Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 714 J'aime
  • 33 Commentaires

Vie d'une femme mariée

Chapitre 1

Christelle découvre l'amour

Divers
Vie d’une Femme mariée
Christelle, une jolie petite femme mariée de trente-deux ans, qui a épousé un fonctionnaire de quinze ans son aîné. Un mariage organisé par ses parents qui voulaient, pensaient-ils lui assurer la sécurité. Christelle est très timide, et ne se rend pas compte qu’elle est un joli bout de femme. Elle est un peu transparente, sa timidité est un handicap, elle a traversé ses stages avec quelques flirts, et encore pas avec le top, plutôt ceux qui étaient les refoulés. Christelle n’avait pas l’aura de ses amies beaucoup plus dévergondées qui couchaient facilement. Mariée après des fiançailles pour ses vingt ans. Paul est un gentil garçon, un peu maladroit question flirt, il a mis six mois avant d’oser lui saisir un sein en s’excusant. Pourtant, Christelle aurait aimé qu’il aille plus loin. Mais, elle dut attendre la nuit de noces, pour enfin découvrir ce qu’était un sexe d’homme dans sa petite chatte vierge.
Ce ne fut pas l’apothéose, bien que la douleur de la déchirure de son hymen ne fut pas trop pénible, le petit jet de jus lui mouillant à peine le vagin, la mis néanmoins enceinte. Ainsi sa petite vie devint une routine auquel elle s’habitua, et comme elle ne connaissait rien d’autre Christelle pensait être heureuse.
    *****    Douze ans ont passéQuel plaisir lorsque son mari rentre du travail, l’embrasse sur le front, lui claque ses jolies fesses rondes et lui dit.
— Tu prépares mon apéro ma chérie, je suis fatigué.
Elle s’aperçoit alors combien la vie est dure pour lui, pendant qu’il s’est éreinté toute la journée au travail. Elle vaque à ses petites tâches ménagères, fait ses petites courses tranquillement. Ensuite, elle s’occupe de son adorable progéniture, que son mari a eu la gentillesse de lui faire malgré la fatigue accumulée au travail et tous ses désagréments. Son club de foot préféré étant dernier, d’ailleurs il réfléchit à en supporter un autre, peut-être le premier. Christelle se dépêche de lui porter son apéro et de lui enfiler ses pantoufles, quel amour il a pour elle de la laisser s’occuper ainsi de lui, combien de femmes s’avèreraient contentes d’être à sa place. Elle prépare le repas, heureuse de le voir avaler en quelques minutes ce qu’elle avait mis deux heures à concocter. Par ailleurs, il y a un match à la télé. À peine le repas terminé, il va se mettre sur la banquette et accepte malgré sa nervosité d’avant match le digestif qu’elle lui a apporté.
Puis, elle va nettoyer sa vaisselle sans faire de bruit. Christelle entend avec un sourire attendri les commentaires de son mari qui lui n’aurait pas manqué ce but à la place de l’autre connard de black, qui à cinq mètres de la cage a envoyé le ballon dans les tribunes. La vaisselle terminée, elle lui apporte une bière en prenant bien garde de ne pas passer devant l’écran. Puis vingt minutes avant la fin du match, elle va faire sa toilette et préparer le lit. Comme souvent dès la fin du match, il va venir se coucher sur elle et être assez bon pour user ses dernières forces à prendre un peu de plaisir en elle. Comme il est généreux, surtout que ce week-end, il sera reposé et aura la bonté de lui pratiquer quelques préliminaires, une fois satisfait et l’ayant ensemencé, il l’embrasse sur la joue et se retourne. Elle entend bientôt ses ronflements rassurants. Enfin, il peut se reposer.
Christelle, après une rapide ablution, se dépêche de s’endormir pour ne pas être en retard afin d’être levée le lendemain matin que le petit déjeuner soit prêt, ne pas gâcher le début de la triste journée qui attendait son mari. Une bise furtive sur le front et il est parti. Elle sait qu’elle n’a plus que ses braillards à préparer, ses petites courses, son ménage et à attendre le soir que son mari rentre. Vraiment, elle s’aperçoit du bonheur qu’elle a d’être une femme mariée et de remplir le rôle valorisant qui lui incombe.
Une fois ses premières tâches achevées, Christelle, va pour rentrer dans son petit pavillon minable de banlieue du 95. Elle croise le fils de ses voisins, un jeune garçon de dix-neuf ans, plutôt beau mâle, grand, brun, une peau caramel qui fait ressortir des yeux verts qui scrutent au fond de l’âme quand il vous parle. Elio est métisse, mère bretonne, père antillais. Christelle ressent toujours un petit pincement au cœur quand elle le croise sans savoir pourquoi. Peut-être parce qu’il ressemble à un ancien camarade de stages qui tombait toutes les filles. Elle l’aimait en secret, mais vu sa timidité, elle n’avait jamais osé lui avouer. Pourtant, avec lui, elle aurait tout donné. Cela ne manque pas quand il s’adresse à elle avec son sourire ravageur. La jeune femme ressent une émotion qu’elle dissimule avec peine. Christelle en lui serrant la main frissonne de partout, jamais son mari ne lui a fait connaître ça. Le jeune homme s’en aperçoit, il ne lui lâche pas la main de suite.
Christelle ne cherche pas à la retirer et sent la douceur de la paume lui réchauffer tout le corps. Elio sent la jeune femme réceptive à son charme, il n’a jamais osé tenter quoique ce soit avec elle. Cependant, plus d’une fois, il s’est masturbé en l’épiant avec ses jumelles, la fenêtre de sa chambre offrant une belle vue sur la salle de bains de Christelle. Il connait par cœur le corps de la jeune femme. Ses petits seins en poire ornés de jolies aréoles couleur roses, ses fesses rondes, pas énormes, mais bien galbées. Pour couronner le tout un minou décoré d’une petite toison brune, tranchant sur la couleur laiteuse de sa peau. Elio, adore lorsque Christelle, pose un pied sur le bord de la baignoire afin d’astiquer sa petite moule sur laquelle elle s’attarde souvent en se masturbant avec le gant de toilette. Il la voit ouvrir grand la bouche, émettant certainement un gémissement qu’il devine.
Pourtant, il ne peut pas entendre sauf dans, le fantasme qui s’ensuit, imaginant qu’il la fait jouir sous ses coups de langue. Bien sûr, la jeune femme ignore tout de ça, sinon elle ne saurait plus où se cacher. Même son mari ignore qu’elle se fait habituellement des plaisirs solitaires, et qu’elle fantasme en même temps des scènes que même les amateurs de porno rougiraient. Bien que Christelle pense être heureuse en ménage, un besoin de sexe refoulé depuis sa puberté. Le seul vrai plaisir qu’elle connaisse, c’est celui que ses doigts lui procurent. Christelle en tenant toujours la main du jeune homme dans la sienne voit quelques images coquines lui traverser l’esprit comme un éclair. Elio de son côté n’a pas envie de quitter cette main, celle qu’il voit caresser l’objet de son désir.
— Il est midi, souhaiteriez-vous prendre un verre avec moi, mes parents sont en voyage pour deux semaines ? Le jeune homme a sorti cette phrase sans même réfléchir poussé par une soudaine envie de la connaître davantage.

Christelle rougit en bafouillant lui dit qu’elle a du travail à finir à la maison. Évidemment, malgré sa sagesse, des instants de détente lui feraient du bien. Elle va pour s’éclipser, mais Elio lui retient la main et insiste, il se surprend lui-même de son audace. La jeune femme est hésitante, il en profite pour placer sa botte secrète. Cette fois, il la tutoie comme pour une copine de son âge.
— Allons Christelle pour une fois que l’on a un peu de temps à nous, je deviendrai malheureux que tu refuses.
Tout cela en prenant un air triste qui donne encore plus de charmes à son visage, ses yeux brillent comme envahis par des larmes. Christelle se sent fondre, comment résister à ce visage d’ange, d’une belle couleur caramel, faisant ressortir le magnifique vert émeraude de ses yeux que Christelle adore. La jeune femme a l’impression de revenir des années en arrière quand elle bavait de désir sur son camarade d’études. Une envie d’un moment de liberté l’envahit, finalement ce n’est pas une faute de s’accorder une petite détente. Elle répond à Elio en le vouvoyant.
— Bon, d’accord, mais juste un petit moment, mon mari serait mécontent si le ménage n’était pas fini lorsqu’il rentre. Le côté esclave de Christelle fait de la peine à Elio, une si jolie femme mérite mieux que de s’exténuer à la tâche.
Alors, il ne lui lâche pas la main et l’entraine dans son pavillon jouxtant celui de la jeune femme. Christelle est émerveillée devant le luxe intérieur de la maison, rien à voir avec l’ameublement IKEA de chez elle. Tout est moderne et lumineux, Elio l’invite à s’assoir sur un des tabourets du bar puis lui propose de prendre une coupe de champagne. Christelle se sent traitée comme une princesse, elle découvre soudain tout ce dont elle a rêvé jeune fille, une belle maison, avec un superbe garçon à ses côtés. Elio sort une bouteille de champagne, la place dans le seau à glace et se rapproche d’elle. Christelle sent une étrange envie gagner le bas de son ventre, comme lorsqu’elle se masturbe dans la salle de bains en pensant à des choses lubriques. Elio lui caresse la main, la première fois que son alliance la dérange. Elle laisse Elio lui effleurer la paume, faisant parcourir un doux frisson à son épine dorsale.
Le jeune homme, ne voyant pas de réaction à sa caresse, pousse un peu plus en lui entourant les épaules de son bras. Bien que Christelle apprécie, délicatement elle prend son bras et le redépose sur le bar. Elio n’insiste pas, Elio repasse derrière le bar pour servir le champagne. Le liquide pétillant et doré, rempli les coupes, Christelle n’a pas souvent le plaisir d’en boire. Chez elle c’est plutôt du crémant les jours de fête, ce qui possède un avantage, son mari est plus coquin. Assurément, il s’avère assez radin, pensant toujours à la catastrophe qui pourrait survenir. Christelle et Elio trinquent, n’osant ni l’un ni l’autre dire à l’amour. Christelle déguste le merveilleux breuvage, ses lèvres sous les bulles aussi le froid deviennent plus rouges, ses beaux yeux bleus brillent. Ils discutent de tout et de rien, Elio ressert une coupe, que Christelle avale cette fois plus vite.
Ainsi, ils sont d’humeur joyeuse, la discussion est un peu plus grivoise, à la troisième coupe, cela dévie même sur les préférences sexuelles de chacun. Christelle ne se reconnait plus, parler sexe avec un quasi inconnu, jamais elle n’a fait ça, avec son mari c’est juste à peine évoqué. Vu les confidences de la jeune femme Elio s’aperçoit qu’elle est plutôt frustrée. Il ne peut pas s’empêcher de penser quand nue, elle se caresse. Une bosse déforme son pantalon, la jeune femme ne peut pas s’apercevoir de l’état dans lequel elle le met sans intention de sa part. La quatrième coupe fait basculer l’ambiance, Elio prend les deux coupes et invite Christelle à venir près de lui sur la luxueuse banquette de cuir fauve. En titubant légèrement Christelle vient se mettre tout près de lui, au point de sentir le souffle chaud du jeune homme sur sa joue. Ils sont face à face, pour se donner bonne contenance, Christelle boit une gorgée de champagne.
Elio lui retire la coupe de la main, la dépose sur la table basse, puis prenant le visage de la jeune femme tendrement entre ses mains, il dépose un baiser sur ses lèvres. Christelle ne le repousse pas, laissant les lèvres d’Elio butiner les siennes. Elle ne sait plus ce qu’elle fait, des flashs passent dans son cerveau, ses enfants, son mari, mais le baiser d’Elio efface tout ça. La langue du jeune métisse force ses lèvres, sans une grosse résistance, elle s’introduit et fait connaissance avec celle de Christelle. Alors, elles s’enroulent entre elles, se love telles deux vipères au moment des amours. Les salives se mélangent, et quand Christelle sent la main d’Elio lui saisir un sein, elle sent sa petite culotte se tremper. Elio lui prend une main puis la porte sur son sexe prêt à éclater.
Christelle a un petit mouvement de recul, mais l’insistance d’Elio l’emporte, elle tâte le gourdin par-dessus le survêtement, impressionnée par une telle taille. Évidemment, elle connait que la bite de son mari. Timidement, Christelle passe les doigts le long du mât. Puis, elle le serre entre ses doigts, et elle commence à le masturber doucement au travers du tissu. Elio est aux anges, il a passé sa main dans l’échancrure du corsage, attrapé un mamelon qu’il sent durcir sous ses doigts. La caresse de Christelle sur son sexe l’excite au plus haut point. Christelle, qui n’a pas une grande expérience devine quand même que le jeune homme aime sa caresse, car ses doigts pincent plus fort son téton. Audacieuse, elle remonte sa main, s’introduit dans le survêtement, un boxer bloque encore l’accès à la chair, Elio l’aide en descendant tous les obstacles. Christelle ne peut pas s’empêcher de lui dire son admiration.
— Qu’elle est grosse, tu ne dois pas arriver à prendre toutes les femmes ?
Elio tout fier de l’effet qu’il fait sur la jeune femme lui dit à l’oreille.
— Tu verras ma chérie que ça rentrera bien dans ton joli minou brun.
Christelle sursaute et lui demande comment il connait la couleur de sa toison. Penaud Elio lui avoue qu’il la mate souvent dans la salle de bains en train de se masturber. Christelle est rouge de confusion, son secret n’en est plus un. Elio la rassure en lui déclarant qu’il fait de même en la regardant, difficilement, car tenir les jumelles d’une main et se faire reluire de l’autre se révèle difficile. Christelle rassurée prend le pénis entre ses doigts, la peau chaude et douce l’excite, elle branle lentement la queue, pendant qu’Elio fouille son corsage. Pris d’une soudaine envie, Christelle se dégage, se penche, introduit le gland goutant de liquide pré-séminal dans sa bouche. En principe, elle n’est pas adepte de la fellation, elle s’y soumet devant la pression de son mari. Là, le sexe d’Elio la tente de trop. La jeune femme se met à pomper vigoureusement la queue surdimensionnée tout en le masturbant.
Elle palpe les gros testicules de son jeune amant, lisses, comme un galet, rien à voir avec la broussaille de son homme. Quel délice de lécher une telle queue, comment elle, la petite femme soumise à son mari, d’un coup se retrouve avec un sexe de vingt-cinq centimètres dans la bouche. Ainsi, elle a l’impression d’être Cendrillon et que tout va disparaitre à minuit. En tout cas la baguette magique d’Elio est gouteuse, les filets de liquide font une moustache à Christelle qui avec les doigts se les met dans la bouche. Elio le ventre tendu en avant gémit sous les coups de langue de son amante, il appuie sur la tête essayant de tout mettre dans la bouche de la jeune femme. Mais, c’est impossible, elle est obligée de le mettre à raison, il doit se contenter de se faire lécher comme elle le décide. Elio sent le sperme monter le long de sa tige, il hésite, la prévenir ou laisser faire.
Gentlemen, il prévient la suceuse qu’il va jouir, et à son immense plaisir il voit que Christelle veut aller au bout de sa fellation. Il s’abandonne à la bouche gourmande, un cri, un flot, la jouissance d’Elio ressemble à un tsunami de sperme. Christelle, habituée à quelques gouttes de la part de son mari, est surprise par la violence des jets chauds épais d’un blanc immaculé. Le liquide séminal jaillit sans fin, dans ses cheveux, son visage, au fond de sa gorge, le goût est si bon qu’elle souhaiterait tout avaler. Cela est impossible, elle laisse la verge souiller toute sa tête, jamais elle n’aurait imaginé une telle réserve de sperme dans un seul homme. Elio geint comme un bébé qui fait ses dents, laissant les dernières gouttes se faire absorber par la gourmande. Il relève le visage couvert de sperme de Christelle souriante, ce qui la rend encore plus désirable et faisant fi de son jus maculant la jeune femme.
Elio l’embrasse amoureusement, alors qu’elle le serre fort dans ses bras, l’écrasant sur sa petite poitrine.À ce moment-là ils s’aiment.Une suite est prévue si le récit plait.
Diffuse en direct !
Regarder son live