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De la vierge à la salope (suite)

Chapitre 4

Orgie / Partouze
Après cette journée bien remplie, la nuit fut reposante.Le lendemain matin, après un solide petit-déjeuner, Norbert part au travail. Albert est resté avec nous. Il commence à nous reluquer, il a sorti sa bite en pleine forme et nous regarde avec des yeux plein d’envie. Marie France est prête à céder.
— Non ma chérie, lui dis-je, il faut nous préparer, nous avons plein de choses à faire aujourd’hui, il n’a qu’à se branler s’il a trop envie.
Direction la salle de bain. Douche.
— Viens Marie-France, je vais t’épiler le minou.
Elle proteste, pour la forme, mais finit par céder.Je l’installe confortablement sur une serviette, lui met de la crème dépilatoire sur le pubis, autour de la chatte, je la fais se retourner et lui enduis le tour de l’anus.Quand tout est sec, je tire sur la pâte, elle pousse un cri de douleur, mais c’est fait.Je lui montre l’effet devant le miroir.
— Tu vois comme tu es belle, toute lisse, on a envie de te bouffer la chatte.
Au cri que Marie-France avait poussé, Albert s’était précipité derrière la porte. Il s’inquiète de ce qui se passe. Je le rassure.
— Tu veux qu’il vienne voir ta chatte ?— Oui, mais je veux qu’il t’encule.— On n’a pas le temps.— Dis oui, fais-moi plaisir. Pendant qu’il t’encule, je veux que tu me suces la chatte.— OK.
J’ouvre la porte.

— Regarde ta nana, cette belle petite chatte toute lisse. Elle a quelque chose à te demander.— Je veux que tu encules Danielle.
Surpris, Albert la regarde, puis se décide
— OK, mais viens me préparer.
Et il lui tend sa bite. Marie-France a compris, elle s’en empare, et entreprend de la sucer pour l’emmener à bonne dimension. Quelques aller-retour suffirent. Albert est si heureux de sentir les lèvres de Marie-France sur sa bite, alors qu’elle a toujours refusé de le sucer, qu’il manque de jouir.
Mais ce n’est pas le but de la manœuvre.Marie-France s’installe sur la serviette, cuisses largement écartées, elle m’offre sa moule, déjà luisante de mouille.A genoux, je m’incline sur cette chatte offerte, le cul cambré, les cuisses écartées. J’entreprends de bouffer la moule de Marie-France, ma langue s’insinue dans les replis de son con, lui écartant les lèvres, buvant sa cyprine, je mordille son clito qui bande.
Pendant ce temps, Albert s’est installé derrière moi. Il présente son gland devant ma rosette. Il force un peu, il y a si longtemps qu’il m’a enculé qu’il a un peu de mal à franchir l’anneau. Mon cul cède, et toute la bite m’envahit, me procurant un sentiment de plénitude. Je l’attends depuis longtemps, cette grosse pine, enfin je la retrouve. Albert entreprend de me ramoner les entrailles. Marie-France s’est redressée sur les coudes pour voir mon cul envahi par la bite de son mec. Elle me demande si j’ai mal.
— Oh non, j’adore ma chérie, si tu savais comme c’est bon de se sentir envahit par un tel morceau. La bite de Norbert c’est de la rigolade à côté.— N’en profite pas pour m’abandonner, suce-moi.
La petite salope y a pris goût. A ce rythme-là, Albert ne tarde pas à lâcher la purée, provocant ma jouissance. Sous mes coups de langue, Marie-France me suit de près.Après cet intermède, nous finissons de nous préparer, et nous sortons de la maison. Malgré son insistance, Albert ne peut obtenir de nous accompagner, ni savoir où nous allons.Pour faire ce que je veux faire, nous n’avons pas besoin de nos mecs.La phrase d’Albert lors de notre soirée de réveillon me trotte dans la tête. Vous vous souvenez ?A ma demande, étonnée de l’absence de Marie-France, il m’a répondu que seules des salopes étaient invitées.Qu’à cela ne tienne, je vais faire de Marie-France une vraie salope, pour le prochain réveillon. je lui ai fait donc revêtir une de mes robes, très échancrée dans le dos, jusqu’aux fesses, on voit même le début de la raie. La robe est courte, le haut très moulant laisse deviner les seins, libre, pas question de porter un soutien-gorge avec une telle robe. Le bas est plissé, ample. Pas de culotte malgré ses protestations. Marie-France est un peu plus grande que moi, donc la robe est un peu plus courte pour elle, s’arrêtant au ras des fesses.
Première épreuve. Entre la maison et le métro, il y a une grille d’aération de métro, cette grille prend tout le trottoir. Je ne sais si c’est fait exprès, mais il y a là un banc, les vieux pervers de la maison de retraite d’à côté sont installés là en permanence, attendant le passage d’une nana en jupe qui sera soulevée (la jupe pas la nana) par le souffle.
Arrivée en vue de la grille Marie-France voulue changer de trottoir.
— Pas question, ma chérie. Ces messieurs sont au spectacle, je suis sûre qu’ils vont apprécier celui que nous allons leur offrir.
Dès notre arrivée sur la grille, nos jupes s’envolent offrant aux voyeurs, notre cul nu et nos chattes rasées. Nous nous immobilisons un moment pour que ces braves vieux se régalent du spectacle. Ils nous ont même applaudis.
—Alors ma chérie, ça t’a plu de te faire admirer, je parie que tu mouilles.— J’ai honte, qu’est-ce que tu me fais faire.—T’aimes ça, j’en suis sûre. Attends la suite.
Métro. Le wagon est presque vide, peut-être à cause de la présence d’une bande de jeunes, pas très rassurants. Marie-France n’est pas à son aise. Il y a de la place partout, mais je m’installe près d’eux, à leur grande surprise.Je me colle contre Marie-France, mes mains sur ses fesses. Je couvre son visage de petits baisers. Elle résiste au début, mais finit par se laisser faire. Les jeunes nous regardent en souriant, ils chuchotent entre eux.Je m’empare des lèvres de Marie-France, les force. Marie-France les tient fermées, mais je force avec ma langue, elle finit par céder, mélangeant sa langue à la mienne, dans un baiser passionné.J’en profite pour la pousser contre le gars le plus proche. Surpris, il reste les bras ballants, mais très vite, il comprend que ce n’est pas par hasard s’il se trouve collé à une jolie fille. Sa main s’aventure sous la robe.
— Oh la salope, elle n’a pas de culotte.
Il s’empare de sa chatte, Marie-France, après s’être raidie, se laisse aller, écartant même les jambes pour lui laisser libre accès à son minou.
—Putain elle mouille, elle est rasée.
Ses potes ne veulent pas être laissés pour compte, une autre main s’insinue sous ma jupe.
— Celle-là aussi est cul nu, et elle mouille aussi, 2 vraies salopes.
Mais nous étions arrivées, il nous faut descendre.Nous sommes à Pigalle. J’ai décidé d’aller dans un sex-shop, pour choisir des dessous pour Marie-France, et lui faire découvrir les Glory Hole.Nous sommes dans le sex-shop. Le patron me fait la bise, comme d’habitude. Je suis connue ici. Les filles me disent bonjour, elles attendent les clients pour aller faire leur show.J’entraîne Marie-France à l’étage des fringues. D’abord quelques jupes très courtes qui n’en montrent plus qu’elles ne cachent, des hauts très décolletés. Puis les guêpières, une, seins nus, bien sûr, plutôt une qui offre bien les seins, comme sur un plateau, qui encadre la chatte, des jarretelles pour les bas, un laçage très serré pour faire cambrer les reins, et offrir le cul.J’ai trouvé le modèle idéal. Je demande à Marie-France de se déshabiller pour essayer la guêpière.Elle cherche une cabine.
— Mais non ma chérie, ici pas de cabines d’essayage. Tout le monde doit profiter du spectacle.
Après quelques secondes d’hésitation, elle fait passer sa robe par-dessus sa tête. Exclamation, nos voisins de métro nous ont suivis. Ils sont tous là. Marie-France essaye de se cacher, mais je l’en empêche. Je lui fais passer la guêpière, positionnant ses seins, puis je me mets derrière elle pour lacer l’engin. Elle est offerte aux regards des jeunes gars qui n’en perdent pas une miette. Le laçage s’avère difficile, je fais donc appel à un des voyeurs pour m’aider, il s’empresse de me rejoindre, il finit le laçage de la guêpière en serrant au maximum.Marie-France peut enfin se voir, ses seins pointaient, les tétons gonflés et durcis, la chatte encadrée par le bas de la guêpière, le cul cambré, je lui fais enfiler des bas pour terminer.Elle est bouche bée devant le miroir. Je l’entraîne.
— Viens, je vais te faire découvrir les Glory Hole.
J’ai parlé assez fort pour que tout le monde entende.Nous sommes arrivées dans la pièce destinée à cet usage. Marie-France, étonnée, regarde autour d’elle, se demandant à quoi servent les trous dans le mur.Je lui explique, attends, tu vas voir. Nous n’attendons pas longtemps. Les bites commencent à pointer. Marie-France regarde, étonnée.
— Fais comme moi.
Je m’approche de la première bite que je saisis, puis après l’avoir léchée sur toute la longueur, je l’engloutis.Marie-France me regarde.Je lâche ma bite :
— Vas-y, tu vas voir, tu vas adorer.
Alors elle se laisse tenter. C’est, nous suçons les bites une après l’autre, avalant des litres de foutre. Marie-France n’est pas la dernière. Elle prend goût aux pipes. Je jubile. Elle a une âme de salope, comme moi.La dernière bite s’est retirée. Nous descendons, le patron est là, très content.
— Vous revenez quand vous voulez les filles.
Je l’entraîne vers le métro.
— Allez viens. Nous allons un peu nous amuser.— Où va-t-on ?— Danser, t’aimes ça ?— Oui, mais on n’est pas un peu nue pour ça.— Ne t’en fais pas, on ne va pas te le reprocher ?
In petto je pense « au contraire ».Nous sommes arrivées devant la porte du bal antillais. Je sonne. Le judas s’ouvre, puis la porte. Le videur me prend dans ses bras. Me roule un patin.
— Salut ma salope. Tu viens t’éclater ? Je vois que tu as emmené une copine.
Il prend Marie-France dans ses bras, lui roule également un patin. Elle se laisse faire. Le videur passe sa main sous sa jupe.
— Je vois qu’elle est prête. Allez-y, vous allez bien vous amuser, et nous aussi.
Nous voilà dans la salle. Une musique sensuelle nous accueille. Des couples évoluent sur la piste. Que des blacks.Marie-France me regarde, un peu étonnée.
— Tu viens souvent ?— Oui, j’adore cette musique, et surtout les danseurs. Ils ont de sacrées bites.
Deux mecs s’approchent et nous invitent. Tout de suite, nous sommes plaquées contre leur corps, les mains sur nos fesses nous collent sur leurs bites qui bandent déjà.Je murmure à l’oreille de mon danseur :
— Aujourd’hui, je ne baise pas, mais ma copine est à votre disposition.— On peut lui faire ce que l’on veut ?— Oui.
Mon danseur m’abandonne. Il se colle au dos de Marie-France. Celle-ci est surprise, surtout quand il lui saisit les seins et se met à les caresser.Voyant cela, le danseur se Marie-France glisse la main sous sa jupe. Elle pousse un petit cri. Il doit la doigter. C’est bien parti pour ma copine. Elle est prête à se faire défoncer.Les deux mecs l’entraînent vers l’estrade. Marie-France se laisse faire, elle n’est déjà plus là. Un mec se couche sur le dos, Marie-France est encore habillée. Les gars ont vite fait de la dévêtir, lui laissant la guêpière et les bas. Ils installent Marie-France au-dessus du mec qui est couché, la font descendre sur la bite dressée, une bite de belle taille. Quand sa chatte entre au contact de ce braquemart, je vois les yeux de Marie-France s’écarquiller, sa bouche s’ouvre sur un cri muet. Les mecs l’aident à descendre, la pine se fraie un passage dans cette moule qui s’ouvre péniblement. Marie-France gémit, de douleur au début, mais peu à peu, ce sont des gémissements de plaisir qui franchissent ses lèvres.
Enfin, l’engin est entré jusqu’à la garde. Marie-France se soulève et se laisse retomber sur cette belle bite. Mais ce n’est pas fini. Un autre se présente derrière elle, il lui enduit l’anus de gel. Elle veut refuser, mais ils ne lui laissent pas le choix.
Les mecs n’écoutent pas, ils n’ont qu’une idée, enculer cette salope. Je leur ai donné le feu vert, ils ont bien l’intention d’en profiter.Le gland est présenté devant la rosette, le mec force, Marie-France essaye de s’échapper, mais son baiseur la bloque. La rondelle s’ouvre le gland franchit la porte étroite. Marie-France hurle, le mec continue.
— Tu vas voir, tu vas adorer.
Une fois le gland passé, le reste suit, et Marie-France se retrouve empalée sur deux énormes bites.Le mec attend un peu, puis commence ses aller-retour. Peu à peu, la salope semble apprécier, ce ne sont plus des cris de douleur qui franchissent ses lèvres, mais des cris de jouissance, c’est elle qui recule son cul pour sentir cette bite la défoncer.Une troisième pine se présente devant sa bouche. Elle s’empresse de l’engloutir.Ce jour-là, Marie-France est entrée dans la catégorie des salopes avides de bites. Tous les mecs présents lui sont passés dessus, inondant sa bouche, sa chatte et son cul de foutre.Quand nous sommes arrivées à la maison, nos deux hommes étaient là. Je me suis précipitée sur eux.
— Baisez-moi, tout l’après-midi, j’ai assisté aux exploits de Marie-France, prise par tous les trous, je n’en peux plus.
Albert, étonné, regarde sa copine, qui est exténuée. J’enfonce le clou.— Eh oui, l’année prochaine, elle sera la pute du réveillon.
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