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De la vierge à la salope (suite)

Chapitre 3

Albert cocu à son tour

Orgie / Partouze
Après le réveillon mouvementé, Norbert n’a qu’une idée. Cocufier Albert. Un soir, il me dit :
— Tu vas inviter Albert et Marie-France dimanche.
J’essaye de savoir ce que mon époux a en tête, mais il reste à bouche cousue.Le dimanche arrive. Norbert a choisi ma tenue. Kilt court, chemisier transparent, qui ne ferme que par 2 boutons. Bas, escarpins, et bien sûr pas de dessous comme d’habitude.On sonne. Je vais ouvrir.Albert me regarde, étonné de ma tenue, Marie-France encore plus, bien qu’elle-même soit vêtue de façon sexy. Mini-jupe, tee-shirt très décolleté.Nous passons au salon.Norbert a préparé un punch très corsé. Discussion, un deuxième verre, Marie-France se laisse un peu aller. Elle rit à toutes les blagues de Norbert. Celui-ci se penche à son oreille pour lui dire je ne sais quoi, nouvel éclat de rire.
Albert regarde, étonné, il ne dit rien, mais il m’interroge du regard.Je me laisse aller en arrière, contre le dos du fauteuil, j’écarte les cuisses en lui souriant. Il a une vue imprenable sur mon con qui bâille, humide de cyprine.Nous passons à table.Je m’installe à côté d’Albert, Norbert près de Marie-France.Le repas se déroule de la même manière, Norbert remplit le verre de Marie-France, il est sans cesse penché vers elle, lui murmurant à l’oreille des trucs osés je pense, car Marie-France rougit en jetant un œil vers Albert.
Norbert passe son bras autour du cou de Marie-France, sa main descend vers son décolleté, il s’introduit sous le tee-shirt, sa main atteint le sein, Marie-France sursaute, mais elle ne dit rien. Je sens Albert se raidir, alors ma main disparaît également sous la table, je m’empare de sa bite et lui murmure à l’oreille.
— Chut chéri, laisse faire.
Norbert caresse le sein de Marie-France, elle a fermé les yeux, mais ne dit rien. Norbert lui murmure quelque chose à l’oreille, elle refuse, Norbert insiste. Alors, elle se trémousse, ses mains ont disparu sous la table, elles réapparaissent. Marie-France a sa culotte à la main, Norbert s’en empare, il la sent.
— Tu sens bon.
Sa main disparaît sous la table, Marie-France sursaute.
— Tu as bon goût.
Albert n’en croit pas ses yeux. Voir Marie-France s’abandonner de la sorte, il n’y croit pas. Cependant que peut-il dire, après ce que nous faisons ?Norbert se lève :
— Tu viens chérie, nous allons préparer le dessert.
Direction la cuisine. Nous préparons ce qui sera le clou de la journée, le dessert.Retour dans la salle à manger.Sous les yeux ébahis de nos invités, le dessert apparaît.Imaginez : Une table roulante, assez grande pour que je puisse allonger dessus mon mètre 55.J’y suis, entièrement nue. Norbert a recouvert mes tétons et ma chatte de crème chantilly.
— Le dessert vous plaît ? À toi l’honneur Albert.
Celui-ci ne se fait pas prier, il vient vers moi. Sa bouche se pose sur ma poitrine, il suce mes tétons, dévorant la chantilly. Je suis très sensible des seins, ses premières caresses me font déjà mouiller.Mes cuisses s’écartent. Albert s’attaque alors à mon con. Sa langue s’introduit entre mes lèvres, absorbe mon jus mêlé de chantilly, remonte vers mon clito, je n’en peux plus, je m’écarte au maximum, lui offrant ma chatte, j’ai envie de sa bite. Mais Norbert en a décidé autrement.Il écarte Albert, me remet une dose de chantilly.
— A toi Marie-France.
Celle-ci hésite.
— Viens goûter au dessert, je suis sûr qu’il va te plaire.
Albert l’encourage. Alors elle s’approche timidement de la table. Sa bouche se pose sur mes seins, sa langue parcourt mes tétons, léchant la chantilly. Elle veut se relever, mais Norbert dirige sa tête vers ma chatte. Après une hésitation, timidement sa langue vient lécher ma moule. Puis elle s’enhardit, elle me fouille le con avec passion. Je m’écarte pour mieux m’offrir. Oh, qu’elle est bonne cette langue qui s’insinue partout, cette bouche qui me suce le clito.
Albert ne tient plus, il me présente sa bite que j’absorbe avec délice. En attendant de l’avoir dans ma chatte, je veux bien le sucer.Marie-France est toujours inclinée sur ma chatte. Il y a longtemps qu’il n’y a plus de chantilly, mais elle continue de me bouffer la moule avec entrain.Norbert en profite, il se place derrière elle, la saisit aux hanches, et l’empale d’un coup. Elle est tellement mouillée que la bite s’enfonce jusqu’aux couilles. Marie-France pousse un cri de surprise et de plaisir, mais elle reprend vite ma chatte.
Ainsi, sous les yeux d’Albert, Norbert défonce la chatte de sa petite amie.Norbert s’active dans la chatte de Marie-France, je m’active sur la bite d’Albert. Nous sommes partis pour un après-midi mémorable.La langue de Marie-France me fouille le con. Il y a longtemps qu’il n’y a plus de chantilly, mais la salope y a pris goût. Sa langue se glisse entre mes lèvres, elle aspire mon clito, je ne vais pas tarder à jouir, Albert aussi est au bord de l’explosion. Je sens sa bite enfler, son foutre jaillit et m’envahit la gorge, j’avale consciencieusement, mais j’en garde un peu, saisissant Marie-France par les joues, je m’approche d’elle, mes lèvres se posent sur les siennes, elle les écarte pour répondre à mon baiser. Alors, je laisse couler dans sa bouche le sperme d’Albert que j’ai conservé. Marie-France est surprise.
— Avale le foutre de ton mec.
Elle déglutit et avale. Ceci déclenche son orgasme, provocant celui de Norbert qui crache son foutre au fond de la chatte de sa maîtresse.Nous sommes momentanément repus.Albert contemple Marie-France. Elle est un peu honteuse de s’être laissé aller de la sorte. C’est à moi de la maintenir dans ces bonnes dispositions, car la journée n’est pas terminée.Je la prends par les épaules et l’attire vers moi. Pour maintenir son excitation, ma main se pose sur son sein.
— Tu sais, Albert me baise depuis quelque temps déjà, et regarde mon homme, il n’est pas jaloux, au contraire, alors je crois qu’Albert va accepter de te voir baiser avec d’autres, et prendre ton pied. Je vais m’occuper de toi.
Marie-France est encore un peu réticente, mais je la sens frémir entre mes bras. Comme moi c’est une chaudasse. On va pouvoir en tirer quelque chose.Nos mecs recommencent à bander.Deuxième étape. Marie-France, comme moi, il y a quelque temps, refuse de sucer, alors je lui demande de sucer Albert. Elle refuse d’abord, mais j’insiste, alors timidement, elle approche sa bouche du braquemart de son mec, elle pose ses lèvres sur le gland, Albert est heureux, il va enfin pouvoir cracher son foutre dans la bouche de sa dulcinée. Marie-France ouvre les lèvres, elle engloutit la bite de son amant. Je lui prodigue mes conseils. Peu à peu, elle s’enhardit. Sa langue parcourt la queue, elle lèche le gland, ses lèvres coulissent le long de la colonne. Albert est aux anges, mais il est tellement heureux de baiser la bouche de sa petite amie, qu’il ne résiste pas longtemps, je le vois se crisper, alors je maintiens la tête de Marie-France :
— Avale tout.
Ce qu’elle fit courageusement. Albert l’embrassa tendrement. Norbert bandait toujours, la bite à la main, il attendait son tour.
— Il te reste une dernière épreuve Marie-France, tu seras ensuite prête pour devenir une vraie petite salope. Norbert va t’enculer.— Non, pas cela. C’est sale et cela fait mal.— En amour, rien n’est sale. De plus, Albert n’attend que cela, pouvoir t’enculer, mais comme il est un peu gros, il faut préparer ta rondelle. Tu verras, avec Norbert, cela va bien se passer. Il te faudra un peu de temps pour être bien ouverte, mais je vais m’en occuper. Tu sais, moi, pour ma première fois, c’est toute une caserne de pompier qui m’est passée dessus, j’ai vite été ouverte.
Norbert me regarde, l’air abasourdi, je ne lui ai pas encore tout raconté, je vais lui faire lire mes textes.Marie-France finit par se laisser convaincre. Je l’installe sur le canapé, à genoux. Je lui écarte les cuisses, sa chatte est encore béante, je crois que, malgré son appréhension, l’idée de se faire enculer la fait mouiller. Je lui lèche la rondelle, la mouillant copieusement, j’y introduis un doigt, puis deux, je les fais tourner pour agrandir sa rosette. Norbert présente sa bite à la future enculée.
— Mouille-la bien.
Marie-France ouvre la bouche, s’empare du braquemart de mon homme, le deuxième qui franchit ses lèvres. Elle l’humecte abondamment.Norbert se positionne, il pose son gland sur la rosette, et, sous les yeux d’Albert, il entreprend d’enculer sa petite amie. Marie-France se raidit.
— Ne résiste pas. Pousse comme si tu voulais chier.
Le gland franchit l’obstacle, la queue suit. Norbert est tout entier dans le cul de la belle. Marie-France pousse un léger cri, plus de surprise que de douleur. Norbert entame son va et vient, Marie-France commence à pousser des râles de plaisir. Elle va au-devant de cette bite qui la défonce. Soudain, Norbert se tend, il lâche son foutre qui inonde les entrailles de la belle enculée.Alors Marie-France pousse un cri de jouissance.C’est fait. Norbert a baisé et enculé la petite amie d’Albert. Ils sont quittes. L’avenir se révèle radieux pour nos couples. Il faut encore faire de Marie-France une vraie salope, mais ça, c’est mon job.Nous proposons à nos amants de passer la nuit à la maison. Le lendemain, nous ne travaillons pas, à part Norbert, et je veux aller faire quelques emplettes avec Marie-France, et autres choses, mais cela fera l’objet d’un autre récit.
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