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Viens jeudi

Chapitre unique

Divers
Viens jeudi. Ou vendredi. Ne m’appelle pas avant, ne ramène rien, fais-moi grâce de toutes ces politesses. Entre sans frapper, la porte sera déverrouillée. Si j’ai correctement prévu l’heure de ton arrivée, je t’accueillerai sans doute parfumée, coiffée, maquillée, langoureusement étendue sur le lit ou le canapé dans un petit déshabillé transparent. Si tu me surprends quand je ne m’y attends pas, tu risques de me trouver dans mes chaussons fourrés, débraillée, avec des mèches volant partout sur mon front, peut-être en train de faire la vaisselle.
Même si c’est le cas, ne fais pas demi-tour. N’aie pas peur de me déranger, ne crois pas que le jeu est gâché parce que je ne suis pas préparée. Je suis prête depuis longtemps. J’y pense, j’en filme mentalement chaque détail. J’en ressens le toucher, la rudesse de tes mains, la chaleur de ton souffle. C’est cette pensée qui chaque soir m’oblige à me branler furieusement sans même prendre le temps d’enlever ma culotte, pour simplement pouvoir trouver le sommeil.
Je serai prête. Approche-toi dans mon dos. Je continuerai à faire la vaisselle, mais je t’aurai entendu. Tout mon être frémira comme de l’eau qui commence à bouillir. Ce sera imperceptible pour toi, tout restera à l’intérieur. La mèche sur mon front n’en bougera même pas. Et pourtant, je saurai que tu es là. Mon sexe commencera à mouiller avant même que tu ne m’aies touchée. Avant même que tu ne m’aies parlé.
Je poserai dans l’égouttoir l’assiette que je viens de rincer, et j’en prendrai une autre en soufflant sur ma mèche pour l’écarter de mon œil. Alors que je commencerai à la nettoyer, tu prendras ton temps pour savourer mon attente. Tu regarderas mes fesses s’agiter au rythme de mes frottements d’éponge. Tu devineras, sous ce vieux pantalon sans forme, ma chair ferme et dodue qui se dandine.
Tu auras envie, soudain, de la saisir, de l’empoigner, de la fesser. Tu te mordras un peu la lèvre en t’obligeant à patienter encore, à ne pas te précipiter. Tu auras tort. Je veux que tu te précipites. Que tu te jettes sur moi comme une bête affamée sur un morceau de viande. Et je sais que tu le feras. Plus tard. Parce que tu ne pourras plus t’en empêcher.
Mais d’abord, tu t’approcheras doucement. Ce ne seront pas tes mains qui me toucheront en premier. Ni même ta bouche. Non, notre premier contact, ce sera ton bassin venant se coller contre mes fesses gigotantes. Je sentirai ta queue déjà dure fermement appuyée contre ma raie. Et de concert, l’un et l’autre, nous laisserons échapper une longue expiration.
Je suspendrai mon geste, éponge mousseuse à la main, incapable de me concentrer sur autre chose que mon envie de sentir ton sexe au fond de moi. Déjà je sentirai ma chatte couler, sans pouvoir rien faire pour le maîtriser. Tu prononceras alors ton premier mot. Simple, rugueux, comme toi. « Continue. »
Déjà soumise, déjà ta chose, j’obéirai et reprendrai ma vaisselle. Tant bien que mal, un peu plus mal que bien. Je rincerai l’assiette, la disposerai dans l’égouttoir, m’attaquerai à un bol, pendant que lentement, de bas en haut et de haut en bas, tu frotteras ton bas-ventre contre mon derrière charnu. Ta bite sera si tendue que j’en sentirai presque les veines à travers nos vêtements respectifs.
Je me cambrerai, je me plaquerai contre toi. Je me pencherai en avant, fesses en arrière, te suppliant intérieurement de me prendre, d’arracher ce vieux pyjama dont je me fous et me pénétrer d’une traite jusqu’à ce que le moindre centimètre de ta queue ait disparu en moi. Tu comprendras ma silencieuse supplique, et avec un plaisir sadique, tu décideras de me faire attendre encore. Tu m’attraperas par les cheveux en me forçant à me redresser d’un coup de bassin sec. « Pas maintenant », me murmureras-tu à l’oreille. J’entendrai ton sourire dans le son de la voix.
Je frotterai mon bol. Au supplice. Le souffle déjà court d’excitation. Ondulant du bassin malgré moi. Ne t’écarte pas tout de suite. Savoure le moment. Laisse-moi me débattre en tentant de garder le contrôle. Regarde-moi perdre pied. Me frotter contre toi comme une chienne en rut, soupirer déjà alors que tu n’as même pas encore posé les mains sur moi.
L’inconfort de ma frustration finira par avoir raison de moi, je réaliserai peu à peu que tu l’as déjà compris. Ma pudeur m’empêchera un temps de craquer. Puis je capitulerai. Le désir sera plus fort que ma fierté, plus fort que ma honte. Je prononcerai les mots tout doucement, les joues brûlant de gêne. « Baise-moi... »
Ne me baise pas tout de suite. Recule-toi. Détache ton bassin de mon cul. Laisse-moi macérer dans mon embarras. Me demander si je dois répéter, parler plus fort. Ou si je dois ajouter « S’il te plaît ». Laisse ma vulve palpiter. Ma culotte s’imprégner de mon jus. Et seulement alors, tu me répondras. « Pas tout de suite... »
Tu baisseras mon pantalon et ma culotte, alors que j’aurai toujours mon éponge à la main. Tu prendras le temps de me regarder, le pantalon en tire-bouchon sur ces chaussons ridicules, récurant ma casserole en soupirant, cul nu. Si tu es attentif, tu verras que ma chatte luit de mouille. Tu verras qu’elle n’en finit plus de lubrifier avec l’espoir encore inassouvi que tu la défonces sans ménagement.
Mais tu auras autre chose en tête. Tu me feras écarter les pieds autant que le pantalon tendu entre mes chevilles me le permettra. Puis, avec lenteur, dos à moi, tu t’agenouilleras entre mes pieds. Tu te pencheras en arrière pour passer ta tête devant moi, ton visage à hauteur de mon pubis. Je reculerai un peu le bassin pour te laisser le champ libre, tu t’ajusteras pour te placer correctement, puis tu m’entameras doucement. D’abord en déposant sur mon sexe quelques baisers du bout des lèvres. Puis en l’embrassant comme une bouche. Avec la langue, avec la bave.
Petit à petit, tu gagneras en précision. Oui, sois précis. La langue souple, tu me fouilleras avidement à la recherche de mon clitoris. Il ne te faudra pas longtemps pour le trouver, saillant et dur comme une petite bite. Aspire-le entre tes lèvres. Fais le coulisser en le branlant de ta langue. Suce-moi comme un mec. Fais-moi lâcher ma casserole, perdre mes moyens, baiser ta bouche avec ma chatte.
Sors la langue, lèche-moi inlassablement, même si tu t’engourdis, même si tu attrapes une crampe. Fais-moi jouir violemment. Je serai submergée, je te submergerai. Mon plaisir coulera le long de ton menton, humidifiant le col de ton T-shirt. En me sentant jouir, tu t’arracheras à mon sexe, pour voir de tes yeux les spasmes de mon orgasme. Je t’arroserai d’un long jet de jouissance, imprévu mais incontrôlable. Puis je me plaquerai à nouveau sur ta bouche, je me frotterai sur ton visage, pour bien me finir.
Je ne m’écroulerai pas. Tu m’en empêcheras en entourant mes fesses de tes bras. Quand tu seras bien assuré que mes jambes vont me porter, relève-toi. Repositionne-toi derrière moi. Ne me laisse pas reprendre mes esprits. La tête embrumée par le shoot de plaisir que j’aurai pris, je chercherai à retrouver le contact avec la réalité. Ne me laisse pas faire. Empêche-moi de redescendre.
Sors ta queue. Elle sera violette d’impatience, je le sais. Ton gland brillera, comme sur le point d’exploser. Appuie un peu sur mes reins pour me cambrer et enfile-moi d’un coup. Ne te préoccupe pas de me faire mal. Je serai bien préparée. Baise-moi vite et fort, sans manières et sans chichis. Attrape le gras de mes fesses à pleines mains, et martèle-moi comme si tu voulais me fesser avec ton bassin.
Ça claquera fort. Tu rebondiras sur mon gros cul, et ça te donnera envie de le fesser pour de bon. Tu y mettras une première claque qui me galvanisera. Je me cabrerai, je crierai. Ne t’arrête pas. Mets-en une autre, puis une autre, et encore une autre. Ça me rendra folle, j’en demanderai encore, je rugirai mon plaisir. Fais-le, toi aussi. Grogne. Tire-moi les cheveux, traite-moi de salope. Je serai ta pute, tu auras tous les droits.
Laboure-moi, je veux sentir chaque millimètre carré de ta queue glisser sur chaque millimètre carré de ma chatte. Lime-moi comme une traînée. Et je jouirai, je jouirai à en perdre la raison. Les contractions de mon sexe seront si violentes qu’elles en expulseront ta queue en l’arrosant copieusement. Je continuerai de jouir en giclant partout sur le carrelage, même une fois ta bite sortie de moi. Je continuerai de jouir sans rien, sans pénétration, sans contact. Ni vraiment debout ni vraiment accroupie. Ni vraiment consciente, ni vraiment évanouie. Je jouirai, coulant sur mes cuisses, sur mon vieux pantalon et sur mes chaussons. Je m’écroulerai à genoux, pissant toujours en tremblant, saisie d’un écho de spasme de temps en temps.
N’aie pas pitié. Tourne-moi face à toi. Mes genoux glisseront dans la flaque de mon orgasme. Retourne-moi et attrape mes cheveux. Oblige-moi à lécher tes couilles, pose-les sur mon visage, fourre-les-moi dans la bouche. Branle-toi sur mon nez, appelle-moi chienne. J’ouvrirai grand la bouche, tirant la langue dans le vide en essayant de gober ton chibre. Tu le soustrairas à ma voracité, juste pour le plaisir de me voir le chercher, tendre le cou pour l’attraper, et finir par le réclamer.
Puis tu céderas. Sans prévenir, tu me le logeras directement au fond de la gorge. Je tousserai, m’étoufferai un peu. Mais bien vite, je me reculerai pour te sucer avec gloutonnerie. Je nettoierai ta grosse bite des sécrétions que j’y aurai laissées. Je refermerai mes lèvres de mon mieux autour d’elle en les serrant bien fort, tout en prenant garde à ne pas te faire sentir mes dents. Je jouerai avec ton gland du bout de ma langue. Je coulisserai d’avant en arrière, avalant toute la longueur même si ma respiration s’en trouve coupée, même si un haut-le-cœur m’interrompt parfois.
Je te pomperai et t’aspirerai, te lécherai et te titillerai, te sucerai avec une passion dévorante. Lorsque tu sentiras la sève monter, ne cède pas à la tentation de l’envoyer au fond de ma bouche. Retire-toi au dernier moment et regarde bien le visage suppliant de ta chienne, avant de l’arroser de ton sperme chaud. Il ne faudra pas te branler longtemps avant de recouvrir ma face de ta semence.
Mets-m’en partout. J’en veux sur le front. J’en veux sur le nez. J’en veux sur la bouche. Je veux me lécher les lèvres et me délecter de ton jus. Je fermerai les yeux et je savourerai son goût comme un nectar délicieux. Je les garderai fermés un moment. Je sentirai le sperme couler doucement sur ma figure. Une goutte me glissera sur l’œil. Puis j’entendrai ta braguette se refermer. Et tes pas s’éloigner. Ne te retourne pas. Laisse-moi là sans un mot de plus, couverte de ton sperme, pataugeant dans ma mouille.
Avant que tu ne refermes la porte derrière toi, j’aurai tout juste le temps de te dire « Merci ».
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