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Vigoureusement vivante

Chapitre 3

Apéritif

Hétéro
Les quelques secondes écoulées sur le pas de la porte m’ont semblé durer une éternité.
Je finis par m’écarter du passage pour le laisser entrer. Des images fugaces de sexe fougueux traversent mon esprit quand il passe devant moi. Je me reprends et l’invite à entrer dans le salon. Je le regarde enlever sa veste. Je devine au travers du tissu ses muscles en mouvement et j’ai soudain très envie de toucher sa peau.
Nous nous installons dans le salon où je dispose sur la table basse ce que j’ai préparé. Je crois que je me suis laissé emballer, il y en a beaucoup trop. Mais il a la politesse de ne pas me le faire remarquer. Je sors une bonne bouteille de vin et nous sers. Je sens la tension sexuelle s’installer entre nous. Malgré tout, pour me donner bonne conscience, je lui fais la conversation. Éric s’est installé sur le canapé, pour ma part j’ai opté pour le confort du tapis légèrement sur sa gauche. Nous nous faisons presque face. Je me soulève légèrement sur mes genoux et me penche pour attraper un petit quelque chose à grignoter. Au même moment Éric se penche pour se servir aussi. Nos mains se touchent. Ce simple contact, le premier depuis qu’il est arrivé, m’électrise. Je lève légèrement la tête et furieusement attirée par sa bouche, je l’embrasse goulûment. Il glisse une main dans mes cheveux, l’autre dans le creux de mes reins. Puis se reculant dans le canapé, il m’entraîne avec lui. Je suis à genoux entre ses cuisses, à moitié couchée sur lui. Sa main posée sur mon dos, descend assez rapidement vers mes fesses, le désir prend possession de mon corps.
De mes mains, je défais un à un les boutons de sa chemise tout en prenant soin de garder mes lèvres accrochées aux siennes. Quand j’en ai terminé, mes mains décident de s’attaquer à son pantalon. Une fois son sexe libéré, ma bouche se met en route sur sa peau. Lentement, du bout de mes lèvres, du bout de ma langue, je descends jusqu’à cette verge raide qui s’offre à moi. J’ai envie de le goûter, de le savourer... Sa main posée sur ma tête, il a jeté la sienne en arrière. Je me délecte de le voir ainsi offert. Ma joue effleure son sexe doucement. Ce dernier tressaute. Je me repais de son odeur, mon envie est puissante... Je veux l’engloutir tout au fond de ma gorge et l’entendre soupirer intensément. Mais je prends mon temps. Il doit en avoir impérieusement envie. Alors je le regarde intensément tout en contournant avec délectation son sexe de mes lèvres.
Puis n’y tenant plus, je lèche doucement son gland luisant. Ma langue, d’abord timide, se met à s’appliquer en appuyant à chaque passage davantage. J’adore sentir la peau de ce morceau de chair sur ma langue. C’est doux, fragile... ça ne me suffit pas. J’en veux plus. Je le fais entrer dans ma bouche très lentement tout en veillant à ce que son sexe soit bien enserré entre mes lèvres. Sa verge n’est ni grosse ni petite. Il est de la bonne taille. Je le fixe toujours et observe les réactions sur son visage. J’aime le plaisir que j’y trouve. Alors je redouble d’effort, je m’applique, je lèche, suce, tète... Je l’écoute, son souffle est court... Et cette fois c’est lui qui peine à soutenir mon regard.
Soudain il glisse ses mains sous mes bras et d’un geste ferme me soulève. Il me dépose sur le canapé. Ce mouvement brusque a remonté ma jupe, laissant voir mon intimité dénudée. Il me sourit, pose un genou à terre et finissant de relever ma jupe, il y engouffre sa tête.
Tellement d’années que cet endroit n’a pas été visité de la sorte... Je ne cache pas le plaisir que sa langue joueuse entre mes cuisses me procure. Il passe ses mains sous mes cuisses et d’un geste décidé soulève ces dernières. Mes genoux se retrouvent collés de chaque côté de mon torse. Sa langue s’affole sur mon sexe, le rythme sur mon clitoris est intense. Il m’offre un premier orgasme.
Satisfait de lui, il se réajuste, referme son pantalon et reprend l’apéritif où il en était. De mon côté, je tente de retrouver une constance, et de reprendre mes esprits. Mais j’en veux plus et même si je l’imite, dans mes yeux brûle le désir. Je n’ai qu’une idée en tête, y retourner et chercher le contact entre nos corps.
Je l’écoute me parler à moitié. Mon esprit est occupé à détailler son torse que je devine sous sa chemise ouverte.
— Arrête.
Comme si on me sortait violemment de mon sommeil, je sursaute.
— Quoi ?— Arrête de passer cette carotte sur tes lèvres... ça me déconcentre.
Soudain, une petite idée se met à germer dans mon esprit. Je reprends de plus belle avec la carotte que je frotte sur mes lèvres... Je la pousse un peu dans ma bouche, puis la ressors. Je ne lâche pas Éric des yeux, mutine. Je m’applique à sucer cette carotte comme je suçais plus tôt son sexe. Je vois son regard gris s’embraser. Il défait son pantalon, le fait glisser à ses pieds et se saisit de son sexe durci par le désir. Le message est on ne peut plus clair. Je me redresse, pose la carotte sur la table basse et viens me positionner à cheval sur lui. Je sens son gland qui frotte sur ma vulve gonflée... Je crève d’envie de l’enfoncer en moi... Mais je prends mon temps. Ses mains ôtent mon haut de flanelle, mes seins se retrouvent face à sa bouche... Il s’empare de l’un et embrasse fougueusement le deuxième... je lance ma tête en arrière, tout en continuant de légers mouvements de reins au-dessus de son sexe. Je l’entends pousser un léger grognement, il se repaît de mes seins, les mordant par moments, les suçant à d’autres. Soudain il entoure ma taille de son bras libre et me pousse avec force sur son sexe. Il est en moi. Je lâche un cri sourd et le temps de me faire à cet appendice dans mon corps, je me mets lentement à onduler. J’essaye de me soulever, mais il me maintient fermement collé à son pubis. Mon clitoris frotte délicieusement contre sa peau douce, le plaisir est divin.Puis il finit par desserrer son étreinte autour de ma taille. Je resserre légèrement mes cuisses et entreprends de faire de longs et lents allers-retours sur son vit. Par moments je reste au niveau de son gland en faisant de tout petits mouvements circulaires autour... Je l’entends échapper des râles qui sonnent comme une douce mélodie et m’incite à continuer. Mais je sens que ça ne lui convient pas. Il m’attrape par les hanches et m’oblige à suivre le rythme dont il a envie. Les va-et-vient se font plus rapides, plus profond... Je pose mes mains sur ses genoux, balance ma tête en arrière. Mes seins gonflés par le plaisir s’offrent à lui, il ne lui en faut guère plus pour les prendre tour à tour en bouche... puis comme lassé, il m’attrape par la taille et me soulève. Il me pose sur le canapé. J’essaye de comprendre ce qu’il veut, et c’est lorsqu’il se lève du canapé que je comprends. J’appuie mes mains sur l’assise, comme mes genoux. Je me retrouve à quatre pattes. Ses mains se saisissent de ma jupe et me l’enlèvent rapidement. Il appuie entre mes omoplates, je baisse mes épaules au maximum sur le siège. Mes fesses lui sont offertes. Il effleure du bout des doigts l’intérieur de mes cuisses, je frissonne. Il vient se placer dans mon dos, pose une main sur la base de ma nuque et la laisse remonter jusqu’à mes fesses. Sous l’effet de cette caresse, mon dos se cambre plus encore. Son bras s’enroule à ma taille et au même moment je sens son sexe me pénétrer très lentement. Cette lenteur a un effet immédiat sur moi... Cela me rend dingue. Je voudrais qu’il s’affole. Mais non, il y va très lentement... Je tente de me redresser, mais aussitôt sa main m’indique de ne rien en faire.Après un instant qui me paraît interminable, il se décide soudain à me prendre avec force. Ses mains sont maintenant accrochées à mes hanches et je sens son bassin qui butte de plus en plus fort sur mes fesses. Ces allers-retours me font perdre le sens des choses... Je me fais emporter par un nouvel orgasme, mon vagin pulse autour de son sexe. Il ne lui en faut pas plus pour succomber à son tour. Je sens qu’il me pousse légèrement en avant pour que je m’allonge. Je suis son impulsion et nous voilà lovés et emboîtés, soufflant comme si nous avions fait une course de fond.
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