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Vie d'une femme mariée

Chapitre 7

Avec plusieurs hommes
Vie d’une femme mariée 7(La débauche de l’infidèle)Christelle se rend chez son docteur pour une visite de routine. Un senior séduisant avec ses cheveux argentés, sa prestance naturelle, son allure sportive, sa décontraction, il n’aurait pas fallu qu’il cherche beaucoup pour qu’elle se laisse tenter pour une aventure avec lui. Il est marié, mis à part quelques plaisanteries coquines lors des visites, son comportement vis-à-vis d’elle est toujours exemplaire. Elle le consulte depuis son adolescence. Les formes de Christelle n’ont plus de secrets pour lui, il n’a jamais rien tenté pour qu’ils se rapprochent. Elle a mis un tanga rouge sang, mais pas de soutien-gorge. Ses seins petits, mais bien pointés, veulent percer le T-shirt blanc ivoire qui laisse voir le rose de ses aréoles. Il lui fait remarquer avec un léger sourire l’oubli de soutien-gorge. Christelle rougit et porte les mains à ses seins, le docteur souriant lui dit.
— Pas la peine de les cacher, je les ai vus pousser, en plus, ils sont beaux alors ne fait pas la timide. Reconnais que tu n’en mets que rarement lors de tes visites. Ravie qu’il s’en soit aperçu, la jeune femme, fait la chattemite, explique au docteur qu’elle n’aime pas avoir la poitrine compressée. Le docteur s’approche de la jeune femme et contre toute attente, lui empoigne un sein, Christelle surprise sursaute et esquisse un léger recul. Le docteur croit l’avoir choquée et s’excuse en lui confiant.— Depuis ton adolescence, je les trouve tellement mignons que j’ai toujours eu envie de te les tripoter autrement que comme praticien. Je m’excuse si je t’ai choquée.
Christelle espiègle lui dit.
— Si vous ne me comptez pas un supplément, vous pouvez les tâter à votre guise.
Le tout accompagné d’un clin d’œil complice.Le gentil docteur ne se le fait pas répéter, il soulève le t-shirt et s’empare de ces deux poires tant désirées. Christelle pose les mains sur celles du docteur et accompagne la caresse, lui faisant presser plus fort. Le docteur encouragé la laisse dégrafer sa ceinture, descendre la fermeture de sa braguette, sortir son sexe en érection vite happé par la petite bouche gourmande. Des années qu’elle en a envie, sa première visite lors de ses premières règles, elle avait été séduite par ce bel homme. Quelques années plus tard, ses cheveux se sont argentés, ce qui lui donne encore plus de charmes avec son bronzage permanent été comme hiver. Tout en le suçant avec délicatesse, sa langue tourne autour du gland rosé. Christelle se rappelle lorsque ses seins poussaient, quand il lui avait pressé, c’étaient les premières mains d’hommes qui s’y posaient, elle avait humidifié son slip décoré de nounours.
Là, elle possède sa queue dans la bouche. À présent, Christelle a décidé de ne plus passer à côté du plaisir, tromper son mari ne lui pose plus aucun tourment, son envie de sexe n’a plus de limite. Douze ans de vie conjugale manquée, des rapports sexuels épisodiques et fades. Le pas a été dur à franchir, mais désormais, plus rien ne la fera revenir en arrière. Comme il est agréable de tenir dans sa bouche l’objet du désir qu’elle convoite depuis tant d’années. Le docteur qui a l’âge du père de Christelle, se demande s’il n’aurait pas dû attaquer cette jeune donzelle bien avant. C’est une jolie femme et ado, il avait éprouvé une réelle envie d’elle, mais s’était maitrisé. Finalement, il n’est jamais trop tard pour bien faire. Le docteur en repensant à sa patiente plus jeune n’en bande que plus, Christelle le sent, elle ne sait pourquoi et espère que sa façon de sucer est au point.
La respiration du docteur s’accélère, ses mains se font plus pressantes sur la tête qui va et vient de sa jeune patiente. Puis, dans un râle, commente la future éjaculation qui se précise.
— Oh putain que tu suces bien, une vraie petite chienne, vas-y ma coquine avale tout.
Sur ces appréciations de la fellation de Christelle, il jaillit au fond de la gorge de cette femme qu’il pensait fidèle à son mari. Les jets violents arrosent le gosier de la jeune femme, épais, copieux, le sperme est la reconnaissance de la remarquable exécution de Christelle. Elle se lèche les babines telle une jeune chatte avec son bol de lait, ce qui s’écoule d’à la commissure de ses lèvres, coule sur son T-shirt et ses seins. C’est pourquoi, elle le masturbe un peu pour extraire les dernières gouttes de son vit et les déguster. La queue se ramollit lentement, Christelle regarde sa victime, il a les yeux fermés, des soupirs s’échappent de ses lèvres bien dessinées. C’est la première fois que Christelle suce un homme sans même l’avoir embrassé. Elle prend le sexe agonisant du docteur et le frotte sur ses mamelons. Le docteur serre les seins de Christelle pour enrober sa queue, mais les deux petites poires bien que magnifiques, ne se prêtent pas pour une cravate de notaire.
Alors, il lui sourit de toutes ses dents ultra brite et malgré le sperme qui colle encore aux lèvres et langue de la jeune femme, il l’embrasse tendrement.
— J’ai une cliente à recevoir. Pourrait-on se voir une autre fois pour que je t’ausculte plus en détail ?

Christelle prise entre son mari et ses deux amants possède un planning amoureux assez chargé. Elle réfléchit un instant, puis se décide, sa santé importe plus que deux amants cramponnés à elle. Un shake up s’impose. Rendez-vous pour le samedi douze heures pendant la fermeture du cabinet médical. Christelle va réaliser son rêve d’adolescente seize ans plus tard. Le vendredi soir, le mari de Christelle lui annonce tout de go, qu’ils sont invités pour la fête des Mères chez sa maman et qu’ils y passeront le week-end. Christelle lui fait part de son rendez-vous chez son médecin. Il objecte qu’il est possible de le remettre. La jeune femme joue la carte de la colère, lui dit que sa santé est plus importante qu’une fête commerciale alors elle les rejoindra le dimanche. Son mari refusant d’envenimer les débats accepte. Depuis quelque temps, Christelle se rebelle et donne son avis, il n’est pas habitué à ça.
Comme il est peu combatif, il baisse la garde de plus en plus, sans s’en apercevoir, progressivement il lui laisse prendre les commandes du couple. Pour ne pas détruire ce qu’il pense, un mariage réussi, il cède graduellement. Elle rentre en retard, le repas pas prêt, les enfants rentrent seuls de l’école, il ne dit rien. Trop content que jamais elle ne lui refuse le devoir conjugal, même tard le soir. Christelle le tient par les bourses, comme ses deux amants. La petite bobonne s’est rendu compte du pouvoir de son corps depuis qu’Elio en a fait sa maitresse, elle en joue, dominant les hommes avec ses charmes, tout en leur laissant croire qu’elle est la soumise. Christelle est ravie que son mari et les enfants soient absents le samedi. Une idée germe dans sa jolie petite tête. Elle va dans la salle de bains pour être tranquille, puis appelle le docteur.
— Dites-moi docteur, je me sens un peu faible, serait-il possible au lieu d’aller à votre cabinet de me rendre une visite à domicile. De plus, je serai seule pour toute la journée ?
Ce à quoi le docteur ravi lui répond.
— C’est parfait, comme cela j’ausculterai ce joli corps le plus profondément possible, je me libère pour la journée, car je ne souhaite rien oublier, conscience professionnelle oblige. Pour les visites à domicile, le paiement se fait en liquide bien sûr.
Christelle approuve et si elle n’a pas assez de liquide, elle réglera en nature.Heureuse, elle redescend s’occuper des bagages de la tribu.Quand elle entend le bruit du moteur s’éloigner, elle est folle de joie, jamais elle n’a pu recevoir un homme chez elle, un peu comme l’exorcisation du traintrain conjugal. Pour patienter en attendant le lendemain, elle se rend sans prévenir chez Elio et Mourad. Lorsqu’elle arrive, l’ambiance semble festive, Aïcha nue jusqu’à la taille, un voile transparent couvrant le bas, se tortille dans une danse du ventre endiablée. Ses petits seins bougent à peine tellement ils sont encore juvéniles. Toutefois, les fesses bien rondes, remuent bien, tels deux flans sortis encore chauds du four. Christelle admire le numéro de son amie/amante ex-rivale. Elio content de voir sa coquine préférée, lui attrape le bras et la fait s’assoir sur ses genoux. Un long baiser, une fouille de ses seins et chatte sans sous-vêtements en règle, Christelle ne pense plus à son rendez-vous du lendemain, profiter du moment présent est sa nouvelle devise.
Elio n’a pas besoin de lui pratiquer de longs préliminaires, une légère masturbation la fait suffisamment secréter pour être prise. Fini les tendres étreintes du début, désormais, c’est du troussage de soudard. La ribaude se laisse retrousser la jupe, allonger sur la moquette, elle ouvre grand le compas de ses cuisses et accueille avec un cri rauque le gros chibre d’Elio. Qui il y a peu lui faisait peur tant elle le trouvait énorme. Mourad, excité par les deux tourtereaux, bascule Aïcha au sol près d’eux et l’enfile sans cérémonie. Aïcha ainsi que Christelle sont l’une à côté de l’autre, profitant de leur proximité, elles s’embrassent, difficilement, secouées par les coups de reins violents de leurs partenaires qui les chevauchent à cru. Entre gémissements, cris de plaisir qui les submergent, les deux jeunes femmes arrivent malgré tout à unir leurs langues. Leur salive dégouline un peu sur leur menton et commissures.
Ce sont d’excellents cavaliers qui les montent, elles jouissent de concert. Les deux hommes sortent de leurs chattes et les mitraillent de semence chaude, épaisse, abondante, chacun projetant sur la voisine de celle qu’il enfilait. Les compères se tapent la main, fiers d’avoir fait jouir leurs cochonnes respectives. Leurs gourdins retombés, ils arrosent ça au champagne. Les coquines sont vite grisées par le breuvage doré et pétillant comme la vie. Aïcha et Christelle alanguies s’embrassent, se caressent intimement, mêlant leur désir de jouir en couple. Les hommes ne les dérangent pas, se délectant de ce sublime spectacle de femmes faisant l’amour ensemble. Ils se masturbent, faisant renaitre leurs phallus ramollis. Aïcha et Christelle se mettent à genoux l’une à côté de l’autre et proposent à ces messieurs de visiter leur rectum.
Approbation des hommes, ils jouent à pile ou face celle qu’ils vont prendre, Elio un point dépité gagne Christelle, même si le cul de celle-ci est magnifique, il aurait préféré sodomiser Aïcha. Il se console en reconnaissant que c’est simplement une partie remise et que dans la soirée, il aura l’occasion de fouiller l’adorable cul de la drôlesse. Avec appréhension, Christelle sent la grosse trique profaner son espace intime, il l’a sodomisée plusieurs fois. C’est toujours une dure épreuve que de recevoir un morceau pareil dans l’arrière-train. Mourad quant à lui ne se plaint pas de devoir enculer sa cousine, son petit postérieur l’attire toujours avec sa jolie rondelle brune plissée, et comme il dit vulgairement, un trou, c’est un trou. L’orifice anal des deux gourgandines est bientôt occupé profondément. Elio oublie son dépit de ne pas avoir gagné les fesses d’Aïcha.
En effet, la croupe de Christelle, un peu plus épanouie, lui procure un formidable plaisir, elle est accueillante et chaude, bien serrée, comprimant son gros nœud, comme un boa constrictor étouffant sa proie. Il s’abandonne aux ondoiements de Christelle qui se sodomise elle-même sur le gourdin de son chéri. Comme c’est bon de coulisser sur cette masse de chair, douce et dure. Ainsi, elle donne de violents coups de cul, cognant le ventre musclé de son compagnon. Elio se contente de la tenir par les hanches, accompagnant les mouvements de sa sodomisée. Gémissante Christelle se caresse le clito, sentant le barreau à travers son périnée. Le couple voisin est plus dans le long terme, les deux prennent leur temps, Soudain Mourad a une idée qui séduit Elio, il propose de changer de monture. Aussitôt pensé, aussitôt fait, les donzelles, ne peuvent pas donner leur avis, que déjà les cavaliers descendent de leur destrier, pour remonter sur l’autre.
Christelle bien ouverte par le gros chibre d’Elio accepte facilement celui de Mourad. Il n’en est pas de même pour Aïcha, le dard d’Elio, quoique bien lubrifié par le cul de Christelle et son fluide pré-séminal, trouve de l’opposition à l’effraction de la rondelle. Elio ne s’en soucie guère et force l’obstacle, arrachant un cri de douleur à sa nouvelle monture. Aïcha sent le mandrin perforer sa pastille et s’enfoncer assez profond en elle. Faisant fi de l’étroitesse de la jeune fille, Elio entame une gigue dans le petit anus intimidé. Aïcha ne pouvant pas et répugnant à interrompre l’invasion de son cul se fait une raison et se cambre bien pour offrir ce cul récalcitrant à son bourreau. Elio la devine consentante à la douleur et accentue ses coups de boutoirs dans son petit oignon, la jeune fille pleure, supplie, mais le plaisir l’emporte et elle se noie dans un tourbillon de folle jouissance.
Mourad de voir sa cousine ainsi, ne peut plus se retenir et en pleine communion des sens avec Christelle, ils jouissent de concert, l’éjaculation de sperme et de cyprine se font simultanément. Cela bouillonne dans le cul de Christelle, les spermatozoïdes s’aperçoivent qu’ils ne sont pas au bon endroit, pour assumer leur fonction initiale, la reproduction, impossible de retourner en arrière, cela pousse, Mais, la queue les éjecte dans cet endroit et ils se contentent de remonter dans les boyaux de la jeune femme, sans espoir de survie. Christelle ne pense à aucun moment à ce problème, elle jouit pendant que Mourad lui remplit le trou de balle. Christelle rassasiée embrasse ses amants et son amante, puis les quitte afin de se préparer au rendez-vous du lendemain avec le docteur.
Dix heures pile, la sonnette de l’entrée résonne dans le calme de la maison, Christelle encore endormie sursaute au second coup de sonnette. Toute engourdie par la soirée de débauche chez ses amants, elle sort du brouillard, elle revient à la réalité et se souvient de son rendez-vous médical. Elle crie au docteur que la porte n’est pas fermée, qu’elle l’attend dans la chambre. Les pas résonnent dans l’escalier de bois. Le docteur apparait dans le chambranle de la chambre, Christelle se frotte les yeux et lui fait un signe de la main, qu’il s’avance vers le lit.
— Je suis rentrée tard docteur, j’avais une invitation chez des amis, ne m’en veuillez pas de vous accueillir couchée.— Cela sera mieux pour t’ausculter, et sur ce, il soulève les draps.
Christelle dort toujours entièrement nue, aussitôt une bosse gonfle le pantalon du praticien.En jetant un coup d’œil au sol, il remarque la robe de la jeune femme roulée en boule, couverte de tâches douteuses.
— Apparemment, tu ne t’es pas ennuyée petite débauchée hier soir ?
Christelle arrive à rougir et lui tend la main pour l’attirer sur le lit, et ainsi éviter de lui répondre. Le docteur se couche sur elle tout habillé, lui glisse une main entre les cuisses, qui tel Sésame s’ouvre largement, pour laisser le spécialiste lui examine le vagin. Il prend deux oreillers, lui place sous les reins.
— J’examine ton vagin, qui me parait bien ouvert, ainsi que ton œillet. Par ailleurs, il n’y a pas beaucoup de temps que tu as eu des relations sexuelles ?
Christelle avoue que la nuit a été chaude. Le docteur lui dit que cela ne le dérange pas de passer derrière d’autres, si elle a pris une douche. Christelle se réveille complétement lorsqu’elle sent deux doigts examiner son souterrain sexuel. En un mouvement tournant, les doigts disparaissent dans la chatte humide. Elle s’ouvre largement, s’offrant au praticien. Le docteur se rappelle quand il a examiné cette petite moule toute serrée, lors de la première visite de sa jeune patiente. Un léger duvet sombre ornait deux fines lèvres à peine visibles. Délicatement, il avait touché ce délicat fruit de saison qui paraissait déjà s’humidifier facilement. Les souvenirs font presque éclater son boxer, sans gêne, il se dévêt et son sexe claque contre son ventre quand il ôte le sous-vêtement. Christelle se caresse les seins, provocante, elle laisse son docteur ausculter son minou.
Lorsque le généraliste, touche le point G de sa patiente, il la voit sursauter, ne laissant pas de doute sur l’endroit délicat où se trouvent les doigts. Le généraliste insiste sur le point sensible, Christelle se cabre en feulant comme la tigresse qu’elle est quand elle prend du plaisir. Accentuant sa caresse, l’homme se laisse saisir le chibre par sa conquête. Souple comme une liane, Christelle arrive à laisser les doigts dans sa minette et se pencher suffisamment pour emboucher le gland de son amant. Pour plus de praticité, le médecin, s’allonge le pantalon baissé et demande à Christelle de se mettre en position pour pratiquer un soixante-neuf. La jeune femme enjambe son docteur, vient lui placer son abricot à la hauteur de la bouche, et elle face à l’œil de cyclope perlant de gouttes translucides. Du bout de sa langue rose, Christelle les fait disparaitre.
Elle dégage un peu plus le sexe hors du boxer et comme la veille au cabinet, elle lui pratique une fellation dont elle a le secret. Le médecin, pour qui le sexe féminin ne possède aucun mystère, s’occupe avec adresse du clito et point G de sa jeune conquête. La rosette de Christelle n’échappe pas à l’examen vaginal et anal du spécialiste. Le doigt délicatement enfoncé tournicote à l’intérieur de l’anus, tandis que la langue frôle le petit bourgeon de chair dressé, l’autre main examine l’élasticité du vagin. Trois doigts y pénètrent facilement, les relations de la nuit ayant laissé la chatte de la jeune femme entrebâillée. L’homme trouvant l’ouverture accueillante s’enhardit et diagnostique une opportunité de procéder à un fiste. Les cinq doigts s’enfoncent doucement en dans un mouvement circulaire. Christelle écarte un peu plus les genoux pour donner l’accès maximal de sa chatte à son fisteur.
La base des doigts rentrée, la main s’enfonce lentement, mais sûrement, dilatant les chairs sans les blesser. Sa formation de gynéco n’est pas inutile pour cette insertion vaginale. Christelle se sent fouillée au plus profond de son être. Elle adore la main qui s’enfonce en elle en caressant au plus loin son intimité. Le docteur, la main arrivée jusqu’au poignet, marque un arrêt, le temps que le vagin se fasse à la dilatation complète. La nature est ainsi faite, le corps humain a des ressources invraisemblables. Christelle remplie du membre de son docteur en oublie presque de sucer le chibre à demi rentré dans la bouche. Il lui faut un rappel verbal de son éminent médecin, pour se remettre à pratiquer son admirable fellation. La main entière se met en branle dans son vagin distendu avec les doigts qui lui chatouille tout l’intérieur intime. La jeune femme se promet d’aller voir son gynéco plus souvent. Sa chatte se lubrifie tel un moteur à plein régime.
Le docteur sent le liquide doux et chaud inondé son poignet et ses doigts. Il retire la main pour recevoir la douche de cyprine sur le visage. De ce fait, il admire le trou béant ouvert à tous vents, avant qu’il ait le temps de se rétracter, le médecin renfile entièrement la main, dans l’abysse inondé. Arrachant d’effrayants gémissements à Christelle envoûtée par cette pratique. La jeune femme tortille son bassin, accentuant encore plus le sentiment d’avoir le vagin rempli jusqu’à son utérus, les doigts palpant ses ovaires confirment le ressenti. La queue de son docteur enfoncé au fond de sa gorge, elle gémit, ses râles sourdent sur le gland. Puis rappelée à l’ordre, elle reprend de sucer la barre de chair dure comme de l’acier, mais plus tiède. Les deux amants se repaissent l’un de l’autre, se goûtent, se lèchent, se mordillent, un déluge de caresses buccales.
Christelle ne peut plus empêcher l’orgasme de la secouer de la pointe des cheveux jusqu’aux orteils, elle s’est retenue davantage pour profiter de ce moment génial du fiste, là elle succombe. Le docteur doit la tenir par les fesses afin qu’elle ne se défasse de sa main tant elle bouge. Il mord les fesses menues et rondes, laissant des marques de dents bien rouges sur les globes laiteux de son amante. Franchement, Christelle ne devra pas montrer son joli cul à son mari le lendemain. Vaincue, la jeune femme s’écroule sur le ventre de son amant, la queue toujours en bouche, sans l’avoir fait jouir. Lentement, le docteur ôte la main du vagin dilaté, laissant entrevoir du rose clair au rose profond de la chatte grande ouverte.
Il repousse avec précaution le corps ramolli de la jeune femme, la mettant sur le dos, il se déshabille entièrement et revient se mettre sur elle, s’avance, le sexe altier et le place sur les lèvres disjointes de Christelle, qui instinctivement happe et tète tel un nourrisson le sein de sa mère. L’homme lui demande de serrer les lèvres puis se met à lui baiser la bouche comme il l’aurait fait dans son sexe. Christelle à demi consciente colle bien sa langue le long du chibre qui se meut dans son gosier et accepte en bonne patiente qu’elle est de se laisser examiner les amygdales par le phallus du médecin. Des lèvres au fond de la gorge, le chibre ressort et replonge dans l’orifice buccal sans discontinuer de longues minutes. Christelle en a des larmes qui perlent aux coins des yeux, loin d’attendrir son médecin traitant, cela le stimule, il accélère encore la cadence, Christelle a beau lui repousser le ventre avec les mains il va le plus loin possible dans le gosier de sa belle.
Elle tousse, s’étouffe, mais n’empêche pas son assaillant de tirer son coup dans la bouche de son amante. Les grognements de l’homme avertissent de sa prochaine éjaculation, Christelle est prête à accueillir la semence de l’homme qui la soigne depuis son adolescence. Dans une injure souvent entendue, il se vide par de longs jets brûlants, épais et puissants de liqueur séminale.
— Prends ça dans ta gueule salope, avale tout, petite pouffe, ça te comble de vitamines.
L’abondance de la semence fait déborder la bouche de Christelle. Cela coule aux commissures de ses lèvres, inonde sa gorge, elle en avale un maximum, le goût salé la contente. Elle le laisse totalement se vider. Les dernières gouttes forment une moustache de sperme sous le nez de la coquine. Le docteur lui met l’ultime larme de jus sur le bout du nez en riant. Christelle grisée de plaisir l’attrape par le cou et le fait se coucher sur elle. Lovés l’un contre l’autre, ils se bécotent sur tout le visage, le docteur ramassant au passage son jus souillant le visage de sa belle. Leurs corps enlacés, ils se reposent un instant en se disant des mots doux, se faisant des promesses qu’ils savent qu’ils ne tiendront pas, mais n’est-ce pas le moment pour se les faire ? la nuit est à eux.
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