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De la vierge à la salope (suite)

Chapitre 13

Au Théatre ce soir

Orgie / Partouze
Norbert m’a appelé au salon. Nous sortons ce soir. Il m’a donné rendez-vous prés du boulevard st Michel. Je le retrouve à 20 heures. Vêtue comme il me l’a demandé d’un corsage boutonné devant et d’une mini-jupe également boutonnée. Bas porte-jarretelles et string complète ma tenue. Pas de soutien-gorge. Norbert m’attend à la terrasse d’un bar. Comme d’habitude, mon arrivée suscite l’intérêt des mâles présents. Il faut dire que mes hauts talons me donnent une démarche très excitante, et ma mini-jupe en montre plus qu’elle n’en cache. Je me penche pour l’embrasser, ce qui permet aux mecs placés derrière moi de voir que mon string ne cache pas grand chose. Norbert se lève et nous partons. Malgré mes questions, il refuse de me dire où il m’entraîne.
— Tu vas voir, ce n’est pas loin, c’est un endroit formidable que j’ai découvert grâce à des copains très intéressants. D’ailleurs il faudra que je te les présente.

Nous arrivons devant une porte. Une plaque à côté de l’entrée indique "L’antre du plaisir". Tout un programme. Nous entrons, et après avoir réglé nos billets (avec une réduction pour les femmes), Nous descendons dans un sous-sol aménagé en théâtre, mais un théâtre un peu particulier. Les fauteuils sont remplacés par des banquettes très confortables et d’un seul tenant. Dans un coin, un lit attend, donnant une idée du genre de spectacle. Le public n’est composé que d’hommes, tous d’age mûr, à l’exception d’un ou deux. Mon entrée est très remarquée. Je sens les yeux de tous ces mâles braqués sur moi. Pour atteindre la salle, il faut descendre un escalier, dont le seul but est de dévoiler les jambes des femmes, et même plus haut. Les banquettes sont toutes occupées, mais deux messieurs se serrent pour nous laisser de la place. Je me trouve ainsi coincée entre Norbert et un homme qui doit bien avoir la cinquantaine.
Les coussins qui recouvrent les banquettes sont profonds, je ne peux éviter que ma mini-jupe se relève, dévoilant un peu plus mes jambes, et l’orée de mes bas. Les hommes devant moi se sont retournés pour essayer de profiter du spectacle. Mais nous sommes trop serrées, et ils ne peuvent rien voir. La lumière baisse. Une musique langoureuse s’élève. Tous les yeux se braquent sur l’escalier où une fille superbe est apparue. Vêtue d’une robe longue, elle descend les marches en se déhanchant au rythme de la sono. Elle arrive dans la salle et commence à danser d’une manière sensuelle. Je suis déçu. Ce n’est que cela, une boîte à strip-tease. Norbert m’a habitué à mieux. C’est vrai la fille est très belle, mais bon. Voir une fille se déshabiller, ce n’est pas le pied. J’en fais la remarque à Norbert qui me demande de patienter. La fille commence à circuler entre les banquettes, au passage, des mains s’attardent sur ses fesses ou sa poitrine sans qu’elle n’y prenne garde.
Elle arriva devant moi.
— Bonsoir, me dit-elle d’une voie chaude et sensuelle, tu es très belle, tu n’as pas peur au milieu de tous ces mâles ?

Sa main caresse mon visage, puis elle continu sa tournée, non sans poser au passage un baisé sur la bouche de Norbert.
— Tu la connais ?— Un peu, elle est très sympa.

La fille regagne la salle, où elle commence à se dévêtir. Elle est très belle, de longues jambes, une chatte entièrement rasée, de petits seins en poire, une bouche sensuelle. Je sens la tension monter dans la salle. Les hommes s’agitent. Mon voisin se serre contre moi, essayant de frôler ma poitrine sans en avoir l’air. Cette ambiance érotique commence à faire son effet. La pointe de mes seins durcir, ma chatte s’humecte de mouille. Je m’agite sur mon coussin. Norbert passe son bras autour de mes épaules et se saisi d’un sein, faisant rouler la pointe entre ses doigts. La fille, qui s’appelle Olivia, recommence à circuler parmi les spectateurs, s’asseyant sur les genoux des hommes qui laissent leurs mains courir sur ce splendide corps nu, caressant un sein, se glissant sur la chatte, les hommes qui n’ont pas la chance de l’avoir sur leurs genoux se lèvent pour approcher d’elle et essayer de la caresser. Olivia continu son parcours sans me quitter des yeux.
Je sens que ces haltes près des mâles ne sont là que pour retarder le moment où elle sera près de moi. Je n’en peux plus, j’attends ce moment avec impatience. Olivia m’excite beaucoup. Enfin elle est devant moi. Elle me fixe en passant sa langue sur ses lèvres. Puis elle s’accroupit me prend le visage. Sa bouche s’approche de la mienne, et elle m’embrasse. Mes lèvres s’ouvrent sous la pression de sa langue, ma langue s’enroule autour de la sienne dans un ballet infernal. Un flot de mouille envahit ma chatte. Ce simple baisé a déclenché ma jouissance. Les mains d’Olivia se glissent sous ma jupe, elle se saisit de mon string et tire vers le bas. Je soulève les fesses pour lui faciliter cette tâche. Olivia porte mon string à ses narines, elle hume l’odeur de mouille.
— Messieurs cette dame jouit comme une salope. Sentez cette odeur.


Elle lance mon string au milieu des hommes qui se précipitent pour s’en emparer.
Tous les regards masculins sont tournés vers moi. Posant la main sur mes cuisses, Olivia essaye de les écarter. Ce n’est pas facile. Je suis coincée entre Norbert et un spectateur, et ma mini est très serrée. Heureusement elle est boutonnée devant, Olivia détache quelques boutons, les pans de ma jupe s’écartent, dévoilant mes cuisses, ce n’est pas assez pour Olivia qui déboutonne le vêtement jusqu’à la taille, ne laissant qu’un bouton attaché.
Ma chatte désormais est à l’air. Mon voisin, les yeux exorbités, fixe mon ventre nu, plus que nu puisque je suis comme à mon habitude entièrement épilée. Mes cuisses jointes empêchent les regards d’atteindre mon intimité. Olivia se saisie de mes jambes et en glisse une sur les jambes de Norbert et l’autre sur celle de mon voisin. Ainsi, ma moule est offerte à la vue de tous.
Elle se penche, son souffle m’effleure la chatte, je pousse le ventre en avant, à la recherche d’une caresse plus précise. La langue d’Olivia effleure ma moule, légèrement sans insister. C’est déjà trop.
Olivia me prend par la main et m’entraîne sur la piste. Au passage, les mains des spectateurs s’attardent sur mes fesses, essayant de me pénétrer. La belle Olivia me serre contre elle et se met à danser. Sa moule se frotte contre la mienne, ses seins caressent les miens. Elle s’empare de nouveau de ma bouche, me bouffant la langue. Je m’abandonne dans ses bras, elle détache le dernier bouton qui retient ma jupe. Je me retrouve les fesses à l’air, seulement vêtue d’un porte-jarretelles de mes bas, et d’un chemisier qu’elle s’empresse de m’ôter.
Je suis entièrement nue devant tous ces mâles dont les regards lubriques s’attardent sur mon corps.
Olivia m’abandonne, son numéro est terminé, elle cède sa place à une autre fille. Je suis déçue. Elle me laisse regagner ma place. Je n’y arrive pas. Des mains me saisissent au passage, m’obligent à m’allonger sur plusieurs mâles, sur le ventre. Ma bouche est à hauteur d’une braguette. Son propriétaire l’ouvre, me présentant un sexe, déjà en érection, que je m’empresse d’avaler. Une main se glisse dans mon entrecuisse, prenant possession de ma chatte.
La salle se rallume, je veux resserrer mes cuisses, mais Norbert et mon voisin m’en empêchent. Je suis offerte aux regards de tous les mâles. Mon époux doit estimer que ce n’était pas assez, il souleva mes seins, les offrants à la salle. Sous l’effet de l’excitation, mes tétons se dressent. Norbert les effleure, déclenchant un orgasme. Mon voisin me fixe d’un regard pervers. Je sens qu’il ne va pas résister longtemps à l’envie de me toucher.
Sur la rangée de devant, qui est légèrement en contre bas, tous les hommes sont tournés vers moi. Leurs yeux sondent mon coquillage. Je sens physiquement leurs regards, et cela déclenche des frissons. Une douce chaleur m’envahit, j’ai envie de me caresser, mais un reste de timidité m’en empêche.
La lumière baisse, la musique envahit de nouveau la salle, un autre personnage apparu.
Mince, les cheveux très courts, vêtu d’un pantalon et d’une veste. Est-ce un homme ou une femme. Les spectateurs présents ont l’air surpris. Norbert me glisse à l’oreille ;
— C’est curieux, d’habitude il n’y a que des filles.

Le personnage ambigu ne traîne pas au milieu des spectateurs. Il vient directement vers moi.
— Salut poupée, Olivia m’a dit que tu es en chaleur, laisse-moi vérifier.

Sa main s’approche de ma chatte qu’elle caresse.
— Mais c’est vrai, tu mouilles comme une vraie salope.

S"adressant à mon voisin
— Touchez vous allez voir.

Celui-ci ne se fait pas prier, sa main s’attarde sur ma chatte en une caresse insistante, son doigt me pénétré. Il attend cela depuis si longtemps.

Le personnage s’adresse à Norbert.
— C’est ta femme ?

Norbert acquiesça.
— Alors laisse la place à quelqu’un d’autre.

Et il fait déplacer Norbert, un autre spectateur se trouve placé prés de moi, la soixantaine, très élégant.
En se déplaçant, Norbert a implicitement donné son accord pour que les spectateurs se servent de moi comme ils l’entendent.
Mon nouveau voisin se saisi d’un sein et le caresse, mon autre voisin continu de me masturber. Les autres spectateurs se rapprochent de moi, essayant de toucher qui un sein, qui ma chatte, les mains se promènent sur tout mon corps, déclenchant orgasmes sur orgasmes.
Le personnage qui a déclenché tout cela rejoint le centre de la salle. Il commence’ à se déshabiller au rythme de la musique.
Je ne le quitte pas des yeux, curieuse de voir qui il est. Son corps androgyne, son visage fin et beau m’attirent.
Il ôte sa veste et sa chemise, sa poitrine dénudée apparu. Pas de seins, cependant ses tétons sont très longs.
Il baisse son pantalon. Un string cachet une grosseur imposante et déjà dressée.
Un homme ?
Il ôte son string. Sa bite apparue, énorme. Dans la pénombre elle me parait monstrueuse. Norbert s’approche, il le prend dans ses bras et lui murmure quelque chose à l’oreille, saisissant sa bite. Les phantasmes de mon époux le reprendrait-il ? Ce corps androgyne a l’air de l’exciter.
Les autres spectateurs ne s’occupaient pas de ce qui se passait sur la scène, trop occupés par ce qu’ils essayaient de me faire subir.
Le personnage androgyne revient vers nous, écartant les spectateurs, il se poste devant moi. Oh ! Surprise, c’était une femme équipée d’un gode. Celui-ci est de bonne taille, elle le présente devant mes lèvres.
— Suce.

Ma bouche s’ouvre pour laisser passer le gland énorme. J’ai beaucoup de mal à l’avaler, aussi je me contente de le lécher. Ma langue glisse autour de lui, l’humectant abondamment. Je préférerais une vraie bite, mais apparemment, les hommes présents ne semblent pas prêts à me proposer la leur.
Pendant ce temps, les autres spectateurs continuent de me caresser, fouillant ma chatte, certain se hasardant même à glisser un doigt dans mon cul, ce que je facilite en glissant mes fesses vers l’avant.
La fille me fit lever et s’installa à ma place.
— Vient sur moi, empale-toi.

Je ne lui fis pas répéter deux fois, je m’accroupis lentement sur le gode. Celui-ci me pénètre écartant mes chairs intimes. Quelle merveilleuse sensation ! Le gode est énorme, ma chatte bien lubrifiée l’accepte avec bonheur, sans douleur. Les mâles se sont regroupés devant nous pour admirer cette lente pénétration. Ma baiseuse (qui s’appelait Cynthia) me prend les seins, me tordant les tétons. Je jouis sans relâche. Une main s’empare de mes fesses, un doigt force ma rosette. Je me penche le plus possible pour faciliter cette nouvelle pénétration. Norbert s’approche, Il se penche vers un des hommes,
— Tu veux qu’elle te suce ?
L’homme acquiesce, Norbert fait tout le travail, il lui ouvre la braguette, s’empare de sa bite et la présente devant mes lèvres que je m’empresse d’ouvrir pour engloutir cette belle bite. Pendant ce temps, celui qui me doigtait le cul (ou un autre) remplaça son doigt par son braquemart. Son gland appuie sur ma rosette qui ne demande qu’à s’ouvrir pour accueillir cette nouvelle queue. Ma fleur s’écarte, je sens le mufle me perforer, sa tige toute entière m’envahit.
Je jouis comme une dingue. Prise par devant et par derrière, une bite dans la bouche, des mains qui parcourent mon corps, me caressant les seins au passage. Le mec que je suce ne tarde pas à m’envahir la bouche de son foutre. Il se retire remplacé par une autre bite. Mon enculeur crache son foutre, vite remplacé lui aussi.
La soirée dure longtemps. Je ne sais combien de bites ont profité de mes orifices. J’étais épuisée.
En partant le gérant nous dit de revenir quand nous voulions. Pour nous ce serait gratuit.
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