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Vigoureusement vivante

Chapitre 4

Dimanche

Hétéro
Dimanche.
Nouveau SMS. Le dix-huitième pour être précise. Éric me submerge de messages depuis vendredi. Il faut dire que mon silence doit lui être pesant.Je ne sais pas pourquoi, mais je ne lui réponds pas. Je n’ai juste pas envie en fait. Dans ses messages il demande à me voir, et semble assez obsédé par nos derniers ébats. Il faut dire que vendredi la nuit a été torride. Et je crois que je l’ai un peu mis à cran. Il ne s’attendait sûrement pas à ce que je sois aussi disposée à jouer.
Honnêtement, je suis dans un état assez pitoyable. Un peu comme une camée du sexe. Je ne pense qu’à ça et je dois passer mon temps à me masturber... J’ai repris goût à la sexualité et je crève d’envie de faire toutes ces choses que je n’osais pas faire et que je pensais ne jamais faire. Éric pourrait être un excellent partenaire, par contre j’ai très peur qu’il veuille plus que des jeux sexuels et je ne suis pas disposée à le lui donner.
Pour essayer de décrocher de tous mes fantasmes, je me suis installée sur le canapé devant des séries niaises. Au début cela me fait décrocher. Mais peu à peu mes envies me reprennent. J’ai envie de sentir un sexe en moi, d’entendre le souffle rauque d’un homme, de frémir sous des mains habiles. Mon esprit vagabonde, je me mets à caresser mes seins presque machinalement... Alors que mes mains ont libéré mon corps de ses vêtements et que je m’apprête à caresser mon Clitoris, on frappe à la porte. Un bref instant je m’arrête. Puis n’attendant personne, je ferme les yeux et me caresse le sexe avec délicatesse. L’effleurement de mes doigts me rappelle la langue d’Éric et soudain mes doigts s’affolent. Mais la personne à la porte tambourine à présent. J’entends au loin. Une voix crier mon nom, ce qui m’oblige à arrêter mes activités. Je tends l’oreille et écoute afin de tenter d’identifier mon visiteur.Je finis par reconnaître la voix. Il s’agit d’Éric.Confuse, déstabilisée, je remets rapidement mes vêtements et vais lui ouvrir.Je n’ai que le temps d’entrouvrir ma porte qu’il est déjà rentré et a refermé la porte derrière lui. Son entrée dans mon appartement a réveillé mes sens. Les effluves de son parfum, sa présence... J’ai soudain une envie impérieuse de lui.Il fond sur moi, me plaque au mur et m’attrape à la gorge. Il ne me fait pas mal, je suis juste contenu par le cou ce qui oblige mon visage à être légèrement relevé. Sans un mot, il tire sur mon pantalon et m’embrasse en même temps. Je perds le contrôle. Je suis tellement en demande de sexe que je me moque totalement de la manière dont cela va se dérouler. Il enfonce en moi ses doigts, sans aucun ménagement, et fixant ses yeux gris dans les miens il me dit :
— Je deviens fou... J’avais de baiser là... Ne t’amuse plus à me laisser dans l’ignorance.
Sa masturbation est tellement intense que je n’arrive pas lui répondre. Je suis ouverte et complètement à sa merci. Il finit par lâcher mon cou, mais d’une main extrêmement ferme il m’oblige à tourner sur moi-même et à prendre appui sur le mur. Il s’énerve sur mon pantalon de survêtement qui lui résiste, au point où j’entends celui-ci craquer sous ses assauts. Il maintient mon corps plaqué au mur de sa main, et de l’autre défait la ceinture de son pantalon. J’imagine qu’il n’a eu aucun mal à extirper son sexe de son pantalon. Il me tire légèrement par les hanches pour m’obliger à me cambrer davantage. Je suis extrêmement excitée de la situation et ma cyprine s’est invitée en abondance. Quand il me prend, cela n’a rien de délicat. Il me fait presque mal. Je hurle sous son premier coup de reins, partagée entre l’envie et la douleur. Mais il n’y prête aucune attention. Il continue à me baiser comme un dingue. Peu à peu mon sexe se fait à ses allers-retours violents. J’ai mal aux reins et tente de me redresser, mais il m’en empêche. Le simple fait qu’il pose sa main sur mes épaules suffit à m’exciter davantage. Je me sens remplie, entière. J’aime cette sensation. Le désir dont il m’inonde me transporte et me voilà partie sur la route de l’orgasme.Je finis par jouir très rapidement.
Quand il s’en rend compte, il s’extirpe de mon corps et m’oblige une nouvelle fois à me tourner. Je lui fais face à présent. Je vois sa verge dure et luisante de ma cyprine. Cela me donne furieusement envie de lui nettoyer le sexe avec ma langue. Il le comprend et m’enjoint à m’accroupir en appuyant sur mes épaules. Je me jette sur son gland et commence à le lécher frénétiquement. Mes mains viennent caresser ses bourses pendant que ma bouche travaille à astiquer son sexe. Il a un goût non désagréable. Je me délecte et décide de maintenir le rythme qu’il avait plus tôt entre mes reins. Il ne tarde pas à perdre pied et me prévient qu’il va jouir. Mais je fais la sourde oreille, je continue. J’aime avoir son sexe dans la bouche, j’aime les sensations que cela nous procure à tous les deux. Je joue de mes mains et de ma bouche sur sa verge, je sens venir sa jouissance, je continue en y mettant davantage de cœur à l’ouvrage. Il finit par se rependre dans ma gorge. Il a un petit goût amer. Consciente de l’effet que cela lui fait, je le fixe intensément pendant que je déglutis. Puis je reprends son sexe en bouche et finis de le nettoyer de toute trace de sperme.
Ses yeux brillent, il semble ailleurs. Je me relève doucement. Il me colle à nouveau au mur et m’embrasse profondément. Son baiser est doux. On pourrait croire qu’il cherche à s’excuser.
Je le repousse légèrement, posant ma main sur sa joue, je finis par parler :
— Tu n’aurais pas dû venir...— Effectivement... j’ai pu constater que ça te déplaisait... Dit-il en riant.— Je suis sérieuse. Cette relation pourrait nous consumer. Je ne suis pas sûre de pouvoir la gérer. — C’est trop tard... Elle me consume déjà.
Il marque un court silence et ajoute
— J’ai envie de te faire des choses que je n’aurais jamais cru vouloir essayer un jour.— J’ai peur d’aimer ça.— Et ?— C’est dangereux.
Nous nous regardons de façon si intense que j’ai l’impression que ses yeux me transpercent. Je brûle intérieurement et je sens mon sang tambouriner dans mes tempes. Une drôle d’envie née en moi. Il s’en rend compte.Comme s’il lisait dans mes pensées, il m’attrape par la main et m’entraîne dans la cuisine. Il me soulève pour me faire reposer sur le plan de travail. Le contact sur ma peau est froid. Son regard vissé au mien, je peux voir toute l’étendue de son désir. Il s’agenouille et brutalement écarte mes jambes. Je comprends soudain. Mon ventre se crispe et mon sexe s’affole. Le voir ainsi agenouillé entre mes cuisses finit d’allumer le feu en moi. Lentement il embrasse la peau intérieure de mes cuisses jusqu’à remonter à mon bas-ventre. Il embrasse précautionneusement mon pubis, et vient déposer un doux baiser sur ma vulve. Il ne m’en faut pas plus pour faire glisser légèrement mes fesses sur le bord du plan de travail. Se saisissant de mes genoux, il soulève légèrement mes jambes et m’oblige à poser mes pieds sur ses épaules. De ses mains il écarte plus encore mes genoux. Je suis en position de grenouille, sa tête à quelques centimètres de mon sexe. J’ai envie qu’il me lèche et m’aspire la vulve. Il s’en rend compte, et pour abréger mes suppliques, il se met à sucer mon clitoris. Ce mouvement d’aspiration à un effet immédiat, je pousse un gémissement venu des tripes. On dirait que cela l’encourage, il continue. Plus intense, plus ferme. Les sensations sont exquises. Mais il ne s’arrête pas là, plus je gémis plus sa langue se met en action. Aucun recoin de mon intimité ne lui échappe. Il visite chaque millimètre de mon sexe, et lorsque instinctivement mon bassin se met à réaliser de tous petits mouvements, il glisse en moi un doigt. Je gémis de plus belle mi satisfaite - mi frustrée. J’en veux plus, bien plus.Il le sait et semble se délecter de l’état dans lequel je me trouve. Un à un il entre ses doigts en moi. Je respire de plus en plus fort à chaque fois. Le mariage entre la danse de sa langue et le ballet de ses doigts m’entraîne vers un nouvel orgasme. Je tente de garder cependant le contrôle. Encore un peu... Je ne veux pas céder tout de suite, pas maintenant. Mais il insiste. Arrivé à quatre doigts en moi, je ne gémis plus, je hurle. Je hurle de plaisir. Je me sens complète. Sa langue est divine et ses doigts féeriques. Tant de plaisir m’est offert en cet instant que j’en perds toute notion de la réalité. Je ne cède toujours pas.Alors comme pour me prouver qu’il m’est inutile de lui résister, il se met à masturber mon anus de sa main libre. Cette association entre sa langue et ses doigts dans mes orifices à raison de moi. Je suis emportée par un orgasme fulgurant qui fait vibrer tout mon corps.
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