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De la vierge à la salope (suite)

Chapitre 5

L'anniversaire de Sarah

Trash
Norbert a rendu la pareil à Albert en baisant Marie-France, mais surtout en la rendant aussi salope que moi.Elle est prête pour le futur réveillon. Ce sera elle la pute de la soirée.Mais il veut également rendre la pareil au père en baisant sa femme, la mère d’Albert. Il a l’intention de la rendre aussi salope que moi et Marie-France. Il y a aussi la sœur d’Albert, Sarah. Une jolie fille qui va bientôt avoir 18 ans. Le père d’Albert est attiré par les jeunes filles, il n’arrête pas de reluquer Marie-France depuis qu’elle a adopté le look salope, alors   pourquoi pas lui faire déflorer sa fille ?Le beau temps étant revenu, il décide de mettre son idée à exécution, en organisant un week-end dans notre maison de campagne pour l’anniversaire de Sarah.Située en Touraine, elle est dans un coin très isolé, à l’abri des regards indiscrets.Lorsqu’il me fait part de ses intentions, je saute de joie. J’ai très envie de revoir Roger et de sentir sa grosse bite me ramoner la moule et le cul. Mais surtout j’ai envie de bouffer la moule à Sarah, la sœur d’Albert. Elle est mignonne et toute timide. J’ai très envie de la pervertir.La liste des invités est vite prête, Albert et ses parents, bien sûr, ainsi que Marie-France. Je propose à Norbert d’inviter également quelques potes du bal antillais. Il accepte immédiatement. Il sait que je passe beaucoup de temps avec eux et il est impatient de me voir violée par leurs deux énormes mandrins. J’invite aussi Isabelle et son époux.Dès le lendemain je mets Albert au courant de nos intentions, et surtout de notre idée de faire dépuceler sa sœur par son père. Tout d’abord il refuse.— Tu es folle, jamais mes parents ne vont accepter, ma mère va piquer une crise si elle voit mon père baiser une autre femme, et surtout sa fille.Je me fis câline :— Ne t’en fais pas mon chéri, nous avons de quoi occuper ta mère, et puis je suis sûr que toi aussi tu as envie de baiser ta sœur et, pourquoi pas, ta mère.Albert doit reconnaître que c’était un de ses fantasmes, il finit par accepter.Je suis folle de joie et d’excitation à la pensée de toutes ces belles bites que je vais avoir à ma disposition, sans parler des moules. Six mecs pour quatre filles, le pied.Je laisse Norbert vous raconter ce week-end.Le samedi matin, je suis parti, très tôt, pour préparer la maison. Danielle doit me rejoindre, avec nos invités, après son travail. Il fait un temps splendide. La chaleur aidant, nous allons pouvoir profiter de la piscine. Je prépare un punch de mon invention, à base de plantes aphrodisiaques ainsi que la viande et les poissons pour le repas. Le tout étant mis à macérer dans une huile très pimentée. De quoi exciter un impuissant. A sept heures, bruit de moteur, nos invités arrivent. Danielle est dans la voiture de ses amis, Deux noirs baraqués comme King-Kong, Albert avec ses parents sa sœur et Marie-France. Isabelle et son époux suivent.— Je te présente Omar et Bongo.Je fais circuler le punch, accompagné d’accra de morue très pimentés. Sarah, la sœur d’Albert refuse tout d’abord, elle n’a pas l’habitude de boire, mais devant mon insistance, elle accepte un verre. Nous sommes tous au bord de la piscine, affalés dans des transats. J’attends que le punch fasse effet. Danielle, qui est au courant surveille tout le monde sans en avoir l’air. La première à réagir fut Sarah. Elle commença à s’agiter sur son transat, écartant les cuisses. Elle est assise en face de moi, j’ai une vue imprenable sur sa petite culotte toute trempée. Sa robe, qui est très courte, remonte sur ses cuisses. Elle est toute rouge.— Sarah, veux-tu te tenir correctement. — J’ai chaud maman.— C’est vrai qu’il fait chaud.— Mettez-vous à l’aise, ne vous gênez pas pour nous, après tout nous somme entre nous, personne ne peut nous voir.Myriam, la mère d’Albert, hésite encore. Danielle prend alors l’initiative. Elle se lève, et fait passer sa robe par-dessus sa tête. Comme elle ne porte rien en dessous comme d’habitude, elle se retrouve nue, cambrant le cul et bombant la poitrine, elle fait un tour sur elle-même pour se faire admirer. Tout le monde peut voir les traces du martinet sur ses fesses. Isabelle ne s’en étonne pas, mais Myriam, Marie-France et Sarah la fixent d’un regard incrédule. Isabelle est la deuxième à poil. Son corps splendide attire les regards d’Albert et de son père. Alors Myriam en fait autant. Pour ses quarante ans elle est drôlement bien conservée. Des seins en poire, encore ferme, un cul cambré, elle a la chatte rasée, elle aussi, et l’on peut voir ses grandes lèvres très bombées, qui s’ouvrent sous l’effet de l’excitation. Les hommes imitent les femmes très rapidement. Sarah et Myriam sont affolées à la vue de tous ces braquemarts, tous plus gros et plus longs les uns que les autres. Surtout ceux de Bongo et d’Omar. Deux matraques. La vue des femmes à poil ajouté aux effets du punch, fait que tous les mecs bandent. Sarah ne se décide pas à se déshabiller, Danielle s’approche d’elle.— Aller chérie, fait comme nous, tu as chaud, met toi à l’aise.Elle saisit sa robe et lui ôte. Sarah se défend mollement, partagée entre l’envie de s’offrir nue et la honte de se montrer à tous ces mecs excités devant ses parents. Danielle lui retira son soutien-gorge, lui frôlant les tétons au passage, aussitôt ceux-ci durcirent. Puis ce fut le tour du slip. 
— Mais ma parole tu es trempée. Regardez dans quel état elle a mis son slip.Sarah rougit violemment. Danielle la prend dans ses bras, elle lui pose un baisé au coin des lèvres.— Ce n’est pas grave, moi aussi je suis trempée, touche.Lui prenant la main, elle la passe sur sa chatte. Ses parents sont bien trop occupés pour réagir. Son père est entrepris par Isabelle et sa mère par Omar et Bongo. Marie-France est toujours habillée. Je m’approchais d’elle.— Allez ma belle, tu ne vas pas rester habillée, ne joue pas les prudes, on sait que tu as envie de te foutre à poilElle ôte son tee-shirt. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Sa poitrine lourde mais fermes nous saute aux yeux. Ses tétons sont déjà érigés, excités par le punch. Instinctivement elle bomba le torse. Elle retire sa jupe. Elle porte un string qui lui moule la chatte. Quand elle le retire, tout le monde peut voir ses grandes lèvres écartées par le désir, son clito qui bande. Elle reste immobile au milieu de la terrasse.Un grand cri jaillit du côté de la piscine. Myriam est allongée sur le dos et Bongo lui bouffe la chatte pendant que Omar lui suce les tétons. Myriam jouit comme une folle. Isabelle taille une pipe au père d’Albert. Le mari d’Isabelle s’approche de Marie-France et la prend dans ses bras. Bien dressée par mes soins, elle se colle à lui, lui offre ses lèvres pour un baisé profond. Danielle s’occupe toujours de Sarah. Elle l’a allongée sur un transat, une cuisse par-dessus chaque accoudoir. A genoux entre ses cuisses, elle lui bouffe la moule. Sarah a l’air d’apprécier beaucoup le traitement. Albert et moi sommes abandonnés, la bite à l’air, nous nous masturbons doucement. Je m’approche de lui.— Alors Albert, qu’est-ce que tu penses de ma surprise ?— C’est bien combiné. Quand je pense que j’avais peur que ma mère se révolte, elle est en train de se faire bouffer la moule comme une chienne, Sarah en fait autant et Marie France jouit comme une salope.Roger l’époux d’Isabelle est entrain de lui faire minette. Sous ses coups de langues habiles, la jeune salope hurle sa jouissance.— La salope elle est de plus en plus vicieuse, elle va rattraper Danielle.— Comme cela nous pourrons organiser d’autres soirées et week-end comme celui-ci. En attendant va t’occuper de Danielle. Je sais ce n’est pas une nouveauté pour toi, mais moi je vais m’occuper de ta sœur, alors tu n’as pas le choix.Nous nous approchons de Danielle et Sarah. Elles se sont mises en position de 69, et se bouffent la chatte mutuellement. Albert saisit Danielle par les cheveux et la force à se lever. Je la remplace auprès de Sarah qui est restée les cuisses largement écartées. Je me penche sur son con de vierge. A peine bombées, ses grandes lèvres sont largement ouvertes, son clitoris pointe vaillamment, il est d’une bonne taille, elle doit être une habituée de la branlette. Je lui aspire le clito et le suce avec ardeur. Sarah pousse un gémissement de plaisir. Elle me plaque la tête sur son ventre pour m’encourager à continuer. Je n’ai pas l’intention de l’abandonner en si bon chemin. Sa mouille me coule sur les lèvres, sa chatte est bonne à bouffer. Ma langue la fouille autant qu’elle peut, j’aspire ses lèvres, lèche le clito, lui soulevant les cuisses je lui bouffe la rosette. Telle une bite, ma langue s’enfonce dans son cul qui est très souple. Sarah n’en peut plus elle gémit sans arrêt. Je l’abandonne un instant malgré ses protestations.— Vient me sucer.— Oh non ! je ne l’ai jamais fait.— Bonne occasion pour commencer. Regarde ta mère, elle te montre l’exemple.Myriam à quatre pattes est entrain de sucer Bongo. Sa bouche est distendue par la grosseur du mandrin. Omar couché sous elle lui bouffe la moule. Sarah regarda sa mère s’envoyer en l’air.— La salope, faire ça à papa.— Regarde ton père, il ne s’emmerde pas lui non plus.Il est entrain d’enculer Isabelle qui gueule comme une chienne. Albert et Danielle sont en plein 69, Marie-France taille une pipe à Roger.— Tu vois il n’y a plus qu’à en faire autant.Je la saisis par la tête et la courbais sur mon zob.— Lèche le gland pour commencer, oui comme cela, comme une boule de glace.Sa langue encore hésitante me caresse le gland. C’est formidable cette langue de minette encore pucelle sur mon zob. Puis n’en pouvant plus, je l’attire vers moi, lui enfonçant la bite jusqu’aux amygdales. Mais il manque quelque chose à mon plaisir.— Myriam, Roger regardez.Les parents de Sarah se retournent.— Regardez votre fille comme elle me suce, elle aime ça la salope, la digne fille de sa mère.Les parents voulurent protester.— Fermez la. Toi Myriam tu n’as qu’une idée en tête, te faire enfiler par Omar et Bongo. Ta moule et ton cul son béants, ils attendent les deux gros mandrins avec impatience. Quant à toi Roger, après avoir baisé Danielle tu baises Isabelle, mais tu meures d’envie de baiser Marie-France et ta fille. Ne t’en fais pas tu en auras l’occasion avant la fin du week-end. Ce sera son cadeau d’anniversaire.Sarah, malgré sa honte de se voir le point de mire de l’assemblée, continue sa pipe, sa bouche chaude et humide coulisse sur mon mandrin, en même temps, elle me branle. Je sens la jouissance qui monte. Soudain n’y tenant plus je lui envoie une longue giclée de foutre. Elle essaye de se dégager, mais lui tenant la tête je la force à tout avaler.— Bois tout salope, avale ce bon jus. C’est le début de ton éducation.Sarah avala tout consciencieusement.— Alors chérie tu as aimé ?— Oui Norbert, c’est bon de sucer une grosse bite, le goût du sperme n’est pas désagréable.— Tu sais tout le monde n’a pas le même goût, tu vas pouvoir comparer ce week-end. Tu vas en apprendre plus en deux jours que tes copines en un an.— J’ai honte, que vont dire mes parents, mon frère ?— Ils ne pensent pas à toi, ils sont bien trop occupés. Comme pour me donner raison Myriam pousse un grand cri. Bongo est entrain de lui pénétrer la moule. Prenant Sarah par la main je m’approchais de sa mère. Roger vint nous rejoindre. Il se pencha pour mieux voir le braquemart de Bongo écarteler la chatte de Myriam. Celle-ci gémit sans arrêt.— Oh oui ! défonce-moi, tu es gros, tu me déchires, mais c’est bon. Ton gros zob me remplit la chatte.Roger, le regard exorbité, se branle en voyant sa salope de femme se livrer à cette queue d’âne. Sarah me serre la main, voir sa mère se faire baiser sous ses yeux, s’offrir sans pudeur à cette bite énorme, la met dans tous ses états. Elle a soudain un sursaut. Son père lui glisse un doigt dans le cul. Sarah écarte les fesses pour faciliter la pénétration, elle se met à bouger le cul.— Oh papa ! c’est bon ton doigt, continue, j’aime.— Branle le.Sarah s’empare de la bite de son père et le masturbe. Pendant ce temps, Bongo a pénétré complètement Myriam. Il fait coulisser son mandrin dans la chatte baveuse. Myriam jouit comme une dingue. Jamais elle n’a connu un pareil bonheur. Mais Omar se sent bien seul. Il fait signe à Bongo. Celui-ci sans lâcher Myriam se met sur le dos. Dans cette position le cul de Myriam nous apparait dans toute sa splendeur. Tout le monde peut admirer sa chatte écartelée par la bite de Bongo. Sa rosette béante qui réclamait une bite. Omar s’approcha d’elle, Il veut l’enculer tout de suite.— Attend Omar il faut la préparer. Sarah lèche lui le cul, lubrifie-la.Sarah hésite, la saisissant par les cheveux, je la force à s’accroupir derrière sa mère et lui colle la bouche sur la rosette. Elle entreprend alors une feuille de rose qui ne déplait pas à Myriam. Celle-ci cambre son cul, elle l’écarte à deux mains pour mieux s’offrir. Quand il la juge assez lubrifiée, Omar écarte Sarah, il pointe son gland à l’orée du cul de Myriam. Il se met à forcer sur la rosette, celle-ci s’écartèle sous la poussée, Myriam hurle de douleur. Mais personne n’y fait attention. Même Roger laisse faire.— Salope tu as voulu de la bite, tu es servie. Il va t’éclater la rosette. Je voie son gland s’enfonçait dans ton cul de poufiasse. Il y est, ça y est. Tu vois ce n’est pas si terrible.Omar en effet est enfoncé dans les intestins de Myriam. Ses couilles battent sur sa moule. Myriam est en plein délire. Elle hurle sa jouissance, sans aucune pudeur. Prise par deux mecs devant son mari et ses enfants elle en réclame encore. Je m’approche d’elle et lui donne ma bite à sucer. Elle s’en empare goulûment. Sa langue tourne sur mon gland. Elle m’engloutit jusqu’aux couilles. Quelle bouche, une vraie chatte.— Roger ta femme suce comme une vraie pute, elle me lèche le gland, c’est une salope de première. Roger n’en peut plus. Il bande comme un âne, un reste de conscience l’empêche de baiser sa fille, alors voyant Danielle empalée sur Albert, il se précipita sur elle et l’encule. Ma femme est aux anges.— Regarde Norbert, je suis prise en sandwich, c’est formidable, une bite dans le con, une dans le cul. Regarde ta pute de femme se faire baiser.Partagé entre la jalousie et l’excitation, je sens la jouissance monter, Albert et son père baisent Danielle, je m’enfonce jusqu’aux couilles dans la bouche de Myriam, je vais inonder de foutre les amygdales de leur femme et mère. Mon sperme jaillit en longues giclées, Myriam avale tout, quand elle a fini, elle se lèche les lèvres. Toujours coincée entre Omar et Bongo, elle commence à fatiguer, mais nos deux mecs sont infatigables. Ils liment son con et son cul avec un bel ensemble témoignant d’une longue habitude. Soudain je vis Bongo se crisper.— Tient salope prend mon foutre.— Oui inonde-moi, rempli moi de ton sperme.Bongo éjacule, suivi de près par Omar. Myriam est secouée par les jets de spermes. Bongo et Omar se retirent enfin. Myriam reste allongée, cuisses écartées, chatte et cul béants. Le sperme coule de ses orifices. Isabelle se précipite et collant sa bouche à la vulve elle aspire le foutre de ses amis. La soirée a été fatigante. Pourtant Omar et Bongo bandent toujours. Roger aussi, mais lui n’a pas joui, il s’est contenté de faire jouir Marie-France. Celle-ci n’en peut plus, la chatte en feu elle implore une bite. La salope veut être baisée. Sarah est dans le même état. La vue de sa mère baisée, enculée, son père et son frère baisant Danielle, l’ont complètement débloquée. Assise dans un transat, la chatte largement ouverte, elle se branle. Je calme tout ce beau monde en proposant de passer à table. Pendant que nos invités s’attaquent aux entrées, je mets la viande à cuire. Chacun s’est installé selon ses affinités. Avec un pincement au cœur, je vois Omar et Bongo entourer Danielle. Les salauds ils y ont pris goût à ma femme. Celle-ci aussi apparemment. Une main sur chaque bite, elle se laisse nourrir par ses deux voisins. Tout le monde est resté à poil. Albert, ignorant Marie-France, s’est installé près d’Isabelle, je décidais de laisser Sarah à Roger et je m’occupe un peu de Marie-France. Le père d’Albert n’a plus le choix, il ne lui reste plus que sa femme, ou partager Isabelle avec son fils, sa fille avec Roger ou Marie-France avec moi. Il choisit Marie-France. Décidément, toujours cet attrait pour la moule fraîche. Le repas se déroule plutôt dans le calme, à part une main qui s’égare de temps en temps. La seule à être vraiment excitée est ma femme. Les cuisses largement écartées, la moule grande ouverte, elle se laisse branler sans pudeur par ses deux voisins. Décidément, elle est loin la pucelle que j’ai connue. Danielle est devenue une chienne en chaleur, une salope qui ne vit que pour la bite. D’ailleurs elle ne s’en prive pas, se penchant alternativement sur Omar et Bongo, elle leur suce le zob avec délice. Sa bouche, bien que très grande est écartelée par les glands de nos deux mecs. Sarah et Marie-France regardent d’un œil admiratif les exploits de mon épouse. Myriam est toute seule, elle regarde d’un air d’envie Danielle. J’en profite immédiatement. J’ai trop envie de punir Danielle qui s’abandonne sans retenue à tous ces mâles.— Danielle, tu oublies toutes les lois de l’hospitalité. Regarde Myriam, elle est toute seule, elle s’ennuie et toi tu accapares deux bites. Tu vas être punie. Isabelle tu as amené ton matériel je pense.— Bien sûr, il ne me quitte jamais.— Alors occupe-toi de Danielle. Je te la laisse.Danielle me regarde, incrédule. Elle était si sûr de mon accord qu’elle ne comprend pas pourquoi je veux la punir. Elle a très bien compris que Myriam n’est qu’un prétexte. Isabelle se lève, elle va chercher son sac. Elle en retire une cravache, des menottes. Elle s’approche de Danielle et la fait se lever. Celle-ci essaye de résister, mais Omar et Bongo aident Isabelle. En quelques instants, Danielle se retrouve attachée au portique, bras en l’air, ses pieds touchant à peine le sol. La position redresse sa poitrine et cambre son cul. Isabelle se saisit de la cravache et commence à cingler le fessier de mon épouse. Au bout de cinq minutes, ses fesses sont zébrées de traces très régulières, Isabelle est une artiste. Après avoir protesté, Danielle change d’attitude. Sous les coups de cravaches, son corps se mit à onduler. Elle tend sa croupe au-devant des coups, écartant les fesses, sa chatte s’ouvre sous la jouissance. Cette salope apprécie la séance.— Oh que c’est bon ! je jouis, ma chatte me brûle, une bite par pitié.Isabelle continue de la battre, lui cinglant la chatte, les seins, rien n’y fait, je découvre que ma pute de femme aime être battue. La séance nous excite tous, les braquemarts tendus attirent les femmes, Myriam se précipite sur Bongo et s’empale sur sa bite, Sarah veut me sucer. Je l’en empêche lui désignant Omar. Elle regarde sa grosse pine d’un air apeuré, puis se décide. Elle se précipita sur son zob et lui lèche le gland. Omar me remercie d’un clin d’œil, il aime beaucoup les jeunes pucelles, et celle-ci est particulièrement attirante. Le père d’Albert se précipite sur Marie-France, la nana de son fils, il lui ouvre les cuisses et se jette sur sa moule comme un affamé. Je m’approche à mon tour de Marie-France, je pose mon mandrin sur ses lèvres. Elle ne se fait pas prier et l’englouti aussitôt. Quelle gourmande, elle me suce avec délectation, creusant les joues pour bien m’aspirer, me léchant la colonne. Sa bouche me pompe le dard comme une reine. Albert et Roger regardent le spectacle, hésitant sur le choix à faire. Roger se décide le premier. Il se dirige vers Sarah. Celle-ci est à quatre pattes, le cul tendu et largement écarté, elle a englouti la queue d’Omar, sa bouche distendue glisse le long de la colonne de chair. Roger se positionne derrière Sarah, négligeant la chatte vierge, il pointe son gland sur la rosette et commence à forcer. Sarah veut protester, mais Omar la maintient fortement, elle doit subir la lente poussée du mandrin qui, lui écartant les sphincters, envahit son cul vierge. Albert veut s’approcher de Danielle et d’Isabelle. Un coup de cravache le repousse.— Laisse-la moi, Norbert me la confiée.Danielle hurle sans discontinuer qu’elle veut une bite, Alors Isabelle fouillant dans son sac en sort un gode de belle taille qu’elle se fixe autour des hanches. Ainsi harnachée, elle avait une allure étrange. Sa poitrine orgueilleuse, ses fesses cambrées et ce gode ne nous laissent pas indifférent. Elle se place derrière Danielle et, la soulevant sous les cuisses elle s’enfonce dans sa moule. Le gode distend les chairs, faisant saillir les grandes lèvres. Isabelle y va lentement car, bien que ma femme soit bien ouverte et trempée, la taille du phallus artificiel est imposante et il a du mal à pénétrer. Peu à peu le gode s’enfonce, Isabelle a écarté les cuisses de Danielle au maximum. On peut voir la chatte s’ouvrir sous la poussé de ce monstre. Quand la moule de Danielle l’a enfin avalé tout entier, elle pousse un soupir de bonheur. Lui saisissant les tétons, Isabelle les lui tort. La douleur décuple la jouissance de ma femme, sa mouille coule en abondance. Comme un mec Isabelle se met à lui ramoner la chatte, à chaque fois que le gode ressort, Danielle proteste, elle la veut cette grosse bite, elle ne vit que pour elle. Je n’en peux plus. Mon zob me fait mal à force de bander. Mettant Marie-France à quatre pattes je lui force la rosette. Roger l’a tellement bien préparée que son cul m’absorbe sans difficultés. Elle est étroite, son conduit serre ma bite, elle se cambre au maximum pour que je puisse la pénétrer plus profondément. Albert nous regarde, je comprends très bien ses sentiments, ayant éprouvé les mêmes en voyant Danielle se faire baiser. La bite de Roger ayant remplacé la mienne dans la bouche de Marie-France, Albert n’a plus qu’une solution, après un instant d’hésitation, il se précipite sur sa mère, toujours empalée sur Bongo, et il l’encule.Après cette partie de baise, tout le monde n’a plus qu’une idée, se coucher, pour se reposer. La répartition des couples fut rapide. Bongo et Omar, s’emparent de Danielle. Ils commencent à m’énerver ces deux là. Le père d’Albert emmène Marie-France, j’entraîne Sarah, Albert et Roger suivirent Isabelle. Myriam se retrouvait seule. Je lui proposais de se joindre à sa fille et moi, ce qu’elle accepta.
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