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La vie sexuelle de Kalie

Chapitre 1

mon premier vrai Orgasme

Avec plusieurs hommes
Je me présente, je suis Kalie, une femme de 23 ans, blonde aux yeux bleus, je mesure 1m68 pour 54 kilos, 85B. Je suis épilée intégralement, je n’ai pas de tatouages.Sexuellement, je suis bisexuelle, curieuse et très ouverte, sourire.
Mon premier chapitre est sur mon premier vrai Orgasme.
Personnages : Nicolas, Nico mon petit copain, brun, yeux marron, 1m85, imberbe, beau sourire, belle dentition. Un sexe dans la moyenne.Pierre, le père de Nico, la cinquantaine, poivre et sel, 1m90, une belle carrure et du charisme fou.
Perso, il m’intimide.Je sors avec Nico depuis 3 semaines, je couche avec lui depuis le premier rendez-vous. Un soir après le gros câlin, Nico rejoint Morphée aux pays des songes. Une petite envie pressante m’oblige à me lever, il est 23h30, l’appartement est plongé dans le noir. J’enfile un teeshirt de Nico et je file aux toilettes. J’entends du bruit provenant de la chambre de Pierre, la porte de sa chambre est ouverte, je suis surprise de le voir devant sa télé connectée à son pc portable. Sur l’écran est diffusé un film porno, une étudiante à peine plus âgée que moi se fait prendre par deux mecs, je vois le logo de Jacquie et Michel, c’est donc une amatrice, je tourne la tête en direction du lit où Pierre est allongé nu, son membre à la main à se branler. Sa main ne couvre que la moitié de cette bite, je reste figée sur celle-ci, je n’ai jamais vu une bite si grosse et aussi longue à part dans les films pornos.
Une douce chaleur envahit mon bas-ventre, Pierre qui a ouvert les yeux, me regarde et ne s’arrête pas pour autant, j’entends mon prénom sortir de sa bouche, il me sort de mes pensées, je réalise que le teeshirt que je porte ne couvre pas mon bas-ventre, de son doigt, il m’invite à m’approcher, comme une marionnette, je m’avance en le regardant, je ne sais pourquoi, mais j’ai envie de sentir ce membre palpiter, j’ai envie de le sucer et sans même y réfléchir, je le saisis.
Je suis hypnotisée, je ne regarde que ce phallus, il est chaud, dur, ma main l’enlace, je me penche, et j’embrasse le gland avant de commencer à jouer avec ma langue sur le bout du gland, tout doucement, je le gobe, je descends dessus, elle est vraiment grosse pour ma bouche, je commence un va-et-vient dessus, sans un mot, Pierre pose sa main sur ma tête pour m’accompagner, ce qui me libère, et je m’applique à le sucer du mieux que je peux, il fait descendre sa main le long de mon épaule, je suis sur le côté du lit, penché sur ce bite que je suce, mais qu’est-ce que je fais, je suis folle, c’est le père de Nico, sa main dessine mon corps du bout des doigts, il glisse sur mes fesses, découvre le sillon, j’ai un frisson, j’ai l’impression de ne plus être moi-même. Un doigt se pose sur mon bouton, j’ai impression de défaillir, il joue maintenant avec celui-ci, je suis trempée...
Il me pénètre, ce doigt... j’entends mon bruit de sucions, la vidéo à l’écran montre la jeune femme prise en double pénétration, je ne contrôle plus rien, il est maître de moi, sa main est plus ferme, il me fait monter sur le lit, toujours sans un mot, je ne veux qu’une chose, je ne peux le regarder, je lui tourne maintenant le dos, je suis indécente, je lui offre une vision sur ma croupe, mon fessier, mon intimité, ses doigts deviennent fougueux dans mon antre, je me redresse, j’abandonne ma fellation, je m’installe en cavalière au-dessus de ce bâton de chair, il me laisse faire, je m’empare doucement, je suis tellement excitée que son sexe me remplit, je n’ai jamais connu cette sensation d’être si bien serrée, j’ai l’impression d’être vraiment qu’une salope, je me fais baiser par le père de mon copain, il dort et moi, tout se bouscule dans ma tête, la honte, le plaisir, je regarde la fille à l’écran qui reçoit le sperme sur le visage en remerciant Jacquie et Michel, je me sens tous aussi dépravée qu’elle, mon corps ne réagit plus qu’à cette pénétration, le plaisir, cette boule de feu qui enflamme toutes mes réticences, je me mords les lèvres, j’ai envie de crier mon plaisir, mais la porte est restée ouverte, ces images de la vidéo et de moi-même, électrise mes sens.
Je sens la bite au fond de moi, je la sens, je suppose, prête à exploser, c’est à cet instant-là que mon corps se crispe, je ressens cette onde qui explose en moi, il se raidit et donne des coups de reins pour aller plus loin, je ressens son plaisir, je sens son éjaculation. Mon corps me lâche, je n’ai plus la force de me retenir. Ma poitrine se colle à ses jambes, je sens sa verge encore en moi, je reste là sans bouger, sans un mot, une éternité. Il ne dit rien non plus. Après quelques instants, je me redresse et je quitte la chambre, je vais aux toilettes, je m’enferme. Je pleure, de joie ? De honte ? Je n’ose me regarder, et pourtant je me caresse la poitrine, que suis-je ? Une salope, une pute, une vulgaire traînée ? Une saute au paf, le fils, puis le père, après de bien longues minutes, je me décide de sortir, tout est dans le noir, même la chambre de Pierre est fermée, est-ce un rêve ? Je ne sais pas, je retourne dans la chambre de Nico.
Je m’allonge à ses côtés, il dort paisiblement, je ferme les yeux, les images de la vidéo et de moi-même s’entrechoquent dans mes pensées. Je finis par m’endormir. A mon réveil, je suis toute seule dans le lit, la porte de la chambre est légèrement entrouverte, j’entends Nico et son père discuter. Ce matin, je n’ai pas cours, Nico commence à 10h, je me blottis dans la couette, je ne peux les affronter, tous les deux, encore moins son père.
Nico fait une apparition dans la chambre, il m’embrasse sur la bouche, il me dit qu’il doit y aller. L’esprit embrumé, je le laisse partir, j’entends la porte d’entrée se refermer sur lui. Je me lève, doucement, j’ai toujours le teeshirt sur moi, je n’ai pas de culotte, comme si j’étais seule, je vais dans la cuisine me faire un café. Inconsciemment, machinalement, je ne sais pas, mais ma main glisse sur mon entrejambe. Je me caresse, le café coule. Je me retourne avec ma tasse, je me retrouve devant Pierre, un grand sourire aux lèvres. — Bonjour Kalie, bien dormi ?
Je deviens écarlate, je frissonne de tout mon corps, j’ai envie qu’il me prenne dans ses bras. Je bredouille un bonjour accompagné d’un oui. Je réalise que je suis encore nue devant lui. Je le laisse sur place, je file dans la chambre, mais juste avant que je franchisse la porte, il m’interpelle :— Tu sais Kalie, je te prenais pour une sainte-no-touche, mais au fond, tu es une belle salope. N’hésite pas à revenir me voir la nuit, j’en serais ravi.
Je suis estomaquée. Je ferme la chambre, je m’habille en deux minutes, je pars sans un mot.
Je rentre chez moi, je fonce sous la douche, sous le jet d’eau, je ferme les yeux, je repense à cette nuit, aux mots de Pierre ce matin, je me caresse, me masturbe, je jouis sous les jets chauds de la douche. Je sors de la douche, je sèche, je m’habille. Je file à la fac...
Kalie
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