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De la vierge à la salope (suite)

Chapitre 1

Albert

Hétéro
Norbert était rentré de son service militaire. J’étais un peu bloquée. Plus de sortie à la recherche de beaux mecs bien membrés. Cela me manquait. Maintenant que j’avais découvert ma personnalité profonde (j’aimais le sexe, moi qui étais arrivée vierge au mariage), j’avais envie de baise.
J’avais besoin de quelqu’un pour m’aider dans mon salon de coiffure. Je passai une annonce dans un journal spécialisé, et ne voulant pas être dérangée pendant mes jours d’ouverture, je fixai un rendez-vous aux personnes intéressées pour le lundi.
Le jour dit, j’attendis mon futur employé(e).Ce fut un défilé, filles, garçons et ne fus pas emballée. La porte s’ouvrit à nouveau et je sus tout de suite que ce serait lui: grand, brun, beau gars. Il était vêtu d’une chemise blanche qui mettait son teint mat en valeur, et d’un pantalon tellement moulant que l’on distinguait nettement sa bite.
Pendant qu’il me présentait son CV, mon regard ne quitta pas le renflement au niveau de sa braguette. Je m’étais jurée de ne pas mélanger plaisir et travail, d’autant plus que cet employé serait amené à voir mon époux, mais...
Albert, c’était son nom, se rendit compte de l’effet qu’il me faisait et continua à parler de sa voix grave et sensuelle.Je me ressaisis et lui demandai de faire une démonstration de son savoir. Il entreprit de me laver la tête; ses mains étaient douces et ses gestes caressants. Je me laissai aller. Dans la position où j’étais pour le shampoing, il put voir que je ne portais pas de soutien-gorge. D’ailleurs sous ses caresses, mes tétons se dressèrent, tendant mon chemisier. Je sentis ma chatte s’ouvrir.
L’essai fut doublement concluant et je l’embauchai aussitôt. Je savais qu’il allait me baiser un jour où l’autre.Je fis des efforts d’élégance, mais, sans m’en rendre compte, je fus dans la provocation. Jupes courtes, chemisiers transparents et très décolletés, talons hyper-hauts. Et bien sûr pas de dessous, si ce n’est bas et porte-jarretelles. Toujours très maquillée.
Albert ne s’y trompa pas. Dès le début, il ne cessa de me faire des compliments sur ma beauté et mon corps splendide. Je le laissai dire, plutôt flattée. Mais, comme je prenais ses paroles à la blague, il s’enhardit peu à peu.Ses allusions devinrent de plus en plus précises. Il me complimentait sur ma bouche de pipeuse, mon cul qui ferait bander un mort.Il s’arrangeait toujours pour me frôler. Il me disait ce qu’il avait envie de me faire: me bouffer la chatte, les tétons, le cul.Il ne pouvait pas ne pas savoir que toutes ces paroles m’excitaient. Le soir à côté de Norbert qui dormait, je pensais à tout ce qu’il m’avait dit. Je voyais sa langue m’écarter mes petites lèvres, s’attaquer à mon clito, et je jouissais sans avoir besoin de me toucher.
Albert s’enhardit, devant mon manque de réactions et se fit de plus en plus direct. Me vantant la taille de son sexe. Son leitmotiv était : « quand on y a goûté, on ne peut plus s’en passer ».
J’aurais pu le remettre à sa place, le renvoyer, mais quelque chose m’en empêchait, et ceci l’encouragea. Il fallait dire qu’il m’excitait.J’eus beau lui dire que j’aimais mon mari, que je ne voulais pas le tromper, en bon dragueur, il contra tous mes arguments.
Nous savions tous deux, inconsciemment, comment cela allait finir.Tous les prétextes étaient bons pour me caresser, me toucher. Quand il me lavait la tête, il me massait longuement. Ses mains étaient douces, je les imaginais me caressant, et je mouillais. Parfois, le jet atterrissait sur mes seins et Albert s’empressait de m’essuyer avant que j’aie pu réagir. Ses mains s’attardaient sur ma poitrine plus qu’il n’était nécessaire. Je laissais faire et ma chatte, elle, réagissait. Je savais qu’un jour, malgré toutes mes résolutions, je lui cèderai.
Ce jour-là, il fut plus insistant que d’habitude. Au fil des mois, il avait pris des libertés. A chaque fois qu’il passait derrière moi, il s’arrangeait pour me frôler. Il s’arrêtait un moment pour faire un commentaire sur la coiffure de ma cliente et je ne sais s’il bandait en permanence, mais à chaque fois je sentais sa queue entre mes fesses. Je n’en pouvais plus. Dès que la cliente fut partie, je lui proposai de venir le lundi suivant à la maison. Pour marquer son accord, il me prit dans ses bras, sa bouche se posa sur la mienne et sa langue força mes lèvres.
Ce premier baiser marqua ma capitulation. Le jour J était arrivé. J’hésitai longuement sur la manière de m’habiller et de me maquiller. J’allais replonger dans mes fantasmes, il y avait longtemps que je me comportais comme une bonne épouse fidèle, trop longtemps. Il me fallait une bite. J’optai pour un maquillage provocant, qui agrandissait encore ma bouche. Jupe courte, chemisier noué sous les seins, pas de dessous, hormis porte-jarretelles et bas.
Plus l’heure avança, moins je fus à l’aise. Je commençai à regretter d’avoir cédé, d’avoir mis de côté mes bonnes résolutions (ne pas mélanger sexe et boulot). J’étais décidée à dire à Albert que je ne voulais plus, mais mon corps disait le contraire.
A l’heure dite, il fut là. Je n’eus pas l’occasion de lui dire quoi que ce soit. Il me prit dans ses bras, sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força mes lèvres. Je m’abandonnai, soulagée de me laisser guider.
Il me porta jusqu’à la chambre, sans qu’un mot n’ait été échangé.Albert me renversa sur le lit. Dans ce mouvement, ma jupe se releva, dévoilant ma chatte dénudée. Albert passa un doigt sur mon con.
— Salope, tu n’as pas de culotte et tu es toute mouillée, tu es déjà prête.
Il avait raison, malgré mes réticences de dernières minutes, j’étais prête. La salope reprenait le dessus, s’offrant sans pudeur. C’était vrai, je mouillais et ma chatte s’ouvrit. Mon amant s’empara à nouveau de ma bouche, sa langue força mes lèvres et je la suçai comme une bite. Sa main parcourut mon corps, pinçant mes tétons et les tordants. Je suis très sensible des seins et ce traitement me fit perdre toute retenue. La main de mon amant atteignit ma chatte, son doigt écarta mes petites lèvres, s’insinua dans mon con tandis que son pouce branla mon clito. Je jouissais comme une folle et je voulais de la bite, mais Albert continua à jouer avec mes sens. Il me voulait suppliante, réclamant sa queue, réclamant cette pénétration que je lui avais refusée si longtemps.
Il défit sa ceinture et baissa son pantalon. Je restai bouche bée devant la taille de son braquemart. Je m’en saisis et pus à peine en faire le tour. Il n’avait pas menti. Sa bite était telle que je l’avais imaginée. Longue, épaisse, avec un gland énorme. En manque depuis un mois, je salivai devant ce braquemart, bien plus gros que celui de Norbert. Mes tétons se mirent à bander, ma chatte me démangea. Cependant, malgré l’envie de me faire baiser qui me tenaillait, j’eus encore des scrupules. Mais il était trop tard et allongée sur le lit, la chatte offerte, je m’abandonnai.
Albert approcha sa bite de mes lèvres :
— Suce-moi!
Je n’eus qu’un instant d’hésitation. J’en avais trop envie. Je me laissai tomber à genoux, m’emparai de sa pine. Je lui léchai le gland. Il était énorme et je l’imaginai me forçant la moule ou le cul. J’en jouissais d’avance. J’engloutis la bite d’Albert. Mes mâchoires distendues me firent mal, mais je m’appliquai à bien le sucer. Mes lèvres coulissèrent sur sa colonne, ma langue le caressa, je lui léchai les couilles. J’essayai de l’avaler le plus loin possible, mais sa taille impressionnante m’empêcha d’aller jusqu’au bout. Sa queue glissa sur ma langue, jusqu’à la luette, puis la faisant ressortir, je lui aspirai le gland tout en le branlant. Albert ne put se retenir longtemps à ce régime, il se mit à jouir brusquement, me lâchant de longues giclées de foutre que j’avalai avec délice. Il semblait ne plus pouvoir s’arrêter. Ce sperme qui m’emplit la bouche, glissa le long de ma gorge et me déclencha un premier orgasme.
Albert ne fut pas calmé pour autant et sa queue était restée raide.
— Mets-toi à quatre pattes, je vais te défoncer la chatte.— Oui mon chéri, viens me prendre avec ta grosse pine, baise-moi à fond, j’en ai trop envie.
Il ne demandait que cela. Il s’installa derrière moi. Son gland appuya sur mon minou. Je sentis son mufle forcer l’entrée de ma chatte, mes lèvres s’écartèrent sous sa poussée. Bien que très excitée et malgré la mouille qui lubrifiait ma connasse, il eut du mal à me pénétrer. Il procéda par petits coups de reins, écartant à chaque fois un peu plus les parois de mon vagin. Enfin, il fut tout en moi. Je sentis ses couilles sur mes grandes lèvres. Il arrêta un instant ses mouvements pour m’habituer à sa taille. Ma chatte épousait étroitement les contours de sa bite. J’étais comblée. Son zob m’emplit toute, je ne fus plus qu’une chatte autour d’une pine. Albert commença à limer doucement, se retirant complètement avant de me renfiler à fond. A chaque fois, je ne pus retenir un hurlement de jouissance. Je coulais en permanence, je jouissais sans arrêt.
— Oh oui mon amour ! Défonce-moi avec ta grosse bite. Jamais je n’avais été remplie comme cela. Baise-moi fort, fais-moi mal.
Albert accéléra le mouvement. A chaque coup de bite, il me heurta la matrice. En même temps, il me tordit les tétons. La douleur ajoutée à ses coups de boutoir me fit hurler ma jouissance comme une chienne. En même temps, il me fourra un doigt dans le cul, le fit tourner, il en enfonça un deuxième, puis un troisième. Je sentis où il voulut en venir. Il se retira. Je ressentis un grand vide.
— Oh non ! Encore, baise-moi, fourre-moi ta grosse bite.— Je vais t’enculer salope. Te défoncer le cul.
Bien qu’habituée depuis quelques mois aux gros calibres, j’eus quand même un peu peur, n’ayant pas été enculée depuis quelques semaines.
— Non tu es trop gros, tu vas me faire mal.
Albert n’écouta pas mes protestations. Il me saisit les fesses et m’écartant le cul, il appuya son gland sur ma rosette. Malgré mes protestations et mon inquiétude, au fond de moi je voulais qu’il me défonce. Je me cambrai davantage et tendis mon cul en l’écartant pour lui faciliter la tâche. Albert appuya de tout son poids mais malgré la souplesse de mon anneau, il eut du mal. Je sentis ma rosette se dilater sous la poussée, elle s’écarta lentement, mais ne céda pas. Soudain le gland passa l’obstacle. J’eus l’impression d’être fendue en deux. Je poussai un cri de douleur, mais Albert continua, forçant mes intestins qui s’écartèrent au passage du monstre. Il ne s’arrêta que lorsque ses couilles battirent ma moule. Il m’avait mis ses trente centimètres dans le fondement. J’étais pleine de sa grosse bite et il commença à limer. Au bout de quelques allers retour, mon cul s’était fait à son diamètre et sa bite me ramonait si bien que la jouissance commença à surgir.
Le salaud sortit presque complètement la queue, puis me l’enfonça d’un coup. Je jouis sans arrêt. Je jouis comme une folle. Je ne pensai à Norbert, que pour comparer sa bite à celle d’Albert. Il ne gagna pas au change. Albert se redressa la bite toujours au fond de moi, et se mit face au miroir.
— Regarde-toi salope, regarde ton cul comme il est ouvert et ta moule qui bâille.
Il est vrai que la vision était excitante. Elle déclencha notre jouissance. Albert me lâcha son foutre qui m’emplit le cul. Il éjacula à longs jets, déclenchant des cris de jouissances. Il décula enfin, je restai ouverte, cuisses écartées, la chatte béante. Son foutre se répandit sur le lit.
— Isabelle avait raison, tu es une vraie salope.
Je restai bouche bée. Ainsi ce fut Isabelle qui l’avait envoyée. Je l’avais un peu évitée ces derniers temps, alors elle tentait de remettre la main sur moi. Albert est parti. Depuis son arrivée ce matin à 10h, il n’avait cessé de me baiser. J’étais pleine de foutre et j’avais encore le goût de son sperme dans la bouche. Ma chatte, mon cul étaient dilatés et pleins de sperme. J’en avais sur tout le corps. Après cette jouissance incessante, je fus un peu contrariée. Albert n’allait-il pas se croire tout permis ? Que faire ? J’étais à sa merci. Je pris une douche en vitesse avant l’arrivée de mon époux. Je ne voulais pas qu’il me vît dans cet état. Déjà qu’il était difficile de cacher mes yeux cernés et mes orifices dilatés. Dès le repas terminé, je prétextai une grande fatigue pour aller me coucher.Impossible de dormir. Je sentais sur moi les mains et la langue d’Albert. Je ressentais la présence de sa bite dans ma chatte et dans mon cul. J’eus un orgasme sans me toucher.
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