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Villa Cannelle

Chapitre 5

Erotique
--M’en fou…alors… ? dit-elle en me tendant son verre vide.-Bon. Tu veux garder tes secrets pour toi…alors gardes les.Je me levais pour lui servir un autre punch. Je savais qu’Anaïs avait des choses à me raconter mais qu’elle faisait un blocage…Pour quelles raisons ?Le punch allait il produire une inhibition ?-Tiens..Ce que femme veut, Dieu ne le peut pas toujours !-Dois-je rire ?-Bon. Si tu continues comme cela, je te laisse dans le salon et je vais dans ma chambre faire dodo.-N’oublies pas de te branler !-Mais qu’est-ce que tu as ce soir ? On dirait que tu cherches l’incident !-Non. Si tu le permets je vais aller me coucher-Alors je te souhaite de passer une bonne nuit-Bisous.-Tu ne m’embrasses pas ce soir ?-Demain.J’étais quelque peu décontenancé par l’attitude d’Anaïs. J’avais du mal à comprendre cette agressivité de sa part, mais tout à chacun connait les sautes d’humeur des femmes tout au long de leurs cycles et je me dis que cela passera.Le lendemain matin, Anaïs comme à son accoutumé se leva très tard. Puis, après un rapide petit déjeuner, servi par la gouvernante , elle me fit une bise sur le front et me dit qu’elle allait à Grand Bay faire quelques achats. Elle précisa qu’elle serait certainement de retour dans l’après midi. Je la regardais partir vers l’entrée du parc de Villa Cannelle. Elle était vêtue d’un short kaki, d’un chemisier blanc que je connaissais et elle s’était chaussée d’une paire de tennis blanche sans chaussette.Elle faisait petite gamine dans cette tenue. Je la laissais filer, fort décidé à son retour de lui demander quelques explications.Anaïs revint vers 17 heures alors que le soleil se couchait déjà vers la Pointe de Cap Malheureux.-Tu as passé ta journée à Grand Bay ?-Oui j’ai fait quelques achats..Regardes ce que je me suis offert !Elle sortit de son sac un maillot de bains vert pomme et deux slips en coton.-Mais tu as déjà un maillot de bains que je sache ! Dis-je sur un ton quelque peu hypocrite.-J’aime le changement…-Ah si tu aimes le changement…je peux comprendre ! ironisais-je
-C’est ma nature !-Dis moi ,avec qui tu as passé la journée Anaïs ? On s’est promis de tout se dire.-Crois moi avec personne…Je me suis baladée, j’ai fait du shoping je me suis achetée un sandwich un coca et j’ai été sur la plage bouquiner…Ca te va Sherlock Homes ?-Ca peut m’aller ! Tu veux un thé ?-Non. Serres moi un de tes punch miracle !-Comme mademoiselle le souhaite. Tu vas où ?-Je prends une douche et je reviens. J’ai plein de sable partout.-Partout ? hummm-Vieux cochon ! J’y vais.Vingt minutes après Anaïs sortit de sa chambre. Elle avait enfilé son nouveau maillot de bains.-Alors comment tu le trouves ?-Tu veux dire, comment je te trouve ?-Hi hi-Comme une pomme dont un vilain asticot voudrait s’y installer !-Arrêtes ! Tu ne penses qu’à ça !-Naturel non. ! Quand on a la chance d’avoir une si belle jeune fille sous son toit !-Tu m’as servie mon punch ?-Madame est servie. Je te l’ai mis sur la table basse du salon. Tu veux quelque chose avec ?-Oui. Un baiser de toi…-Tu attendras. Comme moi j’ai attendu.-SatyreJ’allais m’installer dans mon fauteuil comme j’avais l’habitude de le faire lorsque je souhaitais me reposer ou réfléchir. Je m’étais servi une bonne rasade de vieux rhum.Anaïs revint vers moi avec son verre de punch. Elle s’assit, comme elle aimait le faire, par terre à mes genoux.-Tu es magnifique avec ce maillot ! lui dis-je en lui caressant ses longs cheveux.-Alors il te plait ?-Beaucoup.Elle appuya l’un de ses bras sur l’une de mes cuisses et apprécia une gorgée de punch.-Dis moi chérie ? Peux-tu me dire ce qui s’est passé lors de ta sortie en mer ?— Je ne sais pas. J’ai peur que tu te fâches , que tout cela fasse des histoires.-Non je te le promets.-Diable ! Je commence à avoir mal au ventre, mes règles ne vont pas tarder à arriver.-Ne changes pas de conversation, s’il te plait.-Je ne change pas de conversation. Je te dis simplement que…-Que quoi ?-Que si tu veux me faire l’amour, il ne faudra pas tarder…-Provocante en plus ! lui dis-je, en prenant son menton. J’aimais cet air coquin qu’elle prenait mi femme mi gamine.— J’ai envie de toi.-Ah ça c’est une invite irrésistible.Elle posa son verre sur la table du salon et mit sa main sur la braguette de mon pantalon de lin.-Tu sais prendre des initiatives maintenant Anaïs…c’est bien.-Mais, je ne suis plus une enfant ! disait elle, en essayant de trouver la forme de mon sexe sous le tissus.-C’est incroyable comme cela grossit vite !-Une si jolie main ne peut pas me laisser insensible.A présent elle me malaxait ma verge qui durcissait de plus en plus.-J’ai envie de la voir ! Souffla t’elle, en baissant le zip de mon pantalon.-…Après avoir bataillé avec ma ceinture, mon pantalon et mon boxer short, elle réussit à dégager ma verge de son antre de tissus.-C’est beau un sexe d’homme ! Chuchota t’elle, en faisant coulisser sa main autour de mon sexe. Celui-ci prit des proportions surprenantes dues à l’excitation. Elle s’amusait à recouvrir mon gland de sa gangue de peau, puis délicatement le décalottait dans un lent mouvement de va et vient. Je ne pus retenir un soupir de plaisir.-Combien de femmes, cet engin a pu honorer : dis ?-Tu es bien curieuse !-100…200..plus ? tu es un tombeur monsieur-Coquine tu m’excites .-Et si je la cassais en deux ! Dit elle, en essayant de plier mon sexe trop rigide-Tu en serais la première embêtée Anaïs se leva sur ses genoux et entreprit de baisser mon pantalon et mon boxe,r qu’elle lança au milieu de la pièce.-Pour une fille de 16 ans, tu sais bien déshabiller les hommes ne crois-tu pas ?-Facile ! dit elle, en se penchant vers mon sexe quelle prenait à deux mains maintenant.-J’ai trop envie de toi.-Je vais arranger cela ! Souffla t’elle, en posant un léger baiser sur mon gland décalotté.-C’est excitant de voir si près un sexe. Elle déposa plein de bisous tout autour du gland et sur la hampe prisonnière de ses deux mains. Je me glissais un peu plus dans mon fauteuil, dans l’attente du plaisir ultime. Elle jouait maintenant avec sa langue, contournant mon gland devenu violacé et gorgé de sang. Les yeux mi-clos je l’observais, alors que des pulsions puissantes commençaient à me prendre mon bas ventre. J’avais envie de jouir, d’exploser.-Tu veux que je te fasse jouir dans ma bouche comme l’autre fois ?-Tu fais de moi ce que tu veux !-Si je te fais jouir et qu’après j’ai envie que tu me prennes…tu pourras ?-Tu es tellement excitante, que cela devrait se faire.Sans demander son reste, elle engloutit mon sexe dans un bruit de succion Je posais mes deux bras sur les accoudoirs du fauteuil, attentif au plaisir qu’elle me donnait. Je voyais sa tête s’affairer sur mon sexe par des mouvements de hochement. Ses cheveux recouvraient une partie du spectacle. Sa bouche était divine, chaude, humide, elle savait prodiguer un plaisir intense par ses jeux de langue sur la corolle de mon gland et sur mon prépuce -J’adore te sucer ! Dit elle, en reprenant sou souffle-Continues…continues j’en ai trop envie...Suces moi encore et encore !Elle reprit mon sexe en bouche, après l’avoir promené sur sa joue. Je n’entendais plus que les gloups gloups que faisaient ses succions, ce qui m’érotisait encore plus. Je me tendis encore plus, les reins soulevés dans mon fauteuil. Je sentais le plaisir monter de quelque part de ma moelle épinière .Anaïs sentit que celui-ci arrivait au fait , que mon sexe devenait encore plus dur et mon gland plus large, plus gros. Près à exploser.-Ca vient…ca vient chérie...continues…oui continues !Elle accéléra sa cadence avec une envie évidente de me faire jouir…femme, fille, amante…j’appréciais cette grâce venue du ciel, m’apporter dans les entrailles de la Villa Cannelle le délice de l’amour.Les yeux clos, la tête sur le côté, le souffle de plus en plus court..le plaisir m’envahissait, me tordait. J’étais hanté par l’image de cette jeune fille presque nue à mes pieds en train de me procurer des sensations immenses.-Oui…je vais…je vais jouir…Et c’est dans une explosion, marquée par des secousses intenses de mon bas ventre…que je sentis monter dans mon sexe une véritable déferlante. J’eux une éjaculation d’une puissance que je n’avais pas connue depuis longtemps. Mon sperme se déversa par saccades dans la bouche d’Anaïs qui se délectait de ce nectar particulier. Elle m’aspirait, me pompait alors que les contractions se calmaient en moi..Pulsant les dernières gouttes laiteuses sur la langue tendue de ma jeune bien aimée. Ma verge commençait à se dégonfler, alors qu’Anaïs de sa bouche me léchait ne perdant pas une goutte de cette semence humaine.-Ben dis donc...quel pied !Je ne répondis pas, me contentant de lui caresser ses cheveux, son visage, passant un doigt sur ses lèvres gonflées. Elle avait les yeux rivés sur moi, tenant encore entre ses mains mon sexe à demi érigé.-Tu vas bien ?me demanda t’elle…-merveilleusement bien, il y a longtemps que je n’ai pas pris un tel plaisir. Tu es divine mon ange.-J’aime te donner du plaisir…j’aime le gout de ton sperme. Mais quand même, tu m’en as trop donné et moi tout à l’heure que vais-je avoir ?-Je saurais honorer ta petite chatte.-Tu me feras jouir ?-Autant que tu le pourras chérie-J’en ai trop envie…je suis toujours très excitée, lorsque mes règles approchentAnaïs se détacha de moi, après un ultime bisou sur mon sexe et alla chercher son restant de punch.Je restais dans cette position, nu au fond de mon fauteuil, mon sexe reposant à présent sur ma jambe.Je regardais Anaïs ne sachant plus, si elle était femme ou fille, tant son corps était magnifique et admirablement proportionné ? Ce maillot vert pomme lui allait à ravir sur sa peau bronzée légèrement ambrée. Ses longs cheveux bruns lui donnaient un air, de polynésienne. Elle passa plusieurs fois sa main et ses doigts dans ses cheveux, afin de les repousser en arrière. Elle revint vers moi.-Il faut que je te parle.-je n’attendais que cela !-Je peux reprendre un peu de punch ?-Fais comme chez toi.Anaïs disparut derrière le bar et se servit une rasade de punch maison.-Je prends des glaçons dans le frigo ?-Tu en trouveras dans un bol…Tu te serres.Le verre à la main, elle revint s’assoir à mes pieds comme elle semblait aimer le faire. Elle me prit à nouveau mon sexe détendu dans la main, comme pour se donner une contenance. Elle se faisait câline.-Tu as des choses à me dire ? Lui demandais-je, en prenant son menton dans ma main-Je ne sais pas si je dois te le dire ?-Tu dois tout me dire…c’est notre convention.Elle resta un long moment silencieuse, le regard perdu vers le piano.-Tu pourras me jouer un morceau de piano ?-Avec grand plaisir.-J’adore le piano. J’ai demandé à maman de prendre des cours.-C’est de ton âge.-Moi, j’aime la musique classique…Mes amis me traitent de ringarde.-Ce sont des idiots incultes.-On n’a pas toujours les amis que l’on mérite.-Hum hum…c’est bien vrai.-Tu ne devais pas avoir un ami avec toi qui venait de France ?-Si. Actuellement, il est pendant une semaine chez des amis à Grand Rivière noire. Il viendra nous rejoindre début de semaine prochaine.-Il est sympa ?-C’est quelqu’un qui a toujours compté dans ma vie. Je l’ai connu en 1968 en Nouvelle Calédonie. Nous étions de grandes vedettes d’athlétisme à l’époque.-Tu as gardé des photos de cette époque ?-Oui. Nous n’avions pas d’appareils photos numériques…mais j’ai des reportages et des photos d’époque.-Tu me les montreras ?-Je vais faire mes recherches dans mes boites d’archives.-Dis donc tu sembles m’oublier ? dit-elle, en regardant mon sexe flasque dans sa main.— J’étais parti loin de mes fantasmes.— J’adore tenir ton sexe comme cela, même au repos.-Bon tu n’avais pas à me dire des choses ?-SI. Voila. Lorsque j’ai été à Pereybeire pour faire une sortie de plongée j’ai rencontré l’oncle de Singi.Il m’attendait près d’un bar connu qui s’appelle le « Zoulou tam tam ». Il m’a accueillie et nous avons été sur le port où son bateau était accosté. En fait c’était une sorte de pirogue à moteur. Là nous avons rencontré un autre mauricien, Rodrigues, qui était notre accompagnateur. Un couple de français devait nous rejoindre.-Il avait l’équipement ?-Oui. Tout l’équipement de plongée était à bord, bouteilles, palmes, combinaisons etc.-Vous avez attendu les français ?-Oui. On les a attendu presqu’une heure. Ils ne sont pas venus, donc je me suis retrouvée seule avec Sangrisham et son coéquipier Rodrigues. Nous avons mis le Cap sur L’Ile plate où nous devions faire notre première plongée. Puis après nous devions aller pique niquer sur une petite Île déserte. L’après midi nous étions d’accord pour plonger à « l’Aquarium ».-Un beau programme et alors ?-Alors la plongée du matin s’est très bien passée. J’ai pu faire des descentes sur des épaves à plus de 45 mètres. C’était génial ! L’eau était un peu troublée, mais nous avons pu nous amuser. Seul Rodrigues a plongé avec moi, l’autre est resté dans le bateau. La visite des deux épaves a été assez troublante. Nous avions des requins qui tournaient autour de nous. Nos sonars les ont écartés.-Tu as nagé parmi les requins ?— Au début j’ai eu très peur. Après nous avons plongé en confiance. Ceux là ne sont pas dangereux d’autant plus que les dauphins se sont approchés de nous. Tout le monde sait que les requins n’aiment pas du tout les dauphins et idem d’ailleurs.-Et alors ?-Lorsque nous sommes remontés la décision d’aller sur cet ilot entre Cap Malheureux et la pointe de St Géran a été prise en commun. Nous avons accosté le bateau dans une petite crique adorable. Il n’ y avait personne sur l’Ile. Là nous avons descendu nos affaires pour faire un barbecue et quelques bouteilles de rhum.— Je connais cette Ile.-L’oncle de Singi n’arrêtait pas de faire des allusions sur le sexe…il disait que je pouvais me mettre nue si je le voulais, qu’ici les françaises se mettaient toujours à poils. Je voyais bien qu’il était toujours en train de lorgner sur moi et les rires qu’ils avaient avec Rodrigues étaient clairs. Je ne parle pas le créole, mais je devinais beaucoup de mots entre eux et tout tournait sur moi.-Je comprends.-L’oncle a ouvert une bouteille de rhum et nous a servi des rasades dans les verres en carton,des plus copieuses. Le barbecue s’est bien passé. Je voyais bien que tous les deux n’arrêtaient pas de me mâter.-Tu as bu aussi ?— Au deuxième verre, ma tête s’est mise à tourner. Avec la chaleur, le soleil, même si nous étions à l’ombre sous les filaos, j’avais du mal à me concentrer. J’ai voulu me lever pour aller faire pipi derrière un bosquet…mais je titubais. Les deux zigotos continuaient à rire et à boire. Une deuxième bouteille était vidée.— Que s’est-il passé alors ?-Alors j’ai été faire mon petit pipi et en revenant je sentais que l’atmosphère était différente. Je les regardais et je leur demandais, quand nous allions embarquer ? C’est à ce moment là que Rodrigues s’est levé et est venu vers moi.— Tu étais habillée comment ?-J’étais en maillot de bains, le rouge que tu connais-Et que t’a-t-il dit ?— Rodrigues s’est approché de moi et m’a dit qu’il voulait être payé en nature. Je lui ai répondu qu’il avait été convenu avec Singi que j’étais invitée. Il m’a dit où tu payes en nature ou on te laisse là. Je lui ai demandé ce qu’il entendait par payer en nature. Crument il m’a dit-« ou tu baises avec nous ou on te laisse là, c’est pas plus compliqué ! »-Je devine le scénario.-J’ai commencé à ranger mes affaires pour les remonter à bord du bateau et là Rodrigues m’a pris par le bras et m’a fait très mal.-« Je te dis qu’il faut payer...tu vois cet homme il veut baiser avec toi alors retires ton maillot »-Je répondis que je n’étais pas une pute et que jamais je ne cèderai à ce chantage.-Qu’a-t’il fait alors ?— Il m’a mis de force les deux bras derrière le dos en me faisant très mal et m’a poussé vers son ami qui était assis sur une grosse pierre. Je ne pouvais lutter il était bien plus fort que moi.-Et là, que s’est-il passé ?-L’homme, l’oncle de Singi n’arrêtait pas de me regarder fixement. Il jouait avec un couteau de plongée . Rodrigues m’a poussé vers lui et lui a dit..« Tu veux te faire une petite française...elle est à toi ! »-Je criais ce que je pouvais, je les menaçais de porter plainte et Rodrigues me répondit :« Tu peux toujours crier il n’y a personne ici et tu peux porter plainte, personne ne te croira. En même temps qu’il disait cela, il me prenait les seins et me les broyait entre ses doigts. J’avais très mal.-ils avaient certainement préparé leur coup !-J’en suis convaincue. J’étais paniquée et je ne me voyais pas sortie de ce pétrin. L’oncle a donné l’ordre à Rodrigues de me retirer mon haut de maillot. Les mains toujours bloquées dans le dos je ne pus résister. Il dégrafa mon maillot et le retira sans que je puisse faire quoique cela soit. Je me suis retrouvée face à l’oncle les seins nus. Cela a du l’exciter, car il a enfin décidé de se lever. Il s’est approché de moi avec son couteau de plongée. J’étais toute tremblante, je pleurais, je suppliais de me laisser repartir. Il est venu en face de moi et a posé la pointe de son couteau sur l’un de mes tétons , puis sur mon nombril.-« Tu sais ma jolie française que tu pourrais servir de repas à quelques beaux requins que nous connaissons ?-« laissez-moi je vous en prie, vous êtes l’oncle de Singi vous ne pouvez pas faire cela ! »-« Singi tu connais toi ? Demanda t-il à Rodrigues.-« Moi ? pas du tout c’est qui ce mec ?-« alors ou tu es très gentille avec nous, ou en revenant on te balance aux requins. On dira que c’était un accident. Qu’en penses tu la française ?-« J’avais beau supplier j’étais prise au piège.-Fais nous voir ton minou…on aimerait bien le savourer à la sauce créole !Je me débattais, tant que je pouvais. Il écarta le haut de mon slip de bains et d’un coup sec de son couteau il l’a déchiré sur le côté. Rodrigues continuait à me peloter les seins et me faisait mal en tirant sur les pointes. -Tu as du endurer un calvaire…pourquoi ne me l’as-tu pas dit tout de suite ?-L’oncle s’est déchainé. Après avoir coupé mon maillot il l’a tiré violemment vers le bas le déchirant presque entièrement. Je me suis retrouvée toute nue devant ce sale type. Il était répugnant un gros bonhomme bourré d’alcool, les cheveux gras et la barbe pas rasée.-Je vais m’occuper de son cas.Alors il a commencé à me tripoter à me mettre ses gros doigts partout, il m’a pincé le clitoris alors que Rodrigues éclatait de rire. Puis Rodrigues m’a mis un doigt dans mon petit trou à me faire mal. L’oncle s’est mis à genoux devant moi toujours prisonnière de Rodrigues et m’a écarté violemment les cuisses. Je ne pouvais plus résister. Il a maintenu de ses grosses mains mes cuisses pour que je ne les resserre pas et m’a littéralement bouffé ma chatte.-Qu’as-tu ressenti à cet instant ?-Je ne sais plus, de la peur, du plaisir, je me disais qu’il fallait que cela se passe. Allaient-ils me tuer après m’avoir violée ? J’étais dans un état second et l’alcool avait pris presque toutes mes forces. Il a joué ainsi pendant pas mal de temps et Rodrigues continuait à rire comme un fou. Lorsqu’il me maintenait comme cela les mains dans le dos, je le devinais en train de retirer son short et son maillot de bains. J’ai senti après son sexe dur contre mes fesses, alors que l’oncle continuait à me sucer le sexe.-Tu as joui ?-Peut-être, je ne sais plus j’étais vraiment dans un état second.-Qu’ont-ils fait après ?-Rodrigues a voulu me faire pencher en avant afin de pouvoir me prendre comme cela par derrière, mais l’oncle n’a pas voulu. Celui-ci continuait à m’enfoncer dans mon sexe et dans mon petit trou ses gros doigts crasseux.-« Tiens la bien mon zami, dit il en se levant et en déboutonnant son short. Il était à présent tout nu devant moi avec son gros bide et son sexe à moitié bandé. -« Elle est à moi la première, criait Rodrigues…c’est ma française !En écoutant le récit que me faisait Anaïs de cette aventure, je sentais mon sang bouillonner de révolte et une excitation bizarre m’envahir et me dessécher la gorge. Drôle de sensation que d’écouter ce récit de viol et de sentir son sexe se durcir dans la main d’Anaïs.Elle n’en fit aucune remarque se contenta de me serrer encore plus fort ma hampe, ce qui eut pour effet d’accroitre mon érection encore plus.a suivre
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