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La vile vengeance de l'ex-criminel de guerre

Chapitre 2

Orgie / Partouze
La vile vengeance de l’ex-criminel de guerre Ch 2
Vile Vengeance - IICoulybaca / The Samurai Stud

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Cette histoire se suffit en elle même,
cependant elle est aussi la suite logique de :
La vile vengeance de l’ex-criminel de guerre Ch 1 (Vile Vengeance 1)


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Tenant à suivre l’évolution du monde environnant et de ses actions en cours, Moto-san alluma son ordinateur et vit tout de suite qu’il avait un mail de Gwen Nakayama, la somptueuse jeune femme qui avait visité le temple dernièrement, en attente dans sa boite aux lettres.
Il sourit largement en constatant qu’elle avait mené à bien la tâche qu’il lui avait confiée. Elle devait lui envoyer une photo de l’équipage, dont elle faisait partie, qui devait visiter le temple lors de leur prochaine escale au japon.
Moto-san passa la copie de cette photo qu’il venait d’imprimer à ses subalternes, riant de les voir immédiatement s’agglutiner autour de lui gloussant, effectuant des gestes aussi impudiques que salaces, riant à gorge déployée, l’applaudissant.


Moto-san leur lut alors le texte accompagnant les photos :
— "La ravissante américaine blonde qui se tient juste à coté d’elle s’appelle Amber Benton, elle a 29 ans et deux enfants! ...... L’autre blanche, la brune s’appelle Megan Rogers, elle a 27 ans..... La rouquine a 25 ans, elle s’appelle Nicole Sherman elle doit se marier le mois prochain.....


Ses disciples rirent encore plus fort, ils gloussaient et commentaient de façon fort salace la manière dont ils comptaient abuser des charmes de leurs futures visiteuses.
Moto-san regardait l’image de la flamboyante rouquine qui faisait grimper sa bite dans sa robe de moine, il utilisa son statut de maître le plus âgé pour déclarer qu’il se réservait la ravissante Nicole Sherman qu’il serait le premier à posséder.


Moto-san sourit à la pensée de ces 4 ravissantes étrangères visitant leur monastère, il sourit en pensant à quel point c’était différent des ces jours passés lorsque survivre après la guerre était la principale priorité tout en profitant des opportunités de violer les plus belles femmes qu’ils capturaient.
Il se rappelait les nombreuses fois où après avoir conquis un village ou une ville, il avait sélectionné la plus belle femelle pour son usage personnel.
Alors que ses hommes tenaient la somptueuse jeune femme en face des habitants, si elle était mariée, l’époux était assis ligoté au premier plan pour mieux assister au sauvage viol de sa femme! .....
Il était alors connu sous le nom du colonel Motoyama, il devait sa réputation d’immonde prédateur au fait que pour remercier le mari de s’être montré aussi hospitalier en lui prêtant sa femme, et pour être certain que nulles représailles pourraient saluer son forfait, il exécutait l’époux sur-le-champ.


Trois semaines plus tard, assise dans la loge du personnel, Megan Rogers, tout en discutant avec ses collègues de vol, pensait que c’était drôlement excitant d’avoir l’opportunité de passer deux jours entiers au temple de Zuten qui était implanté dans le village des ancêtres de Gwen Nakayama.
Megan écoutait Gwen relater les détails de sa visite lors du dernier voyage et cette impression que son corps et son âme étaient sortis revigoré de cette visite.
Et ce thé chaud si spécial qu’on lui avait servi, on aurait dit un élixir aussi sirupeux qu’une liqueur, il l’avait calmée et décontractée la coupant de ce monde angoissant en un instant, lui révélait son amie.


Vraiment, ce thé chaud s’était avéré très calmant, il avait aidé Gwen à surmonter ses inhibitions, la faisant planer comme dans les nuages.
Et de fait ce thé était le résultat d’un mélange très spécial : des herbes puissantes qui étaient cultivées sur les pentes du mont Zuten par les moines, un thé qui avait la faculté non seulement d’apaiser les âmes tourmentées, mais aussi de les rendre perméable aux suggestions, même les plus salaces, qu’on pouvait implanter dans le tréfonds de l’esprit des consommateurs.
Tandis qu’elle sirotait son bienfaisant thé, Gwen avait lentement ouvert son esprit au vieux moine qui semblait si bienveillant et comprenait si bien les problèmes enracinés dans son esprit.
Puis on lui avait servi un cocktail d’un breuvage que le Sensei Moto avait qualifié de curatif.

Gwen se rappelait avoir siroté son verre, la potion chaude et apaisante glissant sur sa langue, puis elle avait incliné le verre pour le vider cette liqueur au goût salé.
Un moment plus tard, l’enivrante liqueur lui réchauffait l’estomac.
Pourtant Gwen ne se rappelait pas, car cela avait été soigneusement effacé de son esprit par des suggestions hypnotiques que le vieux moine avait implanté dans son cerveau plus tard c’est qu’elle s’était pourléchée les lèvres imprégnées de la potion salée pour profiter au maximum de cette délicieuse décoction que lui fournissait à nouveau le vieux moine.
A son insu cet élixir avait été produit par les moines qui chantaient et priaient avec son image en tête...... Produit par chacun d’eux alors qu’ils se branlaient frénétiquement pour se vider les couilles dans le grand bol placé devant eux sur le sol.


Penchée en avant, les yeux fermés, Megan accordait à son corps quelques secondes de relaxation.
Son mari, Jim étirait très stressé depuis qu’il avait sous sa responsabilité un projet technique important, il n’avait pas été capable de venir au lit assez tôt lui faire l’amour cette dernière nuit, alors que cette nuit était la plus favorable pour mettre en chantier la petite famille qu’ils avaient envisagés de constituer.
Le stress de son mari couplée à son incapacité de se coucher dans les temps avait transféré une partie de son inquiétude sur Megan alors qu’elle avouait à Gwen :
— "Je suis ravie qu’on nous ait accordé 2 jours d’escale! ..... Et j’espère bien profiter à mon tour de ce délicieux thé que tu mentionnes comme extrêmement relaxant! ...."


A 27 ans, Elle était mariée à Jim depuis tout juste 1 an, c’était la période de temps qu’ils s’étaient accordés avant de fond une famille.
Elle avait rencontré Jim lors de sa deuxième année de fac, ils étaient immédiatement tombés amoureux, 6 mois plus tard ils se fiançaient s’engagent à se marier lorsqu’ils seraient tous deux diplômés.
De ce fait l avait été très dur de ne pas coucher ensemble, de tout juste permettre à son fiancé des caresses intimes mineures, mais Megan avait décidé de demeurer chaste jusqu’à la date de leur nuit de noce et Jim Rogers voulait être le seul homme à posséder son corps.


Gwen avait dit à Megan et autres filles de s’habiller comme d’ordinaire pour une excursion à la montagne, jean et chaudes chemises seraient le mieux, elles auraient l’occasion de se changer et de revêtir une tenue plus élégante dans leurs chambres.
Vu de l’extérieur le monastère semblait un vestige artistique vieux de quelques siècles.
Mais, à peine entrée chaque fille put contempler la fastueuse décoration de l’intérieur avec ces magnifiques tableaux pendus aux murs et ces meubles fleurant l’ancien.
Les pièces que leur avaient fait visiter ces moines si accueillants, une chambre particulière pour chacune d’entre elles auraient rendu honteux bien des hôtels de renom.


Megan était fortement impressionnée, comme elle pensait qu’elles l’étaient toutes, par la taille phénoménale du grand lit, il y avait même des chocolateries sur l’oreiller surmontant le menu du souper.
— "Je vais enfiler une tenue élégante comme me l’a suggéré Gwen, le port du jean serait sûrement inapproprié! ..." pensa Megan émerveillée.
Comme elles disposaient d’une heure avant de redescendre, Megan décida de prendre une douche bien chaude question de se relaxer après ce long vol et leur randonnée dans la montagne.
Elle commença par déballer son baise-en -ville pour suspendre les vêtements dans la penderie, puis elle ôta souplement son jean et enfin son pull-over avant de se glisser dans la salle de bain.
Ses sous-vêtements enlevés elle plongea sous la douche.


Fouettée par les embruns de la douche chaude, Megan pensait à son tendre époux et souhaitait que le fait qu’il n’ait pu la satisfaire la nuit précédente n’avait pas accentué son stress.
— "Bon, eh bien je pense que je n’aurai plus qu’à recommencer le mois prochain lorsque je serai réceptive! ....." se dit-elle en son fort intérieur.
A l’insu de Megan, au même instant il y avait un bon nombre de moines prêt à offrir leurs bons services pour lui donner l’amour dont elle semblait frustrée, et plus encore, ils étaient prêts à l’engrosser! .....
Quarante moines excités comme des poux la regardaient se doucher sur un écran de télé deux niveaux plus bas, ils avaient tous la main sur leurs bites et se branlaient frénétiquement.


— "Ahhh quelle ravissante jeune américaine! .... Elle est si belle! ..... Et elle a vraiment de jolies petites brioches...... Oh que j’aimerai me frotter le visage entre ses adorables miches! ..... Puis, je lui collerai ma saucisse entre ses petites brioches! ...... He, he, he....."
Tanaka-san se réjouissait d’entendre ses frères délirer ainsi.
— "Mmmmm..... Moi je préférerais sentir ses lèvres pulpeuses se refermer sur ma saucisse! ..... J’y prendrai sûrement grand plaisir! .... Et je lui fournirai toute la moutarde nécessaire pour la déguster! .... ha, ha, ha, ha! ....." ajouta Hamada-san hilare.
— "Elle est plutôt maigrichonne mais on devrait pouvoir la faire grossir en lui faisant avaler notre puissante protéine! .... Depuis que mes enfants sont morts pendant la guerre sous les bombes de ces damnés américains, rien ne peut plus me réjouir que d’engrosser de jeunes américaines qui repartiront dans leur pays avec un polichinelle jaune dans le tiroir! ....." ajouta Matsuo-san encore plein de rancour.
Madame Nicole Sherman
Nicole Sherman, du haut de ses 25 ans n’aspirait qu’à deux jours de paix et de relaxation depuis sa dernière escale au japon 1 mois plus tôt.
Ils avaient terminé de mettre au point les détails du mariage avant ce vol et elle avait besoin d’un peu de temps pour évacuer tout ce stress.
Tout aussi impressionnée que Megan par l’opulence de la décoration intérieure du temple, elle avait aussi programmé de prendre une douche pour se rafraîchir avant d’enfiler une élégante tenue pour souper.
Nicole déboutonna le devant de son pull rouge cassis et ’enleva, puis elle dégrafa sa braguette de jean pour le délice des nombreux yeux invisibles qui l’espionnaient par le biais de caméras cachées.


— "Regardez... Regardez... " s’époumonait un des moines alors que Nicole roulait sa petite culotte sur ses cuisses révélant sa toison rousse à tous les spectateurs invisibles.
— "Wouaou... C’est vraiment un cadeau que nous offre le grand Bouddha! .... Ce que je vais aimer enfouir mon visage dans sa toison rousse! ......" s’exclama un des autres males en haletant.
Comme l’adorable rouquine enlevait son jean puis tendait le bras pour dégrafer son soutien-gorge dans son dos, quatre des moines de l’assistance se précipitèrent au premier rang ou était posé sur le sol un grand bol de bois, il était disposé là pour que les moines y crachent leur trop plein de sève.
— "Ahhhhh..... Ahhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhh..... lorsque mon tour viendra, j’envelopperais ma bite dans ses mèches rousse et je lui offrirai un shampoing protéiné en direct de mes burnes! ......" s’exclamait un autre alors qu’il se vidait les couilles en compagnie des quatre autres dans le bol préparé à cet effet.


La ravissante Amber Benton, du haut de ses 29 ans, était heureusement mariée et mère de deux charmants enfants elle détestait se tenir éloignée d’eux pour ces deux jours.
Mais elle voulait rester dans cet équipage où elle n’avait que des amies, elle avait donc décidé de se joindre à ses collègues pour visiter le monastère centenaire, plutôt que de risquer d’être changée de vol.
Amber était toute aussi impressionnée que ses compagnes par le luxe de ce temple, l’intérieur était si différent, si moderne au regard de l’extérieur, c’était tellement différent de tout ce qu’elle avait pu imaginer.
S’étant déshabillée pour prendre une douche, elle ressentit un sentiment étrange, comme si on l’observait se doucher.


Elle frissonna tout en repoussant cette sensation, puis secoua la tête en pensant au grand nombre d’endroit où elle avait déjà eu cette impression.
C’est un monastère! .... Ces pensées sont donc idiotes! ...... Il n’y a personne d’autres ici que des moines en méditation et mes copines.....
Elle avait gardé une légère cicatrice sur le ventre, due à la césarienne qu’elle avait subi pour donner naissance à sone enfant, cette cicatrice montrait qu’elle avait déjà enfanté.
Avec son alliance et sa bague de fiançailles aux doigts, le fait qu’elle était mariée et mère d’un enfant, les moines qui l’épiaient étaient tous impatient de se retrouver au lit avec elle.
— "On la renverra à son cornard de mari blanc avec un bébé jaune dans le ventre! ......"


Les moines pouvaient suivre leurs invitées sur 4 écrans différents, ils pouvaient ainsi assister à leurs effeuillages, à leurs douches, ils se branlaient en les contemplant et remplissaient petit à petit le bol de bois de leur sperme crémeux.
Elles pourraient toutes 4 savourer un délicieux cocktail des spermes mélangés de leurs admirateurs.
Il leur serait servi après dîner lorsqu’elles auraient gagné une pièce spéciale à l’étage du temple, une pièce qui leur avait été décrite comme fleurant l’encens pour les relaxer, en réalité, il s’agissait surtout de fumées d’opium chargées de les désinhiber, c’était d’ailleurs là qu’ils se réunissaient pour fumer l’opium.

Elles commencèrent par un fastueux dîner relevé de puissantes épices au goût savoureux, qui en fait créaient une forte excitation sexuelle chez qui les consommait, arrosé du thé fumant dont Gwen les avait longuement entretenues.
Moto-san, le grand maître de ce ramassis de pervers, voulait entraîner ces somptueuses beautés sur le chemin de la dépravation.
Ses assistants prièrent les 4 charmantes jeunes femmes de revêtir un kimono au-dessus de leurs habits, il prétextait de devoir les bénir dans ces costumes à leur entrée dans la vaste fumerie de l’étage, cette injonction lui permettait de mesurer l’effet des drogues qu’elles avaient ingéré et inhalé.


Chacune avait respiré profondément la douce arôme de l’opium comme le leur avait enjoint le grand-maître, elles avaient toutes les yeux fermés comme le leur avait suggéré hypnotique ment le grand-maître des lieux à leur entrée dans cette salle où devait se consommer leur dégradation.
Dès qu’elles furent toutes sous l’influence des fumées d’opium couplées à l’effet des herbes ingérées et des suggestions hypnotiques implantées dans leur cerveau par le vieux moine si accueillant, un plateau avec 4 verres à cocktail leur fut présenté.

Comme elles sirotaient toutes 4 la chaude et crémeuse potion, elles se pourléchèrent toutes les lèvres pour mieux savourer son goût enivrant, elle vidèrent leurs verres jusqu’à la dernière goutte avant de reposer les verres vides sur le plateau.
— "Respirez profondément mes jolies....." elles écoutaient toutes la voix enjôleuse de Moto-san, elles s’imprégnaient toutes de ses suggestions hypnotiques au plus profond de leur inconscient.
— "Représentez-vous votre prince charmant, l’homme que vous aimez tendrement, celui dont vous voulez porter les enfants! ...." leur intimait-il de façon extrêmement persuasive.
A leur insu, trois moines vêtus de robes noires se postaient discrètement dans leur dos, Moto-san qui avait choisi de demeurer dans le dos de l’exquise rouquine poursuivait maintenant :
— "Et maintenant imaginez qu’il vous caresse...... Qu’il vous cajole..... Qu’il vous câline...... Jamais vous ne vous êtes senties aussi bien! ....."


Les arômes hallucinatoires dans la pièce avaient fortement excité les sens des 4 ravissantes jeunes femmes, elles tremblaient toutes d’excitation sus les caresses des mains cajoleuses posées sur leurs épaules qui commençaient à les masser les amenant peu à peu à se détendre.
Alors qu’elles commençaient à se relaxer leurs kimonos glissèrent de leurs épaules les massages s’exerçaient maintenant sur leurs tendres chairs dénudées des épaules alors que leur kimono ne reposait plus que sur l’angle de leurs épaules.
Voilà que maintenant que ces viriles mains qui les caressaient si voluptueusement descendaient le long de leurs bras, traçant leurs chemins jusqu’à leurs doigts, renforçant encore leur bien-être.


Chacune d’entre elles était maintenant pantelante, en besoin d’apaisements sexuels alors que les mains enivrantes de leurs masseurs quittaient maintenant leurs bras pour s’intéresser à leurs nichons au travers de leurs vêtements.
Elles défaillaient en s’étirant en arrière visiblement le dur et puissant objet se pressant dans leur cou risquait de leur faire péter les plombs.
— "Redressez-vous mes chéries et caressez vos amours! ..... Vous savez très bien ce qu’ils aiment! ......" suggérait la voix hypnotique, amenant chacune des beautés à tendre la main dans les ouvertures des robes dans leur dos, elles empoignèrent alors les vibrantes colonnes de chair qui se mirent à pulser et encore s’épandre entre leurs poings serrés.


— "Et maintenant mes petites chéries, l’homme que vous aimez va vous offrir une nouvelle dose de cet élixir que vous avez tant apprécié il y a peu! ..... Mais cette fois il ne veut pas vous l’offrir dans un verre! ..... Et oui, tournez -vous et constatez à quel point cet élixir est recueilli à la source... " continuait la voix persuasive.
Les 4 ravissantes hôtesses se pourléchaient les lèvres à l’idée de goûter à nouveau à cette délicieuse potion, elles se tournèrent toutes vers leurs "hommes" pour recueillir ce délectable nectar.
Seule l’adorable Gwen Nakayama avait été initiée dans l’art délicat de la fellation amoureuse, c’était une des choses qu’elle avait apprise lors de sa visite précédente au monastère, chacune des trois autres beautés empoigna instinctivement le tube charnu qui devait les contenter, et se mit à le caresser machinalement.
Les trois moines qui les "assistaient" s’avéraient être les aînés du groupe, les seuls qui avaient fait la guerre sous les ordres de leur Sensei, ils avaient tous 4 dû se cacher dans le monastère dès les derniers jours du conflit.
Motor-san, en tant que chef de la congrégation pouvait choisir la ravissante proie qu’il désirait consommer toute chaude.
Il avait éliminé Gwen puisqu’il avait déjà amplement profité de ses charmes le mois dernier.
Il avait aussi éliminé Nicole Sherman et Megan Rogers, non pas qu’ils les ne trouvaient pas assez belles, mais parce que Nicole était rousse et Megan Brune.
C’était surtout parce que Moto-san n’avait jamais vu de blondes aussi séduisantes qu’Amber Benton, et c’est pourquoi il voulait qu’elle soit la première à égayer sa nuit.


Moto-san avait fait sa sélection en se basant sur son histoire personnelle, il avait choisi de goûter aux charmes dune délicieuse rouquine puis d’une piquante brunette américaine.
Cela s’était passé bien des années plus tôt, mais ces événements restaient frais dans sa mémoire, lorsque Moto-san s’était réservé l’usage d’une somptueuse rouquine et d’une adorable brunette toutes deux Américaines et ce à différentes occasions
Elles étaient toutes deux jeunes, tout comme les adorables proies qui se tenaient dans la fumerie d’opium,
et Moto-san avait clamé qu’elles étaient butin de guerre.
Elles étaient toutes deux infirmières, elles travaillaient dans les lignes arrières du front, et avaient été surprises par un violent et rapide assaut qui avait brisé les lignes ennemies.


Après mure réflexion, la rouquine avait la première à être capturée alors qu’ils opéraient derrière les lignes ennemies.
Moto-san repensait souvent à cette mignonne infirmière, il se demandait si elle avait survécu à la guerre et même si elle avait finalement épousé le connard qui lui avait offert sa bague de fiançailles.
Même alors que ses homes la plaquaient au sol, elle s’était débattue en cherchant à ne pas être déshonorée.
Il adorait justement se faire ces jeunes Américaines qui se débattaient, il adorait les obliger à écarter leurs cuisses blanches comme de l’ivoire et encore plus les cris de désespoir qu’elles poussaient quand il ravissait leur virginité.
Il se rappelait la dernière qu’il l’avait vu en vie, deux jours plus tard dan su trou d’obus, elle était allongée sur un soldat qui lui bourrait sa bite dans le con alors qu’elle en suçait un second, un troisième enfouissant sa grosse pine dans son trou du cul.


Lors d’une autre attaque sur une autre île, le capitaine Moto à la tête de ses troupes avait transpercé les lignes ennemies, et avait capturé une adorable infirmière brune qui était mariée à en croire l’alliance qu’elle portait au à l’annulaire.
Cette adorable brunette avait servi de jouet à lui et à ses hommes à leur grand contentement, travaillant sur le mental des adversaires ils dressaient des embuscades pour les audacieux qui tentaient de la sauver d’un sort pire que la mort.
Se servant d’un haut-parleur dissimulé dans la jungle, le capitaine Moto provoquait les forces adverses :
— "Hey, Gi... Vous devriez mieux protéger vos arrières! .... Et... Vos adorables infirmières qui prennent si bien soin de vous lorsque vous êtes blessés! ..... On vient tout juste d’en capturer une! ..... Ecoutez-vous même! ....."
— "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee! ...." hurlait-elle alors que Moto-san bourrait sa grosse bite dans son trou du cul vierge.


Dans la sombre fumerie d’opium, des bruits de succion avides s’entendaient couplés à des grommellements :
— "Ahhhhhhhhhhhhhhhhh! ...."
Les plus vieux de ces bâtards de prêtres offraient à leurs ravissantes invitées cet enivrant élixir qu’elles pompaient
à la source.
Une fois que chacun des vieux moines fut se soit vidé les couilles, il les aidèrent à se relever leur enjoignant :
— "Allez mes chéries, la nuit vient seulement de commencer! ....."
Franchissant des rideaux noirs, chacune fut guidée dans un coin de la pièce où se trouvait un large matelas, mais avant tout elles durent s’agenouiller sur un coussin bien mou devant le matelas.
Dans chaque coin de la pièce, après avoir été le témoin des premières pipes octroyées aux aînés, dix moines à la queue leu-leu attendaient leur tour pour bénéficier d’un plaisir similaire.
Les moines pervers s’étaient vidés les couilles chacun à leur tour dans la bouche avide des somptueuses invitées américaines et il était évident que ces femelles appartenant à l’ennemi héréditaire ne parvenaient pas à se rassasier de cet élixir un peu salé qu’elles tétaient à la source.
Maintenant chacune d’entre elles avaient compris que plus elles se montraient câlines, cajoleuses, tendres plus vite elles obtenaient leurs doses de potion magique.
Lorsque tous les moines eurent assouvi leur lubricité dans la bouche de ces charmantes dames le plus âgé des moines se remit en tête de file, c’était le moment de passer aux choses sérieuses, le temps du rut.
Une fois que les aînés auraient étreint leurs jeunes corps, les autres seraient libres d’en disposer à l’exception de leurs anus qui feraient l’objet de l’attention des aînés à l’issue de la première fournée.
L’un des aînés, âgé de 78 ans, Fukuda-san, avait l’honneur de choisir sa proie juste après le Sensei Moto, il avait manifesté l’intention, lorsque le Sensei avait élu la somptueuse blonde, de choisir la piquante rouquine.
Connaissant la signification de la bague de fiançailles qu’elle arborait à l’annulaire il était ravi à la pensée de posséder le corps de cette jeune écervelée avant son bâtard de futur mari américain
Lors du repas il avait surpris la conversation qu’elle tenait avec sa voisine évoquant sa future cérémonie de mariage à laquelle seraient invitées ses amies de l’équipage.


Il y avait bien longtemps maintenant que la guerre était terminée, une période de sa vie qu’il avait adorée s’était alors refermée, l’époque où il était un officier sadique qui exerçait ses exactions sur les villes et villages conquis par ses troupes.
Il commandait alors une compagnie, son autorité était bien établie, il pouvait en profiter pour satisfaire ses instincts les plus primitifs, les plus bestiaux, au ravissement des ses troupes en répandant l’horreur dans les lieux conquis.
Il se rappellerait toujours cette expérience si excitante qu’il avait fait un jour qu’ils avaient calmement cerné un village ennemi, ses hommes attendant son signal pour déclencher l’attaque.


Ils avaient rampés autour du village inconscient du danger pendant toute la nuit pour se mettre en position, puis le lieutenant Fukada avait épié les villageois qui se rassemblaient pour une cérémonie.
A la vue de la ravissante jeune femme dans sa robe de noce approcher précédée d’autres somptueuses jeunes femmes il comprit qu’il s’agissait des préliminaires d’un mariage.
Les yeux rivés sur l’adorable promise, Fukuda souriait à pleines dents, il se demandait s’il devait laisser la cérémonie se dérouler normalement avant de déclencher l’attaque.
Mais sa bite lui conseilla vivement d’attaquer sur le champ et l’instant d’après les villageois étaient soumis sans avoir lutté.


Tenant une baïonnette aiguisée à quelques centimètres du ventre le futur marié ne pouvait que regarder avec horreur, tout comme les autres villageois, les hommes de Fukuda s’emparer de la jeune promise terrifiée.
Il avait alors déchiré sa robe de mariée puis ses sous-vêtements et avait écouté avec ravissement ses hurlements de douleur et de honte alors qu’il la pénétrait sauvagement.
La bite profondément plongée dans la caverne de la beauté hurlante il entendit un de ses hommes s’esclaffer alors qu’il se retirait pour mieux s’enfouir à nouveau :
— "Ahhhhhh..... Un flot de sang! ...... Un flot de sang! ....."
Martelant avec enthousiasme sa succulente proie Fukuda déversa sa semence à gros bouillons dans la grotte de la promise dévirginisée.

Fukuda-san prenait un énorme plaisir en se remémorant cet événement, il la revoyait encore cette ravissante jeune beauté qu’il venait de posséder juste avant que sa cérémonie de mariage ne débute.
Une fois sa braguette refermée, conservant sa bite sanguinolente logée dans son caleçon pour mieux se rappeler l’adorable vierge qu’il venait de posséder avant ses épousailles lorsqu’ils quitteraient le village, il avait alors ordonné que la cérémonie de mariage se poursuive en bonne et due forme.
La cérémonie terminée, la promise sanglotant et le futur effondré ayant prononcés leurs voux Fukuda avait ordonné au jeune marié désespéré d’embrasser sa femme.
— "Embrasse-la stupide cornard! ...." hurlait-il, et lorsque que l’infortuné embrassa sa femme sanglotant sur les lèvres, il intervint
— "Pas ce genre de baiser espèce de salopard! ...."


Et devant les dizaines de villageois qui assistaient au spectacle, la jeune épouse fut disposée une fois encore sur le sol, cette fois son tout nouveau mari fut obligé d’enfouir son visage entre ses cuisses pour lécher sa foufoune ravagée.
Fukuda avait pris un grand plaisir à presser fermement la tête de l’infortuné jeune époux dans la fente sanguinolente de sa femme, il lui frottait le visage dans ce marais infect en lui intimant :
— "Embrasse la chatte ensanglantée de ta femme! ..... Bouffe le foutre que je lui ai injecté dans la foufoune! .... Régale-toi du cadeau de noce que je vous offre! ....."
Lorsque l’époux atterré put enfin se redresser, horrifié, il comprit que tout le village avait été témoin de soin humiliation, fou de honte il se lança de lui-même sur les baïonnettes acérées.


Nicole Sherman haletait nerveusement alors qu’elle autorisait son "fiancé" à descendre la fermeture éclair du dos de sa robe descendant les épaulettes sur ses bras.
— Oh Bart..... Ohhhhhh..... Oh oui, caresse moi! ....." soupirait-elle chavirée par des caresses enivrantes.
Le clips dorsal de son soutien-gorge dégrafé, on l’allongea sur le matelas, les titillements de ses mamelons dressés la faisaient panteler :
— "Ohhhhhhhhhhhhh..... Ahhhhh... Bart, ohhhhhhhhhhhhh....."
Des doigts se posèrent sur la ceinture élastiquée de sa petite culotte de dentelle la roulant sur ses hanches avant de la lui ôter carrément.


Chacun leur tour, les moines pervers savourèrent les flagrances intimes de son sous-vêtement de soie alors qu’ils se le passaient de main en main, profitant chacun leur tour du parfum intime de leur proie.
Leurs bites s’étaient toutes déployées à nouveau, ils étaient impatients de posséder la succulente rouquine lorsque les appétits luxurieux de Fukada-san seraient satisfaits.
Rassemblés autour de leur Sensei, ils entendirent avec ravissement la jeune femme pleurnicher :
— "Aieeeeeeeeeeeeeeeeee... J’ai mal..... Tu me fais mal Bart! ...... Si mallllllllllllll....."
Ils virent tous leur Sensei planter avec une violence inouïe sa bite dans la beauté éplorée la clouant véritablement sur le lit, une tache sanguinolente s’étala immédiatement sur les draps, Ils étaient maintenant fous du désir de plonger leurs bites dans son orifice sanglant.


Les gémissements de douleur cessèrent finalement la douleur du dépucelage de la piquante rouquine s’était sans doute estompée, les moines spectateurs se demandaient tous ce que dirait son fiancé s’il se trouvait là à contempler sa ravissante promise refermant ses cuisses sur le torse de Fukuda-san s’arquant pour absorber plus profondément sa vieille bite active.
Ils se demandaient tous si son cornard de fiancé voudrait encore de son corps endommagé, s’il voyait sa somptueuse fiancée se tortiller et miauler sous les assauts de ce moine paillard qui la clouait sur un matelas, un ruisselet sanguinolent s’échappant de sa jeune foufoune déflorée..... Un sang bien rouge! ....
Et chacun d’eux attendait avec impatience son tour dans la queue, espérant tous lui coller un petit polichinelle jaune dans le ventre.


Dans le coin le plus éloigné, sur la droite, là où ce groupe se dirigerait après avoir copieusement partousé la ravissante rouquine ex-vierge, les moines dirigés par Sensei-Moto avaient entrepris de partouser leur ravissante hôte blonde après l’avoir possédé chacun son tour en solo.
La somptueuse Amber Benton avait l’impression d’avoir donné naissance à des jumeaux qu’elles nourrissaient maintenant au sein.
Les images du passé défilaient dans sa tête, celles de son enfant tâtant ses nibards, celles de la bite de son amoureux mari si épaisse qu’elle distendait sa chatte comme jamais elle ne l’avait fait auparavant.


— "Ohhhhhhhhhhhhhhh..... Owwwww... Ahhhhhhhhhhhh..." pantelait Amber la chatte écartelée par l’intromission de l’énorme bite de son mari qui semblait vouloir lui faire vivre de nouvelles expériences.
— "Ohhhhhhhhhhhhhhh...... Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhh....." haletait-elle alors que la bite du Sensei-Moto coulissait âprement dans son trou du cul jusqu’ici vierge, puis elle mugit :
— "Mmmmmmmmmmmm... Mmmmmmmm....." alors qu’un autre moine engouffrait sa bite dans sa bouche asservie, puis ses mains furent posées sur deux mentules frémissants, qu’elle serra machinalement entre ses doigts avant de les branler mécaniquement.


Dans le coin opposé l’adorable Megan Rogers roucoulait :
— "Ohhhhhhh..... Oui, Jim...... Fais-moi l’amour..... Aimes moi... fais-moi un enfant! ...." elle avait refermé bras et jambes sur le dos de son énergique "amant".
Intoxiquée par les émanations d’opium, Megan s’imaginait que son tendre mari la baisait vigoureusement alors qu’en fait c’était le chibre d’Hideki-san, un des moines aînés qui coulissait si rudement dans sa chatoune embrasée.
— "Oh oui... Oui... Oui... Vide-toi en moi! ..... Emplis-moi! ..... Ohhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiii... " s’exclamait-elle ravie alors que son mari lui emplissait la chatte de sa chaude semence.

Megan apprenait très vite les nombreuses façons de plaire à un mari, mais ici elle prenait même plusieurs leçons à la fois.
En dehors de ses lèvres et de son con, Megan apprit comment faire succomber un homme avec ses doigts et ses mains, et même que les tendres plantes de ses pieds pouvaient amener un homme à jouir, beaucoup hommes aimant poisser les orteils de leurs partenaires de leur foutre.
Elle apprit aussi que de frotter étroitement ses nibards contre le buste d’un homme pouvait le faisait bander rapidement.
Et dès que le vieil Hideki-san ranima sa flamberge, elle apprit comment se servir de son trou du cul pour satisfaire les appétits lubriques des amateurs.


Dans le dernier coin enfumé, Gwen Nakayama affinait les pratiques qu’elle avait apprises lors de sa dernière visite, toutes les façons de complaire aux plus luxurieux d’un homme aussi sordides soient-elles.
Le maître Motohara haïssait ces descendants de traîtres ancêtres qui avaient gagné les USA après la guerre.
La mignonne hôtesse serrait ses petites mains sur sa queue flacide tandis qu’il l’encourageait :
— "Oh oui ma petite chérie, tu dois payer pour la traîtrise de tes aïeux... Oui, comme ça... Tu apprends vraiment très vite! ..... Et maintenant titille mon méat de la pointe de la langue! ..... C’est ça, nettoie le trou du cul merdique de ton cher Motohara! ....."

Chacune des quatre beautés devait satisfaire les appétits lubriques de deux groupes de 10 moines, jusqu’à trois heures du matin, avant que les festivités de la nuit prennent fin.
Elles furent alors emmenées par un des aînés qui tenaient une bougie en main, gravissant l’escalier qui les ramenait à leurs chambres, alors qu’un autre moine transportait leurs vêtements et leurs kimonos.
Penchée sur la baignoire, jambes grandes ouvertes le vieux moine plongea alors la chandelle dans une jarre emplie d’un onguent fabriqué avec des herbes spéciales.
La chandelle maintenant couverte d’une substance brunâtre, avait alors été plongée dans leurs anus, le moine la faisait alors bien coulisser pour étaler ce baume astringent qui devait resserrer leurs trous du cul et le lendemain il ne resterait plus aucune trace des égarements de la nuit.


Nicole Sherman avait droit à un régime spécial, le pervers Motohara s’était chargé lui, même d’oindre le trou du cul et la chagatte de la jeune femme qu’il avait veillé à être le dernier à sauter pour pouvoir la ramener lui-même dans sa chambre.
Alors les dernières traces de son dépucelage souillaient ses cuisses, son vagin nécessitait un traitement spécial pour l’empêcher de constater le brutal viol dont elle avait été victime entre les mains de ces moines débauchés, Motohara-san souriait de toutes ses dents en enduisant sa foufoune du baume astringent.
Il retira de sa poche un godemiché de 30 centimètres qu’il trempa dans la jarre, puis il le plongea dans les orifices de la jeune beauté penchée sur la baignoire.
Une fois l’onguent bien appliqué, et avant qu’il ne la une douche, Nicole s’occupa encore une fois de la bite de Motohara avec sa bouche et sa langue.


Les cloches sonnèrent à 9 heures pile, à l’heure même ou la suggestion hypnotique leur commandait de se réveiller, chacune des beautés bailla et se descendit dans la chaleur relaxante des premiers rayons de soleil. Totalement ignorante de la nuit de plaisirs sordides qu’elle venait de partager avec les moines débauchés dans la fumerie d’opium, elles se rejoignirent toutes en bas pour prendre un solide petit déjeuner.
Plus tard un plongeon dans la piscine permit aux moines pervers de lorgner encore une fois leur corps luxurieux, ils étaient encore tous focalisés sur les festivités sexuelles de cette nuit pendant laquelle ils avaient amplement abusé des charmes de ces jeunes et ravissantes invitées auxquels il n’auraient jamais pu goûter en temps normal.


Après cette dernière nuit que les quatre ravissantes hôtesses passèrent au monastère, une fois les festivités terminées en milieu de matinée, elles retournèrent prendre une douche bien chaude pour effacer une fois de plus les traces de leurs viols répétés, puis elles prirent u repos bien mérité dans leurs lits douillets.
Toutefois elles restaient toutes dépendantes du vieux moine qui avait partagé leur couche jusqu’à la sonnerie des cloches à 8 heures du matin, ce vieux salaud espérant jusqu’au dernier moment les engrosser de sa fertile semence.
Puis elles prirent une nouvelle douche alors que leurs compagnons de débauche rassemblaient leurs forces pour quitter leurs chambres, elles ne sortirent de leur transe hypnotique qu’à 9 heures comme le leur avait commandé le vieux moine.

Après le petit déjeuner les moines les ramenèrent à leur hôtel où l’équipage se rassemblait déjà pour le vol de retour, chacune d’entre elle, avant de quitter le monastère, avait eu un rendez-vous en tête-à-tête avec le Sensei Moto pour une brève entrevue.
En guise d’informations à leur demander pour améliorer l’hospitalité du monastère pour de futurs invités, il les soumit toutes à une brève séance d’hypnotisme afin d’implanter de nouvelles suggestions hypnotiques dans leur esprit, portant surtout sur la façon de se comporter avec la famille de leurs maris ou de leurs fiancés.


Après ses suggestions additionnelles implantées dans leurs esprits par le sadique vieux bâtard, des événements tout à fait intéressants devaient se dérouler dans les quatre foyers américains, et plus particulièrement avec ces quatre hommes mûrs qui devraient endurer les provocations salaces de leurs brus ou futur bru.
Qui pourrait blâmer ceux d’entre eux, ces américains bourrés de vitamines de 50 à 60 ans qui succomberaient aux avances de ces ravissantes jeunes femmes qui viendraient q’asseoir sur leurs genoux pour manipuler leur grosse byroute avant de leur faire une somptueuse fellation.
Et une fois qu’ils auraient succombé au succulent plaisir de coulisser entre leurs lèvres purpurines ne seraient-ils pas impatients d’approfondir leurs relations avec leurs adorables belles-filles qui leur murmureraient à l’oreille :
— "Ohhhh beau-papa..... faites-moi l’amour...... Je vous en prie...... Faites-moi un enfant....... Faites-moi un magnifique petit bébé! ......"


12 décembre 2007
Coulybaca
dominique.dubuissez@orange.fr
avec l’aimable autorisation de l’auteur Black Demon
blackdemonstories@yahoo.com
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