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Vie d'une femme mariée

Chapitre 3

Christelle a un nouvel amant

Erotique
Vie d’une femme mariée 3 bis Inversion des chapitres Lire le 4 qui parait aprèsChristelle est triste, désemparée depuis le départ de son amant chéri parti aux USA pour finir ses études, bien sûr il lui a promis de ne penser qu’à elle. Néanmoins, la jeune femme sait qu’un homme débordant de vie et beau garçon comme lui trouvera des jeunes filles qui sauront la faire oublier. Leur dernière nuit d’amour a été intense, sauvage. Christelle avait prétexté passer deux jours chez sa mère malade, en accord avec celle-ci qui s’aperçoit que le mariage de sa fille est un échec. Elle devient sa complice, afin que sa fille trouve un peu de bonheur dans les bras d’un autre. L’aventure a donc durée six mois, six mois de folles étreintes, de découvertes, de plaisir les plus insensés. Elio était inépuisable, et Christelle découvrait le besoin longtemps enfoui de son appétence sexuelle. Elio qui entre-temps habite un studio payé par ses parents pour lui donner une indépendance et surtout qu’il ne joue pas les « Tanguy » chez eux.
Ainsi le moment du départ arrive, Elio a décidé de sous-louer son studio à un étudiant Marocain afin d’obtenir un peu plus d’argent de poche pendant ses études. Christelle devenant de ce fait le syndic de son amant.
Christelle se rend une fois par semaine au studio, pour vérifier la bonne tenue des lieux, et se remémorer les folles étreintes dans chaque coin, sur chaque meuble du studio. Nostalgique, elle a les yeux embués de larmes lors de son passage. Mourad le jeune étudiant est assez sympathique, régulier sur les paiements du loyer. Christelle voit bien qu’elle ne le laisse pas insensible à ses charmes. Quand elle vient, toujours en sa présence, il lui fait une bise qui s’éternise au coin de ses lèvres. Tenant la jeune femme dans ses bras, il a tendance à la coller à lui. Christelle ressent toujours une sensation indéfinissable, quand elle se trouve dans cette situation, bien que gênée, elle ne cherche pas à le repousser. Elle attend qu’il daigne enfin la lâcher. Ce jour-là, Christelle se rend sur les coups de treize heures chez Mourad, il fait très chaud, elle porte un corsage et une petite jupe assez courte. Pas si innocemment que ça.
Christelle a envie de voir si le charme de son corps a les effets escomptés sur le jeune arabe. La surprise, quand elle arrive, Mourad la reçoit, juste vêtu d’un boxer. Christelle découvre le corps fin et malgré tout musclé et basané du jeune locataire. Ce qui lui rappelle Elio métisse qui a juste la peau un peu plus foncée. Elle cache son trouble et comme à l’accoutumée se prête à son bisou prolongé, cependant cette fois le corps pratiquement nu du jeune homme la chauffe un peu. Par ailleurs, il la garde plus longtemps que d’habitude contre lui. Christelle sent un objet identifié se développer contre son ventre, la jeune femme devine que Mourad bande, à travers le fin tissu de la robe, elle sent la chaleur et la dureté du sexe du jeune homme. Christelle ne recule pas, remuée par ce sexe qui lui fait comprendre que Mourad la désire. Depuis le départ d’Elio, Christelle n’a eu que les rapports bref de son mari.
Loin de la calmer, l’envie de sexe est souvent présente et ce ne sont pas ses masturbations solitaires en pensant à des choses inavouables qui la comblent. Mourad, voyant le trouble de celle qu’il désire depuis qu’il l’a regardée, prend sur lui et saute le pas.
Le jeune homme lui déboutonne son corsage, bouton après bouton. Il dégage les épaules rondes du léger tissu, le fait glisser à la taille, puis l’ôte, ce qui dévoile un soutien-gorge noir corbeau en dentelle transparent. Laissant apparaitre à travers la fine dentelle les aréoles d’un rose pâle qui ornent les seins de la taille d’une adolescente.
Mourad passe les mains dans le dos de Christelle, et avec difficulté dû à son manque d’expérience lui dégrafe. Mourad arrive du Maroc, et ne connait pas de femmes de sa petite ville de Mergouza qui mettent des sous-vêtements sexy. Ainsi, il enfile la main dans le sous-vêtement détendu pour se saisir d’un sein doux, chaud. Mourad tient pour la première fois de sa vie le sein d’une jeune femme française dans la paume de sa main fébrile. Christelle se laisse faire, troublée. Un sentiment mitigé créant un conflit se joue en elle. Le jeune maghrébin l’attire, il est séduisant bien que jeune, de beaux cheveux bouclés en désordre, des yeux d’un noir intense, un corps fin, souple comme une liane. Mais, elle est mariée, et bien qu’elle ait déjà trompé son mari, elle hésite à entamer une nouvelle liaison. Non pas par remords, plutôt par peur que son mari ne l’apprenne, à jouer avec le feu souvent on se brûle.
La tentation est forte, en bonne catholique, elle se récite inconsciemment la prière, « ne nous laissez pas entrer en tentation » la chair s’avère faible et le seigneur d’autres choses à se préoccuper, sa raison vacille. Mourad, encouragé par la passivité de la jeune femme, lui enlève intégralement le léger morceau d’étoffe. La dentelle choit sur le corsage au sol en frôlant la taille fine de la jeune femme. Les deux petits seins en poire narguent le regard de Mourad, les mamelons dressés vers le haut sont d’une rare impertinence. Mourad avance les mains en tremblant, séduit, hypnotisé par ces deux merveilleux globes bien séparés et plantés haut. Le jeune homme plaque ses deux mains sur la douce poitrine de la jeune femme et les malaxe légèrement. Christelle est réceptive à la douce caresse, ses mamelons doublent de volume, durcissent, leur couleur fonçant par l’afflux du sang dans les pointes.
Mourad avance timidement ses lèvres des tétons turgescents, en croque un du bout des dents, roule le second entre ses doigts. Un frémissement parcourt l’échine de la jeune femme, le fin duvet de sa peau se hérisse sous le contact de des attouchements de ses mamelons. Mourad n’ose pas pousser son avantage, il se satisfait de lécher et de caresser ces deux petites poires qui ont allaité deux enfants, sans perdre de leurs fermetés. Christelle, les yeux à demi-clos, observe entre ses longs cils sombres le jeune homme qui s’excite sur ses mamelles comme un enfant à l’heure de la tétée. La jeune femme n’ose pas esquisser un geste vers lui, les bras ballants le long du corps, elle s’abandonne aux caresses buccales et manuelle sur sa sensible poitrine. Mourad risque une main aventureuse sur les fesses rebondies par-dessus la jupette de Christelle, la jeune femme fidèle à son attitude immobiliste se résigne à ne pas l’arrêter.
Mourad inspecte la consistance des petites fesses rondes, en constate la fermeté et leurs tailles d’adolescentes. Les doigts de Mourad compressent les beaux petits melons de la jeune femme, toujours passive, elle sent quand même sa petite culotte s’humidifier de son jus d’abricot mûr. Elle serre un peu les cuisses afin de ne pas laisser couler sa cyprine hors du sous-vêtement de dentelle perméable. Enfin, elle se décide à prendre une résolution, elle relève le visage de Mourad encore logé entre ses seins. Puis, de ses douces lèvres en forme de cœur, légèrement teintées par un gloss couleur rose fuchsia, elle se penche vers lui, offrant la faveur d’un baiser sur la bouche du jeune marocain telle une friandise sucrée. Le jeune homme novice dans les préliminaires ne sait pas comment faire, sa langue maladroite se faufile entre les lèvres à peine écartées. Christelle est obligée de le tempérer pour qu’il ne joue pas les caméléons en enfilant toute la langue.
De la pointe de la sienne, elle lui repousse un peu le morceau de chair baveuse qui tente de prendre possession de sa bouche. Mourad se plie à l’expérience de sa nouvelle amie, future amante si elle l’y autorise. Le baiser se fait plus langoureusement, Christelle cadence le mouvement des langues, Mourad en salive d’excitation. La jeune femme déguste la sécrétion buccale de Mourad et l’avale, lorsque leurs lèvres se disjoignent un petit filet transparent réuni encore leur bouche. Les deux tourtereaux s’en amusent. Mourad mis en confiance s’enhardit et promène négligemment la main sous la courte jupette de sa compagne de jeux. Il palpe le petit bout de tissu garant de la légère protection du petit abricot que les doigts agiles atteignent sans la moindre opposition de Christelle, elle a pensé à jouer les effarouchées. Mais, en revanche, comme son jeune amoureux est timide et maladroit, elle a peur qu’il arrête son exploration vers son intimité.
La jeune femme repense soudain que sa petite culotte s’avère humide, Mourad va-t-il penser que c’est une femme facile et ouverte à tous ? Christelle peut arguer que la chaleur y est pour beaucoup. Une fine pellicule de sueur couvrant légèrement son corps moite donne un goût salé à sa peau soyeuse. Mourad ne s’étonne pas de sentir le tissu humide trop inexpert de la gente féminine. Il découvre le bombement du sexe de la jeune femme avec crainte, que faire ? Christelle perçoit son indécision, elle fait glisser la fermeture de sa jupe et l’envoie au sol rejoindre en partie l’intégralité de ses vêtements. N’ayant plus sur elle que sa petite culotte noire, la couleur évite d’expliquer la tache que son excitation a créée, un bout de tissu qui cache peu ses trésors. Mourad lui empoigne la minette à pleine main, Christelle le calme, lui prend la main puis la fait passer en douceur sur l’arrondi de son pubis.
Mourad se laisse guider, Christelle lui prend le majeur et lui montre comment le glisser par-dessus le tissu de la petite culotte sur la fente de sa chatte. Elle lui lâche la main pour le laisser manipuler de lui-même l’entrée de son minou. Mourad contrôle avec tact cette manœuvre, puis sent éclore la moule de son amie. Telle la corole d’une fleur, les petites lèvres s’écartent prêtes à être butinées laissant couler le suc de son vagin. Le jeune homme les doigts mouillés apprécie encore mieux le contact de la chair tiède au travers du tissu. Christelle éprouve désormais le désir de se faire prendre par ce jeune mâle en rut. La jeune femme descend sa petite culotte trempée, le bout d’étoffe n’est plus que cyprine. Mourad découvre enfin le pubis couvert d’un léger poil brun taillé en un petit triangle, couvrant à peine deux petites lèvres qui dépassent tout juste du rebondi de son abricot. Christelle ose lui demander.
— Veux-tu me lécher mon petit minou, j’en ai envie, en compensation, je te suce la queue ?
L’audace de la jeune femme la surprend elle-même. Prenant les choses en main, elle le fait s’allonger sur la banquette, celle-là même où elle a cédé à Elio la première fois. Avec un remords qui ne dure pas, après avoir trompé son mari, elle trompe son amour. Mourad qui ne connait pas les souvenirs de la banquette, laisse Christelle lui descendre son boxer, sa queue tel un diable sorti d’une boite frappe le visage de la jeune coquine. Elle se met en position de soixante-neuf, Mourad voit en gros plan l’objet de son désir offert à sa bouche. Les fines lèvres sont entrouvertes et luisantes, elles perlent de rosée, fines gouttelettes qui en fins filets atteignent la langue tendue du jeune maghrébin, le nectar s’écoulant de la ruche de son amante le comble, le goût sucré est gouteux. Il décide d’aller boire à la source puis quand sa langue s’insinue entre les fines lamelles de chair, il entend Christelle émettre un grand soupir de plaisir.
La jeune femme n’a pas eu de cunni depuis le départ d’Elio. La douceur de la langue entrant dans sa coquille, frôlant son clito la font fondre. Mourad a une queue de la même talle qu’Elio, Christelle en est ravie, la seule chose qui diffère est le gland décalotté par la circoncision. Par quelques savants coups de langue, le serpent prend encore plus d’ampleur, n’effrayant pas la jeune femme, bien au contraire. Elle absorbe la plus grande partie de la tige, pendant que Mourad, guère doué pour le cunni, c’est son premier, bafouille dans la chatte suintante. Bien que son jeune amant soit maladroit, Christelle apprécie la langue qui s’agite dans sa chatte et son bourgeon érigé. Christelle perçoit le membre de son nouvel amant frémir dans sa bouche. Elle aspire et tourne sa langue rapidement autour du gland, pressentant que l’éjaculation ne va pas tarder, elle saisit la paire de bourses gonflée dans sa main, la presse, ce qu’elle avait deviné arrive.
Mourad en geignant se vide dans la bouche gourmande de son amante, ravie de sentir de nouveau de puissants jets de sperme épais, gluants, se collant sur sa langue et inondant sa gorge. Elle avale avec avidité ce jus de vie, en régurgite un peu tant la quantité est impressionnante, Mourad comme Christelle est en manque, la masturbation soulageant, mais ne compensant pas la relation sexuelle. Mourad heureux, le visage enfoui entre les cuisses de sa conquête, mâchouille encore un peu les lèvres de ce sexe coulant, en revanche insatisfait. Christelle, le visage collé au sexe encore demi-érigé de son amant, tête les dernières gouttes de ce sirop humain. Ils sont affalés tête contre sexe. Christelle constate avec intérêt le redressement du gland chauve du jeune homme, quelques cajoleries linguales plus tard il est ressuscité. Cette fois, l’infidèle ne tient pas à rester inassouvie.
Prestement, elle se tourne de face vers Mourad à genoux autour de ses cuisses, elle l’enfourche en bonne amazone qu’elle est devenue. D’une main habile, elle saisit la hampe du jeune homme, promène un instant le gland entre ses petites lèvres moites, masturbant son clito proéminent, insistant bien sûr son bourgeon de chair. Quand la jeune femme est prête à se faire envahir par le pieu bouillant d’impatience, elle s’empale tel un papillon épinglé sur un tableau. Le gland se fraie un chemin dans le vagin brûlant comme un feu de dépravation. Christelle dans un chuchotis.
— Que c’est bon mon salop ta queue au fond de ma chatte, n’hésite pas à te vider en moi, surtout ne te retire pas avant de m’avoir remplie.
Avec Elio, Christelle a pris de l’assurance, et n’hésite plus à exprimer sa jouissance, ses envies, sans la moindre honte. En cadence trop, elle chevauche son étalon avec la maitrise de son plaisir. Mourad se contente de lui caresser les seins, tirant de temps à autre sur les mamelons qui ont à présent plus d’un centimètre de long. Il les roule, les happe quand son amante se penche sur lui pour l’embrasser, il ne se lasse pas de cette charmante poitrine. Christelle coulisse sur le mat dur et chaud lentement, accélérant parfois, pour s’amener à l’orgasme lorsqu’elle le désirera. Ayant déjà joui, Mourad résiste vaillamment à l’envie de remplir cette femme mariée qui est sa nouvelle maitresse. Il la laisse guider leur futur assouvissement. C’est un bonheur de sentir cet écrin d’amour monter et descendre sur son zob d’étudiant étranger.
Un court instant il a envie de crier « vive la France » Ce pays est exceptionnel quand même, un mois qu’il est là, et déjà une jolie jeune femme mariée et mère de famille s’agite sur son pénis. Il chasse ses idées et se concentre pour ne pas jouir de suite. Soudain sa cavalière pique des deux. L’écuyère lui tape les cuisses de ses talons comme pour l’éperonner, les mains posées sur le torse de son amant, Christelle a le ventre qui se contracte, son cerveau qui s’embrume, les signes annonciateurs d’une énorme volupté. Mourad ivre de bonheur sent la cyprine chaude couler sur la base de son mat et se répandre sur ses boules. La copulation devient bestiale, les deux amants sont synchrones. Christelle hurle qu’elle va mourir, Mourad, moins élégant en cet instant, lui promet de lui inonder sa chatte de salope. Christelle n’en peut plus, submergée par de puissantes vagues qui cognent la plage de son ventre et la font rouler telle la houle un bateau.
La jeune femme se laisse couler dans la mer de la félicité. Mourad accentue la jouissance de sa jeune soumise en déversant en elle des flots de jus longtemps contenus. Christelle s’abat sur lui et reçois peut-être la plus grosse éjaculation de sa vie dans son minet conquis par l’inondation provoquée par Mourad. Collée le visage dans les poils frisés de la poitrine de son amant, Christelle transpire, mêlant sa sueur à celle de son amoureux. Elle relève son visage et embrasse languissamment son nouveau chéri, l’image d’Elio s’efface progressivement de sa mémoire.
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