Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 16 J'aime
  • 2 Commentaires

Villa Cannelle

Chapitre 8

Erotique
Le lendemain matin, je fus réveillé de bonne heure comme à l’accoutumé. On dit qu’à notre âge les hommes se lèvent tôt. Je me levais en évitant de faire des gestes brusques afin de ne pas réveiller ma jeune maîtresse. Je reposais délicatement son bras sur mon oreiller. Elle s’agita un peu, marmonna quelques mots inaudibles et repartit dans son monde de rêves et d’évasions. Elle était vraiment magnifique, d’une beauté juvénile parfaite au grain de peau d’une douceur incomparable.Je la regardais ainsi endormie et je remontais doucement le drap sur ses épaules nues et sur son sein dont la pointe était apaisée. Je pris mes affaires et filais sur la pointe des pieds prendre une douche dans une autre salle de bains. J’étais surtout inquiet de croiser un de mes domestiques dans ma tenue présente, le sexe et les fesses à l’air.Après mon petit déjeuner servi par la gouvernante, je passais deux trois coup de fil afin d’organiser ma matinée. J’avais sur le répondeur un message que René, mon ami d’enfance m’avait laissé hier soir. Dans notre frénésie d’amour nous n’avions même pas entendu la sonnerie.J’aimais prendre mon petit déjeuner dehors sous la varangue. C’était une tradition pour moi, même lorsqu’il pleuvait. C’était un moment délicieux de la journée. J’écoutais les oiseaux commencer leurs chants et leurs ritournelles. Au loin j’entendais distinctement le ressac de la mer s’écrasant lentement sur la plage, le bruit de l’arrosage automatique, balayant la pelouse et les parterres de fleurs, quelques murmures de voix de pêcheurs commentant leurs prises.Villa Cannelle était mon paradis. J’y ai mis tout ce qu’il fallait pour en faire ma retraite, ma tanière.Désiré s’occupait de l’intendance de l’entretien et du gardiennage, ma gouvernante s’occupait de l’intérieur, de la cuisine, des éventuelles réceptions, du linge et…des confitures. Parfois je me reposais dans ce rocking-chair en bois exotique qu’un ami m’avait offert. J’aimais y lire mon journal et faire la sieste, mon inséparable chapeau de paille sur le visage.Dans le fond du parc, j’avais fait construire une maison d’amis, afin qu’ils puissent être indépendants. Depuis, les bougainvilliers de toutes les couleurs, plantés par Désiré, avaient envahis l’espace et la cachait presque de notre vue. Un vrai tableau multicolore de fleurs, de cactus, de plantes grimpantes, d’arbustes de différentes tailles ornait l’ensemble du parc. Je me félicitais d’avoir Désiré pour me planter ce décors harmonieux.Un coup d’œil au journal, un dernier verre de jus d’orange, pressé par ma gouvernante, un dernier café sur le pouce, je pris mes clés et je sautais dans la Range. Une nouvelle journée commençait pour moi.Je ne revins que vers 3 heures de l’après-midi à Villa Cannelle après avoir déjeuné avec un ami dans le restaurant d’un vieux copain de fête « Le Bateau ivre » près de Grand Bay. Il m’arrivait parfois il y a quelques années d’y croiser le chanteur Carlos avec qui nous faisions des fêtes mémorables. J’allais souvent,lorsque le cœur m’en disait ,déguster son plat culte : « la langouste grillée sur un lit de cœur de palmier sauté »Combien de fois j’ai assisté à la traditionnelle chanson « Big bizou » Carlos juché sur le grand piano à queue blanc et l’assistance en cadence frapper des mains et des pieds pour marquer le rythme.Son souvenir marquait nos mémoires. La dernière fois que j’ai croisé Carlos, amaigri, affaibli c’était à Deauville où il aimait se retirer quelques temps avant que la maladie ne l’emporte.Je me rappelle aussi ces fabuleuses pêches au gros que nous organisions sur ses bateaux, ancrés au large dans cette magnifique anse de Grand bay.Revenu à Villa Cannelle, je m’inquiétais auprès de Désiré de la présence d’Anaïs. Il me répondit qu’elle était partie par la plage dans la direction de Trou aux biches. Je compris qu’elle avait pris la décision de revoir Singi.Je l’imaginais dans ses bras amaigris et imperceptiblement je ressentis un courant de jalousie. J’avais de plus en plus de mal à concevoir Anaïs livrer son corps, à un autre homme que moi. Je me traitais d’idiot et je m’allongeais dans mon hamac à quatre places, celui que j’avais fait installer entre deux banians. La douceur se prêtait à une sieste désirée.Avant de me laisser emporter dans un doux repos bercé par le chant des filaos, mon chapeau de paille posé sur mon visage pour me protéger de la lumière, j’avais donné des ordres à ma gouvernante. Mon ami Hervé arrivait ce soir en vue de passer le week-end en notre compagnie. Elle se devait, comme elle savait le faire, de nous préparer un de ses bons repas créoles et sa chambre donnant sur la terrasse à baldaquin.Ce n’est qu’après dix-sept heures qu’Anaïs rentra par la plage poussant le petit portail de bois. Elle était habillée avec une petite jupette à fleurs, un haut jaune paille et des tennis blanches. Sa casquette sur sa tête enserrait comme une queue de cheval ses longs cheveux que j’aimais tant.Elle avait l’air dans cette tenue d’une joueuse de tennis et je m’en amusais. J’étais installé dans mon rocking-chair appréciant un long drink préparé pour la circonstance par la gouvernante. Je vis Anaïs se diriger vers moi, venant du fond du parc. Elle semblait souriante et détendue.Arrivée à ma hauteur elle lança au sol son sac de plage et se pencha vers moi pour déposer prudemment un bisous sur mon front.« Bonjour…mon doux Jessey.« Salut toi…« Je ne t’ai pas entendu te lever ce matin.« Tu t’es réveillée à qu’elle heure ?
« Vers dix heures, c’est Désiré qui m’a réveillée avec la tondeuse à gazon.« Tu as mangé à midi ?« Mama m’a préparée une salade…et un coca. Ça te va ?« Comment s’est passé ton après-midi ?« Super..très bien.« Tu as vu Singi ?« Oui…comme prévu.« Tu as été chez lui ? demandais-je le cœur battant et la gorge serrée.« Oui.« Tu as…. ?« Baisé ? Oui. Je te raconterai. Je vais prendre une douche et je reviens.« Ce soir arrive mon ami René…il reste avec nous le week end avant de partir pour la Réunion.« Ah ? Nous ne serons pas tous les deux ?« René est quelqu’un de très sympathique. Tu verras.Anaïs allait se diriger vers le salon. Je la rattrapais par le bras.« Attends.« Oui ?« C’était bien avec Singi ?« Je t’expliquerai comme promis !« Tu vas avoir tes règles quand ?« Demain ou après demain je pense.. mais rassures toi avec moi cela ne dure que deux à trois jours.« Allez files…Je pris sa main et y déposa un baiser. Elle me fit un bye bye et souriante elle entra dans le salon et se dirigea vers sa chambre.J’avais hâte qu’elle me raconte sa rencontre avec le jeune Singi. Savait-il qu’Anaïs et moi nous avions des relations ? Que pouvait apporter ce jeunot à la sexualité presque libérée de ma belle Anaïs. Que lui trouvait-elle? Pouvait-il lui apporter la jouissance qu’elle avait lors de nos liaisons ?Pourquoi ? Pourquoi ? Je me dis que j’allais mettre un holà à cette aventure entre les deux adolescents. Anaïs était à moi… c’est moi qui devait décider. Je me surpris en train de devenir un véritable macho. Ce n’était pourtant pas mon genre ! Pour reprendre mes esprits, je m’extirpais de mon rocking-chair avec quelques peu de difficultés et j’allais me servir un bon verre de vieux rhum.Le verre à la main je me décidai d’aller voir où en était Mama la gouvernante dans ses préparatifs. Je fus ravi à l’odeur envoutante du cari poisson qu’elle était en train de concocter. Je soulevais par ci par là quelques couvercles goutant du doigt, telle sauce, de la pointe d’une fourchette, tel ingrédient« Parfait..Mama vous êtes un vrai chef !Je me surpris de m’apercevoir que j’avais toujours vouvoyé Mama, que je tutoyais Désiré. Je fis le tour de la maison afin d’inspecter si tout était en ordre en vue de recevoir convenablement notre hôte.Rien à redire…tout était nickel.Anaïs resta dans sa chambre, j’entendais de la musique filtrer sous sa porte. Visiblement elle se reposait et se délassait. J’en profitais pour aller faire quelques courses chez le chinois du coin.Vers dix-huit heures, mon ami René arriva en taxi. Je l’accueillis avec chaleur et un immense plaisir de revoir ce vieil ami d’enfance. Il était plus jeune que moi, plus trapu, moins grand. Nous avions passé ensemble notre baccalauréat à Nouméa au Lycée Lapérouse.« Comment vas-tu ? lui demandais-je. « Comme un jeune homme !« Tu n’as pas changé…tu es toujours aussi…aussi play-boy !« Tu exagères…les années sont là mon ami.« Ha tu sais les femmes aiment de plus en plus les hommes murs !« Oui mais…« Certes on n’a plus la vitalité de nos vingt ans !« Tu es rudement bien installé, tu as un vrai paradis.« Viens je vais te faire faire le tour du propriétaire !Je donnais l’ordre à Désiré de monter les valises et les sacs de René dans sa chambre et nous partîmes bras dessus bras dessous comme deux vieux frères, faire le tour de la propriété.« Tu as beaucoup de personnel ?« Deux…Désiré qui est mon homme à tout faire et Mama la gouvernante dont tu gouteras les délices au repas.« Ce parc est absolument magnifique.« Je n’ai pas voulu te mettre dans la maison d’ami, tu as droit à la chambre royale…On dit que dans cette chambre a séjourné Lord Simpson au début du siècle…« C’est un honneur que tu me fais !« J’oubliais de te dire, que j’ai la fille d’amis en séjour avec moi. Ses parents sont partis faire un safari dans le sud de Madagascar et par sécurité ils ont préféré la laisser avec moi.« Ont-ils bien fait ? te connaissant vieux dragueur ! elle a quel âge ?« Dix huit dans quelques semaines…tu verras elle en fait 20 !« Jolie ?« Splendide !« Quand me présentes-tu ce bijou ?« Pour l’instant elle est dans sa chambre. Je te préviens c’est une bombe.« Tu as… ?« Ce n’est pas défendu de se faire du bien !« Je te reconnais. Tu te rappelles les cartons que l’on se faisait à Nouméa ?« On en a culbuté plus d’une…Tu te souviens de Nadia Lavoye ?« Oui la grande brune avec qui tu es sorti pendant pas mal de temps je crois.« Presque deux ans ! Figures toi que nous nous sommes croisés l’été dernier dans le métro à Paris, on s’est reconnu tout de suite.« Que devient-elle ?« Mariée, divorcée, remariée…pas d’enfant« Et toi ?« Moi je suis un vieux célibataire et je profite du bon temps. J’ai une amie qui vie en Afrique du Sud Colleen. Dans un de mes mails je t’en avais parlé. Je vais la voir prochainement et passer quelques semaines avec elle.Chemin faisant, René et moi nous parlions du bon temps, de nos études universitaires à la Sorbonne. Amis inséparables, nous avions décidé de faire les mêmes unités de valeur, les mêmes diplômes, nous partagions le même petit appartement près du quartier St-Michel à Paris. Un certain moment nous avions partagé la même copine. Nous rappelant ces anecdotes je fis visiter Villa Cannelle en riant de nos bêtises. René était sous le charme.-Tu as redonné à cette « case » un esprit tout à fait colonial.« Tu sais mon père était un ancien des troupes coloniales, nous avons habité longtemps en Afrique et à Madagascar dans ce type de maison. J’ai voulu retrouver l’ambiance de ma jeunesse. Mes parents me manquent terriblement tu sais ?Nous redescendîmes au rez de chaussée jusqu’à la cuisine où Mama œuvrait à préparer le repas du soir. Je présentais René. Elle lui fit un clin d’œil en s’essuyant ses grosses mains potelées sur son tablier« Missie ‘ené, vous pa’lez pas k’eole, mais moi dit à vous bonne panse pour fêter avec nous.« Si tu veux te mettre à l’aise, vas prendre un bon bain, changes toi, mets toi à l’aise nous mangeons dans une heure.René remonta dans sa chambre. J’en profitais pour taper à la porte d’Anaïs.« Nous mangeons dans une heure, tu te prépares je te présenterai René ;« Okay…à tout à l’heure.J’allais me choisir un bon havane et le fumer tranquillement dans mon rocking-chair. La nuit à présent était tombée. Désiré et Mama dressaient la table sous la varangue.« tu n’oublieras pas d’allumer le parc et la piscine ! Demandais-je à Désiré.Il me fit un signe du pouce que tout était prévu et alla de ce pas allumer le parc. J’avais choisi moi même les emplacements que je souhaitais mettre en valeur. J’avoue que l’effet rendu était superbe. Villa Cannelle en son et lumière ! L’air était doux pour cette saison, presque chaud.J’étais heureux d’offrir cette hospitalité à René. Dans les moments difficiles de ma vie René a toujours été présent pour me soutenir et m’aider. Veuf dans un accident de voiture, il ne s’était jamais remarié et vivait de ci de là avec une femme, puis avec une autre.En fait il ne s’est jamais remis du décès d’Isabelle. Je lui devais bien cela et j’espérais qu’à sa retraite il viendrait s’installer à Maurice. Il avait il y a onze ans monté une petite société d’import export, qui avait bien grossie et qu’il dirigeait de mains de maître.A l’heure du repas, René descendit de sa chambre. Il avait mis un short safari et passé une chemise « coco » comme on les nomme ici.-« cela te dérange si je reste pieds nus ? Me demanda t-il« Non pas du tout tu es ici chez toi…pas de formalisme à Villa Cannelle« J’adore marcher pieds nus ! Les africains disent que c’est pour mieux ressentir la vie de la terre.« C’est un fait mais fais attention dans l’allée du fond il y a des épineux…tu pourrais aller te blesser.Mama nous averti que le repas était près et que nous pouvions passer à table. J’appelais Anaïs.« Tu sais les filles et les femmes ne sont jamais à l’heure. Je te serre un punch ?« Comme tu veux..Cinq minutes après Anaïs sortit de sa chambre et vint nous rejoindre. Elle s’était maquillée et portait une longue robe blanche et à contre lumière je pus voir qu’elle était presque transparente. Elle était magnifique, ses longs cheveux attachés sur le côté avec une fleur d’Hibiscus rouge au coin de l’oreille. A voir le regard interloqué de René je compris qu’il était scotché par sa beauté.« René je te présente Anaïs, la fille de mes amis français« Enchanté ! Quelle beauté !Je sentis Anaïs quelque peu intimidée par les compliments que lui délivrait René. René ne la quittait pas des yeux.« Anaïs mon ami René qui est comme un frère pour moi.« Bonsoir ! dit elle d’une voix presque chaude que je ne lui connaissais pas.« Tu te plais à Maurice ? Demanda René.« J’adore particulièrement Villa Cannelle, c’est un paradis dans le paradis et Jessey est merveilleuxRené me fit un clin d’œil complice. Anaïs choisit de s’installer sur le grand banc en bois d’ébène entre nous deux. L’ambiance était très décontractée, après deux punchs les paroles étaient plus aisées, et les rires fusaient à tout moment. René racontait des blagues et Anaïs morte de rire manqua de s’étouffer plus d’une fois. J’ai fait venir de ma cave secrète, deux bonnes bouteilles qui arrosèrent copieusement le délicieux repas créole de Mama. Piments, punchs, vins et pour finir un rhum piment, préparation explosive de Désiré. Mama et Désiré débarrassèrent la table et disparurent dans leurs appartements.« Ce parc est sublime, commenta René.« C’est mon Versailles à moi !René raconta son aventure de l’an passé en Namibie. Nous avions tous les deux allumés un de mes meilleurs Havane. Anaïs écoutait René dans ses aventures. Un moment elle replia sa jambe et posa son pied sur le banc appuyant sa tête sur son genou. Ce geste découvrit sa cuisse largement et je vis le regard de René se poser sur celle-ci. Il n’avait d’yeux que pour elle. Les tournées du Rhum piment nous enflammaient. Tard dans la nuit alors que la bouteille était au trois quart vide, Anaïs proposa que nous allions nous jeter à la piscine. René fit remarquer qu’il n’avait pas pris son maillot.« Ici René à Villa Cannelle on se baigne à poils ! dit elle en riant et se dirigeant vers la piscine.« Elle est vraiment canon cette môme ! remarqua René en la regardant s’éloigner« Je peux te dire qu’elle n’a pas froid aux yeux pour son âge.« Je n’irai pas dans la baignoire …je te le promets.« Tu peux essayer de la draguer. J’ai pu constater qu’elle semblait t’apprécier.« Tu crois ? Mais elle pourrait être ma fille ou ma petite fille.« Et alors ? A cette époque les filles sont très vite libérées.« Et toi… ?« Moi j’ai tout mon temps. Tu devrais tenter ta chance.« Je n’ose pas quand même.« Tu as peur de prendre une veste ?« Un peu oui…tu as vu la nana que c’est ?« Essayes, si tu veux je lui ferai comprendre que tu as le béguin pour elle.« Je ne dis pas non« Eh les garçons ! cria Anaïs depuis la piscine je vous attends…un peu de courage.Nous amusant de la scène, René et moi un peu éméchés nous allâmes rejoindre Anaïs à la piscine.Elle était assise sur la margelle, robe remontée haut sur ses cuisses, elle jouait avec ses pieds dans l’eau. « Alors vous ne vous décidez pas ? Vous n’êtes pas très courageux messieurs. Bon moi j’y vais.Sans aucune gêne elle se leva et retira sa robe dévoilant à nos yeux émerveillés la beauté de sa plastique. René avait le regard rivé sur les fesses, le pubis, les seins, le ventre d’Anaïs. Il n’en croyait pas ses yeux.« Quelle est belle vieux frère !« Elle est à toi ce soir si tu sais y faire !« Un rêve. Tu me la branches ?« C’est comme si c’était fait. Anaïs se sachant matée par nous deux, se mit à rire.« Ben quoi ! Vous n’avez jamais vu une nana à poils ?« Une si belle ; jamais ! rétorqua René. J’y vais.Il retira son short, sa chemise et son caleçon et nu plongea dans la piscine.« Tu viens Jessey ?« Non je n’en ai pas trop envie, je vous regarde !Je prie une chaise et m’installa vers le cabanon. Je rallumais mon cigare. Anaïs et René se faisait des batailles d’eau aux grands rires de chacun. Anaïs semblait apprécier la présence de René. Il est vrai que dans sa jeunesse René était bel homme et avait eu de nombreuses conquêtes que je lui connaissais. Il avait gardé cette belle allure. Ces cheveux blancs avaient remplacé cette belle chevelure ample qu’il avait dans les années soixante-dix.Anaïs jouait à présent de plus en plus rapprochée de René. Ils se tenaient par les poignets en essayant de faire couler l’autre. Je les regardais faire et le cœur pincé, je voyais à présent René qui enserrait de dos dans ses bras Anaïs.J’imaginais le sexe de mon ami contre les fesses fermes de la jeune fille. Il ne pouvait ne pas résister à une telle sensation. Anaïs riait alors que René lui prenait les deux seins dans ses mains, la pétrissant presque sans ménagement. Elle me regarda, attendant presque que je lui donne le feu vert. Je lui fis un signe de tête. Alors sans hésiter après cet accord secret elle se retourna vers René et appliqua sa bouche sur la sienne. René lui pris la tête dans sa main et l’embrassa fougueusement, leurs langues s’emmêlaient se suçaient. Je devenais voyeur. J’admirais ce jeu de la séduction entre un homme et une femme. Anaïs avaient les deux mains posées sur les épaules de René répondait à ses baisers avec la même passion. Ils étaient du côté de la piscine où l’on avait pied.L’éclairage de la piscine permettait de suivre ce qui se passait. Anaïs retira sa main de l’épaule de René et la plongea dans l’eau. Je compris qu’elle allait ainsi saisir le membre gonflé de mon ami. Aux mouvements qu’elle faisait je devinais qu’elle était en train de le caresser. Leurs bouches restaient collées dans ce baiser interminable. Je devinais que René était en pleine ébullition et n’avait qu’un but, pénétrer Anaïs. Anaïs me jeta un rapide coup d’œil afin d’analyser mes pensées. Je lui fis encore un petit signe de la tête.Alors elle s’accrocha au cou de René, remonta ses belles jambes de chaque côté du bassin de René. Celui-ci compris ce qu’elle voulait, glissa ses mains dans l’eau et les posa sous les fesses de la fille afin de la supporter. Elle voulait s’empaler sur le membre tendu de René. Le sexe de René entra en contact avec sa vulve grande ouverte par cette position et s’enfonça en elle. Anaïs cria de plaisir lorsque le sexe alla au fond d’elle, se frayant un passage dans ses chairs excitées. Mains accrochées à la nuque de René je la voyais le chevaucher faisant des petites vagues à la surface de l’eau. Elle haletait à chaque pénétration et René la dirigeait sur son sexe, la souleva puis la laissa retomber sur celui-ci. Cette situation d’Anaïs en train de se faire prendre par mon ami m’excitait. Ils ne quittèrent pas cette position et c’est dans un grand râle que je compris que René venait d’éjaculer au fond d’Anaïs. Je m’attendais à ce qu’elle éclate dans orgasme. Elle ne fit qu’haleter et resta plantée sur le sexe de mon ami jusqu’à ce que ses spasmes cessent. René lui pris la tête entre ses deux mains et embrassa langue sortie Anaïs.Je compris qu’Anaïs n’avait pas pris son pied et qu’elle s’était contentée de se faire prendre par René. Elle se détacha de lui et se lança dans des brasses sur plusieurs longueurs. J’imaginais son sexe plein de sperme alors qu’elle passait à ma hauteur. Anaïs fit encore une longueur et vint à mes pieds.Elle appuya sa tête sur ses mains posées sur la margelle.« Tu sais ce que j’aimerais…être prise par vous deux.« Tu es insatiable Anaïs ! Tu as aimé ? « Il est bien foutu ton ami…mais ce soir je n’étais pas très excitée. L’alcool surement. Il n’y a que toi qui me fait jouir…« C’est vrai tu aimerais faire l’amour avec deux hommes ?« C’est un fantasme ! je n’ai pas dit que je le ferai.« Tu ne m’as pas raconté ce que tu as fait avec Singi.« Tout à l’heure dans ta chambre.« Tu veux dormir avec moi ?« Cette nuit c’était génial. J’ai dormi comme un bébé.René après avoir fait quelques longueurs décida de sortir de la piscine. Son sexe pendant sans pudeur laissait encore des traces de son érection ; il semblait avoir un sexe plus long et plus large que le mien. Il s’ébroua, repoussa ses cheveux mouillés en arrière. Je remarquais qu’il avait pris un peu de ventre. René était un amateur de bonne cuisine depuis des lustres et des lustres. Il vint à notre hauteur exhibant son sexe à Anaïs qui ne restait pas insensible à cette vue.« Bon mes amis…je vous laisse je vais me coucher.René ramassa ses affaires et après un coucou de la main se dirigea vers la varangue et monta dans sa chambre, nous laissant seuls Anaïs et moi.« cela s’appelle...tirer un coup dit Anaïs en éclatant de rire.« tu sors de l’eau ou tu restes encore un peu ?-« Je sors je vais prendre une douche, parce que ton ami m’a mis une sur dose !« Je vais dans ma chambre.« Je peux te rejoindre ? Tu veux bien ?« Si tu veux… à tout de suite.Je me levais, rangeais la chaise et pris la direction de ma chambre laissant Anaïs dans la piscine
j’invite chacun de mes lecteurs ( voir Fantasmes d’Isabelle) à me faire part de leurs observations sur ma boite mail et tout particulièrement les femmes qui souhaiteraient converser avec moi. A bientôt. Une suite est disponible mais je ne veux pas trop monopoliser notre site de belles histoires, sauf si vous le souhaitez JESSEY
Diffuse en direct !
Regarder son live