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De la vierge à la salope (suite)

Chapitre 12

Dominique

Trash
Dominique nous a invités à passer un week-end chez ses parents, près de Lille. Ceux-ci tiennent une boîte, à l’extérieure d’un village, dans un ancien moulin. Nous avons fait la route ensemble, dans la voiture de Dominique. Dominique est mon employée, elle me connaît parfaitement, elle connaît ma soif de sexe depuis que Norbert m’a révélée. Elle sait que je suis toujours nue sous mes robes, mais jusqu’à maintenant, il ne s’est rien passé entre nous, ce n’est pas l’envie qui m’en manque. Dominique est à croquer,1 mètre 60, une poitrine qui attire le regard, et autre chose, un petit cul bien cambré, Norbert à également flashé sur elle, il me presse pour que je l’entraine dans nos jeux, mais je ne sais comment la prendre, malgré ses jupes très courtes, et ses corsages échancrés, elle a l’air si sérieuse, et il y a Gérard, son mec, qu’elle adore.
Nous arrivons à destination. Le père de Dominique nous accueille. Très sympa, il à l’air d’un vieux loup de mer. Il me serre dans ses bras pour me souhaiter la bienvenue, un peu plus longtemps que nécessaire.
Après diner, Le père de Dominique, il s’appelle Roger, son frère et le DJ vont préparer l’ouverture de la boite. Il faut réalimenter le bar, préparer les disques. Pendant ce temps, nous aidons la mère de Dominique à ranger.
Roger redescend catastropher. Sa barmaid est malade, il n’a personne pour l’aider au bar. Il me demande
— Tu ne veux pas m’aider, mignonne comme tu es, tu vas attirer le client.— Ok, comment dois-je m’habiller ?— Quelque chose d’excitant, tu as bien cela dans tes affaires.— Venez voir.
Je l’emmène dans la chambre qu’ils nous ont attribuée, et ouvrant ma valise, je lui montre ce que j’ai emmené. Tout de suite il remarque l’absence de dessous, hormis les porte-jarretelles et les bas. Il ne fait aucuns commentaires, il choisit un kilt, très court, et un débardeur très échancré.
— Tient met ça, tu vas faire péter la recette.

Il me tend les affaires qu’il a choisies. Et il attend.
— Et bien vas-y, change-toi que je vois l’effet que tu fais.

Que faire, je ne vais pas jouer les prudes, que je ne suis pas. Je me déshabille, Roger peut constater que les dessous me sont vraiment inutiles. Nue, je fais un tour sur moi-même pour me faire admirer, il détaille ma chatte épilée, mes seins qui se dressent orgueilleusement. Roger pousse un sifflement admiratif.
— Ben ma salope tu es vraiment bandante, mais on n’a pas le temps. Habille-toi.

J’enfile les fringues qu’il m’a choisie, il me fait tourner sur moi-même pour voir l’effet produit, me fait pencher en avant, ma jupe courte remonte, découvrant mon fessier. Mon débardeur baille, découvrant ma poitrine jusqu’au tétons.
— Écarte les jambes quand tu te pencheras, les clients vont commander plus souvent. J’espère qu’une main au cul ne te fait pas peur. Cela va t’arriver souvent ce soir.— Ne vous en faîte pas, je ferais tout ce qu’il faut pour vous satisfaire.

Je lui débitais cette phrase, en prenant mon air le plus timide, les yeux baissés, en m’humectant les lèvres. Nous retournons dans la salle à manger Dominique et sa mère me regarde, sa mère avec des yeux ronds, Dominique avec un petit sourire. Elle se joint à nous pour le service au bar.
La soirée a démarré depuis déjà 3 heures. Je suis très sollicitée Il faut dire que ma tenue y est pour quelque chose, cela m’amuse, quand je sers à table, je me penche plus qu’il ne faut, exhibant ma moule, les clients ne se privent pas pour me passer une main sur la chatte, certains y mettant même les doigts. Je suis hyper excitée.
Norbert est dans la cabine du DJ, il me mate de loin, me faisant parfois un petit signe d’encouragement. Des minettes vont les voir pour demander un morceau spécial, ou autre chose. De temps en temps une d’elle disparaît sous la table de mixage. Roger, derrière le bar ne cesse de reluquer. Il me fait signe. Je passe derrière le bar. Roger me demande de le remplacer pendant qu’il va se débarrasser d’une envie pressante.
Je sers quelques clients, en exposant ma poitrine. Tout cela m’amuse. Je sens un regard lourd sur mes fesses. Je me retourne, Gérard est là è me mater. Je lui souris, en pensant à Dominique et Norbert, peut-être une ouverture.
Mais un nouveau client me détourne de ces pensées. Quelqu’un s’est collée à moi, je sens une bite se loger entre mes fesses. J’essaye de me retourner. C’est Roger
— Reste tranquille petite salope, depuis tout à l’heure tu allumes tout le monde, il est temps d’éteindre le feu.
Il soulève ma jupe, écarte mes jambes, je sens sa bite à l’entrée de ma chatte, enfin. Depuis le temps que l’on me tripote, je suis trempée, j’avais envie d’une bite, et ben en voila une et qui à l’air de belle taille. Je me penche un peu plus pour lui faciliter la pénétration.
Sa bite force l’entrée de ma cramouille, elle écarte mes chairs, prenant possession de ma moule. Ca y est, il est tout en moi, il reste un moment immobile pour m’habituer à cette pénétration. Puis il se met en mouvement. Sa bite me ramone le conduis, ma chatte se prête à cette pénétration, là, devant tous les clients, dans la demi pénombre, ils ne peuvent pas ne pas voir Roger, collé à moi, s’agitant, me pénétrant, me faisant jouir, car je mouille, je coule. Sa bite, plus les gents autour de moi décuple ma jouissance. Norbert s’est rendu compte qu’il se passe quelque chose, il me fait un sourire. Je suis aux anges, tout à mon plaisir, je n’ai plus fait attention à Gérard, il est toujours là, matant son beau-père en train de me baiser, mais il n’est pas seul, le frère de Roger est là aussi. Ils ont sorti leur bite tous les deux et se branlent en nous regardant.
Dominique arrive pour me passer une commande, mais elle reste bouche bé devant le spectacle que nous lui offrons.Je décide de me jeter à l’eau.
— Viens chérie, je t’attendais.

Dominique fait le tour du bar et s’approche. Je l’attire, je m’empare de ses lèvres et ma langue fouille sa bouche. Après un mouvement de recule elle se laisse aller. Son père, Gérard, son oncle la regarde. Ils restent sans voix. Dominique me rend mon baiser. Elle est accoudée au bar à coté de moi. Son père me baise toujours, je sens sa bite gonfler encore, la vue de sa fille avec une femme lui fait de l’effet.Après un moment d’hésitation, Gérard se rapproche de Dominique, il essaye de l’enlacer par derrière.
— Non pas toi lui dis-je.
Je fais signe à l’oncle de Dominique. Celui-ci s’empresse de se colle à sa nièce. Il doit en avoir envie depuis longtemps. Il lui remonte la jupe et baisse son slip. Dominique ne réagit pas, je la sens frémir. Son oncle s’empare de sa chatte.
— Alors chérie, c’est bon, qu’est-ce qu’il te fait.— Il me caresse la chatte, le clito, oh il m’enfonce un doigt, deux, c’es bon, je mouille, encore tonton, fais-moi jouir.

Roger n’en peut plus, voir sa fille branler par son frère lui fait de l’effet, sa bite gonfle encore, je suis comblée.Les clients s’attardent devant le bar, ils n’osent pas nous déranger.
— Le salaud, il m’encule.

En effet, Roger à changé de trou. Sa bite, bien lubrifiée par ma mouille n’a eu aucun mal à forcer ma rosette.Dominique n’est pas en reste, son oncle s’est enfin décidé, sa bite a forcé la cramouille de sa nièce, au grand plaisir de celle-ci, envahit par un braquemart de belle dimension. Gérard n’en peut plus, il voit sa chérie baisée devant ses yeux, il se branle doucement, juste pour entretenir sa bandaison en espérant autre chose.Soudain Roger s’exclame
— Je vais jouir.

Son frère aussi.
— Attendez pas dans nos chattes ou cul, ça va couler partout. Venez jouir dans notre bouche.

Nos 2 baiseurs se retirèrent, Dominique hésitait. Je l’encourageais.
— Vient boire le bon jus de ton oncle, et surtout avale tout.

Elle se décida enfin. Nous tombons à genoux devant nos baiseurs et entamons une pipe d’enfer.Gérard s’est approché pour voir sa chérie, la bouche envahit par une bite qui n’est pas la sienne. Dominique s’applique de son mieux malgré la taille du pieu qui lui écarte les mâchoires. Après quelques minutes de pompage, nos deux lascars crachent leur foutre que nous avalons avec délice.
Après cet intermède plutôt agréable, Dominique n’ose plus regarder Gérard en face. Celui ci ne dit rien, mais que peut-il dire, alors qu’elle l’a vu se branler en matant son beau père me baiser.Je prie Dominique dans mes bras, et lui murmurais à l’oreille
— Ne t’en fait pas, je suis sûr qu’il a pris son pied en voyant ton oncle te baiser. Ils sont tous pareil.
La porte de la boite s’ouvre sur une bande de copains qui font une halte avant de rejoindre une boite à strip tease pour fêter l’enterrement de vie de garçon de l’un d’entre euxA la vue de Dominique ils poussent des cris de joie Tous sont d’anciens copains de classe de Dominique, ils ont plus ou moins fantasmé sur elle.Les retrouvailles sont bruyantes.Roger me prend à part. Il veut que je fasse tout mon possible pour empêcher cette bande de quitter le club, pressentant une bonne recette.Pour cela, il me faut l’aide de Dominique. Ses copains l’entourent, l’embrassent en la serrant un peu trop, les mains un peu baladeuses, Dominique, encore sous l’emprise de la jouissance qu’elle vient de ressentir, ne réagit pas. Elle se laisse caresser, embrasser. Je me dis que c’est un bon coup à tenter.Les copains sontt installés dans le salon VIP, un salon entièrement clos, prévue pour des exhibitions ou des présentations de mode. On y est à l’abri des regards indiscrets.
Nous arrivons dans le salon, avec un chariot remplit de champagne, il fautt bien cela pour ces mecs assoiffés.Notre entrée déclenche sifflets et applaudissements. Il est vrai que deux jolie filles vêtues ou plutôt mises en valeur par une mini jupe très mini et un chemisier très ouvert vous mette en émois.
J’entraine Dominique sur la scène centrale.
— Messieurs nous allons vous proposer un petit spectacle, j’espère qu’il vous plaira et que vous resterez parmi nous. Sachez que nous sommes à votre entière disposition pour toute la soirée.

Sur ces paroles encourageantes et ambiguës, je fis un signe. (Je ne vous ai pas dit, ce salon était muni de caméra permettant de voir le spectacle en direct et de le filmer.) Un slow se fit entendre. Je prie Dominique dans mes bras et me mis à danser.Vous l’avez compris bien sur, la danse n’estt qu’un prétexte à un effeuillage un peu plus hot. Tous en dansant je saisis le visage de Dominique et m’empare de ses lèvres, je lui roule un patin. Un peu réticente au début, elle finit par me rendre mon baisé. Nos langues se mêlent, elle se serre contre moi, ses seins libres de toutes entraves s’écrasent contre ma poitrine. Sa baise avec son oncle a réveillé ses instincts pervers. Un silence lourd régne dans la pièce. Nos spectateurs ne s’attendent pas à ce spectacle, et ce n’est que le début.Je murmure à l’oreille de Dominique
— Ça va être ta fête, ils sont tous entrain de bander pour toi. Prépare-toi à vivre ta plus belle soirée de baise.— Gérard ne va pas être d’accord, il va me quitter.— S’il t’aime vraiment il sera heureux pour toi, et puis il va récupérer une vraie salope, les hommes adorent cela.

Tout en dansant j’écarte puis ôte le chemisier de Dominique, les spectateurs ne voient que son dos, mais ils peuvent voir mes mains s’activer sur ses seins que je caresse avec volupté. Je pinçe ses tétons, lui arrachant des gémissements de plaisir.
Dominique m’ôte également mon chemisier, nous sommes nues jusqu’à la taille toutes les deux. Le slow céde la place à un rock, pas trop rapide mais cela me permet de faire virevolter ma cavalière, révélant dans les mouvements de la jupe qu’elle n’a pas de slip.
Les spectateurs commencent à s’échauffer, les plus hardis ont sortie leurs bites et se branlent.Je décide d’accélérer le jeu. D’un geste je déboutonne la jupe qui s’envole.Dominique est nue, face à ses admirateurs qui ont tous sortie leurs bites cette fois. Je l’allonge sur la moquette de la scène, et m’accroupissant entre ses cuisses, je lui léche la chatte, ce faisant, j’offre à mon tour ma chatte aux regards lubriques.
Quelqu’un me souleve et m’écarte. Il veut ma place, il est nu, sans préliminaires, il saisi Dominique aux hanches et lui plante son braquemard dans la chatte. Dominique est si trempée qu’il s’enfonçe d’un coup. Elle pousse un râle de bonheur. Elle attend cela depuis trop longtemps, envolés ses scrupules, elle ne désire plus qu’une chose, se faire baiser.
Je suis à quatre pattes près de Dominique, les cuisses largement écartée. Je mouille d’abondance, les spectateurs ne peuvent ignorer ma moule béante et mon œillet idem.Mais pour l’instant seule Dominique les intéresse. Ils ont si souvent rêvé d’elle en se branlant dans leur lit. Maintenant elle est là, à leur disposition, ils veulent tous en profiter.Je décide de les aider. M’emparant de la bite du premier près de moi, je le fais mettre à genoux près du visage de Dominique, j’approche la bite de ses lèvres, elle ne se fait pas prier et englouti le braquemard pour une pipe d’enfer.
Voyant cela tous les participants se mettent à genoux près de la belle, mais elle n’a qu’une bouche, alors je me dévoue et me met à sucer toutes ces belles bites, mais uniquement pour les entretenir, sans les faire cracher.
Un des participants, plus impatients que les autres me saisit aux hanches, je suis à quatre pattes, je ne vois pas qui s’est enfin décidé, mais je sens un braquemard hors norme envahir ma chatte, je pousse un soupir de satisfaction. Enfin !!!!!
Mon baiseur me laboure la chatte, un autre s’est enhardi et me présente sa bite que j’entoure de mes lèvres, la titillant avec ma langue. Les quatre premiers mecs ne résistent pas longtemps, et crachent leur foutre que nous avalons avec délice. Des exclamations fusent
— Les salopes elles avalent.

C’est le déchainement. De nouveaux partenaires s’emparent de nos corps, envahissent nos chattes et nos bouches.Je ne compte plus le nombre de bites que j’ai reçu quand j’entendis Dominique protester. Quelqu’un veut l’enculer, elle ne l’a jamais fait, elle at peur. Je m’approche, la saisis dans mes bras, la câline, caressant ses seins, tirant sur ses tétons, branlant son clito.
— Je vais te préparer, tu vas voir, tu vas adorer, tu ne pourras plus t’en passer.— Ça va faire mal.— La première fois et encore, si tu es bien préparé, même pas.

J’entreprends de lui lécher la rondelle, l’humectant bien de salive, me servant de ma langue comme d’une petite bite pour m’introduire dans son anus. Après quelques réticences, elle se détend, commençant à apprécier ma feuille de rose. Je plonge mes doigts dans sa chatte pleine de mouille et de foutre, puis je lui enfonce un doigt, puis deux puis trois dans le cul. Elle gémit de plaisir, tendant ses fesses vers moi, elle est prête.Je parcoure les participants du regard pour trouver la bite la plus appropriées pour ce dépucelage. J’en avise une longue et fine, le gland pas trop gros. Pour une première c’est la bonne. Je fais signe à l’heureux élu. Oh surprise, c’étais son futur beau frère, encore mieux.Il s’approche tout timide, je prends sa bite en bouche, la lèche quelque peu pour bien l’humecter. Puis la saisissant je l’approche et appuis le gland sur la rosette de la pucelle. Yann commençela pénétration, Dominique se contracta.
— Pousse chérie, comme si tu voulais chier.

Elle suit mon conseil, le gland franchit la porte étroite, le reste suit sans problème. Quand Dominique sent les couilles frapper sa chatte elle soupire Yann commençe son ramonage.Peut à peut Dominique s’agite, elle gémit de plaisir
— Oh c’est bon, bourre moi fort, défonce moi, j’adore.— Tu vois chérie, je te l’ai dit. Tu ne pourras plus t’en passer.

Dominique jouit du cul autant que de la chatte, c’est une révélation pour elle. D’un coup toutes ses barrières s’effondrent. Elle se découvre salope, et cela a l’air de lui plaire. Soudain elle a un cri de jouissance. Yann crache son foutre dans ses intestins, déclenchant un orgasme violent. Il se retire. Le cul de Dominique est resté ouvert, dégoulinant de foutre. Je m’empresse de faire signe à un autre mec, Il faut profiter des bonnes dispositions de la petite salope pour l’ouvrir encore plus.
Le mec, un Black doté d’une bite impressionnante s’approche en se branlant doucement. Ne pouvant le prendre en bouche malgré ma grande capacité, je me contente de le lécher sur toute la longueur de sa bite pour l’humecter. Dominique est restée dans la même position, j’approche cette belle bite de sa rosette, l’appuit dessus et encourage le nouveau baiseur.
Celui-ci saisit Dominique par les hanches et appuit de tout son poids, l’orifice résiste un peu, mais il ne tarde pas à céder. Le gland force le passage la queue toute entière suit, et la salope est embrochée jusqu’à la garde malgré ses protestations.
Le black (moïse) attend un peu que Dominique s’habitue au diamètre, celle-ci transpire à grosses goutes.
— J’ai mal, il est trop gros.— Attend un peu, salope, tu vas t’y faire et tu en redemanderas.

Effectivement, au bout de quelques minutes, Moïse commence à s’animer, il sort presque complètement sa queue, puis la réenfilet avec force, les gémissements de Dominique se transforment en gémissement de bonheur, puis en hurlements. Je me suis installée tête bêche sous elle pour lui bouffer la chatte. Elle dégouline d’une mouille épaisse, ce qui en dit long sur sa jouissance, mélangée aux spermes de ses différents baiseurs.
Quelqu’un s’approche de moi. Une bite, anonyme, m’envahit la chatte, elle est de bonne taille, me remplit bien. Mon baiseur me ramone avec entrain. A ce rythme, les mecs n’ont pas tenu longtemps. Ils lâchent leur foutre dans nos orifices respectifs, déclenchant notre jouissance.Dominique, l’euphorie passée, est rouge de honte. Elle s’est conduite comme une salope, et malgré sa honte, elle a aimé, s’est découverte sous un jour nouveau.Je lui glisse dans le creux de l’oreille que Norbert est impatient de la baiser. Elle ne dit rien, prête à s’abandonner à cette nouvelle bite, après son oncle, ses copains de classe, quelques inconnus, une bite de plus ou de moins ne lui fait pas peur. Son seul soucis, Gérard. Celui-ci s’approche justement, il la prend dans ses bras.
— Bravo ma chérie, j’adore te voir baiser, tu es une vraie petite salope. On va pouvoir s’amuser avec Danielle et Norbert.
Ce disant, il me fixe avec concupiscence. Alors pour sceller cet accord, je tombe à genoux devant lui, m’empare de sa bite que j’avale consciencieusement.
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