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Le vierge et marie

Chapitre 1

Partie I : Marie

Avec plusieurs femmes
L’air frais du matin caressait les joues de Marie. Pas après pas, le souffle rythmé par un effort maîtrisé, le rebond léger sur le bitume, la jeune fille ne comptait plus les kilomètres. Ses longs cheveux bruns, noués en queue-de-cheval, balayaient ses épaules, seulement recouvertes par une brassière noire.
Marie avait toujours aimé les premiers rayons du mois de mai, prémices d’un été chaleureux à venir. La proximité du baccalauréat ne l’inquiétait guère. Quand la plupart de ses camarades du lycée se rongeaient déjà les ongles à l’idée de valider leurs années passées sur les bancs de l’école, elle jouissait d’une confiance à toute épreuve. Hors de question pour elle de s’empêtrer dans des heures de révision : l’atmosphère tranquille du samedi matin sonnait plutôt comme la promesse d’un week-end apaisé.
Dès le plus jeune âge, Marie, élevée par une mère célibataire prête à tout pour voir sa fille réussir, s’était vue imposer une discipline stricte, sans pour autant souffrir de la situation. Piano, danse, natation, course à pied, self-défense, accès à la culture aisé, lecture quotidienne, soutien scolaire... Des habitudes quasi spartiates, qui avaient fait de cette enfant d’une petite bourgade de banlieue une excellente élève. À désormais dix-huit ans, soufflés il y a quatre mois, Marie pouvait se permettre de lever le pied. Ses notes acquises lors des examens de 1re, conjuguées à un contrôle continu de haut vol, lui assuraient déjà le diplôme avec mention.
Depuis six mois, sa mère était moins présente, la laissant s’occuper de la maison. Commerciale pour une grande marque automobile, promue cheffe d’un nouveau secteur, Thérèse travaillait trois semaines par mois dans le sud-ouest. Elle avait une confiance totale en sa fille.
Avec une telle éducation, Marie pouvait se targuer de posséder un esprit d’une étonnante vivacité et un caractère autoritaire affirmé, tout en maintenant une condition physique remarquable. On pouvait lui donner facilement 22 ans et son corps avait tous les atouts jalousés par ses contemporaines du lycée. Des cheveux ondulés, cadres d’un sourire à ravir, une poitrine de bonne taille et de magnifiques fesses galbées. Elle estimait son nez un peu trop large, seul défaut d’un physique qu’elle savait très plaisant.
La jeune fille s’en était rendu compte à peine sa puberté achevée. Habituée à attirer les regards de ses camarades, mais aussi à voir défiler des hommes à la maison, elle avait observé leurs manières, leurs comportements, leurs attentes auprès de sa mère. Et n’avait pas attendu longtemps pour se créer sa propre expérience. Depuis ses quinze ans, il ne s’était pas passé un été sans qu’elle expérimente les premiers émois d’une adolescente.À peine majeure, Marie comptait déjà sept garçons à son tableau de chasse. Le dernier en date, Bastien, lui avait offert la meilleure nuit de sa vie au soir de son anniversaire. À l’époque, elle fréquentait le jeune homme depuis trois mois, mais la relation n’avait, comme toujours, pas tenu. Une instabilité qu’elle attribuait à celle de sa mère. Trouver le prince charmant ne l’intéressait pas, Marie préférait sans cesse explorer les innombrables possibilités offertes par le sexe.
Depuis sa séparation avec Bastien, elle ne s’était pas remise en selle. Sa frustration grandissait et ses tentatives de combler le manque par le sport ne suffisaient pas à éteindre le feu qui se propageait en elle. Il faut dire que sa dernière conquête possédait un sexe de taille impressionnante. De trois ans son aîné et très habile de sa langue, il avait su la remplir comme jamais auparavant.Marie chassa ces doux souvenirs de son esprit. Elle sentait son entrejambe s’échauffer à leur évocation, mais se reconcentra sur sa foulée : son allure était telle qu’elle était proche de réaliser son meilleur temps sur son parcours habituel.
Un sifflement soudain l’interrompit dans sa course. La lycéenne tourna la tête, cherchant l’origine d’un son qu’elle n’avait que trop entendu sans sa vie. De l’autre côté de la rue, assis sur un banc à l’ombre d’un saule, elle reconnut deux adolescents du quartier voisin. Cherchant leur regard, elle s’aperçut que leurs yeux étaient rivés sur sa poitrine.
— C’est moi que vous sifflez ? lança-t-elle.— Tu veux quoi, continue à courir sale pute, lança celui de droite, un gringalet d’à peine quinze ans, couvert d’année.— Avec ton cul qui ne vaut même pas dix balles et ton vieux legging, renchérit l’autre, qui ne devait pas mesurer plus d’un mètre soixante.
Ni une ni deux, faiblement essoufflée, Marie traversa la route. Un automobiliste l’évita de justesse, à grand renfort d’avertisseur sonore. Elle s’avança d’un pas franc vers le premier à l’avoir invectivée :
— Répète un peu pour voir ?
— Pourquoi, tu vas faire quoi ?— Excuse-toi ou je te pète le poignet !— Laisse-moi rigoler, on est deux, calme-toi un peu, bouge de...
Le garçon n’eut pas le temps de finir sa phrase, son dernier mot se mua en hurlement de douleur. D’un geste vif, Marie lui avait saisi les doigts. Stupéfait, son camarade se leva. De sa main libre, la jeune fille le repoussa sur le banc.
— Si tu fais quoi que ce soit, il pourra plus se branler pendant trois semaines. Et ne t’inquiète pas que je te ferais la même chose après...
Joignant le geste à la parole, Marie accentua la pression sur le pouce de l’adolescent, dont le teint avait viré au rouge :
— OK OK, c’est bon, laisse-moi... pardon.
Une petite larme de douleur roulait sur sa joue. Intérieurement, et elle était presque mal à l’aise de se l’admettre, Marie jubilait.
— Quant à toi le nabot, renchérit-elle auprès du second, je te conseille d’apprendre à respecter les meufs. Tu parles de mon cul, mais je doute que tu n’en as jamais eu de pareil sous les yeux, et si tu continues à avoir ce genre de comportement, tu n’en auras jamais...
Soudain, une voix familière s’éleva à quelques encablures de la scène :
— Tout va bien Marie ?
C’était Stan, un camarade du lycée qui vivait à deux rues de la jeune fille.
— Aucun problème, comme tu vois, je gère, répondit-elle, relâchant du même coup la pression sur la main du gringalet, lequel poussa un cri de soulagement avant de déguerpir, suivi par le nabot.
Stan se rapprocha. Ce garçon brun, de taille moyenne au physique tout ce qu’il y a de plus banal, souriait bêtement :
— Bon, je crois que ça a l’air d’aller effectivement...— Bah, qu’est-ce que tu attends pour me faire la bise, je transpire à peine en plus, rigola Marie en s’approchant de lui dans un sourire.
Stan rougissait. Il s’exécuta timidement et s’enivra de son odeur. Depuis des années, quand ils s’étaient retrouvés dans la même classe après son redoublement, elle lui plaisait. La jolie brune s’en doutait bien. Elle appréciait sa compagnie, étant du même quartier, mais n’avait jamais considéré ce garçon gentil et maladroit comme un partenaire potentiel.
— Encore deux petits puceaux, j’ai l’habitude par ici, glissa Marie.— Ah ouais, c’est clair, répondit Stan, d’un air faussement assuré.— Bon, je file, ça m’a fait plaisir de te croiser... Si tu veux passer à la maison ce soir, il y a des copains. On sera une petite dizaine, soirée tranquille pour le premier barbecue du printemps...
Sur ces mots délivrés dans un sourire, Marie reprit sa course. Après avoir lancé qu’il viendrait, Stan ne put s’empêcher d’arrêter quelques instants son regard sur ces fesses qu’il désirait temps. Le legging de sa voisine moulait parfaitement des formes généreuses, laissant entrevoir les contours de sa culotte. Le jeune homme soupira, incapable de contenir une érection. Marie lui donnait l’impression de courir comme au ralenti. En quelques foulées, elle disparut au coin de la rue.
Dès qu’elle passa le petit portillon du pavillon aux briques rouges, typique de ces villes dortoirs qui bordent la capitale, Marie se déshabilla. Vivre seule trois semaines par mois lui conférait l’avantage de pouvoir se promener dans le plus simple appareil, au gré de ses envies.La jeune femme se regarda dans le vaste miroir qui faisait face à son lit. Son visage restait marqué, non par l’effort, mais par la colère ressentie quelques minutes plus tôt. La plénitude recherchée par le sport s’était envolée et elle s’en trouvait terriblement frustrée.
Après une douche rapide, son corps gracieux s’étendit sur le lit. Presque mécaniquement, ses doigts glissèrent le long de son ventre. Son index droit frôlait désormais sa légère toison pubienne, bientôt rejoint par son majeur, l’épiderme bercé par un doux frisson. Ses yeux se fermèrent en même temps que ses cuisses s’écartaient. Sans avoir à se concentrer, Marie se laissait guider par ses rêveries. Elle aurait tant eu besoin d’une bonne bite, là, à cet instant...
Rapidement, ses phalanges se portèrent vers sa chatte, le pouce effleurant son clitoris tout juste sorti de son capuchon. Juteux cocktail ; fruit d’une once de colère, d’une bonne dose de frustration et d’une pincée d’excitation, la mouille perlait le long de ses lèvres.À la recherche des endorphines, ses doigts plongèrent plus profond dans son intimité. Les visions d’un miroir, face auquel elle chevauchait un amant au torse bronzé, animaient ses yeux clos.
Marie savait parfaitement où aller. La main gauche sur un sein, trois doigts désormais dans le vagin, il lui en fallait plus. Le souffle court, elle saisit un traversin au milieu de la demi-douzaine d’oreillers qui attendrissaient son lit. Se retournant sur le ventre, elle enfourcha la masse de tissu et se frotta avec frénésie, le souffle entrecoupé de légers soupirs de plaisir. La manœuvre avait l’avantage de chauffer son clitoris à blanc, mais son vagin restait sur sa faim.
À contretemps, incapable d’y trouver son compte, Marie reprit sa position initiale. Sa main droite sur la chatte, elle retourna à son exploration. Son esprit était dorénavant focalisé sur le souvenir d’un cunnilingus torride. Une boule de chaleur commençait à poindre, c’était bon. Très bon, de plus en plus.
Ses tétons dressés, elle sentait le plaisir venir, quand le bruit strident de la sonnette perturba l’aube de ce rêve éveillé :
— Nooon...
Affamée, elle décida de ne pas s’en préoccuper, accentua la pression sur la partie supérieure de son vagin...Deuxième sonnerie :
— Bordeeeeel.
Marie se leva d’un coup. Sa fenêtre donnait sur la rue, elle tira légèrement le rideau, la frustration à son comble. Du coin de l’œil, elle soupira à la vue de la casquette et de l’uniforme d’un autre temps. Le facteur pressa la sonnette pour la troisième fois. Marie enfila rapidement la première culotte qui venait et un t-shirt long.
— Bonjour Didier, excuse-moi, j’étais sous la douche, lança-t-elle innocemment.— Un colis pour ta mère... si tu peux signer là, sourit le quinquagénaire, non sans glisser un léger regard vers les jambes de la jeune fille, avant d’enfourcher son vélo.
Marie soupira en déballant le paquet. Elle ne put refréner un rire jaune en constatant les coupables de son plaisir manqué : un lot de cailloux aux vertus supposées énergétiques, commandées via un site asiatique.
Un café plus tard, l’envie était passée. Seule une petite tache sur sa culotte témoignait de sa tentative avortée de trouver du plaisir. Marie enfila un short et fila faire des courses, il était temps de préparer la soirée. Après avoir fait le plein d’alcool, mis en route le chauffage de la piscine et pris des nouvelles de sa mère, elle s’assoupit. En fermant les yeux, elle repensa à ce sentiment de toute-puissance qu’elle avait laissé monter en elle, au moment de mettre à mal les deux adolescents qui l’avaient invectivée.
Un appel la tira de sa sieste. L’esprit encore embrumé, sa culotte poisseuse ne laissait pas de doute quant au contenu de ses rêveries. Seulement couverte par son t-shirt, les cheveux en bataille, Marie décrocha lentement. Le visage de sa cousine Céleste s’affichait sur l’écran. Étudiante à Paris, elle revenait tous les week-ends dans sa ville d’origine, à quelques kilomètres de la maison de Marie.
— Ouvre, je suis devant.
Céleste, un an de plus à peine, avait une superbe allure. Elle avait mis en valeur sa corpulence menue, mais subtilement sculptée par des années d’équitation, avec un combi-short à fleurs. Ses lunettes lui donnaient un petit air sérieux, non dénué de charme. Ses pommettes légèrement rosées ne purent réprimer un gloussement en découvrant Marie, débraillée sur le pas de la porte.
— Bah qu’est-ce que c’est que cette tenue ? lança-t-elle en glissant ses doigts dans ses cheveux châtain clair.— T’es au courant qu’il est que 18 heures ? Et puis c’est bon, on est six, y a pas à se mettre sur son 31 non plus...
Marie était étonnée de trouver Céleste seule. Depuis six mois, sa cousine sortait avec Mégane, une étudiante qui travaillait à la cantine du lycée pour payer ses cours de droit. Quand Marie les avait présentées, les deux jeunes femmes avaient tout de suite accroché. Lesbienne depuis toujours, Céleste avait su élargir ses horizons selon les désirs bisexuels de sa copine. Elles ne cachaient pas leur complicité, mais, ne pouvant se voir que les week-ends, affichaient au grand jour une relation libre et débridée.
Céleste expliqua à sa cousine que sa copine avait un rendez-vous urgent et qu’elle avait prévu d’arriver d’ici à une heure ou deux, après avoir récupéré Clémence. En couple depuis six ans, cette jolie blonde à forte poitrine était une amie commune de la bande. Du même lycée que Marie, elle était inscrite dans une classe internationale. L’arrivée d’un jeune correspondant australien dans sa famille depuis trois semaines n’avait pas ravi son copain, Thierry. Le couple était en froid, et Thierry n’avait pas eu envie de sortir. Pas plus que Marie, ni Céleste, ni Mégane n’en avaient vraiment quelque chose à faire. Thierry était rarement volontaire pour se joindre au groupe.
— Par contre, tu l’as déjà vu le Timmy ? J’ai aperçu sur Facebook qu’il paraissait carrément mignon, sourit Céleste.
Face à la réponse négative de sa cousine, elle pianota sur son portable. Le profil du jeune homme se révélait impressionnant. Il était le cliché même du rugbyman. Costaud, blond, coupé à ras, muscles saillants.
— C’est peut-être l’occasion de se remettre en selle non ? Ça ne fait pas tout, mais un corps pareil, c’est déjà quelques promesses non ?
Marie ne savait pas quoi répondre. Timmy n’était pas particulièrement son style, mais il fallait bien reconnaître le charme du jeune homme.
— On va attendre de discuter un peu avec lui, balaya-t-elle dans un rire.
Les deux cousines s’étaient posées sur la terrasse. Marie avait enfilé un sort et sortit deux bières. Un pack complet fut rapidement vidé, au rythme des différents potins.
— Il y a Stan qui va venir aussi, lâcha Marie.
Céleste fit une moue interrogatrice. Elle avait beau fréquenter de nombreux amis de sa cousine, ce Stan ne l’avait pas marquée.
— Tu sais, le gars qui habite à deux rues... Je l’ai croisé aujourd’hui, je lui ai proposé... Il était dans ma classe il y a quatre ans et je crois qu’il a toujours eu un faible pour moi...— Ah oui, je vois, le brun un peu joufflu ? Il n’a rien de très stimulant ce gars, il a l’air un peu mou...— Ce qui est dingue avec toi Céleste, c’est que tu juges n’importe quelle personne, meuf ou gars, sur une supposée valeur sexuelle... On est juste amis, c’est tout, je pense qu’il l’a bien compris...— Ce n’est pas moi qui ai parlé de cul, fit remarquer Céleste, j’ai juste dit que je ne le trouvais pas très énergique quoi... Attends... tu veux te le faire ?— Mais non, n’importe quoi... Mais je ne sais pas, il est gentil et rigolo... Ah bah, quand on parle du loup, il vient de m’envoyer un message, il arrive, répondit Marie, en se servant une nouvelle bière.
Stan sonna à la porte à l’heure annoncée. Il avait l’air nerveux et il le savait. Céleste se présenta sans grand enthousiaste à la vue du jeune homme. Il avait les cheveux soigneusement coiffés et sentait abondamment le parfum. Spontanément, il proposa son aide pour préparer l’apéritif. Vingt minutes plus tard, Céleste interrompit sa cousine.
— Il y a les autres qui arrivent, je vais t’aider à t’habiller. En montant, Marie lança ses clefs de voiture à Stan.— J’ai encore deux packs de bière dans le coffre, tu serais gentil de les mettre au frais s’il te plaît ? Et il faut encore sortir les verres...
Face à un tel sourire, Stan ne trouva rien d’autre à dire qu’acquiescer de la tête, l’air benêt.
Marie enfila une culotte dentelée bleue avec un soutien-gorge assorti. Il rehaussait sa poitrine à merveille. Une barrette relevait une mèche latérale sur sa chevelure brune. Elle choisit un débardeur chemisier bordeaux, au décolleté refermé ; la jeune fille préférait toujours suggérer plutôt que dévoiler. À l’instant où elle sortait un jean noir de son armoire, Céleste se faufila dans son dos et lui prit la taille.
— Tu es magnifique, tu vas faire des ravages, souffla-t-elle, en glissant rapidement un doigt sur la culotte de sa cousine.
Presque aussitôt, elle s’éclipsa. Marie s’était laissé faire. Avec une contemporaine lesbienne, elle n’en était pas à ses premières caresses féminines. Ces jeux lesbiens n’étaient jamais allés au-delà, mais leur régularité, à coups de culottes frôlées ici et là, entretenait chez Marie le tendre souvenir de ses premiers émois entre cousines.
Stan patientait seul dans le salon depuis dix minutes, quand les trois derniers invités franchirent le pas de la porte. Le jeune homme salua Clémence et se rappela à Mégane. Timmy se présenta dans un français très correct, marqué par son accent caractéristique des antipodes. Une bonne tête séparait les deux jeunes hommes, à l’avantage de l’Australien. À peine avait-il commencé à parler que Marie et Céleste étaient descendues.
Le début de soirée fut bercé par l’alcool, sous des airs de pop. Peu ambiancé par les derniers sons à la mode, Stan n’était pas à l’aise en groupe. Il préférait les longues discussions et avait trouvé avec Clémence une parfaite partenaire de soirée. Énervée par sa situation sentimentale, celle-ci n’avait pas vraiment le cœur à faire la fête. Stan passa une bonne partie de la soirée à l’écouter.
Mégane alluma un joint, mais son état guilleret n’était rien à côté de celui de sa copine, qui avait déjà un peu trop bu. D’un air amusé, elle observa Marie, qui passait le plus clair de son temps à glousser avec Tommy. Stan masquait son dépit. Quelques minutes plus tôt, sa jolie voisine avait bien tenté de lancer quelques sujets, mais il n’avait rien trouvé de très intéressant à dire sur le moment.
Les bouteilles présentes sur la table furent rapidement vidées. En allant faire le plein au frigo, Marie attrapa un paquet de cartes dans le salon. Elle suggéra de se lancer dans des jeux d’alcool. L’effet fut immédiat. Quand l’enceinte portable grésilla sur les notes d’un tube d’Aya Nakamura, Mégane commença à remuer les hanches.
— Qui perd enlève un vêtement, défia-t-elle.
Jusqu’ici plutôt en réussite, Timmy se montrait soudainement très mauvais avec les cartes. Après avoir été contraint de retirer ses chaussures, puis sa veste, l’Australien ôta son t-shirt. Céleste ne put retenir un gloussement à la vue du torse et des abdominaux du jeune homme. Complètement saoule, elle était déjà en sous-vêtements. Stan, lui, se montrait le plus concentré possible. Pour le moment, il menait la partie avec brio, et n’avait dû se délester que de son blouson.
Après quelques tours, Marie retira son jean. Elle ne conservait désormais plus que son débardeur par-dessus ses vêtements. Stan, qui n’avait pas pu s’empêcher de jeter un œil vers la culotte de son amie, peinait à contenir un début d’érection, mais personne ne semblait l’avoir remarqué autour de la table. Après quelques tours, Timmy, qui avait l’air de faire exprès de perdre, dut enlever son pantalon. Relevé, feignant d’en être contraint par les règles, il déboucla sa ceinture. Son boxer blanc présentait une masse généreuse.
Marie n’avait pas besoin de coup de coude équivoque de Mégane pour fixer le rebond avec instance. Après quelques minutes à osciller entre les cartes et l’entrejambe qui se dévoilait juste en face, elle peinait à cacher ses coups d’œil. Clémence s’en était aperçue, et finit par se lever, l’air un peu gêné.
— Bon, moi, je vais prendre un taxi, je suis fatiguée et je dois réviser demain, tu fais quoi Timmy ?
En guise de réponse, l’Australien sauta dans la piscine en criant. Mégane, Marie et Céleste, qui n’avaient gardé que leurs sous-vêtements, plongèrent presque immédiatement et aspergèrent Clémence. Peu amusée, la jolie blonde interrogea une seconde fois Timmy, lequel expliqua qu’il rentrerait plus tard par ses propres moyens.
— Faut vraiment que je rentre, sinon je sens que ça va déraper... ironisa Clémence en partant.
Stan, qui était resté seul, encore habillé sur le canapé, fut aspergé à son tour. Il ne savait plus où se situer. Trois filles en sous-vêtements ondulaient dans l’eau, à quelques mètres. Jamais il ne s’était retrouvé dans une telle situation, stress et excitation animaient tout son être. En lui lançant de l’eau, Marie lui demanda ce qu’il fait encore au sec. Stan prétexta l’absence de maillot de bain.
— Fais comme moi, mets-toi en boxer mec, répondit Tommy, dont le tissu blanc était devenu presque transparent au contact de l’eau, laissant deviner un membre de bonne taille et de volumineux testicules.
Stan pensa à son érection, désormais à son paroxysme. Il argumenta en s’inventant un coup de froid, salua tout le monde rapidement et s’éclipsa à son tour.Mégane et Céleste n’avaient même pas fait attention à son au revoir. Les deux compagnes, assises sur les marches de la piscine, s’embrassaient avec passion. En partant, Stan se retourna. Timmy et Marie s’arrosaient en riant. A peine avait-il passé le portail que de l’autre côté de la maison, sa bien-aimée saisissait le pénis de Timmy à deux mains.
Quelques jeux de regard avaient suffi à la jeune fille pour capter l’attention du bel Australien. Avoir l’avoir sorti de l’eau, Marie le poussa sur le divan. Les jambes écartées, son sexe veineux pointait fièrement le ciel. Il était de caille convenable. Timmy se laissa faire.Pendant que Marie aspirait goulûment les 17 centimètres, Mégane avait péniblement sorti Céleste de la piscine. Titubant, les deux jeunes femmes disparurent à l’intérieur.
Après s’être assurée de disposer d’un membre bien gonflé, Marie décida qu’il était temps d’aller baiser ce fougueux étalon qui tombait à point. Dans un dernier coup de langue, elle se leva en direction de la chambre. Tommy la suivit et se frotta les yeux, comme s’il allait se réveiller. Sur le lit, entièrement nues, Mégane et Céleste se léchaient en 69. Superposées, leurs peaux bronzées ne faisaient plus qu’une.
Marie poussa Timmy sur le lit, perturbant légèrement cette leçon de sexe oral pratiquée par deux lesbiennes en furie. Timmy ne savait plus où donner de la tête et commençait à se masturber. Marie lui saisit les mains, les guidons vers chatte et ses seins. Deux doigts de fer se glissèrent maladroitement en elle. Marie grimaçait, Timmy ne se montrait pas des plus délicats. À quelques centimètres, à cheval sur sa copine, Mégane le remarqua en moins de trente secondes et saisit la main du jeune homme.
— Laisse-moi faire, lança-t-elle en insérant immédiatement trois doigts en Marie, le pouce traçant des cercles sur son clitoris brûlant. Preuve de son efficacité incroyable, elle parvenait tout autant à lécher Céleste avec la précision d’un orfèvre.
Marie remarqua, en dessous, que sa cousine n’utilisait plus sa langue, ni même ses doigts. Elle n’était tout simplement plus capable de se concentrer sur Mégane, complètement absorbée par la qui traversait son intimité. Céleste se cambra à trois reprises et commença à gémir bruyamment. Les entrailles en chaleur, Marie se dressa au-dessus de Tommy dans une position similaire. Elle avait sa chatte bien calée sur la bouche du jeune homme, et dictait le rythme. Tommy n’avait la main, ni sur le cunnilingus qu’il prodiguait ni sur les coups de gorge qu’il recevait sur son gland.
Céleste hurla. Ivre d’alcool et de plaisir, elle tenta péniblement de retrouver ses lunettes, mais ne réussit qu’à s’endormir aussitôt. Mégane releva la tête, le visage trempé des effluves de sa copine. Sans même prévenir, Marie se redressa et offrit la langue de Tommy à sa voisine.
Agenouillée au pied du lit, sans avoir lâché ce sexe venu du bout du monde, Marie observait la scène avec excitation. Mégane avait enjambé la tête de Tommy. La copine de sa cousine s’était agrippée à la tête de lit et lui présentait son intimité. Elle commençait déjà à onduler au rythme des premiers coups de langue du jeune australien.
La bouche pleine, Marie chercha Tommy du regard, mais n’avait désormais vu que sur le magnifique postérieur bronzé de son amie. Après une ultime léchouille sur le bout gorgé de sang, Marie se redressa, fouilla la table de nuit et y dénicha un préservatif. Passant les bras autour de Mégane, toujours agrippée à la tête de lit, elle lui attrapa les seins et lui baisa le coup. Elle chevauchait à présent Tommy, qui avait repris la main sur son sexe pour y enfiler la protection de latex.
La bouche presque étouffée par l’intimité de Mégane, son engin dressé comme un roc, prêt à voir s’y empaler la chatte trempée de Marie, Tommy se demandait dans quel pays merveilleux il pouvait bien avoir atterri. Après avoir stimulé le clitoris de Marie avec son gland, il laissa la jeune fille le glisser en elle. Un râle de plaisir s’échappa de la bouche de Marie, à peine remise des à-coups sur sa glotte. Elle voulait profiter de chaque centimètre de cette bite et l’inséra au plus profond d’elle-même. Toujours dos à elle, Mégane commençait à gémir.
Sur le côté, encore somnolente, Céleste semblait avoir repris une once d’esprit. Pas assez pour se mêler à la scène torride, mais suffisamment pour en profiter du coin de l’œil, deux doigts fourrés dans la chatte. Dans un sursaut, elle parvint à sortir du lit et quitta la pièce en titubant.
— Faut que j’aille pisser, c’est où déjà tes toilettes...— Deuxième à gauche... répondit Marie sans se retourner, occupée par le rythme infernal qu’elle imposait à Tommy.— Attends deux minutes... J’arrive ma chérie, lança Mégane entre deux gémissements. Les coups de langue de Tommy portaient leurs fruits. Serrant fort les portants du lit, elle se laissa aller, et laissa échapper un intense gémissement de plaisir.
Satisfaite, elle s’empressa de rejoindre Céleste. Laissée seule avec Tommy, Marie ne s’en soucia guère, concentrée sur sa quête de plaisir. Ses mains désormais plaquées sur les épaules du jeune homme, elle dictait absolument tout, comme une cavalière sur son étalon. Elle avait toujours aimé cette position, cette hauteur de regard qui lui permettait d’astreindre son allure. D’un geste rapide, elle saisit la main droite de Tommy, exigeant de ses doigts qu’ils stimulent son clitoris.
Après dix bonnes minutes à se laisser baiser, le garçon lui suggéra de changer de posture, visiblement gêné par ce tempo rigoureux. Marie, qui gémissait de plus en plus, maintint quelques instants son emprise, s’appuyant plus fermement sur ses épaules, presque incapable d’abandonner sa situation dominante. En quête de répit, le visage crispé à chaque nouveau coup de bassin, Tommy insista pour passer au-dessus. A contrecœur, Marie s’exécuta.
Sur le dos, les jambes relevées vers les épaules, elle offrait toute son intimité aux volontés de son amant. La jeune fille avait connu bien meilleur, mais le jeune Australien semblait faire de son mieux et elle s’en contentait largement. Le visage rougi par l’effort, les muscles saillants, il variait les rythmes. Ses énormes testicules frappaient les fesses de Marie dont les cris étaient toujours plus insistants.
Sentant le plaisir monter, elle agrippa ses mains aux draps... Tommy, lui aussi, commençait à gémir avec insistance, sa respiration encore plus effrénée...
— Ne t’arrête pas ! supplia Marie. Elle le sentait, il ne lui manquait qu’une minute, peut-être deux pour exploser.— Faut que je ralentisse...
Tout juste sa phrase terminée, Tommy s’affala de tout son poids sur la jeune fille, dans un cri rauque, les traits déformés par l’orgasme. Les va-et-vient cessèrent presque instantanément.
— Ooooooooh... sorry... J’ai fini, expira Tommy, le visage davantage satisfait que désolé, face à la jeune fille qui tentait péniblement de continuer à remuer le bassin, à la recherche de dernières sensations. Dépitée, elle sentit le pénis du jeune homme se ramollir et se retirer de sa chatte trempée. Pour la deuxième fois en moins d’une journée, les portes du nirvana se refermaient sous ses yeux.
Tommy semblait ravi de sa jouissance. Le réservoir en latex était rempli de semence.
— Tu es difficile à contenter, ça faisait vingt minutes que j’y étais, plaida-t-il.
Le jeune homme retira le préservatif gluant, le noua et s’affala sur le côté.
— On n’aurait pas dû changer de position, je n’étais vraiment pas loin tout à l’heure... Tu te sens prêt à recommencer ?
Tommy fixa son membre ramolli. Un silence gênant s’installa quelques secondes.
— Il y a un bus de nuit dans un quart d’heure, si tu te dépêches, tu peux rentrer chez Clémence à temps, intima Marie, dont le plaisir montant avait laissé place à une intense frustration.
L’air vexé, Tommy ne chercha pas à négocier. Il épongea le sperme de son sexe et se rhabilla sans un mot. Il se dirigea vers la porte.
— La capote ne va pas se jeter toute seule, fit remarquer la jeune fille. Tommy pesta en anglais, dans un murmure que Marie ne sut traduire, puis obéit, laissant sa partenaire allongée sur le lit, vagin encore dilaté, les membres en étoile de mer.— J’ai besoin d’un verre.
Elle se dirigea vers la cuisine, pensant y retrouver Céleste et Mégane. A son arrivée dans la salle à manger, son attention se porta sur des bruits venus du jardin. Après s’être vêtue d’une couverture qui traînait sur le canapé, elle franchit la porte vitrée.
Complètement nues dans la piscine, Mégane et sa cousine, qui avait l’air d’avoir retrouvé ses idées claires, s’embrassaient avec passion. Pour un début de mois de mai, l’air était doux.Délimité par d’imposants thuyas, le jardin n’offrait aucun vis-à-vis aux voisins. Les filles avaient pris la peine d’allumer l’éclairage immergé sous le bassin. Les lumières brillaient et, transposées à l’onde de la surface, se confondaient en ombres sur leurs visages. Elles étaient belles.Une bouteille de vodka aux deux tiers vide traînait sur le rebord. Aussi assoiffée que tendue, Marie fit tomber la couverture puis se glissa dans l’eau tiède. Elle attrapa la bouteille et but quelques gorgées.
— Bah alors, qu’est-ce qui t’arrive ? gloussa Céleste.— Il est passé où l’étalon ? renchérit Mégane.— M’en parlez pas, je n’ai pas eu le temps de finir avant lui... Vous ne pouvez pas savoir à quel point ma chatte me démange...
Un regard complice traversa les yeux de Céleste et Mégane. En deux brasses, les deux jeunes femmes glissèrent sur l’eau et se portèrent à la hauteur de Marie.
— Qui a dit que la nuit était terminée ma chérie ? Je reviens tout de suite, susurra Mégane en lui mordillant l’oreille. Sur ces mots, elle sortit de l’eau, lançant un clin d’œil malicieux à Céleste.— On va reprendre là où on en était tout à l’heure... J’avais juste besoin d’une petite pause. Tu vas voir qu’on n’avait pas besoin de lui, sourit sa cousine, en l’aspergeant avec malice.
Les deux jeunes femmes s’embrassèrent avec vigueur, dans des effluves d’alcool et de chlore. Céleste prit la main de Marie. Et l’entraîna sur le canapé de jardin. Portée par un désir ardent, celle qui s’était montrée si dominante face à Tommy se laissait complètement guider.
Assises sur le matelas, les deux cousines se faisaient face. Le rugueux blouson de Stan, qui traînait là, vola sur l’herbe. Céleste caressa la joue de Marie, lui souleva une cuisse pour glisser la sienne en dessous. Les jambes déployées en ciseaux, leurs intimités n’étaient plus qu’à quelques centimètres l’une de l’autre. Incapable de se contenir, Marie saisit sa cousine par la taille pour combler ce vide. De part et d’autre du canapé, chacune débuta le va-et-vient, à la recherche du meilleur angle possible. Leurs corps se confondaient, encore humides du bain, trempés de sueur et de mouille.
Plus habituée à ce genre de posture saphique, Céleste guidait le rythme. Marie, en pleine découverte, s’arrimait à la cuisse de sa cousine, la chatte en ébullition. Jamais elle n’aurait pensé être autant stimulée dans une telle position. Les yeux fermés, elle ne s’aperçut du retour de Mégane qu’au moment où celle-ci s’agenouilla au pied du divan pour lui lécher le cou.
— Maintenant, c’est tout pour toi ma belle, tu vas voir qu’aucune bite n’est indispensable, murmura Mégane. Céleste avait desserré son étreinte.
Le souffle encore court, la respiration de Marie se bloqua de stupeur lorsque Mégane se redressa. Monté sur une ceinture en similicuir noir, un immense godemichet pendait à son entrejambe. Marie n’en croyait pas ses yeux. Non seulement l’engin arrivait presque à mi-cuisse, mais son diamètre était impressionnant. Le genre qu’on trouve dans les rayons les plus obscurs des boutiques spécialisées, pensa-t-elle.
Sans parler, elle se redressa. Assise sur le divan, elle faisait face à Mégane. Elle tendit la main en direction du gland et fut frappée par le réalisme de la texture. Céleste, allongée à côté de Marie, posa sa tête contre sa cuisse, comme pour la rassurer. Elle caressait le dos de sa cousine d’une main et se touchait de l’autre.
Mégane s’approcha un peu plus et empoigna l’engin. Sa largeur était telle qu’elle ne pouvait complètement refermer sa main. Instinctivement, Marie écarta les cuisses. Elle ne pouvait détourner le regard de ces 25 centimètres de silicone.
— Ça ne va jamais rentrer, songea-t-elle.— Si je peux le prendre, il passera aussi avec toi, murmura sa cousine, comme si elle avait lu dans ses pensées.— Je crois même qu’on ne va pas avoir besoin de lubrifiant, gloussa Mégane.
Le corps tout entier de Marie réclamait la pénétration. Son esprit était comme déconnecté. Trempée comme jamais, elle écarta les jambes, aussi loin que sa souplesse le permettait. Céleste lui installa un coussin sous la nuque.Deux pas séparaient désormais l’extrémité du gode du jardin humide de Marie.
— Vas-y doucement...
Elle fut la première surprise. Sa chatte, lubrifiée au possible, paraissait attendre un engin de cette taille depuis toujours. Après une légère douleur à l’entrée, Mégane se glissa dans les profondeurs de Marie. Perpendiculaire à sa cousine, Céleste entreprit de lui titiller le clitoris du bout de la langue.
Marie souffla de plus en plus fort, elle se sentait remplie. Elle gémit de plus en plus haut, sondée par cet objet nouveau. Son vagin était totalement étiré, charmé par la texture ultra-réaliste du gode. Chaque friction occasionnait de nouveaux sons toujours plus aigus dans sa bouche. Un nouveau recoin était exploré par chacune des incursions dans son vagin de jeune adulte.
Gênée par l’allure imposée par le cardio de Mégane, Céleste retira sa langue. Elle siffla une nouvelle gorgée de vodka et s’allongea sur l’herbe, délectée par la scène. Son majeur tapotait la paroi rugueuse de son vagin, suivant le tempo du monstre de silicone et elle avait l’impression de se toucher devant un porno.
Pour éviter de réveiller le quartier, Marie étouffa ses premiers hurlements dans un cousin. Son amie n’eu besoin que d’une position et très exactement six minutes pour la combler. Des semaines sans sexe et deux plaisirs manqué aujourd’hui se libéraient sous les coups de butoir de Mégane. Après une dernière séquence qui lui parut monter pendant un temps interminable, Marie se cabra. Son corps tout entier fut secoué de soubresauts. Chacun d’entre eux entraîna une pluie de cyprine sur le matelas, que Mégane, après s’être retirée en douceur, s’empressa de lécher avec avidité.
Marie repris ses esprits. Elle n’avait pas autant joui depuis des mois. Passant ans problème quatre doigts dans son vagin sirupeux, elle constata que ses petites lèvres enflaient déjà, assommées par les stimuli. La jeune fille se demandait quelle bite pourrait bien la combler à ce point. Sa chatte, marquée au fer rouge, avait désormais de standards élevés à respecter.
— Faut que j’aille aux toilettes, lâcha-t-elle, encore dans les vapes.— Attend, attend.
Mégane venait de la stopper dans son élan et lui faisait les yeux doux. Elle ressemblait à un chaton affamé, le gode à la ceinture en plus.
— J’ai bien droit à une petite récompense.
Bouche en cœur, elle s’allongea sur le sol, la tête calée sur un coussin, la tête entre les pieds de Marie.
— Accroupis-toi maintenant, dit-elle.
Marie se retourna, stupéfaite.
— Tu ne veux pas que...— J’ai soif, j’adore ça.
Partagée entre l’envie et le tabou, aussi choquée qu’intriguée, Marie plia les genoux et porta son intimité au niveau de la bouche de Mégane. Elle inspira profondément et se laissa aller. Un premier jeu aspergeât le visage de son amie. D’un coup de bassin, elle ajusta sa cible.
Les gouttes que Mégane ne parvenait à capter ricochaient sur son visage et coulaient le long des jambes de Marie. La bière avait fait son effet et Marie pissa près d’un demi-litre. Une fois soulagée, Marie regarda le ciel. L’aube pointait déjà. Mégane se leva et détacha le pénis de silicone.
— Tu veux essayer la mienne ?
Elle venait tout juste de poser la question qu’un abondant jet d’urine s’écoulait déjà de sa chatte. Portant la main à son entrejambe, elle tendit deux doigts trempés à Marie.La jeune lycéenne hésitait...
— Je crois que j’ai déjà testé un truc assez inédit comme ça pour ce soir.
Avant de répondre, Mégane s’approcha et lui vola un baiser. L’urine avait cessé de couler.
— T’as raison, ça laisse des surprises pour les prochaines fois, roucoula-t-elle.
Sur ces paroles, elle l’embrassa une dernière fois. Les deux amantes prirent chacune Céleste par le bras, pour monter se plonger dans ceux de Morphée.
Moins d’une heure plus tard, l’air matinal, Stan poussa la porte d’entrée. Comme il s’en doutait, tout le monde était bien trop ivre pour avoir pensé à fermer. Il se glissa à pas feutrés dans la salle à manger, puis franchit la porte vitrée arrière. Une fois sur la terrasse, déambula à la recherche de son divan. Une odeur âcre émanait des coussins. Le sol était jonché de bouteilles de bière.
Stan s’attarda sur les sous-vêtements des filles disséminés un peu partout. Un bord de la piscine, il reconnut la culotte bleue de Marie. Après s’être assuré que personne ne pouvait le voir, il saisit la dentelle et respira toutes les coutures, à la recherche des odeurs secrètes de Marie. Après quelques secondes à s’imprégner de ce mélange de sueur, de cyprine et d’eau chlorée, prit soin de reposer la culotte puis repéra son blouson.Le vêtement gisait au sol, quelques mètres plus loin. Stan le dépoussiéra et retourna dans la maison.
En jetant la capsule du café qu’il venait de couler, il remarqua un sachet gluant collé à la paroi du sac-poubelle. Sa gorge se serra lorsqu’il identifiait le préservatif.
— Bah qu’est-ce que tu fais là ?
Marie, alertée par le bruit, était descendue en vitesse. Vêtue d’un simple peignoir, ses cheveux défaits assombrissaient un peu plus ses yeux fatigués. Elle boitait légèrement. Stan montra son blouson.
— Ah oui désolé, on l’a laissé traîner dehors, bailla Marie, rassurée. En remontant se coucher, elle salua Stan de la main. La ceinture du peignoir se détendit un peu, laissant entrevoir la moitié d’un téton au jeune homme.
Dès qu’il fut sorti, Stan courut aussi vite qu’il put. Arrivé chez lui, et s’effondra sur son lit et secoua son pénis entre ses doigts, l’excitation au summum. En moins d’une minute, ses couilles se vidèrent, comme elles avaient peu giclé auparavant. Jamais il n’avait senti une chatte d’aussi près... Jamais il n’avait été aussi proche d’apercevoir un sein.
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