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Vigoureusement vivante

Chapitre 1

Hétéro
Vendredi.Musique. Douche chaude. Vite ! Vite.. Je suis en retard… Oui mais je ne veux oublier aucune zone. Je refais le tour de mon corps : épilation top, peau douce… Parfait.Je sors de la douche. La serviette chaude sur ma peau me fait fermer les yeux.Le temps d’une seconde, un doute. Et si je faisais n’importe quoi ? La seconde d’après, la voix de Lucie me revient « VIS ! »  Je me sèche, enfile mon petit ensemble en dentelle noir… La totale, le service trois pièces. Je monte mes bas couleur chair avec la couture noire qui court sur l’arrière de mes jambes. Les accroches avec ce magnifique porte-jarretelles en dentelle. Je jette un œil dans le miroir, c’est assez joli. Espérons que ça lui plaira. Une goutte de parfum que je loge au-dessus de ma poitrine. J’entreprends de me glisser dans mon pull en cachemire noir et ma mini-jupe rouge. Je me maquille avec délicatesse. Ne pas surcharger, c’est vite vulgaire. Je me penche pour enfiler mes talons aiguilles noirs vernis. Là je me rends bien compte que je vais devoir faire quand même attention à ce que je fais si je ne veux pas affoler tout le restaurant… Quel bijou ? Le décolleté étant faible, j’opte pour mon petit collier en or gris qui se termine par un cœur qui vient comme pour indiquer le chemin vers mon ventre.  J’enfile mon manteau rouge et noir, prends mon sac et regarde l’heure : 12h15 ! Je suis en retard. Je lui envoie vite fait un petit message « J’ai du retard… 10 min environ. Désolée. »Je saute dans ma voiture. J’allume le contact. Et me voilà parti. Nous avons rendez-vous a plus d’une demi-heure de chez moi. Je roule assez fort pour essayer de compenser mon retard. Je me dis que si je venais à me faire arrêter, cela pour être drôle. En effet, ma jupe étant assez courte, derrière mon volant celle-ci est remontée assez haut. On voit très bien mes bas et mon porte-jarretelle…. Ils se marreraient bien, tiens.  Le temps passe assez vite, la route aussi. Je me gare sur le parking. Jette vite fait un œil aux alentours. Le parking est plein. Je me réajuste, descends ma jupe sur mes cuisses. Je me regarde vite fait dans le rétroviseur. Et l’espace d’un instant, j’hésite…  Allé Lili, c’est trop tard pour avoir des états d’âme. J’inspire profondément et je sors de mon véhicule.  J’entre dans le restaurant, demande ma table. Je sens beaucoup de regards sur moi. Je jette un œil discrètement à mes cuisses, pourvu que ma jupe ne soit pas trop remontée… non c’est bon.On me conduit à ma table. Il n’est pas encore arrivé. Je souris et pense « Dommage… » Je m’installe et pour me donner du courage je commande un verre de vin. Je bois une petite gorgée. Je regarde ma main gauche qui tient mon verre. Je me demande subitement si je n’aurais pas mieux fait d’enlever mon alliance. Je la considère, et décide que non, je dois la garder. Je me demande si Nico, mon ex-mari, a eu cette pensée la fois où il avait allongé sa trainée dans notre lit. Je suis extirpée de mes interrogations par un bonjour suave et chaleureux. Éric est arrivé.  Je fais mine de vouloir me lever pour l’embrasser, mais il m’en empêche et se baisse à ma hauteur. Ce petit geste a beaucoup de charme. Lui aussi d’ailleurs. Je le regarde. Le visage carré, où quelques rides naissantes se font discrètes, des yeux mutins d’un gris intense, ses cheveux fous semblent se livrer une bataille intense. Il a une chemise couleur crème très saillante sous sa veste en daim marron, un jeans bleu. Il s’installe en face de moi et me sourit.  -       Je n’y croyais plus, lance-t-il.

Il faut dire que cela fait presque un an qu’il m’a abordé. On travaillait ensemble sur un projet au boulot. Je l’avais gentiment repoussé. A cette époque je n’étais pas la cocue que je suis, enfin je ne le savais pas encore… Il avait renouvelé ses avances à chaque fois que nous nous étions vus, et je les avais toujours déclinées. Une fois même alors qu’il était accompagné d’une femme d’une trentaine d’années, absolument magnifique. J’étais gênée pour elle. J’avais mis de la distance, beaucoup de distance. Et puis… Et puis un jour, j’ai découvert que Nico avait une liaison depuis plus d’un an avec une petite gamine de vingt ans… Et là… Après une traversée du désert violente, après des jours à me remettre en question, j’ai voulu me sentir en vie, désirable. J’ai eu besoin de me rassurer.Je suis allée sur des sites de rencontres et en même temps j’ai ouvert une porte à Éric. Il ne s’est pas fait prier, disons les choses.  Nous discutons, depuis plusieurs semaines maintenant, de façon assez intense. Nos discussions sont essentiellement à caractère sexuel. C’est un peu moi qui cantonne nos échanges à ce sujet, je dois l’avouer. Mais Éric est capable de s’amouracher de moi, je le sens. Et cela me pose un souci. Je ne suis pas encore prête pour ça. C’est d’ailleurs ce qui m’a beaucoup ralenti vis-à-vis de lui. Mais je dois l’admettre. Sa façon de me raconter ce qu’il a envie de me faire a eu raison de moi. J’ai passé beaucoup de nuit à fantasmer sur ses messages.  Nous voilà aujourd’hui à parler de tout et de rien dans ce restaurant cosy. Je commence à trouver le temps long. Je suis flattée de son attitude, mais j’ai envie d’autre chose. Je dois trouver un moyen d’exciter la bestiole. Je me lève prétextant un besoin naturel. Il se lève plus vite que moi. Cela fait fort longtemps que je n’avais pas vu un homme se lever par politesse. Je suis sous le charme. De sa hauteur il a une vue plongeante sur mes cuisses. Cela lui permet de découvrir mes jambes gantées de bas et d’apercevoir les petits clips de mon porte-jarretelles. Je fais mine d’être gênée de sa découverte, replaçant ma jupe. J’assorti le tout d’un peu de rouge sur mes tempes. Bingo ! Il est en alerte.Satisfaite de mon petit effet, je me lève et pars en direction des sanitaires. Je sens son regard sur mon corps et celui de quelques autres hommes dans le restaurant. Je dois l’avouer, j’adore ça. C’est si agréable de se sentir désirable à nouveau.  Quand je reviens à notre table, elle a été débarrassée et deux cafés ont été servis. Tiens, le rythme change… Il se lève à nouveau quand j’approche. Je lui souris, mordille légèrement mes lèvres, baisse mes yeux un bref instant. Puis je m’assoie. Nous nous décidons enfin à partir. Il me raccompagne jusqu’à ma voiture. Arrivés-là, je sens sa main qui se pose dans mon dos. Je me tourne vers lui. Il m’embrasse avec douceur et envie en me plaquant sur la portière de ma voiture. Mon cœur s’emballe. Je suis touchée. Je sens mon corps entier qui se réveil instantanément. J’entends ma peau qui crie son nom, mes cuisses qui se serrent pour mieux s’ouvrir quand il le voudra. Mes seins se gonflent dans mon soutifs… Mes cuisses sont maintenant trempées… Ce baiser est bon, agréable et intrusif. Sa langue est douce, tendre et gourmande… J’essaye de me rappeler la dernière fois où l’on m’a embrassé ainsi… Trop loin pour m’en souvenir.Ses mains qui se glissent sous mon pull en cachemire me font frissonner.J’ouvre mes yeux et je me trouve plongée dans les siens. Il me fixe avec tellement d’intensité… Au secours ! Je n’ai pas pris ma bouée, si on ne me repêche pas rapidement, je vais couler… Il a dû m’entendre penser, il rompt le silence : -        Tu laisses ta voiture ici ? 
Je suis incapable de parler, je secoue ma tête en guise de oui.Et voilà qu’il m’entraine vers sa voiture et nous partons en direction de chez lui. Pendant qu’il conduit, sa main se pose sur mon genou. Remonte doucement sur ma cuisse. La vilaine curieuse. Je lui mets une petite tape. Il me regarde surpris et amusé. Puis il recommence. Quand sa main arrive à la hauteur des clips de mon porte-jarretelles, je lui mets une autre tape sur la main, je le regarde défiante, il sourit en inclinant sa tête. Au bout de cinq longues minutes silencieuses, il se gare dans le parking souterrain de son immeuble. Nous descendons, mais avant que je n’aie fini de m’extirpée de sa voiture il a déjà fait le tour. Il attrape ma main, m’aide à sortir et sans prendre la peine de fermer la portière, il me plaque sur la porte arrière. Sa bouche se jette sur moi, sa langue danse avec la mienne. Son baiser est beaucoup moins sage que précédemment. Il a un goût sucré et doux…Ses mains remontent ma jupe à une vitesse surprenante. Il me regarde droit dans les yeux. Je n’arrive pas à maintenir son regard. Il attrape mon menton relève ma tête et me dit doucement autoritaire « Je veux que tu ne me quittes pas des yeux ».Et sa main repart vers mes cuisses. L’une des deux se glisse sur mes fesses. J’adore ça. A force d’échanger des messages plus ou moins coquins, il sait ce que j’aime comme caresse. Une main sur mes fesses, l’autre sur mon sexe. Il excite expert mon clitoris, ses doigts se faufilent en moi… Ses yeux cherchant dans les miens mon plaisir. Je tiens bon. Je garde mes yeux bien rivés aux siens. Cela m’excite affreusement.Il touche cette zone affreusement réactive… Je me cambre d’avantage et ferme mes yeux. Il murmure fermement « Ouvre les yeux ». J’ai du mal à le regarder. Ma respiration décide que c’est son quart d’heure de liberté, je ne la contrôle plus. Ma peau se couvre de frissons. Je sens chaque parcelle de celle-ci qui se réveille sous ses caresses.  Mes mains n’arrivent pas à m’obéir, elles restent interdites. J’ai l’impression que toutes ces années m’ont endormie. Sa patte glisse de mes fesses à ma cuisse la faisant remonter le long de son corps. Ses baisers se fond plus intenses, plus profonds… J’entends sa respiration qui s’accélère, son souffle qui se perd dans mon cou. J’arrive enfin à me ressaisir, mes mains se réveillent. L’une d’elle se glisse sous sa chemise. Sa peau est douce sous mes doigts. Sa copine se dirige sans trembler vers son entre- jambe. Habillement je défais sa ceinture, pendant qu’il dégrafe mon soutien-gorge. Sa braguette ne résiste pas plus de quelques secondes à mon intrusion. Surprise, il ne porte rien sous son pantalon. Je trouve ça affreusement sexy. Son sexe est raidi par l’envie. Je m’en saisie et entreprends de légers vas et viens sur cet organe dressé. Sa respiration se fait plus forte… Soudain, il tire sur mon string et l’arrache sans aucune once de délicatesse. Il me soulève légèrement, j’accroche mes jambes autour de sa taille. Il ne lui faut qu’un bref instant pour me pénétrer profondément. J’échappe un gémissement intense… Mes yeux se ferment de plaisir. D’une main ferme sous mes fesses il me maintient, de l’autre, il tient mon visage tourné vers le sien. Il assène : -       Ouvre tes yeux, je veux te voir prendre du plaisir… Je veux que tu me voies avoir du plaisir…  
Je m’exécute. Ses yeux brillent, brûlent, me dévorent… Son regard me fait un effet impressionnant. La couleur de ses yeux semble changer au rythme des mouvements de ses hanches. Coincée là entre la portière de sa voiture et lui, je m’abandonne avec délectation à ses coups de reins, je gémis, je m’accroche à son cou. Je laisse l’ensemble des cellules de ma peau prendre conscience de tout ce plaisir.Il change le rythme régulièrement, je me perds. Puis il me repose au sol. Se retire de mon corps. Sans un mot, il me fait tourner sur moi-même.Eric attrape mes mains et les pose sur la vitre, il se saisit de mes hanches et me force légèrement à reculer les pieds. Me voici appuyée sur la portière, les fesses relevées. Je sens son sexe qui se présente à nouveau entre mes cuisses, puis il me pénètre avec force avant de s’arrêter un instant lové dans mon corps. Sa main se promène de mes fesses à mes cheveux. Il termine son excursion dans ma tignasse qu’il attrape me forçant à relever la tête. Je peux nous voir dans le reflet de la vitre. Il sourit en croisant mon regard et, agrippé à mes cheveux d’un côté et à ma hanche de l’autre, il démarre ses assauts. D’abord gentiment, doucement. Puis peu à peu, encouragé par mes soupirs, il se laisse aller et ses coups de reins se font plus intenses, plus profonds dans mon antre. Je gémis de plus belle. Machinalement, je ferme les yeux, mais me ravise aussitôt, je le regarde dans le reflet sur la vitre, me prendre dans ce parking. Le plaisir est décuplé… Je sens mes jambes se mettre lentement à trembler, mon bas ventre me chatouille, l’orgasme approche. Comme s’il le sentait, il redouble de fougue dans ses vas et viens, je suis embarquée dans un plaisir tellement intense que je n’arrive plus à émettre le moindre son, je tremble. Mes jambes se resserrent instinctivement… Sous ce mouvement, le plaisir l’emporter lui aussi.  J’halète comme un animal épuisé, les mains collées à la vitre. Il relâche lentement mes cheveux. Sa main caresse mes fesses avec beaucoup de douceur. Lentement nous reprenons nos esprits. Il se retire.Je sens son sperme qui coule sur ma cuisse. Il me tend un mouchoir, je m’essuie rapidement. Puis redescends ma jupe sur mes bas, ramasse au sol ce qu’il reste de mon string. Je me tourne et lui fais face. Ses mains glissent délicatement autour de ma taille, il me rapproche de lui et m’embrasse si tendrement que je suis totalement emportée dans son baiser. Quand il défait son étreinte, je lui demande de me reconduire à ma voiture. Le trajet de retour se fait tout aussi silencieusement que l’aller. Chacun dans son plaisir, dans ses pensées.Puis nous nous séparons dans un dernier baiser plein de promesses pour notre prochains rendez-vous.
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