenant mon sac et ma veste en jean, et vous dit adieu.
Je quittais de manière théâtrale la maison qui m’avait accueilli pendant tout un mois de vacance, la maison qui m’avait offert un parfait vide couille, la maison que je venais de détruire. Je la quittais sans même me retourner, affichant un sourire satisfait, un sourire malsain certes, mais un sourire de contentement tout de même.

Epilogue :
Richard et Sophie ont divorcé. Je crois même que Sophie est en dépression… Elle vit maintenant dans un petit appart pourri et broie du noir h24 -7/7j. Richard a gardé la maison et a eu la garde d’Antoine. Il continue de sauter diverses gonzesses, comme l’attestent les photos prises lors d’événements mondains. Antoine, quant-à lui est à la fac, je crois, il part totalement en couille, baise n’importe qui et n’importe quoi et prend toutes sortes de substances illégales.
Moi, j’ai déménagé, j’habite maintenant dans l’appart parisien de mon père. Il est toujours en voyage, en déplacement, j’ai donc l’appart pour moi tout seul. En septembre je suis entré en prépa ingé, dans un célèbre lycée dont je tairai le nom. J’ai fait ma pré-rentrée et j’ai rencontré pas mal de gens sympas, et quelques filles pas mal… dont une, Estelle. Un fille noire, grande, fine, avec une coupe afro, et un sourire éclatant. Le jour de la pré-rentrée je suis allé vers elle.
-hey, ça va ? -Bien et toi ? on est dans la même classe non ? demanda-t-elle en tirant sur la clope.-ouais je crois bien…-Je parlais de faire une petite fête de classe chez moi, pour faire connaissance et tout… tu serais chaud ?-Une fête de classe ? Ce serait pas plus cool de faire une fête de promo ? dis-je en plantant mes yeux dans les siens.Elle me regarda lentement et je sentis que quelque chose se brisait en elle.-Si, tu as raison. Qui est chaud pour une fête de promo ?Et à nouveau les portables se mirent à sonner, à s’envoyer des sms… Mais ça, c’est une autre histoire… ;)

FIN
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