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Villa cannelle

Chapitre 7

Erotique
Je n’aimais pas cela. L’inquiétude me gagnait. Jamais Anaïs ne rentrait après la tombée de la nuit. J’essayais de la joindre sur son portable. Je tombais sur sa messagerie, une fois, deux fois, trois fois. De rage je jetais mon téléphone sur le divan.Où pouvait elle être ? Où la chercher ? il valait mieux prendre son mal en patience et attendre. Je refusais le repas que ma gouvernante m’avait préparé, pour un verre de vieux rhum.Je me mis dans mon fauteuil et posais les deux pieds sur la table basse. J’attendrais. La grande horloge de la bibliothèque sonna les heures…19h…20 h….21 h. A chaque appel de ma part je tombais sur sa messagerie. Je lui laissais un message assez dur l’intimant de me rappeler dans les meilleurs délais.22 h…je m’endormis quelque peu cassé par mon troisième verre de rhum dans mon fauteuil après avoir retiré mes chaussures… Lorsque je me réveillais, Anaïs était debout devant moi me regardant. Je me frottais les yeux, la bouche pâteuse. Je maugréais :« D’où tu sors ? Qu’elle heure est-il ?...Je t’ai appelée cent fois…pourquoi ne m’as-tu pas répondu ?Anaïs restait silencieuse ses escarpins à la main.« Tu peux répondre lorsque je te parle !-Tu veux savoir l’heure ? il est 23 h 15.-D’où tu sors ? tu étais avec qui ?...Tu as mangé ?..Tu as…« Si je me suis envoyée en l’air ? Cela t’intéresse autant ?« Tu connais notre convention ? Alors qu’as-tu fait pour rentrer à cette heure?« Je n’ai pas mangé -Tu étais où ?« Sur la plage du Club Med !« Tu as fait l’amour ?« Tu aimerais bien le savoir n’est-ce pas ?« Dis-moi la vérité. Tu me dois bien cela non ?« Je peux me servir un punch ?-Tu te serres comme d’habitude.Je regardais Anaïs elle avait mis une robe, longue, noire, qui allait à merveille avec son teint et ses longs cheveux. Elle était très attirante.« Je suis fourbue…« Dis-moi avec qui tu as couché ?« Je n’ai couché avec personne ! J’étais avec Singi.« Alors ?« Alors …rien ! J’ai raconté ce qui m’est arrivé avec son oncle. Il en était outré. Il m’a dit qu’il ne parlerait plus à son oncle que pour lui c’était la honte de la famille et si sa mère venait à le savoir, elle le dénoncerait à la police d’état.
« Qu’avez-vous fait ?« Nous avons parlé, parlé,parlé…lui de sa vie…de son pays.. ;de sa famille et moi je l’ai écouté« Tu as été sage ?« Très. Tu m’as fait du mal depuis ce matin…je t’ai maudit…pourquoi ne m’as –tu pas appelée ? « j’avais beaucoup de choses à faire.« Menteur.« Tu ne me dis pas la vérité. Viens ici me voir. Assieds-toi à côté de moi.« Je n’ai rien à te dire d’autres !Anaïs vint s’assoir sur l’accoudoir du fauteuil et lança ses escarpins au milieu de la pièce. Je passais ma main dans son dos surpris de constater qu’elle ne portait pas de soutien gorge. Je ne fis aucune remarque, continuant mon investigation je la pris par la taille. Elle se laissa faire. Elle repoussa de sa main ses cheveux en arrière. J’adorais ce geste qui lui donnait un air hautain.« Je t’ai manquée ?-Devines…« Alors pourquoi es-tu rentrée si tard ?Je la pris par le bras et je la fis basculer sur moi. Elle s’affaissa sur les jambes, la tête contre ma poitrine. Sa jupe remonta découvrant très haut ses deux cuisses jointes. Je glissais ma main sur l’une de ses cuisses remontant encore plus haut le tissus froissé.-Mais…tu ne portes pas de culotte …ni de soutien gorge ?Anaïs ne répondit pas. Je remontais encore plus haut se jupe découvrant son magnifique pubis de jeune fille. « Tu te promènes nue sous ta jupe et tu rentres tard…qu’as-tu à me dire ?-J’avais envie de me promener comme cela. Tu as vu je me suis épilée...tu aimes?Je promenais mon doigt sur la fine toison parfaitement délignée et qui faisait presque un rectangle de poils bruns soigneusement coupés. Je voyais distinctement le sillon qui menait à son sexe. Je caressais à nouveau ses cuisses de satin. Sa peau était d’une douceur exquise.Elle s’arrangea pour écarter un peu plus ses cuisses ce qui me permit d’accéder à sa vulve détrempée, mon doigt devenait inquisiteur..« Tu mouilles mon petit cœur…« J’avais trop envie de toi aujourd’hui je me suis caressée 3 fois…une fois dans mon lit, une fois sous la douche et une fois sur la plage.« Sur la plage ?« J’étais toute seule, j’attendais Singin.« Tu n’a plus envie de faire l’amour avec lui ?« Il m’ a demandé de venir chez lui demain après midi. Sa mère n’est pas là. Elle va à Flic en Flac voir sa sœur.-« Et alors ?« Alors tu m’autorises à lui faire des choses ?« Que si tu me racontes tout.« Alors je peux ? Cela ne te fait rien, que je te dise que je vais m’envoyer en l’air avec lui…« Tu es libre chérie. Tu en as envie ?« Pas spécialement. Cette après midi il a voulu que je lui montre ma chatte.« Tu l’as fait ?« Il a beaucoup insisté.« Et alors ?« J’ai remonté ma jupe, il m’a maté sur toutes les coutures, il était très excité. Il voulait me toucher je lui ai dit non.« Il bandait ?« je pense que oui...moi, je ne l’ai pas touché. C’est toi que je voulais.« Demain tu veux le faire ?« Si tu me dis oui…je le ferai.« Fais ce dont toi tu as envie !« Ce soir j’ai envie de toi.C’était une invite à laquelle je ne pouvais pas résister, Anaïs écarta un peu plus ses cuisses m’incitant à aller plus loin dans mes caresses. Ma main atteignit son sexe après une lente glissade sur sa cuisse et son entrejambe. Elle frissonna. Il était doux, chaud, puis plongea vers son petit trou sur lequel j’appuyais doucement mon index. Je le sentis palpiter, puis se contracter sur la pression de mon doigt. Je trouvais cela excitant. Je ne pus résister à le pousser, forçant son jeune sphincter qui était de plus en plus consentant.A cette intrusion dans sa grotte secrète, Anaïs soupira, renversant la tête en arrière. Elle attendait son plaisir. Je la regardais, excitée de juger de sa soumission à l’amour. J’introduisis plus profondément mon doigt, sans réelle résistance. Elle souleva son bassin, afin de faciliter mon passage. Elle gémit, prononçant des mots incompréhensibles.Mon pouce butta contre sa vulve détrempée. Je l’introduisis simultanément et doucement je me mis à la masturber. Elle se mordait les lèvres appréciant cette double caresse que je lui prodiguais. Son anus se contractait, puis se relâchait se prêtant merveilleusement à mes va et vient.-Humm …c’est bon. ! Soupira t-elle, en se retournant vers moi. Elle passa une main derrière ma tête pour s’agripper et me donna un long baiser, les yeux fermés pour mieux apprécier cette tendresse. Sa langue était comme folle dans ma bouche. Elle semblait vouloir manger mes lèvres, ma gorge, ma langue qu’elle mordillait de ses petites dents. Je répondis intensément à ce baiser qui eut un effet aphrodisiaque sur moi. Mon sexe emplissait mon caleçon, trop étroit. Ce jeu dura plusieurs minutes. Nos souffles devenaient de plus en plus courts, nos bouches se cherchaient, affamées. Elle était toute en eau et son plaisir ne faisait qu’accentuer mon envie. Elle se tordit, balançant son ventre contre mes doigts, pour une intromission plus profonde, plus remplissante.Je la branlais ainsi de plus en plus fort, englobant son jeune pubis de la paume de ma main. Elle abandonna ma bouche, haletante et cria sa jouissance les yeux révulsés, les cheveux collés sur son front, la poitrine secouée de spasmes.-baises moi…je t’en prie baises moi donnes moi tout…j’en ai trop envie! Soupira t-elle en posant son front contre le mien.Je sentais sa transpiration, elle m’érotisait. Je retirais mes doigts de son ventre et de ses fesses. Ma main était détrempée. Je la lui montrais. Elle sourit et me dit :« Tu me fais un effet ! Quel maître tu es! D’un bond elle se dégagea, se leva, me regarda droit dans les yeux comme une tigresse, les cheveux éparpillés autour de sa tête, puis se baissa, chercha à défaire ma ceinture, déboutonna ma braguette comprimée par mon sexe en érection et prisonnier. Elle tira sur le bas des jambes de mon pantalon. Je soulevais le bassin pour l’aider à ôter celui-ci. Elle s’agrippa à l’élastique de mon caleçon et le tira violemment libérant d’un bloc mon sexe gonflé. Elle fit passer sa jupe par ses pieds, retira son tee shirt, libérant ses beaux petits seins aux pointes brunes.Elle était nue à présent devant moi, me fixant en train de caresser mon sexe en vu de lui donner encore plus de vigueur.« Caresses toi devant moi, gloussa t-elle…cela m’excite.Elle me regardait dans ce jeu de va et vient de ma main sur ma hampe. Sa main se posa sur son sexe, elle en écarta les lèvres et sans aucune pudeur elle se mit à se caresser intensément. Elle me fixait comme un fauve, la tête baissée, les yeux mi clos, la bouche pincée.J’avais trop envie de la prendre, ce spectacle de cette fille se caressant devant moi me rendait fou. Je me levais, la pris par le bras alors qu’elle continuait à se caresser.Elle était magnifique, féline, femme, enfant. Je la poussais dans le fauteuil. Je la fis s’assoir. Elle ne me quittait pas des yeux. Je me baissais, la pris par ses deux chevilles et remontais ses jambes contre son bassin. J’avais une vue plongeante sur son sexe, d’où perlait des gouttes d’amour. Il était beau, fin, légèrement rosé qui tranchait avec sa peau bronzée. Son petit trou était finement dessiné, un régal pour la vue.Elle prit ses deux mains, alors que je lui maintenais ses cuisses à l’air et sans pudeur elle écarta son sexe me l’offrant merveilleusement ouvert à mon regard fou de désir.Je n’en pouvais plus. Une envie folle de la boire, de déguster ce sexe sublime me saisit le ventre. Je m’agenouillais devant elle, mes mains plaquées sur ses deux cuisses afin de la maintenir dans cette position. Je plaquais goulument ma bouche sur sa vulve offerte, langue dressée. Je jouais de ma langue avec celle-ci habilement dans son vagin, lui tirant des longs soupirs.Elle coulait et plus elle coulait plus je la suçais la buvant avec délice. Je sentais sur mes lèvres son clitoris d’une dureté peu commune, preuve de son excitation intense. A ce contact, elle se mit à bouger son bassin, les mains plaquées sur les accoudoirs du fauteuil, elle couinait, elle balançait la tête de droite à gauche bouche ouverte. Je sus qu’il fallait que je lui donne le plaisir qu’elle attendait, que son corps attendait, que son sexe désirait. La pointe de ma langue se fit plus fine et par petits coups, je lapais son clito que j’avais dégagé de sa protection. Elle se mit à crier, m’incitant dans un souffle à continuer mon jeu. Oui…Ouiii c’est bon…c’est bon. Tu vas me faire jouir…je craque …Son bassin bougeait tellement que j’avais du mal à me concentrer sur son clitoris. Son sexe était grand ouvert, son anus détendu. Je ne pus résister à continuer mon cuni et je lui enfonçais doucement mon index à nouveau dans son petit trou. Cette action eut pour effet de lui déclencher un orgasme puissant, marqué par des spasmes incontrôlables. Elle criait se mordant la paume de la main, prise d’une frénésie du bassin qui m’incita à plaquer ma bouche sur son sexe et à boire goulument sa jouissance.Ma bouche était inondée de sa sève secrète. Alors qu’elle se calmait, je lapais comme un chien allant de sa vulve, à la raie de ses fesses, à son petit trou, ne perdant pas une goutte de ce précieux nectar.« Prends moi...je t’en prie prends moi tout de suite…donnes moi tout…défonces moi.Je me relevais, pris mon sexe dans la main pour lui redonner de la vigueur. Anaïs saisit ses deux chevilles et écarta au maximum ses belles jambes, m’offrant une vue inoubliable sur son ventre encore secoué de pulsions, sa chatte détrempée et merveilleusement ouverte.Mon sexe durci, je m’approchais d’elle, pris appui sur les deux accoudoirs et c’est elle qui dirigea mon bâton d’amour à l’entrée de sa vulve. Elle fit glisser mon gland presque déformé par le désir, sur son clito, puis à l’entrée de son vagin, puis à la base de son fente, puis à nouveau sur son clito. Elle jouait avec mon sexe comme avec un sex toy…Je voulais tellement la pénétrer que je poussais mon bassin à chaque fois que mon sexe était au bord de son vagin. Anaïs faisait durer ce supplice. Elle le retirait et recommençait ses caresses. Je la suppliais de me laisser la prendre…elle faisait mine de ne pas m’entendre. J’étais comme un fou.C’est elle qui décida et d’une forte pression de mon bassin, mon sexe entra dans son corps déclenchant un cri de plaisir, presque une plainte langoureuse. J’étais uni à Anaïs.  Je restais un moment planté en elle jusqu’à la garde. Cette position s’y prêtait à merveille. Anaïs était emplie de ma hampe et dégustait cet instant que toutes les femmes adorent, celui de ressentir en elle, dans son ventre la présence d’un sexe et d’en apprécier l’ampleur. Puis je ne pus résister plus longtemps à lui donner ce qu’elle désirait. Elle voulait la marque de mon désir, son souhait de plaisir. J’entamais de longs va et vient de l’entrée de sa vulve au fond de son vagin, du fond de son vagin aux limites de ses grandes lèvres. A chaque fois que je m’enfonçais en elle, un cri rauque de femelle saillie, sortait de sa bouche dissimulée par la masse de ses cheveux. Mon bassin la pilonnait, mon sexe en sortant devenait luisant de l’excitation d’Anaïs. Je replongeais sans cesse dans cet antre, chaud, humide, merveilleusement doux.Elle cria à nouveau, secouée par un orgasme moins violent que le premier. Elle s’agrippa à mes bras, plantant ses ongles dans mes chairs. Je m’agitais encore plus fortement en elle, sentant que je décollais dans des pulsions que je ne maitrisais plus. J’étais un mâle des savanes africaines qui marquait de sa puissance sa femelle. Femelle partie dans un autre monde, celui de l’extase et du plaisir incontrôlé.Nos corps battaient l’un contre l’autre, les poussées de plus en fortes déplaçaient le fauteuil sur le parquet en palissandre. Nous n’en avions que faire. Anaïs criait son plaisir, elle m’invitait à jouir en elle, elle m’invitait à me vider en elle entièrement. J’étais dans un nuage indescriptible alors que je me plantais dans ce corps de jeune fille, en transpiration, les gouttes descendaient de mon front et brulaient mes yeux. J’avais le sexe d’une dureté extrême. Je l’avais rarement connu dans cet état. Nos corps s’épousaient, se joignaient. Les battements de mon bassin contre son ventre et ses fesses se firent de plus en plus rapides. C’était un signe d’une jouissance imminente, explosive, irréelle.« je viens…je viens…çà monte…je vais jouir en toi..« Donnes moi tout…je vais jouir aussi…viensUne dernière poussée au fond de son vagin, je ne pus retenir des râlements de plaisir. Secoué de spasmes, mon sexe libérait mon sperme par des saccades violentes au fond d’elle. Elle cherchait à reprendre sa respiration, appréciant cette inondation suave au fond d’elle. Ce fut le déclencheur...Anaïs eut un orgasme qui la clouait littéralement à moi.Je restais en elle, appréciant les dernières pulsations de mon sexe… Anaïs gisait comme morte dans le fauteuil, les bras ballants sur les accoudoirs, la tête sur le côté sous ses longs cheveux. Je reprenais mon souffle, mon corps était tout en sueur, mes yeux brulaient. Puis je me retirais d’elle pour me relever. Elle resta ainsi, jambes écartées, presque indécente alors que je vis mon sperme s’écouler lentement d’elle et descendre entre ses fesses parfaitement proportionnée. Une grosse goutte crémeuse s’écrasa sur le coussin du fauteuil. Elle semblait dormir. J’essuyais comme je le pouvais la sueur sur mon visage.Anaïs soupirait à présent lentement et passant sa main entre ses fesses, elle recueillit mon sperme et le répandit sur son pubis, presque indécente…Puis elle s’étira balançant les bras au dessus de sa tête.« Viens on va se baigner lui dis-je en lui tendant la main qu’elle saisit. Nous courûmes jusqu’à la piscine et main dans la main nous sautâmes dans l’eau tiède.Cette nuit là, Anaïs dormit dans ma chambre, comblée d’amour. Elle s’était blottie, lascive, contre ma poitrine, une jambe sur la mienne. J’aimais son parfum de femme, d’adolescente, ce parfum qui grise tant les hommes.Alors qu’elle dormait ainsi dans mes bras, je restais longtemps avant de sombrer dans le sommeil, les yeux rivés vers un point que je ne voyais pas. J’étais un homme comblé et je remerciais les Dieux de la terre, du ciel et de la mer de cette belle offrande que j’avais à l’aube de ma vie. J’étais apaisé, à l’écoute de la respiration régulière d’Anaïs. Puis l’univers de la chambre bascula, je m’endormis heureux.
a suivre
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