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La vie sexuelle de Sophie

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour à tous ! Moi, c’est Sophie. Je vais vous raconter ici diverses expériences sexuelles que j’ai eues dans ma vie. Ce premier chapitre parle de mon dépucelage. Avant cette expérience, je n’avais jamais eu de relation sexuelle, mis à part une fellation pratiquée sur un petit copain des années auparavant. Je fais 1,58 m, mes cheveux sont bruns et mes yeux verts. Je suis assez mignonne à ce qu’on dit.
Alors voilà, c’était il y a quelques années. J’étais allée avec mon meilleur ami chez une de ses amies que je ne connaissais pas pour faire une petite soirée entre nous, Je venais de me faire larguer, et mon meilleur ami avait largué son ex la semaine avant. Je vous le présente : Nicolas, 1 m et presque 70 cm, mince et un peu musclé, des yeux bleu-vert-gris et de beaux cheveux bruns.
Il vient donc me chercher chez moi en moto et on va chez son amie. Nous arrivons devant une grande maison. Je descends, lui aussi, et nous nous engageons dans l’allée. Autour de nous, une grande pelouse avec plein de fleurs, une petite fontaine et un arbre avec une maison à oiseaux ; c’est un jardin magnifique. Nous sommes devant la porte. Nicolas sonne, et quelqu’un vient nous ouvrir. C’est une belle jeune fille, environ 1,65 m, cheveux bruns, yeux bleu-gris, bien bronzée. Elle nous fait la bise et nous fait entrer et on la suit à l’étage. Je l’observe ; elle est plutôt mignonne. Ah oui, j’ai oublié de vous le dire : je suis bisexuelle ; je suis sortie avec autant de garçons que de filles.
Arrivés dans sa chambre, nous nous installons pour regarder un film en parlant de tout et de rien. Ensuite, vers minuit, l’amie de Nicolas nous propose de jouer à "action ou vérité". Étant adultes et pervers (surtout moi), on passe directement aux questions "hot" ; je me retrouve donc à parler de ma vie sexuelle. Au bout de cinq minutes, je dois avouer que je me masturbe souvent et que, oui, je regarde des films pornographiques.
Nicolas pioche une carte : il doit m’embrasser dans le cou pendant 30 secondes. Je prends le chronomètre ; il s’approche de moi, pose ses mains sur mes hanches et me colle a lui. Lorsqu’il place ses lèvres sur mon cou et l’embrasse, je démarre le chrono. Dix secondes, ça fait du bien ; j’en rougis. Son amie me regarde en rigolant. Vingt secondes ; je suis toute chaude et je respire fort. Je dois me retenir de gémir ; elle me regarde en se mordant la lèvre. Je ne veux pas qu’il s’arrête, alors je stoppe le chrono sans qu’il le voie. Il continue de m’embrasser ; je ferme les yeux et me laisse aller, je gémis, je me frotte un peu sans m’en rendre compte. Il s’arrête. J’ouvre les yeux et je vois qu’il regarde le chrono.
— Tu l’as arrêté ?— Oups, j’ai pas fait exprès.— Tu es une vraie perverse ! me dit-il en rigolant.
Le jeu se poursuivant, après une bonne dizaine de minutes je me retrouve en culotte et en soutien-gorge, Nicolas juste en caleçon, et son amie en culotte et tee-shirt, sans soutien-gorge (on voit que les événements l’excitent un peu). Nicolas pioche une autre carte ; il doit dégrafer mon soutien-gorge. Je me retrouve alors seins nus ; je me réfugie sous la couverture mais c’est maintenant à mon tour de piocher une carte : je dois mimer ma position favorite avec Nicolas.
Je me retrouve donc à me faire porter par Nicolas, mes jambes autour de sa taille et mes seins nus contre son torse. Comme nous devons simuler une pénétration, il me soulève et me rabaisse plusieurs fois. Je sens qu’il bande, et ça frotte contre ma culotte ; à vrai dire, ça me fait du bien... Cela dure quelques secondes puis il s’arrête, me soulève pour me décoller de lui et regarde entre nous.
— Mais tu mouilles ! dit-il en souriant.
Je lui souris en rougissant, me recolle à lui et l’embrasse. D’abord surpris, il m’embrasse à son tour et je recommence à me frotter à lui ; je n’arrive pas à me contrôler, j’ai trop envie. Nous nous enlaçons ainsi pendant quelques minutes. Je l’embrasse et caresse son dos du bout de mes doigts pendant qu’il me malaxe doucement les fesses. Nous sommes interrompus par une exclamation :
— C’est pas que je n’aime pas vous regarder vous chauffer, mais moi je m’ennuie !
Nicolas me dépose et on se remet à nos places avec un air gêné.
Tour suivant ; son amie doit... caresser Nicolas sans ses mains. Ni une ni deux, elle se place contre lui, ses seins contre son torse, et elle se frotte de gauche à droite. Je vois qu’elle pointe ; même pas trente secondes plus tard, elle se retourne, colle ses fesses contre l’entrejambe de l’heureux élu et fait un petit mouvement de fessier assez comique : en effet, ce n’est pas facile de placer ce sexe entre ses fesses sans ses mains. Elle débute de petits va-et-vient, se frotte en me regardant et en se mordant la lèvre.Le minuteur sonne.
Il est déjà tard, alors je propose d’aller nous coucher ; ils acceptent. À vrai dire, je ne veux pas vraiment dormir. J’espère que l’autre coquine s’endorme avant Nicolas, j’espère pouvoir... je ne sais pas ; au moins pouvoir nous chauffer encore un peu, peut-être pas jusqu’à baiser, mais au moins me faire du bien.
J’attends une vingtaine de minutes, puis je me tourne vers l’amie de Nicolas : elle dort déjà. Rien à dire, elle est vraiment superbe. Comme son tee-shirt a glissé, je vois sa poitrine ; ses seins sont juste... Ah oui, c’est vrai : Nicolas ! Je me retourne et le regarde ; il ne dort pas. Il se tourne vers moi et me demande :
— Ça va ?— Oh, que oui !— Ah-ah ! Tu as l’air, en effet.— En parlant d’effet, tu m’en as fait tout à l’heure…
Il me sourit. J’ajoute :
— J’aurais voulu continuer, voire aller plus loin. Tu crois qu’on pourrait ?
Il pose sa main sur ma joue et m’embrasse ; je pose mes deux mains sur ses pectoraux et me colle plus à lui. Il ouvre sa bouche et glisse sa langue sur la mienne... Ouf, divin ! Je suis tellement excitée... J’ouvre la bouche encore plus grand, je le dévore ; peut-être trop car il arrête le baiser, me regarde et dépose un baiser sur mes lèvres avant de me prendre dans ses bras. Je ne veux pas un câlin, moi ! Je veux coucher ! Quoique... Est-ce que je le veux vraiment ? Je réfléchis pendant quelques minutes. C’est vrai qu’il m’excite terriblement, mais ce serait ma première fois ; de plus, elle dort à côté. Je pèse le pour et le contre pendant un moment qui me paraît une éternité, puis je réalise que, finalement, j’ai beaucoup trop envie pour ne pas le faire. Je pose mes lèvres sur son cou et l’embrasse ; il se décolle un peu et me regarde comme pour me demander ce que je fais.
— Je te l’ai dit : je veux aller plus loin.— Tu veux dire, jusque...
Je le coupe en l’embrassant.
— Oui !

[à suivre]
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