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Villa Cannelle

Chapitre 6

Erotique
-Et alors ? demandais-je, la gorge serrée et sèche.C’est à ce moment là que Rodrigues m’a fait allonger sur le sable. Je me retrouvais à genoux devant ce gros porc. Rodrigues était comme un fou il n’arrêtait pas de crier. « Suces mon zami et moi je te baise après…allez !Le gros homme s’était approché de moi en tenant son sexe dans la main. Il bandait mal. Rodrigues me tira les cheveux en arrière ce qui me fit très mal.« Tu vas le sucer la française ou c’est les requins…allez. Je pleurais et je criais que je ne voulais pas. Je les ai suppliés d’arrêter que je ne dirai rien, ils s’en moquaient. Le gros porc m’a présenté son engin, j’avais une envie de vomir, en plus il sentait fort. -Tu l’as fait quand même ?-Je n’avais pas le choix. J’ai du le sucer avec des hauts le cœur, il est devenu dur et il a voulu jouir dans ma bouche et au dernier moment j’ai détourné la tête et il a joui sur mon épaule et dans mes cheveux. Il n’a pas apprécié et m’a giflée violemment. Il est revenu à la charge en me remettant son sexe plein de sperme dans la bouche. Là j’ai vomi mon repas.-« tiens là par les bras a dit Rodrigues à l’oncle. Je sentis ses grosses mains m’emprisonner les bras alors que Rodrigues en tirant sur mes pieds me faisait allonger sur le dos et sur le sable.Je suppliais en proie à une crise de larmes de me laisser. Rodrigues s’est alors allongé sur moi et m’a pénétré sans ménagement, j’ai eu très mal. Il m’a labouré le ventre et a joui dans moi sans que je puisse faire quoique cela soit. Le temps me semblait interminable.-Mon Dieu..les salauds !-Je pensais que c’était fini mais l’autre gros porc voulait aussi aller en moi. Avec son ventre il ne pouvait pas. Alors Rodrigues m’a trainé jusqu’à une grosse souche d’arbre et m’a fait assoir dessus. L’oncle m’a écartée les jambes, et après m’avoir fouillée de ses gros doigts, il s’est masturbé devant moi pour raidir son sexe. J’avais du sperme partout sur les cuisses, sur les fesses, sur mes seins. Il regardait avec cruauté ma chatte ouverte, pleine de sperme de Rodrigues tout en se branlant. Quant il a réussi à la durcir, il m’a pris mes deux pieds, m’a écartée et m’a introduit son gros engin dans ma chatte. Je pleurais et j’espérais maintenant qu’il termine et que je puisse reprendre mes esprits me laver et partir.-Je vais m’occuper d’eux, j’ai de très hautes relations ici .-Ils ne risquent pas de se venger ?-Non. Ils finiront leur vie en prison. Ici on ne badine pas avec ce genre de méfait surtout avec des touristes.-Ils ont abusé de moi comme de vrais salauds.Anaïs se mit à pleurer la tête appuyée contre ma jambe. Je caressais ses longs cheveux lui promettant de faire rapidement le nécessaire. Je compris à présent son attitude de ces derniers jours. J’essayais de trouver les mots les plus justes pour la calmer. Mais je voulais savoir ce qui s’est passé après. Anaïs sécha ses larmes du revers de sa main. Elle faisait petite fille comme cela. Je lui tendis un mouchoir pour quelle se mouche. Elle prit sa respiration et continua.-Le gros a joui dans moi très vite, il est resté un certain temps sans bouger me tenant les pieds afin de garder mes jambes largement ouvertes. J’avais mal au dos et aux reins, l’écorce de l’arbre me rentrait dans les chairs. Tu n’as pas remarqué ces griffures !Anaïs se leva se retourna, releva sa robe sur ses épaules. Elle était entièrement nue et me montra les marques et les griffures dans son dos et l’énorme bleu qu’elle avait sous l’un de ses bras. Elle but une grande gorgée de punch et revint s’assoir entre mes jambes. J’étais allongé dans ce fauteuil, nu, le sexe au repos.« -je comprends mieux tes réactions ma chérie, je savais que quelque chose te perturbait. J’étais loin d’imaginer que tu t’étais faite violer ! Demain, je vais voir l’un de mes amis et je vais leur faire payer ce qu’ils t’ont fait-Non. Non je ne veux pas, oublies cela. Je ne veux pas que mes parents le sachent. Si on porte plainte mes parents vont le savoir ! Ils vont dire que tu es responsable de moi…cela risque de faire des ennuis et peut être des histoires entre vous. Laisses tomber, je ne veux plus me venger -Singinsham est-il de mèche avec eux ? Est-ce lui qui t’a mis dans ce piège ?-Je ne pense pas. Je vais ne rien dire et je vais bien voir son comportement. -Il peut te donner le nom de son oncle ? S’il te le donne, c’est qu’il n’est pas au courant, s’il refuse : il est dans le coup !-Ok…
-Dis moi…que s’est-il passé après ?Anaïs avait retrouvé une certaine plénitude. L’action du rhum l’aidait certainement à retrouver son calme. Elle ne répondit pas tout de suite à ma question, regardant mon sexe au repos près de sa tête.Elle le prit entre deux doigts, le souleva, le regarda cambré dans sa main et le mit en bouche. Elle me suçait délicatement, mais mes pensées étaient ailleurs, perturbée par son récit et une envie de donner une sévère leçon à ces deux salopards. -Je veux dormir à tes côtés ce soir Jessey. Tu le veux bien ?-Il faudra être discret, je n’ai pas envie que le personnel le sache…tu comprends ?-Oui, on fera attention. Mais j’ai envie de dormir dans tes bras. Elle reposa mon sexe sur ma cuisse et posa sa main dessus pour le recouvrir.-Je crois que je t’aime Jessey…tu es quelqu’un de bien. -Merci chérie, mais tu as toute ta vie devant toi, en pleine jeunesse, tu es belle, attrayante, intelligente…notre histoire c’est un secret d’amour entre toi et moi. Tu m’oublieras en rentrant en France et…-Je t’en prie ! Tu dis des âneries. Je ne peux pas oublier que tu m’as faite femme… C’est toi qui m’a donné mes premiers vrais orgasmes et j’ai tout le temps envie de toi.-Dis-moi ce qui s’est passé après ?Anaïs reprit son souffle posa sa tête sur ses deux mains appuyées sur ma cuisse le regard perdu. Elle reprit son récit.-« lorsque le gros porc décida de sortir de moi, je dégoulinais de sperme et j’avais mal au ventre. Il était franchement laid avec son bide et sa queue qui pendait. Rodrigues me tenait toujours sous les bras. Je pus poser les pieds sur le sable. J’avais un mal terrible au dos. Le gros est revenu avec une bouteille de rhum et un gobelet. Il me regardait offerte dans cette position. La scène devait lui plaire. Il but un grand gobelet de rhum tout en se caressant le sexe. A priori il en voulait encore, mais il n’arrivait plus à bander. Il est venu vers moi a servi un gobelet de rhum et m’a fait boire presque de force. Il m’a encore caressé les seins et m’a fait couler du rhum sur mon ventre puis sur ma motte. Le rhum a coulé vers mon sexe et là j’ai hurlé car cela me brulait affreusement. C’était affreux et eux riaient de ce qu’ils venaient de faire. Ma chatte était en feu. Là, ils m’ont lâchée et j’ai couru me jeter dans l’eau. Je souffrais terriblement, l’eau de mer m’a un peu calmé. Alors que je me lavais de leurs souillures, ils étaient sur la plage en train de rire et de boire du rhum. Le gros et Rodrigues s’étaient rhabillés.« Laves toi t’as pas fini avec nous la française ! criait Rodrigues en levant son verre vers moi. Je tremblais à les voir ainsi imbibés d’alcool, je me dis que tout pouvait dégénérer et là j’ai en peur. Peur qu’ils me tuent, m’abandonnent sur l’Ile ou me jettent à l’eau quelque part vers le récif. Je ne voulais pas sortir de l’eau. Je m’étais lavée sous leurs regards moqueurs.-Je veux rentrer, criais-je. Je veux rentrer…ramenez moi au port…s’il vous plait !Je me décidais à sortir de l’eau en faisant un grand détour pour ne pas passer devant eux. Ils continuaient à boire à la bouteille maintenant. Je me dirigeais vers ce qu’il restait de mes affaires.Je me baissais pour prendre mon short, lorsque Rodrigues que je n’avais pas entendu m’attrapa par les cheveux et me redressa.« Eh la française tu vas pas partir comme ça ! On n’a pas fini nous. On a tout notre temps. Il me retourna violemment alors que le gros porc arrivait jetant la bouteille vide de rhum. Tu ne nous a pas tout montré…Montres nous ton petit cul de blanche zoreille. Ils m’entouraient tous les deux, j’étais comme pétrifiée me disant que mon calvaire allait continuer. Ils s’amusaient à me pousser l’un vers l’autre. Ils puaient l’alcool. Rodrigues alla chercher un paréo et le déplia sur le tronc d’arbre où j’étais tout à l’heure retenue par lui.« Emmènes là ! dit il, au gros porc qui me trainait par le bras. Je pense que la marque que j’ai là vient de cet instant où ne voulant plus subir, je me laissais tomber à terre. Je me débattais tant que je pouvais, il m’a trainé par les cheveux jusqu’au tronc d’arbre et m’a couchée sur le ventre, maintenue par Rodrigues. J’avais les fesses à l’air offerte au regard du gros.« on va s’occuper de ton petit cul la française tu vas aimer cela ! Je ne pouvais pas bouger. Le gros m’écarta les fesses et il me mit à me lécher la chatte et mon petit trou, il me bouffait, il n’ y a pas d’autres mots. Rodrigues l’encourageait à me sodomiser. « Prépares là…elle en veut la fille ! Mets lui tes doigts. Baises la.Le gros continuait à me manger la chatte, me mordant même à me faire crier de douleur. Je sentis son doigt entrer en moi il s’est mis en soufflant comme un bœuf à me branler le petit trou.« Baises la…si tu n’y arrives pas…laisses la moi criait Rodrigues. Je pleurais tant que je pouvais, je t’appelais, je te disais viens me chercher. Le gros a baissé son short et a essayé de me pénétrer avec son sexe mais il n’y arrivait pas son sexe était trop mou. Il jurait contre ce mauvais sort. Il avait beau se branler. J’avais les fesses à l’air.« Laisses moi la française je vais m’occuper d’elle, réclamait Rodrigues. Viens la tenir. Au moment où il allait s’exécuter, on entendit un bruit de moteur s’approcher de l’Ile. Un de ces bateaux avec une dizaine de touristes à bord.Ils prirent peur de la situation, me demanda de me rhabiller sur le champ, plièrent leurs affaires et ils m’entrainèrent vers le bateau qui était ensablé. On le poussa à trois pour le dégager. Ils me firent monter à bord alors que l’autre bateau nous dépassait à une trentaine de mètres. Les occupants nous firent des grands signes de la main. Rodrigues fit démarrer le bateau. J’avais envie de crier au secours. Mais ma gorge ne répondait plus. -Tu as échappé à une nouvelle torture chérie.-Oui si ces touristes n’étaient pas venus, je ne sais pas ce qui se serait passé.-Et après, tout s’est bien passé ?-Ils m’ont menacée. Ils m’ont dit que si je racontais quoique cela soit qu’ils sauraient eux ou des amis à eux me retrouver. Ils savaient où je résidais.-Hum…par Singin !— Mais je ne pense pas qu’il soit dans le coup. Il est trop gentil. En aucun cas, ils n’ont fait allusion à lui.Il leur a peut être dit que j’étais une jeune française, qui voulait faire de la plongée et ils ont monté leur coup. Je pense même que le couple qui n’est pas venu…c’était bidon. J’ai été conne de leur faire confiance j’aurais du refuser de partir seule avec eux.-Tu sais Anaïs je te propose que l’on aille se reposer.-Je peux rester avec toi ?-Non, pas ce soir…demain si tu le veux bien. J’ai besoin de digérer cette histoire. Je suis révolté.Le lendemain matin après un bisous rapide à Anaïs, je pris la route pour Mahebourg, j’avais quelques documents à apporter à mon notaire.J’avais besoin de prendre un peu de distance. Je trouvais que ces histoires avec Anaïs allaient un peu trop loin. Cette fille pouvait déclencher beaucoup de problèmes et je me demandais si je n’allais pas mettre une fin à cette histoire. Je décidais sagement de prendre un peu de recul.Il est évident que son âge, ses relations sexuelles avec Singi, moi…le viol en si peu de temps cela faisait trop. Avais-je le droit d’aller plus loin sans prendre le risque de soulever des montagnes ?Mon air un peu froid avait inquiété Anaïs. Elle m’observait du coin de l’œil, visiblement perturbée par mon silence et le peu de chaleur que je dégageais ce matin.Je décidais que pour me détendre, je rentrerai cette après midi par la Côte est. Je ne m’étais pas occupé du programme d’Anaïs pendant mon absence. En cet instant, je n’en avais pas envie.Mon portable sonna…c’était Anaïs qui essayait de me joindre. Je regardais l’écran puis je pris la décision de ne pas répondre. Si c’était important, elle n’avait qu’à me laisser un message. Ce qu’elle ne fit pas. Je continuais ma route vers Mahébourg, petit port de pêcheurs au sud de l’Ile. J’avais promis à Anaïs de lui rapporter ces fameux gâteaux manioc, spécialités de cette région.Plusieurs fois Anaïs essaya de me joindre et au dernier appel elle me laissa un message.‘Jessey…c’est moi..Anaïs …Pourquoi ne me réponds tu pas ? Que t’ai-je fait ? Je suis triste, je n’aurais pas du te raconter cette histoire…je m’en mords les doigts. Pardonnes moi, tu me manques (silence) j’ai terriblement envie de toi. Reviens vite( silence). Je t’embrasse très très fort. »Cette fille me perturbait. Je me dis que je n’avais qu’à en profiter et que demain serait un autre jour. Elle m’avait réveillé ma libido, je me retrouvais comme un jeune homme. C’était quand même une relation complètement folle pour ne pas dire insensée ! Cette différence d’âge était tellement énorme que j’avais peur de ce que cela pouvait représenter.Anaïs aimait le sexe, c’était évident et voulait en profiter pendant cette période de liberté en l’absence de ses parents. Comment allait -elle se comporter à leur retour ? Je revins vers 18 heures à Villa Cannelle. La nuit tombait sur l’Ile. Je garais ma Range sous son haut vent et d’un pas tranquille, je me dirigeais par l’allée de droite, celle qui accédait à la varangue. Je croisais Désiré qui me salua copieusement, comme il savait le faire. Une fois dans la varangue, je constatais que toutes les lumières du salon étaient éteintes.« -Anaïs tu es là ?J’allumais la lampe posée sur le piano. Le silence régnait dans toute la maison coloniale.« Anaïs ? Criais-je encore plus fort. Pas de réponse. Je décidais d’aller à la maison du personnel interroger la gouvernante.« As-tu vu Anaïs ? Tu sais où elle est ?« Non missié Jess elle est pa’tie vers 4 heu’es elle m’a dit qu’elle allait se p’omener.« -Elle ne t’a pas dit où ?« Non pas missié, elle pa’tie avec son sac sans histoi’e à moa.-Elle est partie par la plage ?« Si..a suivre
jessey28@gmail.com
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