La nuit s’est passée plutôt calmement, du moins pour moi. Parce que si j’en jugeais les yeux de Danielle, elle a du être très fatigante pour mon épouse. Celle ci, encadrée par ses deux gorilles, a l’air très heureuse malgré sa fatigue. Nous sommes tous à poil, installé entre Myriam et Sarah, je les laisse s’amuser avec ma queue, j’ais une trique d’enfer. Danielle vient s’installer à califourchon sur mes genoux.— ça va mon chéri ? J’ai passé une nuit formidable, ces deux salauds m’ont baisée toute la nuit. J’ai le cul et la chatte en feu.Elle prit ma main et la posa sur sa chatte— Tu sens comme je suis poisseuse, ils ont rempli de foutre tous mes trous. Je suis heureuse mon chéri, j’aime me faire défoncer, surtout par deux belles grosses bites comme celle la. C’est bon de sentir sa chatte dilatée par un gros zob qui l’envahit, la rosette qui s’ouvre pour laisser passer une belle queue. Sentir son ventre et son cul inondés de sperme. Dommage il m’en manquait une pour forcer mes lèvres et me donner à boire son bon foutre.J’ais un peu peur d’avoir joué à l’apprenti sorcier avec mon épouse, mais je ne peux plus revenir en arrière. Je crois que, malgré son amour pour moi, elle ne peu pu renoncer à ce que je lui ai fait découvrir. Son amour du sexe est trop grand. Elle ne peut voir une bite sans se précipiter dessus. Qu’elle soit jaune, noire, beur ou blanche, tout lui est bon.— Tu m’aimes mon chéri ? tu es content. Ta femme est devenue une salope, mais c’est toi qui m’a fait me découvrir. Je mouille encore en pensant à ce qu’ils m’ont fait cette nuit. Sens ma chatte comme elle coule. Vient boire le bon jus de ta petite putain.Elle s’allonge sur la table, écarte les cuisses. Ses lèvres sont gonflées de désir. Son clito pointe comme une petite bite. Sa chatte béante ruisselle. Je m’approche et me mets à lui bouffer le con. Son foutre a un goût bizarre, mélangé au foutre de ses deux baiseurs, cela ne me rebute pas et j’entreprends de faire la toilette de ma femme chérie. Ma langue parcoure sa chatte, lui arrachant des gémissements de plaisir. Je prends son clito entre mes lèvres et le suce comme une bite, le léchant, l’aspirant. Danielle est repartie pour un tour. Elle hurle qu’elle veut une bite à sucer. Tous les mâles présents se précipitent, trop heureux de l’aubaine. C’est Roger qui l’emporte. Danielle se saisit de sa bite et entreprend une pipe qui à l’air de plaire à l’heureux élu. La saisissant par les cheveux, il s’enfonce jusqu’aux couilles dans la bouche de mon épouse. Je sens une bouche s’emparer de ma bite. Je ne peux voir qui me pompe, mais elle se débrouille très bien. Sa langue me lèche le gland, sa bouche coulisse sur ma colonne, je sens ma bite grossir encore sous l’effet de cette caresse. Je ne peux résister longtemps et crache mon foutre dans la bouche de ma suceuse qui avale tout sans en perdre une goutte. Pendant ce temps Danielle jouit sans arrêt. Sa mouille inonde mon visage, brusquement Roger jouit à son tour, provoquant un nouvel orgasme de mon épouse. Elle m’inonde d’un dernier jet de foutre que je bois comme le reste.La journée a bien commencé, mais j’ai toujours ma petite idée en tête.Nous sommes tous installés autour de la table pour prendre le petit déjeuné. Sarah est assise près de moi, nue comme tout le monde. Elle a bien évolué depuis hier, mais elle rougit encore facilement lorsqu’on la détaille un peu trop. Il est vrai que c’est encore une gamine, 18 ans à peine,et se sentir exposée à tous ces regards lubriques devant ses parents la gêne un peu.Je surveille tout mon monde sans en avoir l’air. Danielle s’occupe activement d’Arsène, Myriam avait entrepris Bongo. Marie-France est installée sur les genoux d’Omar, elle n’a plus peur de son gros braquemart apparemment. Albert a pris Isabelle sur ses genoux et la fait manger. Je vois Roger lorgner sa fille en douce. Le salaud commence à flancher. Je fais semblant de laisser tomber ma serviette et me baisse. Il bande comme un âne. Le moment est venu.Je prends Sarah sur mes genoux, face à son père et lui fit écarter les cuisses.— Roger tu as vu le minou de ta fille ? Je remone les cuisses de Sarah et lui écarte la moule.— Regarde comme il est beau, approche toi, viens le voir de plus près.Roger ne peut résister. Il s’approche et se laisse tomber à genoux devant la chatte de sa fille.Sarah veut protester, elle tente de serrer les cuisses, mais je la forçe à les garder ouvertes.les autres couples se sont approchés. Attirés par cette moule de pucelle.— Vas y Roger, bouffe lui la chatte elle n’attend que ça.Roger a une hésitation, mais Danielle s’empresse de l’encourager.— Mais vas-y, je sais que tu en meurs d’envie. Rappelle-toi quand tu m’a baisée en pensant à elle.Elle prit sa voix de petite fille.— Tu te souviens, papa, comme c’était bon ma bouche sur ta bite, ta langue sur ma chatte, et quand tu me baisais pendant qu’Albert m’enculait ?Alors Roger ne résiste plus, sa bouche se pose sur le con de sa fille, il se met à lui bouffer la moule avec ardeur. Toutes ses barrières morales s’envolent. Enfin son rêve se réalise, il a sa fille à sa disposition, Myriam veut intervenir, mais Albert l’en empêche, il la tient fermement contre lui. Je sens Sarah s’exciter peu à peu, sa poitrine se gonflet, ses tétons bandent, elle ne tente plus de résister, au contraire, sa chatte va au-devant de cette bouche qui lui fait tant de bien.— Alors petite salope, ça te plaît de te faire bouffer le con par ton père.Elle acquiesça de la tête.— Alors vas y, dit leur que tu aimes ça, que tu es une salope, dit-leur de quoi tu as envie.Sarah n’hésita pas une seconde.— Oh oui ! papa, bouffe moi la moule, c’est bon ta langue partout, tu sens comme je mouille pour toi. Suce-moi bien mon papa chéri. Je suis ta petite salope, ta petite putain. Fais de moi ce que tu veux.Roger n’a pas besoin de ces encouragements, il y va de bon cœur., son menton est luisant de la mouille de Sarah.— Mon papa, baise moi, prend mon pucelage je t’en prie. J’ai envie de ta grosse bite dans ma chatte.Myriam, toujours maintenue par Albert, protesta.— Non, pas ça Roger, tu ne vas pas baiser ta fille.Albert pris alors la parole.— Laisse faire, Maman, il en meurt d’envie et Sarah aussi. D’ailleurs, moi aussi j’ai envie de la baiser, mais d’abord je vais m’occuper de toi, ma maman chérie, tu sens comme tu me fais bander. Il y a des années que je me branle en pensant à ta chatte, à ton cul, à ta bouche de pipeuse. Aussi, aujourd’hui, je vais réaliser mon fantasme. Baiser ma salope de mère. Et ne dit pas que tu n’en as pas envie.Il posa sa main sur sa moule.— Tu es toute mouillée, tu en jouis d’avance. Suce-moi pour commencer.Myriam s’abandonne, tombant à genoux devant son fils, elle s’empare de sa bite, elle lui lèche le gland, puis engloutit la bite et entame une fellation qui a le goût d’inceste.Roger, voyant cela n’hésita plus. Il se saisit de Sarah, l’installe sur la table. Celle ci, cuisse écartée, dans une position impudique attend avec impatience la bite qui va la déflorer.— Viens vite, papa, vient me défoncer la chatte. Alors Roger pose son gland à l’orée de ce con vierge. Il força, Sarah est si trempée, elle a tellement envie de se faire mettre, que Roger n’a aucun mal à la pénétrer. Sarah poussa un léger cri quand son père lui brise son pucelage. Roger s’arrête quelques instants, le temps que sa fille s’habitue à ses dimensions, impressionnantes pour une pucelle, puis il commence à ramoner la chatte de sa fille. Sarah cri son plaisir.— Oui, papa, défonce moi, c’est bon ta grosse bite, je la sens bien. Va plus fort, plus vite. Je jouis mon papa. Tu m’emplis toute Oh oui! encore mon papa, encore.Roger n’en peut plus. Serré par ce jeune con tout neuf, excité par les paroles de sa fille et par la réalisation de son fantasme, il ne peut se retenir plus longtemps. Il explosa, son foutre inonde la chatte de Sarah qui hurle sa jouissance. Roger se retire, et Danielle se précipite sur cette moule dégoulinante de sperme pour en faire la toilette.Albert a baisé sa mère et sa sœur, Roger a baisé sa fille. Le week-end a pris fin. Sarah a été visitée par toutes les bites présentes dans ses trois trous. Elle a eu le plus beau dépucelage dont une fille peut rêver.
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