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Le Village en folie

Chapitre 2

Une douche singulière

Lesbienne
Catherine n’était plus vêtue que de son J-string, d’où s’échappaient quelques poils follets. Sur le point d’entrer dans la douche, elle avait saisi son mamelon gauche avec deux doigts, tout en s’observant à travers la glace. Ayant fermé les yeux, elle prit une grande respiration et pinça son téton si fort qu’elle sentit ses jambes ramollir. Tentant de supporter la douleur, elle tritura violemment pendant quelques secondes son mamelon qui devenait de plus en plus rouge, tout en portant l’autre main dans sa culotte jusqu’à son clito qu’elle se mit à stimuler doucement. Ayant repris son souffle, elle imposa sans pitié le même traitement à son autre nichon dont le mamelon était resté érigé. Maintenant en sueurs, elle retira son string rendu humide par sa transpiration mais surtout par la cyprine qui s’écoulait hors de son sexe et qui avait commencé à mouiller sa culotte. Maintenant complètement nue, elle porta de nouveau la main à son sexe humide et glissant et repinça doucement avec les doigts son clitoris qui était demeuré congestionné. L’agréable stimulation clitoridienne fit en sorte que la grimace de douleur affichée sur son visage angélique laissa place à un sourire de jouissance. Ouvrant un tiroir, elle saisit par la suite une pince à épiler et prit place sur le siège de la toilette. Après avoir fait ses besoins, elle actionna la chasse d’eau, demeura assise et observa longuement l’instrument d’épilation levé devant ses yeux, puis le dirigea vers sa chatte blonde et frisée. Tout en continuant de chatouiller son bouton d’amour, ayant laissé l’instrument fouiller dans sa pilosité pubienne, elle referma les yeux et se mit à tirer doucement sur le pâle petit poil qu’elle venait de saisir avec la pince. Catherine grimaça de nouveau de douleur durant le bref combat entre le minuscule élément pileux qui refusait de se faire déraciner et l’instrument qui le tirait inexorablement hors de l’épiderme soyeux de la jeune adulte. Le manège se répéta à deux autres reprises, arrachant à chaque fois du même coup une plainte étouffée chez la blonde. Catherine tentait toujours, durant ces moments d’apparente automutilation, de se conforter par de nouvelles caresses dans ses parties intimes les plus érogènes. Ayant redéposé l’instrument de torture improvisé dans son tiroir, sans jamais avoir cessé de stimuler son petit bouton d’amour, la fille referma la porte de la cabine de douche derrière elle et ouvrit l’eau. Elle entreprit de se savonner de la tête au pied, puis se mit à faire courir ses mains sur son corps maintenant devenu glissant et mousseux. Frottant doucement sa poitrine, elle sentit la douleur aux mamelons quelque peu s’estomper. Voulant s’assurer d’une propreté complète, elle s’introduisit, entre des fesses savonnées,  un doigt glissant dans l’anus qu’elle se mit à masser légèrement. Saisissant la douche-téléphone, elle procéda à son rinçage. Au moment de passer à son postérieur, Catherine mit le pommeau à la fonction de pulsation et augmenta la température de l’eau. Se penchant légèrement en avant, elle se laissa chatouiller la rondelle par les jets pulsés qui devenaient de plus en plus brûlants. Incapable de supporter davantage la désagréable sensation de brûlure ressentie par son anus, elle raccrocha l’instrument et tempéra la température du jet d’eau qu’elle laissa couler en mode normal.  C’est à ce moment qu’à son désespoir, une nouvelle inspiration morbide la saisit : Ayant longuement examiné le pain de savon ovale qui faisait bien 6 cm de largeur par  9 de longueur et 2 d’épaisseur, elle le saisit dans sa main en se mordant la lèvre, étant toujours sous le jet d’eau, et commença à le presser contre son sphincter anal. Doucement, elle se mit à le pousser vers l’intérieur, forçant sa rondelle à s’ouvrir. Devant la résistance du muscle, elle se pencha légèrement en avant et poussa du ventre contre l’agresseur. Petit à petit, le pain de savon parvint à élargir douloureusement la rondelle de la pauvre qui avait recommencé à grimacer alors que l’eau tiède ruisselait sur sa tête, et se fit complètement engloutir par le cul de Catherine qui soupira alors de soulagement. La violente sensation de brûlement interne causée par les acides gras qui s’ensuivit ne tarda pas à se faire présente à l’intérieur du côlon de la fille qui sentait maintenant les frissons envahir tout son corps alors qu’une irrésistible envie d’expulser le corps étranger la gagnait, impérieux besoin auquel elle tenta de résister le plus longtemps possible. Sophie et Alicia faisaient, pendant ce temps, l’inspection discrète de l’appartement de Catherine, dont c’était pour elles la première visite. Les lieux étaient sobrement meublés mais décorés avec un certain goût, témoignant du peu de ressources financières dont disposait leur amie mais également de son sens du décor.
 « T’as vu ça Alicia ? demanda Sophie en désignant à sa conjointe un objet trouvé sur sa commode de chambre, et dont la forme rappelait celle d’un gode bien qu’immensément volumineux. - C’est quoi ça ? répondit la doc. C’est ben trop gros pour entrer dans un orifice naturel. Ça fait pourtant bien penser à un sex-toy ! »
 Sur l’entrefaite, les deux tourterelles se firent alerter par des bruits bizarres provenant de la salle de bain. Se rapprochant, elles croyaient clairement entendre des sanglots émanant de l’autre côté de la porte.

 « Ça va, Cathy ? demanda Alicia, inquiétée par ce qu’elle croyait entendre. »
 Aucune réponse, sauf des cris se mêlant maintenant aux pleurs qui se faisaient entendre. Sans plus attendre, Sophie porta la main à la poignée de la porte qui était restée déverrouillée. Les deux filles pénétrèrent dans la pièce. À leur stupéfaction, elles virent Catherine à travers la porte vitrée de la cabine, prostrée sur le plancher de la douche, assise sur les talons et toujours sous les jets d’eau. Le pain de savon reposait maintenant sous ses fesses, au sol, contre la crépine. Des gouttelettes  blanchâtres semblaient s’échapper du derrière de la pauvre. Celle-ci était secouée par les pleurs, frottant sporadiquement son fion endolori par l’irritation du produit nettoyant et l’agressive dilatation qu’il lui avait occasionnée.
 « Catherine ! fit Alicia, qu’est-ce qui t’arrive, ma belle ? - Oh, ça fait mal ! se lamenta Catherine. Ça brûle en dedans ! fit-elle entre deux sanglots. »
 Avec l’aide de Sophie, la doc la fit relever debout, coupa l’eau et la fit sortir de la cabine. L’ayant recouverte d’une serviette, elles l’invitèrent à s’asseoir, ce que refusa Catherine, toujours en crise. Sophie ramassa le pain de savon au fond de la douche et le redéposa dans le savonnier. Ce faisant, elle observait Cathy qui se frottait toujours le derrière, se tordant d’inconfort.
 « Ramenons-la sous la douche, ordonna la rousse à sa copine. Tout de suite ! »
 Les deux conjointes repoussèrent Catherine toujours nue et sanglotante dans la cabine et pendant qu’Alicia, à bout de bras, la maintenait difficilement en place, Sophie s’empressa de défaire le pommeau de la douche-téléphone, ouvrit l’eau à température modérée, et, portant l’embout du tuyau flexible entre les fesses de Catherine, l’enfonça dans l’anus de la fille qui continuait péniblement de s’agiter dans ses sanglots et ses cris.
 « Qu’est-ce que tu me fais, Sophie ?! cria Catherine qui dansait d’inconfort sur place pendant qu’elle sentait son rectum se faire envahir par une immense vague d’eau tiède qui ne tarda pas à lui redonner de nouveau une irrésistible envie de tout relâcher sur place. - On te rince le derrière, ma cocotte. C’est le savon, hein ? C’est ça que tu viens de te rentrer dans le cul ? - Oui ! fit honteusement la blonde. Je me sens tellement mal ! Arrête, je ne peux plus me retenir ! - Laisse-toi aller maintenant, fit la rouquine. Ça va te faire du bien. »
 Un puissant jet d’eau turbide dirigé vers le sol s’échappa hors des intestins de la malheureuse qui se calma et émit un long soupir de soulagement.
 « Ça va aller, demanda Alicia ? Tu veux que Sophie recommence ? - Non, c’est correct, maintenant. Ça ne brûle plus, répondit tout bas Cathy, maintenant calmée. »
 Sophie ferma l’eau après avoir rincé la cabine et refixa le tout. La blonde s’était abandonnée aux bras d’Alicia qui l’avait enveloppée d’une grande serviette.
 « J’m’excuse, les filles ! s’exprima-t-elle de nouveau en sanglots. Je suis tellement mal ! Je crois que j’ai de gros problèmes ! - C’est ok, la rassura Alicia en la serrant contre elle et lui baisant le front. C’est fini, maintenant. Tout ira bien. - On aurait dû garder un meilleur contact avec toi, regretta Sophie, alors que les trois filles prirent place sur le canapé. On ignorait tout à ton sujet. - Je pense que ton expertise pourrait m’aider, Sophie, proposa Catherine toujours reniflant ses pleurs. Tu es psychologue, après tout. Sûrement que tu pourrais y comprendre quelque chose : je dois maintenant SOUFFRIR pour avoir du plaisir sexuel ! - Je comprends ta requête, ma belle Catherine, répondit l’autre. Mais on se connaît trop, maintenant. Mon jugement pourrait être biaisé à cause de ça. Je te conseillerais plutôt de consulter ma mère. Elle est psychologue comme moi et possède plus d’expérience. En plus, elle est spécialisée en sexologie. Nous allons toutes nous retrouver pour la fête donnée ce soir en l’honneur de mon père. Elle sera sûrement heureuse de pouvoir t’aider. »
 Catherine sembla hésiter, perdue dans ses pensées. Les larmes achevaient de s’écouler sur ses joues rougies par la honte et le désarroi.
 « Tu peux lui faire confiance, je t’assure, la rassura Sophie en lui faisait une douce et saphique accolade. »
 Catherine but le grand verre d’eau que lui avait versé Alicia et toutes les filles, âgées dans le début vingtaine, se mirent en route en direction de la résidence des Durocher. Chemin faisant, la discussion tourna autour des activités prévues pour la soirée :
 « Pourquoi nous a-t-on demandé de se vêtir ‘légèrement’ ? Seulement une mini-robe et une petite culotte, demanda Alicia à sa copine. - On va jouer à un nouveau jeu, apparemment, répondit Sophie. Ça s’appelle ‘À qui les fesses ?’. - C’est quoi cette affaire, encore ? fit Alicia quelque peu contrariée. - Ben, on va d’abord toutes se déculotter devant Papa, on garde notre petite robe et on lui garroche nos bobettes. - Quoi ? Toi, moi, Catherine pis nos deux mères allons faire ça, devant tout le monde ? - Euh oui, c’est ça, fit Sophie, hésitant quelque peu comme elle avançait dans la description des détails de l’activité. Ensuite, on passe une à une devant Papa qui, assis derrière nous et les yeux bandés, tentera de deviner à qui sont les fesses qu’il tâtera alors sous notre robe, devant l’assistance. - Mais c’est débile, ça ! s’indigna Alicia, qui sentait la nervosité la gagner. Est-ce que j’ai besoin de savoir la suite ? - Probablement, car c’est après cette séance de devinettes que ça se corse. Qu’il ait ou non bien deviné, Papa nous relaisse partir, après l’examen, avec une des petites culottes qu’on lui aura lancées au préalable. - Donc, on retourne à notre place avec notre culotte ? - Pas nécessairement. Il nous remet au hasard des bobettes qui pourraient être celles d’une autre, qu’il faudra réenfiler jusqu’à ce que sa propriétaire les réclame. - Je comprends pas. Il me remet une culotte mais c’est pas nécessairement la mienne. - Exact. Tu pourras la porter tant que sa propriétaire ne te l’aura pas réclamée. Sauf une chose… - Qu’est-ce que c’est, encore ? marmonna Alicia. - La dernière fille que Papa aura tâtée repartira sans culotte, car il en retiendra une avec lui: ce sera celle de la fille choisie pour ‘servir’ le dessert spécial que Papa lui enverra dans le derrière en la sodomisant et en lui éjaculant son foutre parfumé. - Donc, la dernière fille à y passer sera enculée par ton père ? demanda Alicia, maintenant de plus en plus inquiète. - Pas nécessairement. Si c’est une autre fille qui porte le sous-vêtement de la dernière qui aura été voir Papa, celle-ci pourra le réclamer auprès d’elle, de sorte que ce ne sera pas elle, l’’élue’. Au final, quand chacune aura récupéré sa propre petite culotte, une de nous finira par rester cul nu sous sa robe. - Et…, comment se feront les ‘réclamations de bobettes’ ? - Après le jeu, on danse sur des slows, on s’embrasse, on se tâtonne, on se pogne les fesses l’une l’autre sous nos robes en dansant. C’est là qu’on vérifie si celle avec qui tu danses est en possession de ton slip. Si c’est le cas, on fait immédiatement l’échange avec l’autre : tu récupères ton vêtement et l’autre se retrouve avec celui que tu portais, si tu en portais un, évidemment. On change de partenaire jusqu’à ce qu’on ait fait le tour. - Une vraie histoire de fou, commenta Alicia, se tournant la tête en arrière vers Catherine qui, demeurant silencieuse et les yeux mi-clos, semblait écouter distraitement la conversation entre les deux tourterelles. - Pour finir, poursuivit la rouquine, l’heureuse ‘élue’ sera déshabillée devant tout le monde et Papa la fourrera de son délicieux nectar qu’elle devra garder au chaud dans son derrière jusqu’au moment du service. Tour à tour, nous prendrons ensuite notre ‘dessert’ à même l’anus de la ‘serveuse’ positionnée en levrette pour la circonstance. - Ouach, c’est dégueu, cette affaire ! T’imagines-tu que je vais me prêter à ce jeu débile ? - S’il te plaît, Ali ! Fais-le pour moi ! C’est la fête de mon père, c’est pas un monstre ! »
 Alicia garda son expression renfrognée.
 « De toute façon, voulut la rassurer Sophie, il n’y a qu’une chance sur cinq que ça tombe sur toi. - Et Catherine ? As-tu pensé à elle ? C’est son premier contact avec nos parents. Elle va toutes nous prendre pour des cinglées ! »
 Catherine ne parlait pas. Elle ne suivait même plus la conversation. Complètement affalée sur la banquette arrière, elle était tombée dans un profond sommeil et se laissait bercer au rythme de la route.
 « En plus, renchérit la doc, cette fille a besoin de soins, c’est évident. Je veux d’abord que ta mère la prenne en consultation. Stat ! »
 Presque rendues à destination, Alicia s’accorda une réflexion personnelle:
 « Et mes culottes qui sont parfaitement reconnaissables, avec leurs papillons ! »
 (À venir : Catherine chez la sexologue)
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