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Vieux con fort et bagatelle

Chapitre 2

Hétéro
« - Dites donc, ma p’tite dame, c’est parce que je suis étudiant et que j’ai un air de premier de la classe que je suis un boy-scout et que c’est marqué pigeon sur mon front ! Avec votre air de ne pas y toucher, vous me l’avez bien barboté mon Kindi Bono, et juste sous mon nez, pendant que je me faisais un étirement musculaire pour vous attraper tout le rayon du haut !— Mais enfin, jeune homme, je ne vous l’ai pas volé. Il était encore à tout le monde, et je l’ai payé. » me fait-elle avec un air faussement indigné.— Ouais mais en attendant, vous êtes arrivée derrière, je l’avais vu le prems, et hop ni vue mais par contre, reconnue. Vous, vous êtes le genre de mamies qui zouille dans les files d’attente d’Astérix ou de Mickey et passe devant des gosses de cinq ans, en loucedé, l’air de rien, en prenant l’air con, l’air de la vieille qui commence déjà à perdre la tête, et pour monter sur un manège à la con, en piquant leur tour aux minots !— Mais je ne vous permets pas jeune homme ! Et le privilège de l’âge ? Et la bonne éducation, alors ? Vos parents ne vous ont pas appris qu’il fallait laisser votre place aux personnes aux personnes âgées ?— Ma place ? Je veux bien, mais là, il s’agit pas d’une place assise dans le bus, mais d’une confiserie à la con ! On devrait plus manger de ça, à votre âge ! Et puis question éducation, pardon, mais pour faire ce que vous faites, je suis pas sûr que la vôtre ait été terminée !— Ooooh ! L’impertinent ! Il se permet ! Vous en avez des idées sur les personnes âgées, jeune insolent ! Je mange ça et bien d’autre chose encore, vous seriez surpris !— Ouais bah en attendant, moi je suis privé de dessert et j’ai rien fait. »
Je continue à marcher en la tenant par le bras. Tout compte fait elle a plutôt l’air de trouver ça agréable. En nous voyant on croirait voir une mamie promenée par son petit-fils, toux deux se querellant gentiment.Elle continue à sourire en coin, amusée, pas le moins du monde effrayée, et en feignant l’air offusqué.Je suis énervé, même si j’en n’ai pas l’air. J’ai envie de lui serrer le bras et de la précipiter sous les roues d’un bus et lui criant :
« - Tu veux que je te fasse traverser, mamie ?!!! »
Bon, j’ai du respect pour les vieux, et je vais pas faire ça, bien entendu, pas la brutaliser. Mais ce qui m’énerve le plus c’est qu’elle me trouve finalement gentil, bien élevé, bien coiffé, genre le fils de bonne famille. C’est vrai que j’ai pas ni le look ni la gueule d’une caillera, mais si j’arrive pas à faire ressentir le moindre commencement de crainte ou de respect par une mamie de 70 ans, je vais vraiment avoir du mal avec les meufs !
Alors du coup, je lui lance :
« - Vous savez, ma p’tite dame, il y a plein de vieilles dames qui se font tirer leur sac chaque jour, dans les rues. Vous voudriez quand même pas que je fasse ça ?— Oh mais vous ne le ferez pas, vous êtes un bon garçon, ça se voit.— Ouais bah le bon garçon il pourrait juste vous arracher le paquet de Kindi Bono et se casser, vous laisser là comme une… enfin, vous laisser là, et partir avec et se les bouffer comme il avait prévu !— Ooooh… Vous allez quand même pas vous mettre pareillement en colère parce que vous n’avez pas eu votre friandise ? Vous n’étiez pas du genre à vous rouler par terre, quand vous étiez petit, quand-même… ?— Ouais, bah j’ai pas mes Kindi Bono… » dis-je en boudant, me rendant compte combien j’ai l’air con.« - Allez, c’est pas si grave, jeune homme » me dit-elle en me regardant par en dessous, un peu inquiète quand même.
« - Bon, vous allez me dire, comme dans la pub avec Tonga : « on partage ? »— Ah non… ça non… !— Bon, mais je vais vraiment devenir méchant, moi ! » dis-je en rugissant, comme un lion qui a pu ses Sickers.
Elle répond rien. Elle lâche rien, la vieille. Une dure à cuire. Elle croit qu’elle va m’avoir à l’usure ? Mais moi je ne la lâche pas, je la tiens toujours par le bras. Si elle croit que je vais lâcher le morceau… ou plutôt le Kindi Bono.Elle va pas s’en tirer comme ça :
« - Alors OK. Je vous laisse le Kindi Bono, vous l’aurez entièrement pour vous. Mais je veux une compensation » dis-je en m’arrêtant, et du coup, en l’arrêtant de force.— Quelle compensation ?— N’importe laquelle ! Vous devez bien avoir quelque chose chez vous ? Des pâtes de fruits, des trucs comme ça, de la pâte d’amande… un truc que vous aimez pas. »
Elle s’arrête, elle réfléchit, sérieuse. « Bien non… Je suis très gourmande » continue-t-elle en riant. « J’aime tout. — Ouais. » J’ai l’air fâché. Le visage fermé et sombre.Ça l’amuse visiblement. Elle me sourit. Elle m’aime bien finalement.Elle lâche alors, prudemment, comme craignant ma réaction :
« - Je peux vous faire un thé…— Ouais… un thé… c’est déjà un début. »
Elle se remet en marche :
« - Allez, venez, on est presque arrivés, j’habite là-bas » me dit-elle en désignant le bout de la rue que nous suivons.
Je me dis que finalement elle ne doit pas être fâchée d’avoir de la compagnie. En effet, elle vit seule.Et elle n’est pas peureuse. Elle m’emmène chez elle. Elle n’a aucun doute, aucune crainte.
Arrivé chez elle, ma colère commence à tomber. Chez elle c’est propret, plutôt joli et de bon goût.Pas un appart sombre et crade qui sentirait le moisi et la boule à mites.Elle a finalement de la classe, la petite mamie. Maintenant je me mets à la regarder calmement. Elle est habillée simplement mais plutôt avec un style gai.
Elle met l’eau à chauffer. Elle fait un remue-ménage dans ses placards, a l’air de fouiller partout.Je me suis assis sur le canapé de tissu.Elle revient vers moi, affecte un air contrit :
« - Je suis désolée, je n’ai même pas de biscuits. Il ne me reste rien.— Ouais ! » dis-je l’ai bougon, « vous êtes tellement gourmande que vous avez tout mangé…— Non, au contraire » dit-elle en prenait l’air d’une coquette, et touchant son ventre plat « je me connais et j’évite d’avoir trop de bonnes choses comme ça chez moi, sinon je m’empiffrerais et je n’aurais plus la ligne…— Oui, c’est vrai que vous êtes plutôt bien f… plutôt mince » rectifié-je.« - Oui, c’est vrai, merci de l’avoir remarqué. Vous savez, même à mon âge, j’aime encore les compliments… »
Les mains dans mes poches je la mate, la tête baissée ; c’est vrai qu’elle est plutôt coquine, la vieille bique. Je me demande comment elle était il y a 30 ans…
Elle ramène la théière pleine et fumante, avec un ravissant sourire. Elle s’assoit, me verse le thé :
« - C’est vrai que j’ai honte. Ne rien avoir à offrir avec le thé. Ça ne se fait pas. Mais c’est vrai que je ne reçois pas. Plus personne à inviter… »
J’ai envie de lui dire : « c’est triste » mais je me retiens. Pas que je sois encore en colère, mais à quoi ça servirait de remuer le couteau dans la plaie ?
« - Bon », me dit-elle avec un air gentil, exquis à vrai dire, « on partage alors ?— Non » lui réponds-je en m’étonnant presque moi-même, « vous pouvez le garder, votre Kindi Bono !— Vous êtes sûr ? » insiste-t-elle sans grande conviction ?« - Oui, je ne voudrais pas qu’on me taxe d’enlever la confiserie de la bouche d’une vieille dame…— Ça c’est gentil, ça. Je savais bien que vous étiez un bon garçon.— Un bon garçon, un bon garçon, ça vous pouvez pas le dire sans y avoir goûté » dis-je avec un air vicieux, faisant le malin.
Elle prend un petit sourire amusé, en coin, boit son thé. Quelques minutes passent, et je suis certain qu’elle ne va pas relever. Puis elle lève un œil, me regarde bien droit dans les yeux et répond :
« - Qu’est-ce que vous voulez dire par là… ? »
Ah la vache, elle me cherche ou quoi ? Elle veut savoir jusqu’où je vais aller, pense que je vais me dégonfler, que je vais être gêné.Alors je réplique, provocateur :
« - J’ai parlé d’une petite compensation, tout à l’heure. De l’eau chaude, c’est gentil, mais c’est un peu maigre pour un homme de mon âge. J’ai 23 ans. Je suis dans la force de l’âge. Et vous savez, la vie d’un étudiant n’est pas très marrant. Malgré tout ce qu’on raconte sur les filles d’aujourd’hui, il faut se lever de bonne heure pour les pécho ces mijaurées. Alors les petits plaisirs qui peuvent agrémenter la vie, je les cherche encore… »
Elle va me donner congé comme on dit, me foutre à la porte, m’éconduire. Ou me faire gentiment la morale. Me dire qu’à son âge on attendait le mariage, et puis on ne parlait pas de ces choses-là, c’était sale ou en tout cas c’était privé, trop intime.Mais pas du tout, et je suis scié :
« - Hum, c’est vrai qu’à 23 ans, vous devez être… vigoureux. On démarre au quart de tour à votre âge. Et un homme de votre âge a des gros besoins… C’est normal, c’est la nature.— Oui, ça vous pouvez le dire. »
Je l’encourage. Je veux voir où elle veut en venir. Jusqu’où elle va aller.C’est con mais j’ai une gaule d’enfer, tout d’un coup. Dès qu’elle m’a fait comprendre par ses sous-entendus qu’on ne devrait pas laisser les jeunes hommes de mon âge dans la détresse sexuelle.Y a pas moyen de pécho une fille de mon âge, et les cougars j’ai bien essayé : malgré tout ce qu’on raconte c’est le bide ; alors si une femme plus âgée veut se dévouer pour soulager mon hypertension sexuelle, je ne dirais pas non.Mais je n’y crois pas.
Mais soudain… j’hallucine :
« - Vous vouliez une petite compensation, jeune homme. Et pourtant… c’est moi qui vais avoir une friandise. »
Et là-dessus elle se lève, se met à genoux devant moi, et direct, caresse mon entrejambe. Elle sent mon bâton bien tendu, bien gros.Elle le masse et me regarde dans les yeux, gourmande :
« Hummmm… oui, en effet, une belle vigueur… C’est beau la jeunesse.Vous savez, j’ai été jeune aussi. Et ça vous paraît peut-être une autre époque, mais pour moi c’était hier… et je n’ai pas oublié. Et vous allez me rafraîchir la mémoire. »
Et là-dessus, sous mes yeux fascinés, elle s’attaque avec ses doigts aux ongles vernis, soignés et d’un beau rose brillant, aux boutons de mon 501...
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