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Vieux veuf épris de sa fille aînée célibataire…

Chapitre 1

Comment tout a commencé

Erotique
Je me présente, Lucien, 75 ans, veuf depuis trois ans déjà, père de deux filles de 47 et 51 ans. La seconde, Julie, mariée, trois enfants, vit à l’autre bout de la France, ne me permettant pas de voir aussi souvent que j’aimerais mes deux petites-filles et mon petit-fils.Mais j’ai la chance d’avoir ma fille aînée Sylvie, toujours célibataire, à moins d’une heure de route de la maison. Elle me rend visite d’ailleurs très souvent depuis que sa mère nous a quittés il y a trois ans à la suite d’une longue maladie. Durant les derniers mois de mon épouse passés à l’hôpital, Sylvie s’est rapprochée de moi pour m’aider à maintenir la maisonnée en état tout d’abord, mais surtout pour nous soutenir le moral mutuellement.Étant donné son métier d’enseignante, elle a de nombreux jours de libres pour faire un saut à la maison, quand le besoin s’en fait sentir. Si les jours ont été difficiles à vivre lorsque nous devions nous relayer à l’hôpital, j’apprécie beaucoup aujourd‘hui qu’elle continue de me rendre régulièrement visite depuis. Nous nous sommes ainsi découvert plus d’affinités que je ne pensais, même si elle reste très pudique, n’exposant jamais trop son corps, ni même ses sentiments profonds, au point qu’elle ne m’a jamais présenté l’un de ses amants ; se contentant, je suppose, de baiser lorsqu’une occasion se présente sans s’attacher pour autant à un mec en particulier.Mais le fait de vivre depuis trois ans beaucoup plus près d’elle m’a permis de percer beaucoup de mystères dont elle s’ingénie toujours à s’entourer, au point que j’en suis malgré moi un peu tombé amoureux, tant elle ressemble à sa mère par certains côtés ...Dans ce premier chapitre, je vais montrer comment tout a commencé pour que ce sentiment incestueux finisse par me gagner aujourd’hui.
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Son emploi du temps d’enseignante avec le lundi de libre durant l’année de la mort de sa mère lui a permis de passer trois jours complets à la maison pour m’épauler. Elle a continué de passer ses grands week-ends avec moi lorsque je me suis retrouvé seul.Elle aimait beaucoup me raconter sa semaine passée avec ses élèves. Cela me distrayait beaucoup, je l’avoue. Le soir, nous regardions souvent un film ou une série ensemble avant d’aller nous coucher chacun dans sa chambre bien sûr. Je savais qu’aimant beaucoup lire depuis l’adolescence, elle ne s’endormait pas aussitôt. Sa lumière restait souvent allumée très tard jusqu’à une ou deux heures du matin parfois.De mon côté, c’est sur Internet que je continuais la soirée et de plus en plus souvent sur des sites érotiques pour m’exciter un peu. J’ai fini par prendre goût à ses séances masturbatoires face à l’écran, allant même jusqu’à le faire avec ma cam allumée. Je me suis alors imaginé que ma fille soit un peu comme moi, prête à s’exhiber à l’occasion sur le Net ...Cette idée a fait son chemin tant et si bien que je me suis excité rien qu’en y pensant, et de fil en aiguille, je me suis mis à échafauder des plans pour que Sylvie s’inscrive sur l’un de ces sites.Ainsi très récemment, un dimanche matin, lorsque je l’entends prendre sa douche, je vais discrètement dans sa chambre. Par chance, elle a laissé sa tablette allumée. Je jette rapidement un coup d’œil à son historique de navigation. Bingo, la nuit dernière, elle est allée plus d’une heure sur le forum d’un site naturiste !... J’en reste complètement éberlué, ne lui ayant jamais vu de décolleté prononcé, ni les seins libres sous son pyjama, même au saut du lit, contrairement à sa sœur. Me cacherait-elle cette face exhibitionniste très éloignée de sa personnalité affichée devant moi ou plus simplement va-t-elle sur ce site pour mater en cam des mecs et les regarder se branler en discutant avec elle ??L’entendant toujours sous la douche, je me lance à ouvrir le site, et là, merci aux cookies, son pseudo « sylvie47 » m’apparaît. Je quitte rapidement le site et regagne ma chambre en me disant que cela fait sans doute quatre ans qu’elle est sur ce site puisqu’elle n’habite pas dans le 47. Je me reconnecte au site cette fois depuis mon ordi et m’y inscris en m’abonnant pour pouvoir utiliser tous les services et en particulier celui de découvrir le profil de ma fille ! ...Mais là, aucun détail croustillant, ni photos suggestives bien sûr, uniquement son âge en face de son symbole rose de femme, ses dates d’inscription, quatre ans auparavant effectivement et de sa dernière visite sur le site, moi en l’occurrence, il y a quelques minutes. Son message de présentation est très laconique : « Je souhaite rencontrer ou dialoguer avec des personnes proches de la nature ». Il est aussi précisé qu’elle utilise le tchat.Je décide donc d’écrire ma présentation en conséquence : « Homme d’expérience prêt à dialoguer avec toutes personnes aimant la nature pour échanger nos vécus ». Je quitte le site avec l’idée d’y revenir le soir lorsque nous irons tous les deux nous coucher.La journée se passe comme à l’habitude à écouter ma fille parler de son boulot et moi du bricolage que j’ai fait dans la semaine. Nous nous octroyons pour une fois le restaurant le midi, quant au soir, nous optons pour un dîner rapide, vu le repas copieux ingurgité quelques heures avant. Pour une fois aucun film intéressant à la télé, ce qui nous contraint à rejoindre plus tôt qu’à l’accoutumée nos lits respectifs.
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J’ouvre rapidement le site naturiste et attends fébrilement que « Sylvie47 » se connecte. Je la laisse parcourir la liste des connectés, préférant bien sûr que ce soit elle qui entame la discussion. Je patiente une bonne heure pendant qu’elle tchatche sans doute avec un ou plusieurs habitués avant d’avoir un « bonsoir » de sa part. Notre premier dial virtuel s’engage alors :— Bonsoir Sylvie. Je me prénomme Louis.— Bonsoir Louis. Comment allez-vous ?— Bien et vous ?— Très bien.— Que recherchez-vous exactement sur ce site ?— A discuter surtout.— Sur quels sujets ?
— N’importe lesquels.— Même les plus intimes ?— Oui pourquoi pas ?— Vous avez une grande expérience sexuelle ?— Non pas vraiment. — Vous aimez connaître celle de vos interlocuteurs ?— Oui. J’ai vu que vous vous présentez comme homme d’expérience. Qu’en est-il plus précisément ?— Vous voulez connaître ma vie plus en détail, y compris son côté sexuel ?— Vous faites comme vous l’entendez, mais côté sexe, je préfère les mots à la vue en cam de votre sexe en érection comme on me le propose souvent !— Oui bien sûr et je ne vous demanderais pas non plus de vous dévêtir sous mes yeux pour m’exciter comme on doit vous le demander souvent également ?— Oui il y a de gros lourdauds sur ce site qui pensent que tout le monde s’y exhibe, sous prétexte qu’il est fréquenté par des naturistes !— C’est sûr que c’est ce que pensent beaucoup de visiteurs du site. Et vous, vous êtes naturiste ?— Non, mais l’idée me tente après les échanges que j’ai eus avec plusieurs adeptes très cools qui m’ont convaincue du bienfait que cela procure.— Vous n’êtes encore jamais allée jusqu’à vous présenter nue face à l’un d’eux ou l’une d’elles ?— Non pas encore, mais j’y pense de plus en plus, et je dois vous l’avouer que cela m’excite, rien que d’y penser !— Vous êtes excitée là à me dévoiler ce caractère de votre personnalité ?— J’avoue que oui.— Vous êtes nue en m’écrivant ?— Non. Je suis en pyjama dans mon lit comme d’habitude.— Si je vous demande de retirer le haut, vous pourrez me décrire vos sensations ?— Vous êtes direct vous alors.— Oui cela vous dérange ?— Non, mais je ne suis pas habituée à avoir ce genre de dial dès le premier soir.— Mais, cela vous excite, avouez-le ? — Je l’avoue.— Alors, ôtez le haut !— Voilà c’est fait.— Qu’est-ce que vous ressentez ?— Je me sens bien, très bien même. Pour tout vous avouer, j’ai même les tétons qui durcissent.— Super. Faites-les rouler entre vos doigts.— Vous alors, vous n’y allez pas par quatre chemins !— Non, mais vous aimez ça, non ?— Oui. Mais vous savez, je n’ai pas l’habitude de me caresser.— Cela ne vous est jamais arrivé, c’est vrai ce mensonge ?— Oui, je dors habillée et me caresse uniquement sous la douche en me savonnant.— Les caresses sont uniquement hygiéniques pour nettoyer toutes les parties, même les plus intimes ou vous en retirez une certaine excitation ?— J’avoue qu’insister parfois plus longtemps sur mon clitoris me procure un bien fou.— Bravo. J’apprécie que vous osiez, je pense pour la première fois, dévoiler ainsi vos secrets les plus intimes ?— Oui, je ne me reconnais plus. Je vous fais une telle confiance que je me laisse embarquer volontiers dans tous vos délires au point que maintenant je me pince les tétons en vous écrivant...— Super Sylvie. Continuez de vous faire du bien. Massez la totalité de vos seins. Au fait comment sont-ils ? Décrivez-les-moi en détail.— Ils ne sont pas très gros. Un petit 85B avec de petits tétons au milieu d’aréoles roses peu étendues.— Je les imagine déjà très tendus sous la pression de vos doigts.— Oui, ils n’ont jamais été si gros. J’ai l’impression de m’exhiber en quelque sorte face à vous.— Et cela t’excite Sylvie ? Tu veux bien que l’on se tutoie à ce stade de notre discussion ?— Oui Louis. Tout ce que tu me fais faire et dire m’excite beaucoup.— Tu es prête à enlever le bas alors ?— Oui bien sûr, d’autant que j’ai mouillé mon shorty.— Tu resteras donc nue dans ton lit pour toute la nuit ...— C’est une question ou tu me le demandes vraiment ?— Qu’est-ce que tu préfères ? — J’aime ta façon de m’amener à faire des choses que je n’ai encore jamais faites.— Alors, allonge-toi nue sur ton lit et tu dormiras ainsi au-dessus du lit toute la nuit sans aucun tissu sur ton corps.— Voilà, je suis sur mon lit, à poil.— Bravo Sylvie. Ecarte bien tes jambes pour aérer ton minou trop souvent enfermé.— Vous alors, vous avez les mots qui décrivent bien la situation.— Tu peux continuer de me tutoyer même pour me décrire ce que tu fais de tes doigts dans ta toison et sur tes lèvres intimes...— Tu sais Louis. Je n’ai vraiment pas l’habitude de me caresser l’entrejambe !— Mais ôte-moi d’un doute, tu n’es plus vierge à ton âge ?— Non bien sûr.— Je comprendrais très bien que tu n’aies pas envie de m’en dire plus sur ta vie sexuelle.— Que cela est joliment demandé.— Si tu veux, commence par me décrire ce que tu as offert à plusieurs copains.— Ma toison rousse est peu fournie, mais je la taille régulièrement, surtout ma vulve que j’aime avoir imberbe.— Comment sont tes petites et grandes lèvres ?— Les grandes bien gonflées cachent les petites qui ne se sont pas trop développées, faute de ne pas avoir été si souvent mises à contribution.— Tu veux me laisser entendre Sylvie que tu n’as pas baisé aussi souvent que tu aurais aimé, si tu veux bien me passer l’expression ?— Oui c’est tout fait ça.— Par curiosité, combien d’amants ont ainsi pu te faire jouir ?— Tu es bien indiscret tout à coup.— Tu ne veux pas me dire si tu jouis beaucoup en baisant, en un mot, si tu as déjà ressenti de nombreux orgasmes ?— J’ai en effet permis à plusieurs mecs de jouir en moi sans pour autant vraiment ressentir à mon tour un bien-être fou pouvant s’apparenter à un orgasme comme je l’ai lu, décrit en détail dans de nombreux ouvrages.— Et tu ne t’es bien sûr jamais masturbée jusqu’à l’extase avec tes doigts ou des jouets ?— Non c’est la première fois ce soir que je prends plaisir à me caresser nue sur mon lit. J’avoue que j’y prends un certain plaisir.— Alors continue Sylvie. Joue avec ton clito, fais-le rouler sous tes doigts. Est-ce que tu mouilles beaucoup ?— Oh Louis tu y vas fort, mais j’aime que tu m’obliges à faire tout ça et surtout à te dire ce que je ressens.— Je ne t’oblige en rien, mais j’apprécie que tu fasses tout ce que je te dis et que surtout cela t’excite.— Je mouille comme jamais, mon clito s’est mis à gonfler, il est tout dur comme mes tétons.— Continue à te faire du bien avec tes seins et ta chatte. Tu aimes que j’appelle ton minou ta chatte ? Tu apprécies les mots vulgaires dans le sexe ?— C’est nouveau pour moi, mais j’aime caresser ma chatte comme tu dis.— Tu peux y glisser un ou deux doigts pour ramoner ton conduit à bites !— Oh la la, tu te lâches Louis. Mais sache que mon conduit à bites n’en a pas recueilli tant que ça !— Tu n’as pas rêvé d’en prendre plusieurs d’affilée ?— C’est un fantasme de mec, j’ai l’impression. Mais oui une ou deux fois, je me suis réveillée le matin avec ma culotte mouillée et même le drap.— Tu te souviens des rêves qui t’ont mise dans cet état ?— Oui. J’étais attachée par les quatre membres avec les yeux bandés et mon vagin était pilonné sans cesse, les bites se succédant sans laisser le temps au foutre précédent de ressortir.— Un vrai garage à bites alors ! Cela t’excite encore ce soir, rien que d’y repenser ?— Oui je l’avoue.— Tu n’as pas de godemiché à portée de main ?— Non, je n’en ai jamais utilisé d’ailleurs. Pourquoi ?— Pour simuler toutes ces bites de différentes tailles, je te demanderais bien d’aller te chercher des carottes, bananes ou concombre dans ta cuisine !— Non, mais ça ne va pas Louis. Je t’ai dit que je ne me suis jamais vraiment masturbée jusqu’à ce soir. Et d’ailleurs, je ne suis pas chez moi !— Mais si tu étais chez toi, tu le ferais ?— Peut-être, tant je me sens bien à me caresser en discutant avec toi.— Je suppose que tu ne t’es jamais baladée nue chez toi ou à la plage ?— Non comme tu peux t’en douter après tout ce que je viens de t’avouer jusqu’à présent.— Mais là tu te sens bien nue sur un lit en dehors de chez toi. A l’hôtel peut-être ?— Oui j’avoue qu’être à poil à tchatcher avec toi me procure un bien-être fou.— Alors, promène-toi nue dans la chambre et va ouvrir la porte !— Je ne suis pas à l’hôtel et quand bien même je n’ouvrirai pas la porte.— Mais il est déjà bien tard. Tu ne crains rien à ouvrir la porte, non ?— Je suis chez mon père.— Sa chambre est près de la tienne ?— Non. Je suis à l’étage et lui au rez-de-chaussée.— Alors, vas-y, ouvre la porte et promène-toi nue dans le couloir.— Je n’ai jamais fait ça de ma vie. — Mais cela t’excite. Avoue-le.— Oui. Encore une fois je t’écoute. J’y vais. Je te raconterais.— Attends un peu. Une fois rassurée toujours nue dans le couloir sans réaction de ton père, tu descendras à la cuisine faire une provision de bites de rechange !— Non là je ne peux pas.— Tu verras comme cela est excitant de savoir que ton père peut te surprendre à poil dans la cuisine, alors que tu sais très bien qu’il dort profondément à cette heure-là.— Tu me fais faire de ces trucs Louis, mais j’y vais. Je te raconte à mon retour.J’éteins aussitôt ma chambre et mon écran pour la conforter dans l’idée que je dors. J’entends sa porte s’ouvrir, puis ses pas discrets dans le couloir au-dessus de moi. Enfin, ce sont les marches qui grincent de temps à autre au fur et à mesure de sa progression. Je ne pensais pas qu’elle irait jusque-là. Elle doit être passablement excitée pour faire tout ça. J’aimerais tant pouvoir la surprendre pour la découvrir à poil. Mais je me dis que je la verrais tôt ou tard et qu’il faut surtout que je la rassure pour cette première prise de contact.J’entends la porte du frigo qui se reclaque. Elle est prête donc à se branler avec des légumes pour la première fois de sa vie. De nouveau, des pas discrets dans l’escalier puis le couloir au-dessus. Je rallume mon écran. Sa joie d’avoir réussi m’arrive aussitôt :— Merci Louis pour ce moment intense que je viens de vivre.— Tu as mouillé tout au long de ton périple ?— Oui et je m’en fous à vrai dire d’avoir taché le couloir et l’escalier avec mon jus tant j’ai joui.— Tu as toutes tes bites pour assouvir ton fantasme ?— Oui, j’ai plusieurs carottes et un concombre, mais ils sont encore très froids, sortant à peine du frigo.— Il te faut les laver à l’eau chaude.— Oui, mais il n’y a pas de salle d’eau à l’étage— Alors tu sais ce qu’il te reste à faire. Et si tu veux encore jouir, ne te rhabille surtout pas.— Oui. Tu sais, j’aime tant me balader à poil maintenant que je crois que je vais le faire chez moi à l’avenir.— Bravo Sylvie. Alors, vas-y. Dis bonjour à ton père de ma part si tu le croises ! LOL— Vous êtes impayable Louis, le même humour que lui d’ailleurs... J’éteins de nouveau mon écran. Mais cette fois, je me précipite aux toilettes avant qu’elle ne descende. Je l’entends s’arrêter dans l’escalier à la vue sans doute du rai de lumière sous la porte. J’attends un moment pour guetter sa réaction. Le bruit des marches reprend, mais dans quel sens ? J’opte pour la retraite dans sa chambre et vais rapidement rejoindre la mienne pour rallumer mon écran. Elle a déjà laissé un message :— Mon père s’est levé.— Tu as flippé en le croisant ? Comment a-t-il réagi en te découvrant à poil ?— Je ne l’ai pas vu, mais il était aux toilettes aussi, je suis remontée rapidement dans ma chambre.— Et du coup tes bites sont toujours un peu froides ?— Oui.— Alors tu vas les sucer l’une après l’autre en fermant les yeux et en imaginant que ce sont des sexes de différentes tailles que tu vas faire bander en les aspirant bien comme pour faire venir leur jus !— Mais je n’ai jamais fait ça !— On peut apprendre à tout âge, tu sais. Ce ne sont que des légumes pour l’instant.— Oui bien sûr. Mais vous me demandez d’imaginer sucer des bites l’une après l’autre.— Tu n’as jamais regardé un film porno avec une fille qui prend des éjacs faciales ?— Si, depuis que je tchatche sur ce site, beaucoup m’ont déjà demandé d’aller sur xhamster.— Et qu’en penses-tu ?— Cela a beaucoup réduit mes fantasmes en fait, ne m’imaginant absolument pas à leur place avec tout ce foutre à avaler ou à recevoir sur la figure et tout le corps. Quelle déchéance, comment peut-on en arriver là !— L’excitation à son paroxysme peut amener à faire des choses impensables jusque-là. Regarde-toi ce soir, jamais tu n’aurais imaginé te balader à poil chez ton père ?— C’est vrai et je dois avouer que cela m’a si excitée que j’ai mouillé comme jamais en voyant la lumière sous la porte. Je ne suis pas remontée tout de suite d’ailleurs, comme si j’attendais nue face à la porte qu’elle s’ouvre pour qu’il me découvre.— Qu’aurais-tu dit à ton père s’il l’avait fait ?— Que j’avais une envie si pressante que je n’ai pas pris le temps de me rhabiller pour descendre.— Bravo Sylvie. Quel sens de la répartie !— Tu sais en classe, il en faut beaucoup avec les élèves d’aujourd’hui.— Je ne savais pas que tu étais enseignante. Super boulot qui demande en effet de la psychologie.— Oui, mais un travail très prenant.— Cette digression nous éloigne du but de te faire jouir seule ce soir, non ?— Oui en effet, mon excitation est bien retombée.— Tu veux toujours tenter l’expérience avec tes nouveaux jouets ?— Disons que je suce la troisième carotte, la plus grosse, en continuant de discuter avec toi.— Alors comme je suppose que tu ne t’es jamais fait enfiler par une aussi grosse bite, tu vas bien écarter tes lèvres d’une main et présenter le gros bout à l’entrée de ton vagin !— Voilà en place. Je mouille de nouveau...— Alors, ferme les yeux et avance ton bassin comme si c’était toi qui allais au-devant de ce gros mandrin inconnu.— Il est tout entier en moi ! — Branle-toi en pensant au grand noir qui te baise ! Elle ne dit plus rien pendant un long moment et j’entends des feulements discrets de jouissance. J’ouvre ma porte pour mieux écouter son plaisir monter. Elle se lâche bientôt et n’étouffe plus du tout ses cris. Je décide de monter la voir pour savoir ce qui se passe. Je fais suffisamment de bruit dans l’escalier pour qu’elle m’entende arriver. Je frappe à sa porte pour l’interroger :— Ça va Sylvie. Qu’est-ce que tu as ? Tu te sens mal ?— Non du tout papa. Je viens de faire un cauchemar.— Tu veux que j’aille te chercher à boire ?— Non merci, ça va déjà mieux à présent.— Tu es sûre. Je peux entrer pour te réconforter ou que l’on en parle. Ce n’est pas dans tes habitudes.— Non non n’entre pas. Je t’assure tout va bien maintenant. — Tu me parais justement toujours apeurée. — Je vais essayer de me rendormir. Ne t’inquiète pas.— OK. Bonne nuit alors.Je redescends rapidement et me reconnecte au site. Elle met un long moment à me recontacter.— Merci Louis pour ce moment. J’ai joui comme jamais.— Heureux de t’avoir permis de tutoyer le 7° ciel.— Oui, mais à deux doigts de rejoindre l’enfer quand mon père est venu frapper à ma porte pour me demander ce qui se passait tant j’ai exprimé à haute voix ma jouissance.— Il a ouvert et t’a découverte à poil sur ton lit ?— Non il n’a pas ouvert, mais comme tu me l’avais demandé, j’ai tenu à rester nue sur mon lit face à la porte derrière laquelle il continuait de me parler en insistant pour entrer. Quel pied de sentir ce frisson d’être là prête à m’exhiber devant mon père sachant qu’il n’oserait jamais ouvrir sans mon accord.— Tu crois qu’un jour, tu le laisseras entrer ?— Qui sait si tu continues de me pousser vers des recoins inexplorés pour me faire jouir toujours plus intensément.— Je suis prêt à relever ce défi si tu veux bien que l’on se recontacte à intervalles réguliers ?— En semaine avec mon boulot c’est très difficile, mais le week-end, je suis partante. J’avoue n’avoir jamais autant joui de ma vie. Merci encore Louis.— Tout le plaisir a été pour moi également, car de mon côté, je dois te l’avouer je me suis aussi caressé.— En pensant en moi ?— Oui à tes petits seins et surtout à ton minou couleur carotte en train d’en avaler une grosse ! LOL— J’espère que tu as bien éjaculé. Heureuse d’avoir pu exciter un vieux de l’âge de mon père.— Tu n’as jamais eu l’idée de l’exciter un peu avec des tenues sexy ou un décolleté provocant ?— Non jamais, mais ma sœur est moins pudique que moi. Elle descend souvent déjeuner à poil sous son pyjama ample qui laisse bien deviner ses tétons libres et n’hésite pas à l’occasion à se pencher pour que papa puisse jeter un œil à ses petits seins pour le plus grand plaisir de son mari qui la pousse à le faire, je pense.— Tu n’envies pas ta sœur ?— Si un peu. Je l’admire d’être aussi libérée.— Si je te pousse un jour à faire comme elle, tu es prête à en montrer un peu plus à ton père ?— Déjà ce soir, j’étais prête tant j’étais excitée. Mais à froid, je ne pense pas. J’ai un statut de pudique dans la famille que je ne suis pas encore prête à surmonter.— OK. Je te remercie pour ce premier dial super sympa qui nous a permis de jouir tous les deux à distance. Au week-end prochain si j’ai bien compris ?— Oui merci pour tout. Il me tarde d’être à vendredi soir prochain pour reprendre notre discussion.— Bonne semaine. A vendredi donc.

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Voilà comment j’ai réussi à mieux connaître ma fille aînée et en particulier son intimité dans tous les sens du terme !...Si vous souhaitez connaître la suite, encouragez-moi à poursuivre le récit de son éducation sexuelle tardive.
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