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Le vieux voyeur

Chapitre 1

Travesti / Trans
La semaine du 15 aout, je fus invité chez un couple d’amis en Vendée. Je m’y rendis avec plaisir. J’emmenais évidemment quelques affaires de plage et des vêtements féminins, essentiellement des sous-vêtements. En effet, je suis bi, passif avec les hommes que j’apprécie, actif, pervers et dominateur, j’aime de plus en plus me travestir, me sentir femme, être soumise à un ou plusieurs hommes fait partie de mes plus grands plaisirs. Mes hôtes ne connaissent pas mes penchants pour eux, comme pour la totalité de mes proches, je suis un hétéro pur et dur.
Il faisait très chaud cette semaine-là et Muriel comme son mari Patrick s’habillaient léger. Jupe ou robe d’été pour elle et bermuda ou short pour lui... rien de super hot, certes ; mais tout de même assez sexy pour m’émoustiller et attiser un désir chez moi. Je ne pouvais m’empêcher de regarder Murielle à la dérobée, le mouvement de sa robe, sa jupe qui remontait légèrement, l’intérieur de ses cuisses, son décolleté (sage) prometteur, sans parler de certains contrejours qui me firent entrevoir la forme de ses culottes ou son entrejambe. Au bout de 2 jours en leurs compagnies, j’avais une envie folle de baiser. A aucun moment du séjour, ils n’eurent de gestes équivoques ou qui pouvaient me faire envisager un plan à 3 (chose que j’adore)...
Le 3ème soir, j’entendis même le grincement caractéristique d’un lit, je les imaginais en train de baiser et j’enviais Patrick d’avoir une femme aussi belle. Il fallait à mon tour que je me satisfasse d’une façon ou d’une autre, je ne me voyais pas rester avec cette envie grandissante sans essayer de conclure une petite aventure... Aussi, j’allumais mon ordi à la recherche d’endroits de rencontres proches de mon lieu de résidence. Les 2 lieux que je sélectionnais n’étaient pas trop éloignés. Je jetais mon dévolu sur la plage naturiste des salins pas trop loin de St Jean de Monts... en espérant qu’il y ait des coins discrets à proximité.
Le lendemain, prétextant l’envie d’une rando, je pris la direction du lieu en question. Le parking était bondé, la plage également, rien de vraiment étonnant vu la météo favorable en ce mi-aout. Je parcourais la plage à la recherche d’une place et j’en profitais pour mater...
Je regardais ces femmes nues, certaines très belles, certaines presque laides, qu’importe, je matais ces seins, ces cuisses, ces ventres, ces culs bronzés et ces chattes que le soleil irradiait...Je m’arrêtais également sur le sexe de ces messieurs, certains longs, épais presque lourds, d’autres courts ou fins, j’avais envie de ces bites dans la bouche ou dans le cul...Je m’imaginais à quatre pattes entre leurs jambes, les suçant jusqu’à la jouissance devant le regard complice de leur femme. Je rêvais de leur foutre en bouche puis d’embrasser et de partager la semence avec leur compagne...
Bref, tous ces corps étendus dans des positions obscènes me troublaient. C’est d’ailleurs assez drôle et révélateur, les hommes avaient souvent les cuisses écartées, offrant impudiquement leurs bites et couilles aux regards des passants alors que les femmes avaient de plus sages attitudes, quasi toutes les jambes jointes (ou pas loin). Je pus toutefois apercevoir les lèvres intimes de certaines d’entre elles quand elles se tartinaient de crème solaire ou quand elles cherchaient un objet dans leur sac de plage. Un peu plus loin, je passais devant 2 couples de jeunes gens, l’un des mecs caressait nonchalamment le sein de sa compagne, son téton érigé, le gars était sur le ventre, il devait bander, la fille avait les jambes bien serrées, mais je voyais tout de même une partie de sa fente, sa toison était entretenue. Son amie les regardait. J’eus la certitude que ces 4 là baisaient ensemble...
A quelques mètres, le torse légèrement relevé, les coudes sur le sable, un cinquantenaire les matait ostensiblement et bandait, pendant que sa femme, assoupie, présentait grassement ses fesses aux rayons solaires. Lui aussi, je l’aurais volontiers sucé pendant qu’il lorgnait les jeunes femmes d’à côté...
Tout cela m’émoustillait fort et me remplissait de désir, j’avais envie de sexe brut, sans fioriture...
Je finis par trouver une petite place entre deux couples, l’un la quarantaine et l’autre la soixantaine... La femme de 40 ans avait un charme fou, un corps ravissant, les seins petits et fermes, le ventre plat, de belles jambes et le sexe rasé intégralement. Plusieurs fois au cours de l’heure passée sur cette plage, ses changements de position me firent voir sa fente aux petites lèvres apparentes... hummm j’aurais volontiers léché cette petite chatte, je l’aurais même baisée et je fantasmais me vider dans son con... Je devais alors me mettre sur le ventre pour cacher un début d’érection. Le reste du temps, je regardais les gens passer, comme par hasard essentiellement des hommes seuls qui lorgnaient, comme je l’avais moi-même fait un peu plus tôt, l’intérieur des cuisses ou le cul de ces dames.
Pour fréquenter assez régulièrement les plages naturistes, je sais qu’il y a parmi les hommes seuls beaucoup de mateurs, à la recherche d’un hypothétique plan Q avec un couple... chose qui arrive si exceptionnellement que ces hommes repartent de la plage souvent complètement frustrés et avec une envie de baiser extrêmement forte. Par expérience, je sais que le meilleur moment pour avoir une chance de se faire un hétéro en manque, c’est quand ils remontent vers leurs voitures les couilles pleines. C’est souvent à ce moment-là que j’ai vécu des aventures rapides et torrides à proximité de plages naturistes.
En regardant les hommes passer devant tout ces corps allongés, j’en repérais un qui était au moins à son troisième AR. Il était âgé, au moins 70 ans, presque chauve, le corps gras, suant à grosses gouttes, la bite petite et molle, le cul flasque, mais le regard pervers plein de concupiscence. Je remarquais qu’il s’arrêtait comme par hasard l’air de rien dans l’axe des jambes des femmes. Il matait du coin de l’œil puis avant que cela ne se voit trop, il continuait son manège un peu plus loin... putain de misère sexuelle !...
Voyant que quelques couples et quelques hommes quittaient déjà la plage, je décidais de les imiter pour me rendre dans la partie dunaire. Je trouvais un endroit entre des bosquets à l’abri des regards depuis le chemin. Je voyais déjà des hommes tournicoter parmi les dunes et les arbustes, sans aucun doute, à la recherche d’une aventure avec un homme... faute de couple !

J’installais à nouveau ma serviette au sol, puis j’hésitais, nu ? Ou en sous-vêtement féminin ? Ce n’est pas toujours évident, des hommes cherchant à assouvir une pulsion avec un homo, c’est relativement banal... mais avec un mec en culotte de fille, ce n’est pas si courant et on ne sait pas toujours comment ils réagiront. J’optais finalement pour la culotte et le petit soutif rose pâle que je dissimulais dans mon sac... je coinçais mon sexe entre mes couilles pour ne pas voir ma bite sous la culotte et me sentir encore plus femme... tant qu’on ne bande pas, c’est assez facile de créer une certaine illusion.
Je m’allongeais et attendais le passage de mecs à proximité. L’attente ne fut pas très longue, un premier type passa, en me voyant ainsi, il eut un moment de surprise, ce fut subtil, mais je le vis clairement... il disparut très vite, peut-être déstabilisé par mes sous-vêtements féminins.
Quelques minutes passèrent encore quand j’entendis un bruit de pas parmi les aiguilles de pin... je me relevais et l’homme eut un geste de recul pour se dissimuler vaguement derrière un arbuste, mais j’eus le temps de le reconnaitre, il s’agissait du vieux voyeur de la plage...
Avait-il bien vu que j’étais un homme... difficile à dire...Je me réallongeais à l’écoute du moindre bruit... je sentais sa présence sur le coté, alors, je décidais de le provoquer un peu... je commençais à caresser mes tétons à travers mon soutif, allant jusqu’à les pincer fortement, puis je jouais avec mes jambes, les écartant légèrement et les refermant...
Mon vieux voyeur devait voir une partie de mon petit jeu, mais sans doute pas complètement en raison du bosquet. J’entendis un déplacement, et je l’aperçu devant moi toujours à moitié planqué derrière le feuillage. Je continuais mes caresses, prenant des attitudes plus salopes et lui tendais la tête pour mieux voir... je me redressais rapidement et il recula derrière le bosquet... je me mis à genoux, fesses sur les talons, jambes écartées et dos cambrés, je repris mes caresses. A travers ma culotte rose, mon majeur toucha la base de mon sexe toujours recourbé vers l’intérieur... et je me touchais en faisant des mouvements circulaires comme si je me caressais le clito. Je regardais franchement dans sa direction. Il finit par se déplacer plus à ma vue et à me mater plus directement. Il avait sorti son sexe de son maillot de bain...
Il bandait mou et se branlait. Cette vision m’électrisa tout de même, je sentais mon sexe grossir et tendre ma culotte. Je passais une main sous l’élastique et d’un doigt, je stimulais le frein du gland. Je mouillais. Malgré son physique peu engageant, presque dégoutant, j’avais envie de sa bite, aussi j’entrouvris mes lèvres et y passais ma langue sans qu’il ne réagisse vraiment. Comme une invite, je réitérais mon geste, mais mon voyeur ne bougeait toujours pas... un voyeur timide ! Clairement, il n’avait pas l’habitude qu’on le provoque ainsi. Il ne devait savoir quelle attitude adopter. Pour moi, ca n’en n’était que plus excitant, je me sentais chiennement allumeuse.
— Viens... lui dis-je.
Sans un mot, il s’approcha de moi, son sexe toujours quasi mou, mais dont le gland luisait sous l’effet de l’ excitation. Il continuait de se branler à quelques centimètres de mon visage. J’approchais mes lèvres, mais il recula...
— Tu ne veux pas que je te suce ? lui demandai-je.
Je sentais qu’il hésitait, aussi j’approchais doucement ma bouche de son vit. Il ne recula pas, j’enserrais alors son gland de mes lèvres humides. Il gémit légèrement, j’eus l’intuition qu’il ne tiendrait pas longtemps. Je caressais ses cuisses puis pris ses fesses à pleine main et je l’attirais vers moi. J’avalais son sexe complètement, mais il se retira brusquement et remit son maillot en me disant :
— il y a quelqu’un qui regarde.— Pas grave, c’est excitant, viens, lui répondis-je en lui abaissant le maillot...
Sans lui demander son avis, je le repris en bouche et je le suçais doucement, je le sentais inquiet, prêt à partir, aussi devais-je accélérer les choses si je voulais le faire jouir... j’humectais mon index de salive et tout en le suçant, j’insinuais mon doigt entre ses fesses vers son anus... je vis tout de suite qu’il aimait ça, car il quitta du regard l’endroit où devait se trouver l’autre mateur pour me fixer franchement... envolée la timidité du début... quand je lui enfonçai mon index dans son cul serré, je sentis sa bite se tendre, il grogna et éjacula. Il avait peu de sperme, son jus était liquide et peu épais, mais je m’en délectais. Je continuais à le suçoter, mais il n’avait plus qu’une envie... fuir le plus vite possible.... je le lâchais, et laissais couler au sol son sperme, il partit aussitôt sans un mot... quand l’autre homme approcha la bite à la main...
— tu me suces ? me dit-il.
Je me tournais vers lui, il était déjà là, tout près de mon visage. Il s’enfonça entre mes lèvres sans vraiment attendre ma réponse... Il était brutal, m’enfonçant sa queue jusqu’à la gorge, me provoquant réflexes pharyngés et haut-le-cœur ; lui, c’était clair, n’avait qu’une envie : se vider. Sans doute le résultat de toute une après-midi de frustration à mater des chattes sur la plage. Je n’avais aucune initiative, mais je bandais. J’étais follement excitée par son attitude de mâle qui veut jouir, j’enserrais sa queue d’une main entre son pubis et mes lèvres pour qu’il ne s’enfonce pas trop loin. Lui, je n’aurais pas à lui mettre un doigt dans le cul pour l’aider à éjaculer. Le bruit de son sexe qui me pilonnait m’excitait, je bavais autour de sa hampe, ma salive tombait au sol, j’étais un trou, une femelle à foutre... et j’aimais cela. Il me tint la tête plus fortement et accéléra encore ses mouvements de bassin me baisant la bouche de plus en plus rapidement en ahanant :
— han hummm han han.— ca vient, me lança-t-il en me tenant fermement la nuque... — hummmm tiens tiens hummmm.
A chaque grognement correspondait une décharge de sperme sur ma langue... son jus était lourd, visqueux, épais... Je bandais comme un fou. J’avais sa queue gluante de semence sur la langue et j’avais envie de me faire jouir... je branlais rapidement ma petite bite raide et trempée de mouille et j’éjaculais en quelques secondes dans ma culotte (toujours avec sa bite dans la bouche)... Il se retira, et je laissais glisser le long de ma joue le résultat de sa jouissance...
— salut, me dit-il... alors que j’avais encore la main dans ma culotte poisseuse de sperme...— Pas causant et rapide dans le coin, pensai-je.
Mais j’avais tout de même satisfait mes pulsions... Je pus rentrer chez mes amis et passer une soirée détendue. Muriel était toujours aussi désirable, mais la tension sexuelle qu’elle m’inspirait était dissipée.
(Histoire réelle à l’exception des prénoms de mes hôtes et du fait que je ne prends pas le sperme d’inconnu en bouche et que j’impose le port d’une capote - ce qui a sans doute contribué à la bandaison molle de mon "vieux voyeur")
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